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EAN : 9782213626161
1032 pages
Fayard (19/10/2005)
5/5   1 notes
Résumé :

1894-1924 : de l'avènement de Nicolas II à la mort de Lénine, la Russie est le pays de toutes les promesses, tous les échecs, de toutes les catastrophes - et s'ensuivront encore près de soixante-dix ans de malheurs.

L'empire du tsar était pourtant riche de potentialités humaines, de ressources, de ferments de réconciliation du génie russe avec la modernité occidentale. Pour de multiples raisons qui ne tiennent pas toutes, bien loin de là, à s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Ce fort volume de l'Historienne et Académicienne Hélène Carrère d'Encausse publié en 2005, regroupe en fait :
– Son livre sur « Nicolas II, la transition interrompue » publié en 1996 ;
– Son ouvrage sur Lénine publié en 1998 ;
– Ainsi qu'un texte sur l' »Unité prolétarienne et diversité Nationale » extrait de la Revue Française de science politique, d'avril 1971.
Ici, mon commentaire concerne uniquement l'ouvrage portant sur Nicolas II. En effet, n'ayant pas assez de place, je laisse le soin à l'éventuel lecteur téméraire, d'aller consulter mon commentaire concernant l'ouvrage, sur : Lénine.

La dynastie Autocratique des Romanov commença avec le Tsar Michel Fédorovitch en 1613, et dura 300 ans, pour prendre fin durant la Première Guerre Mondiale, le 2 mars 1917, avec le Tsar Nicolas II.

Pendant cette seconde partie du 19ème siècle, la Russie connaissait un retard, voire une « arriération » par rapport à l'ensemble des pays d'Europe Occidentale. Alexandre II (grand-père de Nicolas II) prit conscience qu'il était grand temps pour la Russie, de quitter le Féodalisme, et d'orienter la pays vers la voie de la Modernité et de la Démocratisation. Deux objectifs difficilement atteignables lorsque le poids de la « tradition » dynastique contraint les Tsars successifs à maintenir coûte que coûte un régime : Autocratique (Monarchie Absolue). Et malheureusement, comme souvent dans L Histoire (à l'instar de la Révolution Française), le Monarque, incapable : par confort, par entêtement irrationnel (car persuadé de détenir le Pouvoir Absolu d'un « Dieu Divin »), par manque de volonté et/ou de courage politiques… de se détacher de son « statut » autoritaire, finit souvent par se voir destituer par…, le Peuple lui-même, lors d'une Révolution Populaire !

Alexandre II, lança des réformes pour Moderniser et insuffler un peu de Liberté en Russie.
Par exemple, en 1857, Alexandre II développa le réseau ferroviaire. Pour cela, il créa la Société des chemins de fer Russes. L'essor des chemins de fer permit de faciliter le développement de l'Industrie, comme la métallurgie. de même, le 19 février 1861, il abolit le Servage ; puis en 1864, il réforma le système Judiciaire. En 1861, il nomma Dimitri Milioutine, Ministre de la Guerre ; et en 1874, il le missionna pour réformer l'Armée en réduisant la durée du service militaire et en remplaçant un système arbitraire par une Conscription plus juste et encadrée.
De plus, en 1866, il nomma le comte Dimitri Tolstoï (à ne pas confondre avec le grand écrivain Russe, Léon Tolstoï) Ministre de l'Instruction Publique, et le chargea donc de réformer l'Enseignement primaire et secondaire. Car Tolstoï pensait : qu' »éduquer la société était un moyen de la stabiliser ».
Mais le Terrorisme devenant à cette époque, un fléau de masse, Alexandre II fut victime d'un attentat et mourut déchiqueté sous les yeux de son fils, Alexandre III. Ce dernier en fut traumatisé toute sa vie.
En effet, en cette fin de 19ème siècle, la société Russe était en plein bouleversement, dans la Pensée et l'Idéologie. Certains « Révolutionnaires » prônaient le renversement du Tsarisme par la violence Terroriste. Alors que la littérature était riche de ses écrivains, tels Dostoïevski et Léon Tolstoï, en parallèle, apparaissaient les « nihilistes » qui, selon Hélène Carrère d'Encausse (page 37) :

