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C'est une intéressante découverte de lire ce roman de Caleb Carr et nul besoin de lire l'Aliéniste son premier avec le fameux Dr. Kreizler pour apprécier ce très bon livre policier. Il déborde du cadre des polars traditionnels de bien des façons. Il nous transporte dans le New-York d'il y a plus de 100 ans sans jamais tomber dans la lourdeur de certains romans historiques. J'ai eu l'étrange impression de lire un roman écrit à l'aube de l'an 1900 par un écrivain du calibre et du style de Charles Dickens. La sensiblerie en moins.
Après un léger flottement d'intérêt pour quelques chapitres dans la première partie, tout le reste de l'histoire a captivé mon attention et ma curiosité. Si la traque de la meurtrière est bien le moteur de l'action, l'histoire d'amour du narrateur est passionnante aussi. Ce n'est qu'une fois le livre terminé que j'ai réalisé que j'avais fait un très bon voyage dans le temps.
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J'ai lu l'aliéniste il y a longtemps, mais je n'en ai pas beaucoup de souvenirs, à part que j'avais apprécié. Je me suis donc de nouveau plongée dans cette ambiance de New York de la fin du XIXème siècle.
Les enquêtes dans cette ambiance, j'adore. On y voit toutes le fondations des méthodes modernes d'enquêtes, une réflexion basée sur la silence, une prise de conscience de tout un monde de découvertes qui s'ouvre à l'humanité. C'est aussi une époque de travaux sur la psychologie. En effet, c'est bien ce qu'il se passe ici, on cherche à établir le profil psychologique du kidnappeur pour mieux le comprendre et le stopper plus vite. C'est une période riche et qui donne toujours de bonnes histoires pour moi.
C'est encore le cas ici. Un enlèvement, des suppositions, des remises en question, des certitudes qui s'effondrent et une réalité qui ne cesse de nous surprendre au fur et à mesure que les pages se tournent.

Malgré tout, ce fut long. Certains passages n'en finissent pas. Selon moi, il y a au moins 200 pages de trop, même si j'ai globalement aimé.
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En tant que suite officielle de L'aliéniste, il est indispensable d'avoir lu ce roman avant d'entamer la lecture de L'ange des ténèbres. Les raisons tiennent davantage à l'attachement aux personnages et aux révélations intempestives sciemment laissées par l'auteur. Ces dernières sont d'autant plus regrettables qu'elles ne servent en rien à faire progresser l'intrigue.

Dans l'ensemble, les lecteurs qui auront apprécié L'Aliéniste retrouveront ici leurs marques. C'est avec grand plaisir que toute l'équipe se reforme autour de Sara pour tenter de démêler une intrigue qui peut potentiellement entraîner de graves conséquences diplomatiques, sociologiques et juridiques… tout en s'orientant vers dans plusieurs directions inattendues.

Les personnages, sont ici l'un des points forts du roman. La galerie des personnages est impressionnante. Il y a bien sûr les têtes déjà connues, qu'il faudra appeler à collaborer une nouvelle fois ensemble, mais également de nouveaux arrivants. Cette fois, le grand méchant de l'intrigue sera assez rapidement identifié… tout en laissant de la place à d'autres personnalités ne laissant personne indifférent. Des alliés viendront fort heureusement épauler l'équipe et personne n'est éternel !

Sans en révéler plus que nécessaire l'intrigue est ici une belle leçon de féminisme (écrite par un homme), faisant des femmes l'égales des hommes dans… le meurtre ! La démarche est d'autant plus originale qu'elle permet à l'auteur de revenir sur une période au cours de laquelle les autorités étaient aveuglés par leur vision paternaliste qui paradoxalement achève (ironie du sort) de protéger les femmes. Cet imbroglio est ici particulièrement maîtrisé et conduit de main de maître !

