Je n'ai pas été capable de terminer ce deuxième tome (je ne l'aurais jamais emprunté de toute façon si ça n'avait pas été fait en même temps que le tome 1, et je ne l'aurais jamais commencé si j'avais eu d'autres choses à lire sous la main). C'est dans la même veine que le tome précédent. le personnage principal, Henri, est toujours aussi névrosé, immature et exaspérant, et il voudra cette fois reconquérir Laura qu'il aura réussi à faire fuir dans le tome 1. Il se rend donc à Whitehorse (où Laura tourne un film) en deltaplane avec son ami Diego, alors même que Laura voit le vrai visage de Pastrami (le réalisteur). Encore une fois: les dessins sont vraiment laids et peu attrayants, les dialogues sont beaucoup trop nombreux et longs pour rien, les personnages sont si peu attachants qu'on a envers eux une indifférence profonde, l'intrigue se résume à un fil... pas bien bien captivant.
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Nous sommes tombés sous le charme du premier album. La suite a tardé, tardé, tardé. La voici enfin, près de deux ans plus tard !
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Il ne sait définitivement pas ce que "tout le monde est content" veut dire.
C'est vrai, et l'existence est une grande porte croche qui ferme mal.
Dessins et discussion avec Samuel Cantin & Olivier Carpentier