Je me demande bien pourquoi ce livre était dans ma liste pense-bête de puis tant d'années.
Qui ou quoi me l'avait fait retenir.
Bon ben voilà.
Commandé et lu.
Giulia, chirurgienne est mère de Mia, 18 ans.
La communication est difficile entre elles, jusqu'au jour où elle découvre le journal intime de sa fille et y répond par des lettres.
Les mots sont enfin mis.
Parviendront-ils à faire se retrouver la mère et la fille ?
Une bonne moitié du livre m'a parue plutôt assommante.
Passant d'un histoire à l'autre, je me perdais dans les époques et les personnages.
Puis le rythme s'est installé .
Mais à vrai dire, je n'ai pas été vraiment séduite par cette histoire, même si la mère m'a touchée.
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Bof bof... Une mère et sa fille qui dialoguent au travers de leurs journaux intimes. Je n'ai pas été emballée.
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La parole du bois n'est pas uniforme, c'est une polyphonie d ardentes sonorités qui ont pour diapason les feuilles agitées par le vent. Alda Merini.
Je ne puis le dire - mais tu l'entends non plus que tu ne peux me le dire. Emily Dickinson.
Je crois que les meilleures propositions se font le dimanche.
Je crois que la guerre finit un dimanche.
Pour la mère le bruit du retour est trois tours de clé, la clenche, la pierre qui s'ouvre et se referme. Et l'odeur du retour c'est un parfum masculin que tu t'es mis dans les cheveux, un parfum que tu changes chaque semaine. P9
Cette envie de tricher avec le temps, de regarder autour de nos que tout s'écroule mais que nous, nous réussirons à rester debout.