« On ne se rencontre qu’en se heurtant et chacun, portant dans ses mains ses entrailles déchirées, accuse l’autre, qui ramasse les siennes. » La rencontre. Gustave Flaubert, dans sa correspondance, en avait tout compris. Sa violence faite à l’âme, son égoïsme aussi. Et le trouble inséré dans nos digestions quotidiennes mécaniquement réglées. Mais une rencontre se raconte. Ce livre, « Roger, mon amour », c’est avant tout le récit et l’histoire de l’une de ces rencont... >Voir plus