L'intrigue est ici très différente de L'aliéniste. le roman est davantage un thriller qu'un polar et la montée en intensité est particulièrement maîtrisée. le récit est composé en plusieurs temps : l'enquête dans les bas-fonds de New-York, la suite dans une villégiature sur le déclin, un procès qui mènera vers un dénouement explosif et, une nouvelle fois, aussi habilement inséré que maîtrisé.

Quelques lacunes et imprécisions pourront laisser les lecteurs les plus exigeants sur leur faim, mais tout cela reste noyé dans un ensemble bien fourni. Certains personnages sont ici clairement réduits à un rôle un peu trop utilitaire.

Aucune des parties ne peut laisser indifférent, suscitant de drôles de réactions chez le lecteur. Il est difficile d'anticiper tout cela et c'est un vrai plaisir de découvrir autant de personnages et de retournement de situations. La paix ne viendra que lorsque la dernière page sera tournée !
Caleb Carr reprend ici plusieurs thématiques déjà évoquées. Nous aurons, à nouveau, l'occasion de côtoyer les bas-fonds et surtout de suivre avec un mélange d'horreur et d'émoi, les aventures d'enfants laissés à eux-mêmes dans un mode qui ne veut pas attendre parler d'eux. Comment ne pas s'attacher à Hickie, Kate et à tous les autres ?

De nombreuses nouveautés seront également de la partie : le récit est ainsi composé par Stevie et non plus par le journaliste Moore. le style est différent, plaisant et l'auteur joue parfois avec l'omniscience pour mieux agacer avec bonhommie le lecteur. Il est censé avoir été composé plus de vingt ans après les faits à la suite d'un pari. La manière dont l'enquête se déroule est très différente de la précédente !

En somme voici un très bon thriller, une bonne lecture de détente (à condition d'apprécier les histoires sombres) qui ravira les adeptes de l'Aliéniste et de polar et de thriller !
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New York, juin 1897.
Compte tenu du fait que je n'ai pas lu " l'Aliéniste " ( grand prix de littérature policière de 1996 ) : j'ai mis une cinquantaine de pages à faire connaissance avec l'équipe du psychiatre Laszlo Kreizler et de ses fidèles compagnons !
En s'efforçant d'oublier l'affaire John Beecham, le chroniqueur du N.Y Times : Moore; Sara Howard : détective privée au service des femmes; les inspecteurs et frères Issacson avant-gardistes en matières scientifiques; le géant Cyrus et Stevie Taggert : le narrateur de l'Ange des Ténèbres vont rechercher Ana Linares qui a été kidnappée ! C'est la fille d'un diplomate espagnol et, les recherches doivent rester secrètes.
En effet, c'est une affaire délicate et politique qui est confiée à Sara car l'Espagne et les U.S sont sur le point d'entrer en guerre pour l'annexion de Cuba.
L'équipe de l'aliéniste va courir les bas-fonds de New-York, les prostituées, les caïds en calèches, en fiacres, en tramway ...les quartiers chics et, ils vont se réunir au 808, Broadway pour faire le point sur leurs recherches respectives mais sur leur route il y a : Libby Hatch qu'ils soupçonnent de nombreux crimes et en particulier d'avoir tué, entre autres ses 2 fils et d'avoir martyrisé sa fille Clara.
Avec le juriste Rupert Picton, ils vont tenter de rassembler des documents pour constituer un dossier dans le but de la faire inculper, de son coté : l'aliéniste tente en priorité de comprendre les motivations malsaines de cette femme au passé criminel. Quand elle sera enfin capturée, emprisonnée : Darrow, son avocat va manipuler le jury pour la disculper ! Elle va encore leur échapper au point que Moore demandera le renfort de son ami Roosevelt : secrétaire d'état à la marine pour la récupérer car elle est protégée par une équipe de malfaiteurs redoutables !
Un thriller de 620 pages avec des longueurs, de nombreux personnages et l'approche moderne de la théorie des preuves pour mener à bien une inculpation ainsi que l'analyse psychologique d'une criminelle hors norme : une " serial killer " du XIX ° siècle !
L.C thématique de Mai 2023 : un roman étranger non francophone.
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Voici donc le second (et dernier, je le crains) volet des aventures de ce groupe improbable formé autour du Docteur Lazlo Kreizler dans L'Aliéniste, auquel il est fait référence à plusieurs moments dans cet opus puisqu'il s'est passé à peine une année entre les deux affaires.

