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Critique de florencem
Pour la sortie du quatrième tome, NetGalley et les éditions Dupuis proposent les premiers volumes de la boîte à musique. J'avais déjà repéré la bande dessinée lors de sa sortie, notamment pour l'offrir à l'une de mes petites cousines. J'avais fini par opter pour une autre oeuvre, mais j'avais gardé cette idée en tête, même pour moi d'ailleurs. J'ai eu la chance de recevoir Bienvenue à Pandorient et je suis très contente d'avoir enfin eu la chance de lire l'oeuvre de Carbone et Gije.
L'univers et les dessins m'ont tout de suite fait penser à la bande dessinée de Giovanni di Gregorio et Alessandro Barbucci : Les Soeurs Grémillet, que j'avais adorée. On y retrouve la même douceur, le même émerveillement si cher à notre enfance. Et de quoi charmer les adultes. Sans surprise, c'est la couverture qui a attiré mon oeil. Des couleurs fortes mais en même temps qui n'agressent pas visuellement. Une design parfois dans l'esquisse mais qui ajoute de la douceur à l'environnement. Il y a une ambiance qui est tout de suite donnée grâce à cela, et on sent immédiatement que l'histoire sera onirique, douce mais aussi pleine d'aventure.
Nous découvrons Nola et son papa, le jour du huitième anniversaire de cette dernière. La maman de notre héroïne est décédée il y a peu, et le père et la fille essayent de reprendre leur vie. Mais il n'y a pas de tristesse pesante, ni de pathos. Bien sûr, on sent la solitude, la peine, et le vide laissé par Annah, mais sans oppression. Nola reçoit d'ailleurs un objet ayant appartenu à sa mère en cadeau : une très jolie boîte à musique qui va se révéler être bien plus qu'un bel objet empli de souvenirs. Et voilà notre héroïne plongée dans un univers de fantaisie : Pandorient. L'aventure commence alors.
Le procédé n'est pas original, vous en conviendrez, mais je trouve que l'ensemble de la bande dessinée offre un univers riche, mystérieux, drôle avec une touche de magie dans le sens où Nola se voit donner la chance de créer un lien avec sa mère à travers Pandorient, et de certains de ses habitants. Une façon de garder un pied dans le passé, mais aussi de découvrir de nouvelles choses et d'aller de l'avent. Les jeunes lecteurs ne verront sans doute pas aussi loin, et ce n'est pas grave. Il y a bien assez d'aventures et de curiosités à chaque page pour ne pas s'ennuyer, et s'émerveiller.
Ce premier tome est assez introductif même s'il nous permet de découvrir pas mal de personnages et un peu de ce nouveau monde qu'est Pandorient. Les bases sont posées, nous avons un peu d'action, du danger, de jeunes personnages téméraires et désireux de ne pas rester bien sagement à leur place. C'est frais, adorable, un petit peu effrayant (juste ce qu'il faut) et aussi très poétique dans le dessin, mais aussi à travers certains éléments de l'histoire.
Je suis donc charmée. Je me laisse de plus en plus tenter par les bandes dessinées en ce moment, surtout jeunesse, et j'y prends de plus en plus goût. Hâte de découvrir la suite.
L'univers et les dessins m'ont tout de suite fait penser à la bande dessinée de Giovanni di Gregorio et Alessandro Barbucci : Les Soeurs Grémillet, que j'avais adorée. On y retrouve la même douceur, le même émerveillement si cher à notre enfance. Et de quoi charmer les adultes. Sans surprise, c'est la couverture qui a attiré mon oeil. Des couleurs fortes mais en même temps qui n'agressent pas visuellement. Une design parfois dans l'esquisse mais qui ajoute de la douceur à l'environnement. Il y a une ambiance qui est tout de suite donnée grâce à cela, et on sent immédiatement que l'histoire sera onirique, douce mais aussi pleine d'aventure.
Nous découvrons Nola et son papa, le jour du huitième anniversaire de cette dernière. La maman de notre héroïne est décédée il y a peu, et le père et la fille essayent de reprendre leur vie. Mais il n'y a pas de tristesse pesante, ni de pathos. Bien sûr, on sent la solitude, la peine, et le vide laissé par Annah, mais sans oppression. Nola reçoit d'ailleurs un objet ayant appartenu à sa mère en cadeau : une très jolie boîte à musique qui va se révéler être bien plus qu'un bel objet empli de souvenirs. Et voilà notre héroïne plongée dans un univers de fantaisie : Pandorient. L'aventure commence alors.
Le procédé n'est pas original, vous en conviendrez, mais je trouve que l'ensemble de la bande dessinée offre un univers riche, mystérieux, drôle avec une touche de magie dans le sens où Nola se voit donner la chance de créer un lien avec sa mère à travers Pandorient, et de certains de ses habitants. Une façon de garder un pied dans le passé, mais aussi de découvrir de nouvelles choses et d'aller de l'avent. Les jeunes lecteurs ne verront sans doute pas aussi loin, et ce n'est pas grave. Il y a bien assez d'aventures et de curiosités à chaque page pour ne pas s'ennuyer, et s'émerveiller.
Ce premier tome est assez introductif même s'il nous permet de découvrir pas mal de personnages et un peu de ce nouveau monde qu'est Pandorient. Les bases sont posées, nous avons un peu d'action, du danger, de jeunes personnages téméraires et désireux de ne pas rester bien sagement à leur place. C'est frais, adorable, un petit peu effrayant (juste ce qu'il faut) et aussi très poétique dans le dessin, mais aussi à travers certains éléments de l'histoire.
Je suis donc charmée. Je me laisse de plus en plus tenter par les bandes dessinées en ce moment, surtout jeunesse, et j'y prends de plus en plus goût. Hâte de découvrir la suite.