« (…) rejettent les valeurs spirituelles et la culture au nom de l'émancipation sans délais du peuple travailleur. »

Le porte-parole de ces « nihilistes » était principalement Tchernychevski, qui développa dans son roman « Que faire ? » (titre repris ultérieurement par Lénine pour son propre livre, en 1902), le profil type, selon lui, du « Révolutionnaire Professionnel » (page 37) :

« (…) Son héros est déjà l'ancêtre de Lénine, et la fascination qu'exercera ce roman sur tous les marxistes – Marx lui-même a souhaité le lire dans sa version russe – montre bien qu'il fut le précurseur de ceux qui triompheront en 1917. Pour autant, Tchernychevski ne se contente pas de tracer le portrait idéal du pur héros révolutionnaire, ascétique, impitoyable à lui-même et aux autres ; il délivre un message politique et social. »

Au rang des Révolutionnaires Marxistes, il faut également citer Netchaïev et Tkatchev. Ils ont inspiré Lénine, et leur dogme de pseudo-intellectuels relève d'un profond mépris et d'une très grande condescendance, envers le Peuple Russe (page 39) :

« A l'origine de leur projet, un constat : les paysans, espoir des populistes, ne sont, découvrent-ils, ni conscients ni porteurs d'une volonté d'action. Ils sont incapables de jouer un rôle dans l'histoire russe. C'est donc à l'intelligentsia, aux mouvements qu'elle saura organiser, de se substituer à eux et de braver le pouvoir. Ainsi se dessine l'alliance des « Pougatchev des universités » et d'une stratégie jacobine dont Netchaïev constitue un remarquable représentant.
Trois pensées se dessinent alors : celle de Netchaïev, organisateur de cellules révolutionnaires destinées à fomenter, par le terreur et la conspiration, un soulèvement dont la finalité est la destruction du système existant en vue d'un avenir indéterminé ; celle de Tkatchev, vrai précurseur de Lénine, qui rêve d'instaurer par la force un nouvel ordre politique au bénéfice de la minorité révolutionnaire ; enfin, celle des marxistes russes qui, émigrés en France ou en Suisse, tablent sur le « prolétaire » pour organiser un monde neuf. »

Pourtant c'est bien le Peuple Russe, et non tous les : Lénine, Trotski, Zinoviev, Kamenev, etc., étant à l'étranger, qui mènera SEUL, non seulement la manifestation du 9 janvier 1905 (le « Dimanche Rouge ») ; mais plus encore, SA Révolution Populaire de février 1917. Presque tous les principaux hauts dirigeants Bolcheviques étaient absents et incapables de prévoir la profonde détermination du Peuple Russe et son immense capacité à se mobiliser, lorsqu'il estime que son existence est en danger.

Alexandre III, traumatisé par la mort violente de son père lors de l'attentat, ainsi que par les innombrables actes Terroristes commis en Russie (y compris contre les Ministres d'État), se renferma alors dans la certitude que, seul un régime Autocratique pouvait permettre de faire régner la sécurité de l'État et l'ordre public dans la pays.
Par conséquent, il mit en place des mesures répressives provisoires, comme : les perquisitions, les arrestations et le contrôle de la presse. Bref, toute la société fut mise sous surveillance à travers le Code Criminel de 1885.
Alors que son père s'était lancé dans l'immense « chantier » de modernisation du pays, Alexandre III revint sur de nombreuses réformes, comme le fait de confier le plus possible, l'Enseignement primaire à l'Église ; bref, d'appliquer un étroit carcan au système de l'Enseignement.
En 1890, il renforça également le rôle de la noblesse en lui octroyant une place à part et privilégiée, et en augmentant le nombre de ses représentants. Alors que la loi de 1864 de son père (Alexandre II) sur les zemstvos (Assemblées Provinciales) prévoyait une plus grande égalité sociale, en faisant coexister : les propriétaires fonciers individuels, nobles ou paysans, dans un collège unique
Pire encore, en 1881, Alexandre III laissa se produire des pogromes et émeutes antijuives, terrifiant ainsi les Juifs de l'Empire.
Bref, le Pouvoir Tsariste se durcissait considérablement sous le règne d'Alexandre III.
Malgré tout, il restait conscient que l'avenir de la Russie devait impérativement passer par sa Modernisation, condition sine qua non au progrès social.
Entre 1881 et 1887, le Ministre des Finances, Nicolas Bunge, mit en place des mesures financières et sociales afin d'alléger les importantes charges financières pesant sur la paysannerie, ainsi que les terribles conditions de travail du monde ouvrier.