On y retrouve Sara Howard, qui a quitté la police de New-York pour fonder son agence de détectives, le journaliste John Moore, les brillants inspecteurs Lucius et Marcus Isaacson, le géant musicien Cyrus Montrose, ainsi que le gamin attachant Steve Taggert, pupille du docteur Kreizler et accessoirement son cocher.

Stevie est cette fois-ci le narrateur, à la suite du pari qu'il fait en 1919 avec Mr Moore. Il revient donc aux évènements qui les ont confrontés à Mrs Elspeth Hunter en 1897, lorsque Miss Howard est recrutée par la Señora Linares pour retrouver sa petite fille disparue.

L'enquête démarre sur fond de dissensions entre l'Espagne et les Etats Unis ; en effet, l'enfant est la fille d'un diplomate espagnol en poste à New York, et ce qui se révèle être un enlèvement peut être le détonateur qui plongera les deux pays dans un conflit ouvert (dans les faits, la Guerre hispano-américaine éclatera en avril 1898).

Mais, très rapidement, l'équipe qui s'est reformée à l'appel de Miss Howard se retrouve face au ravisseur de l'enfant, une femme dont le souvenir hantera chacun des enquêteurs-détectives : Mrs Elspeth Hunter, une incarnation du Mal comme on en fait peu.
Tous comprennent rapidement que l'aspect politique n'est pas à négliger, pour éviter de plus fortes tensions, mais qu'il n'est pas le mobile.

On retrouve dans la trame de ce livre la quête des motifs du criminel dans son passé, qui participait déjà de la démarche de L'Aliéniste. Mais le travail d'investigation reconstituant le parcours de cette femme prend beaucoup plus de place dans L'Ange des Ténèbres, parce que nos héros sont totalement impuissants face à cet être, à sa capacité d'abominations et à ceux qui la protègent.
Il est donc primordial pour le Docteur Kreizler et ses compagnons de la comprendre afin de tenter d'anticiper ses réactions et l'empêcher de nuire.

J'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir les personnages de L'Aliéniste. Caleb Carr a un talent certain pour les situer dans le groupe, mettre en avant les liens et les épreuves qui les unissent, l'attention qu'ils portent les uns aux autres. Ils se complètent formidablement pour mener les enquêtes, chacun ayant ses compétences spécifiques.

Le New York fin de (XIXe) siècle est toujours aussi bien décrit. A cela s'ajoutent toute cette découverte de l'état de New York en suivant l'Hudson pour remonter dans le passé de Mrs Elspeth Hunter, ces paysages qui enthousiasment Stevie, ces villes-champignons sans grâce qui le désolent au premier abord.

J'ai vraiment apprécié la façon dont les membres du groupe doivent agir pour contrer la malfaisance de cette femme, qui les amène forcément à réviser de que tous sauf Sara pensent du crime féminin, impossible même à envisager pour certains d'entre eux puisque La Femme en est incapable voyons... ou alors c'est qu'elle est folle. Les réticences des uns et des autres, ou les limites à leur compréhension qui seront balayées par les faits au fil du récit, sont bien amenées, bien situées dans la société de l'époque.
Cela reste un vrai sujet de réflexion aujourd'hui, d'ailleurs, et bien des remarques de Sara et du Docteur Kreizler peuvent être reprises telles quelles.

Le suspens de cette enquête avec ses fausses pistes, ses culs de sac, ses révélations, ses rebondissements, m'a tenue en haleine jusqu'au bout. La minutie qu'y apporte Caleb Carr explique les 720 pages du livre, mais ça déroule sans effort, la lecture en est aisée et les héros attachants.

