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Citations sur Skeleton Creek, tome 2 : Engrenage (17)

"Quant à nous deux, ça nous a beaucoup appris, ça nous a beaucoup appris sur les dangers et les richesses de l'amitié. Ce que j'apprécie le plus, dans l'écriture, c'est qu'elle est toujours à ma disposition quand j'en ai besoin. Au cours de ces dernières semaines, alors que je traversais la douleur, la solitude et la peur, l'écriture a été mon amie de remplacement. J'ai passé plus de temps à écrire ces quinze derniers jours que pendant l'année écoulée. L'écriture me réconfortait. L'écriture restera mon soutien."
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"Un bon minutage est essentiel quand on trompe ses parents. Qu'ils vous surprennent au mauvais moment, et c'est la catastrophe. Les avertissements se succèdent jusqu'à ce que l'inévitable se produise. La vérité finit par éclater. La seule question est : quand ?"
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"Non que les autres scientifiques aient été dépourvus de foi, mais Boyle était autant chrétien qu'homme de science. Qu'il ait su associer les deux fait de lui une grande figure de son époque. Il admirait la création et faisait de l'étude des sciences naturelles une sorte de culte. Selon lui, le seul moyen de découvrir l'œuvre de Dieu était de l'étudier."
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"C'est curieux comme on peut passer devant une chose presque quotidiennement sans y attacher d'importance. Puis, un jour, on le regarde d'un autre œil."
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J'espère que toutes les bibliothécaires ne ressemblent pas à Gladys Morgan. J'aimerais pouvoir entrer un jour dans une bibliothèque sans craindre pour ma vie !
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"Ce n'est pas bon signe quand on cherche à dissimuler le passé. Si les gens détruisent des dossiers, c'est qu'ils craignent qu'on y trouve des choses qu'ils ne veulent pas voir dévoilées..."
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Comment ai-je regagné ma chambre ?
La dernière chose dont je me souviens clairement, c'est que j'étais en haut des escaliers, dans la drague, et que je regardais vers le bas. Après, tout est flou.
Voir mon propre sang séché sur le vieux plancher m'a fait un choc. C'est ça, j'étais sous le choc. Mon cerveau a refusé l'information. Je n'étais plus qu'une sorte de zombie.
Sur la vidéo, j'ai l'air d'un zombie.
Entre mes notes prises sur la drague et les images de la vidéo, je devrais pouvoir remettre les choses en place.
Un journal tout neuf. Une mémoire toute neuve.
Je suis content de repartir sur un carnet blanc, comme si la vie m'autorisait à tout reprendre à zéro. Ça va marcher, c'est sûr.
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Il y a enfin le message barbouillé sur la porte. "Ne m'oblige pas à venir te chercher." Il signifie clairement : "Ne parle ni aux flics, ni à tes parents, ne raconte rien, à personne en ville, et surtout ne remets jamais les pieds ici." Ce message, je m’en souviens très bien. Plus que n’importe quoi d’autre, cette dernière nuit. Pour la plus effroyable des raisons. Je m’en souviens parce que, quand j’ai ouvert les yeux ce matin, j’ai lu ces mêmes mots tracés sur le mur au dessus de mon lit.
C’est très perturbant de découvrir qu’on a fait des choses en dormant. C’est encore plus perturbant de penser qu’on ne les a peut-être pas faites. Cette phrase, quelqu’un d’autre a pu l’écrire sur le mur de ma chambre. Mon père, par exemple. Ou Daryl Bonner.
A moins que le fantôme de Joe Bush ne m’ait suivi jusque chez moi pour s’assurer que j’ai bien compris l’avertissement.
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On dirait que la drague a extirpé le coeur de la ville pour le balancer au fond des bois, ne laissant après son passage que des fantômes errants.
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C'est très perturbant de découvrir qu'on a fait des choses en dormant.
C'est encore plus perturbant de penser qu'on ne les a peut-être pas faites.
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