Malgré l'abolition du Servage en 1861, la paysannerie ayant reçu des parcelles trop petites pour être suffisamment productives et ayant du mal à financer leur rachat…, le tout combiné à une démographie en constante augmentation, vivait toujours dans une très grande précarité. La sécheresse de 1891, fit basculer cette instabilité du monde paysan dans la dernière grande famine et épidémie du 19ème siècle, en Russie.

Alexandre III décéda le 20 octobre 1894.

Nicolas II (fils d'Alexandre III) est né le 6 mai 1868. Étant jeune, il était faible de caractère, il vivait dans l'insouciance, voire dans la superficialité, et comme Louis XVI (en France), il ne se sentait absolument pas préparé à l'aventure du Pouvoir. Mais tous deux, une fois au Pouvoir s'appliquèrent dans leur incommensurable mission.
Nicolas II monta donc sur le trône, en 1894.
Son règne commença mal lors de son mariage avec la Princesse Allemande Alix de Hesse-Darmstadt, qui au préalable avait dû se convertir à la religion Orthodoxe Russe, prenant désormais le nom d'Alexandra Fedorovna. En effet, le jour de leur mariage, à cause d'un service d'ordre quasi inexistant, la foule immense tomba dans le vide et dans les fossés et, dans la panique générale, les spectateurs s'écrasèrent les uns les autres. Il y eut de nombreux morts et blessés.
Comme on compare souvent la politique de Nicolas II à celle de Louis XVI, on compare également le caractère de l'Impératrice Russe à celui de la Reine Française Marie-Antoinette d'Autriche, épouse de Louis XVI. le caractère des deux Reines était différent, mais toutes deux possédaient une véritable capacité d'influence politique, sur les époux.
Nous verrons que la destinée tragique de ces deux couples Royaux, comporte de nombreux points de ressemblance…