Il n'y aura manifestement pas de troisième tome...
Je devrai me contenter de ces deux-là.
Soupir...
Dommage, je serais bien retournée au 808 Broadway pour de nouvelles affaires, et j'aurais bien passé des soirées à écouter Sara, Lazlo, John, Cyrus, Lucius, Stevie, Marcus confronter leurs opinions et parler de leurs trouvailles pour faire progresser l'enquête, confortablement installée avec eux dans le salon du Docteur...
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Après un beau coup de coeur pour "L'aliéniste", je me suis plongée dans ce titre avec un regard pétillant, curieuse et impatiente. Et ce sera un second beau coup de coeur pour "L'ange des ténèbres" qui avec plus de 700 pages m'a happée. Un thriller psychologique, historique, mené d'une main de maître.

"Ce n'est pas d'être allé dans la maison des ténèbres qui compte, mais d'en être sorti." - Théodore Roosevelt.

On repart avec des personnages connus (de L'aliéniste), une intrigue démoniaque, des détails croustillants, des analyses en conjonctures très intéressantes et hyper documentées. Un environnement ressenti comme si l'on y était, gris, mystérieux, triste, brumeux. Les enquêtes sur ces années-là m'ont toujours fascinées (lorsque c'est bien écrit comme ici).

New-York en 1897, une petite fille a disparu. L'équipe qui entoure Lazlo Kreizler se forme à nouveau. Suspens, rebondissements, chemin de traverses, voyages, jusqu'à la délivrance et quelle fin! Et toujours les femmes mises en avant…

L'écriture est captivante. Les débuts d'enquêtes portées sur le médico-légal apparaissent, c'est une mine de découvertes. Les protagonistes ont tous leurs rôles bien déterminés. Les conditions de la femme dans nos sociétés, la politique, d'autres thèmes abordés aussi. J'ai adoré cette lecture et je recommande de lire "L'aliéniste" et celui-ci en suivant, pour les amateurs de thrillers policiers historiques et psychologiques.

Lien : https://passionlectureannick..
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Je fis la connaissance du Dr Kreizler en lisant l'aliéniste.
Ce dernier m'avait plu et donc, tout naturellement, j'ai lu la suite, l'ange des ténèbres.
C'était il y a déjà 8 ans ( le temps passe si vite! :).
Même si je savais que ce livre m'avait marquée, j'étais incapable d'écrire la critique (et tenant à l'écrire!), ne me rappelant plus l'intrigue principale.
Raison pour laquelle, ce fût ma lecture de l'été.

Nous pouvons trouver des défauts à cette histoire:
-l'ambiance gentillette au sein de l'équipe du docteur.
-le personnage même du docteur qui semble tout deviner si facilement (un Sherlock psychologue. L'auteur a écrit d'ailleurs une nouvelle histoire pour le détective, le secrétaire italien)
-Des moments un peu long, notamment, pour moi, certaines scènes du jugement.

Mais malgré cela, L'aliéniste et l'ange des ténèbres sont des livres qui m'ont marquée.
Pour plusieurs raisons: mon goût pour les thrillers, pour la psychologie mais aussi mon coup de coeur pour les personnages.
Le Dr Kreizler d'abord, personnage, certes presque caricatural mais charismatique et même touchant et son équipe composé de personnalités différentes.

Concernant l'ange des ténèbres, j'ai apprécié tout particulièrement le narrateur (différent de l'aliéniste où c'était Mr Moore), Stevie.
C'est un enfant de 13 ans (mais narrant cette histoire à l'âge adulte), ancien voyou qui fut mis au service du docteur par ce dernier.
Il nous explique ici l'affrontement entre la fameuse équipe et Libbie Hatch.

Le meurtrier est donc une femme. Je ne dévoile pas la fin puisque nous le savons dès le début! :)
Chose rare que de voir une femme à l'oeuvre.
Ceci permettant à l'auteur de nous démontrer les problématiques que peut engendrer un fait comme celui-ci à la fin du XIXe siècles.

Un livre donc que je conseille aux amateurs des ambiances XIXe et aux thrillers très psychologiques.
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Il s'agit de la suite de L'Aliéniste, roman qui avait remporté plusieurs prix.
Un aliéniste (comprenez un psychologue), un journaliste, 2 policiers, une féministe et un jeune garçon issu des bas-fonds de New York joignent leurs efforts pour résoudre une enquête en employant des méthodes nouvelles.
En effet, à la fin du 19ème siècle, la psychologie, l'analyse balistique et le profilage n'en sont qu'à leurs balbutiements.
Dans cet opus, une enfant de quelques mois a été enlevée en plein Central Park.
D'analyses en expertises, de réflexions en synthèses, le groupe d'amis va découvrir l'identité du kidnappeur et mettre à jour des preuves scientifiques qui permettront d'ouvrir un procès.
Beaucoup (trop) de descriptions du New-York de l'époque qui par leur superficialité m'ont donné davantage un sentiment de bavardage que de découverte historique.
Le récit se traîne et mises à part les scènes de prétoire, je me suis plutôt ennuyée.
Au bout de 730 pages, il était temps que ça s'arrête.
Je ne sais pas s'il existe un tome 3 mais ce sera sans moi.
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On retrouve dans L'ange des ténèbres la même équipe de détectives improvisés que dans l'Aliéniste : M. Moore, un journaliste bon-vivant féru de jeux et de bonne chère; les frères Issacson, policiers juifs de la ville de New York aux méthodes scientifiques très décriées en ce début de XXe siècle; Miss Howard, détective privée féministe à la gachette facile; le docteur Kreizler, aliéniste humaniste; Cyrus, grand noir silencieux et paisible et enfin le jeune Stevie, ancien enfant des rues grand amateur de cigarettes recueilli par le docteur Kreizler.

Chacun à leur manière, ils vont participer à la recherche des indices qui leur sont nécessaire pour mettre en accusation Libby Hatch, femme difficile à cerner et aux personnalités multiples, coupable de nombreux crimes, comme nous le découvrirons au fil de l'enquête.

L'écriture est très belle, fine, fouillée, construite. Les termes sont choisis avec soin et l'on sent derrière cet ouvrage une recherche poussée de l'auteur sur l'histoire, l'architecture, les connaissances en criminologie et en psychologie de l'époque, le phénomène des enfants des rues, les mouvements féministes et la place de la femme. le travail de la mise en contexte est très impressionnant.

Le personnage de Libby Hatch est assez fascinant et on se laisse entraîner dans cette enquête improbable pleine d'embûches et de multiples découvertes sur la personnalité ambiguë de cette femme.

J'avoue cependant que j'ai fini par trouver le roman un peu long, surtout dans le dernier tiers. J'ai survolé le récit du procès, avec ses plaidoiries interminables. La fin, grandiloquente et pleine d'action – qui tranche avec le reste du livre tout en réflexions et en discussions entre les personnage – m'a laissée froide. J'aurai imaginé une autre fin pour un tel personnage, plus en mystère et en noirceur.
Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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J'avais lu son 1er roman « L'alieniste », il y'a plusieurs années et il m'avait enthousiasmée (j'aurais dû lui donner 5 étoiles).
Dans celui-ci on retrouve la même équipe menée par Laszlo Kriestler
(L'aliéniste).Une sombre enquête à l'aube du XXe siècle à News York.
La même approche psychologique et contextuelle pour confondre les suspects, cette fois une suspecte hors norme dans l'univers du crime.
Je mets une étoile en moins car si l'histoire est passionnante, l'introduction est trop longue, les descriptions et disgressions en trop grand nombres.
Si vous aimez les thrillers rapides, nerveux avec poursuites et coups de feu, ce n'est pas pour vous. Mais si comme moi vous aimez les enquêtes fouillées, les déductions motivées et dans un cadre historique, ce thriller vous enchantera.
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