Nicolas II, dès le début de son règne démontra qu'il restait indéfectiblement attaché à la tradition dynastique des Romanov, et plus particulièrement au « modèle » que fut son père. Il réaffirma donc son profond attachement au Pouvoir Autocratique « sacré et intemporel ».
Il se disait attaché à la paysannerie, mais vivant dans sa « tour d'ivoire », il ne comprenait absolument pas qu'en réalité, elle était encore plus exsangue depuis la grande famine de 1891, et que la révolte grondait dans les campagnes.
Dans la valse des Ministres (de même que Louis XVI avec les siens), à cause du caractère indécis de Nicolas II ou suite à leur mort prématurée lors des nombreux attentats terroristes, Witte s'avéra souvent le « sauveur » politique de Nicolas II.
Witte en tant que Ministre des Finances s'attela donc à reprendre la politique de Modernisation entamée par le grand-père de Nicolas II (Alexandre II) et freinée par son père (Alexandre III). Witte sut faire venir des capitaux étrangers pour développer l'Industrie et reprendre en main la politique de grands travaux, comme ceux concernant le développement du réseau ferré et plus particulièrement celui du Transsibérien. En 1900, près de trois cents sociétés étrangères s'étaient installées en Russie, surtout Belges et Françaises.
La vodka étant largement consommée en Russie, Witte supprima les taxes sur les spiritueux et décréta l'alcool : monopole d'État. Il voulait à la fois : réduire le fléau de l'alcoolisme et dans le même temps, renflouer les caisses de l'État. En ce qui concerne l'alcoolisme, la tendance fut plutôt à l'augmentation, mais l'objectif consistant à faire rentrer l'argent dans le Trésor, fut atteint.
Depuis 1895, Nicolas II semblait plus préoccupé par les problèmes de la noblesse terrienne, que par ceux des paysans. Pourtant, Witte rapportait à l'Empereur que « quoique personnellement libre, la classe paysanne reste esclave de l'arbitraire, de l'illégalité et de l'ignorance ». Witte lui réclamait donc sans cesse une « conférence paysanne ». D'autant plus qu'en parallèle, les ouvriers manifestaient toujours plus leur mécontentement concernant leurs conditions de travail. Venait encore se greffer à toutes ces revendications légitimes, le regain du Terrorisme ; Terrorisme qui confortait Nicolas II dans son entêtement incurable pour l'Autocratie.

Le 15 août 1903, Nicolas II commit la grave erreur de congédier Witte, sous la mauvaise influence du conservateur aux méthodes répressives : Viatcheslav Konstantinovitch Plehve. le Tsar finit par se mettre presque tout le monde à dos : les paysans, les ouvriers, les nationalités (nombreuses en Russie) ainsi que l'élite libérale.
La politique de répression de Plehve, en tant que Ministre de l'Intérieur, attisa encore davantage le Terrorisme dont il finit par être lui-même, victime, en étant déchiqueté par une bombe, le 15 juillet 1904.

Nicolas II était faible de personnalité, mais en règle générale faisait preuve de prudence, il n'était pas naïf, et était relativement perspicace et méfiant. En revanche, il s'enfermait parfois dans des choix mal ou pas du tout analysés. Mais à ce niveau de responsabilité, nous le verrons, ces graves erreurs pouvaient engendrer de lourdes conséquences…
En effet, en 1904, suite aux tensions avec le Japon, Nicolas II qui méprisait les Japonais, était persuadé de la Victoire de la Russie. Les Japonais attaquèrent la flotte Russe dans la rade de Port-Arthur, le 9 février 1904.
Mais la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne effrayées par la débâcle des troupes Russes et des évènements Révolutionnaires en Russie, appelèrent à la paix. le Président Américain Théodore Roosevelt entra en jeu et organisa une conférence de paix, en août 1905 à Portsmouth, dans le New Hampshire. Nicolas II rappela en urgence le talentueux, Witte, pour mener à bien les négociations de paix. Cette dernière fut signée le 9 septembre 1905.

Dans cette Russie du début du 20ème siècle dans laquelle explosait (dans les deux sens du terme) le Terrorisme Révolutionnaire Marxiste, émergea alors un inconnu, Lénine, avec son fameux livre « Que faire ? », en 1902. Il y exposait sa « pensée » consistant à former un Parti composé de « Révolutionnaires Professionnels » avec comme principe la soi-disant « inconscience » de la « classe ouvrière » sur sa destinée, mais dont le véritable objectif, pour Lénine, était la conquête du Pouvoir (page 128) :

« Il y expose son inquiétude face aux tendances corporatistes d'une classe ouvrière qui n'a pas conscience de sa nature propre ni de sa mission ; la nécessité de l'organisation : le Parti, porteur de la conscience de classe ; enfin, l'objectif précis : la conquête du pouvoir. Depuis Tkatchev, nul n'a expliqué aussi précisément que le pouvoir – qu'il faut à cette fin conquérir – est le seul et unique moyen de traduire des idées en actes. »

En 1903, le Parti Ouvrier Social-Démocrate de Russie (P.O.S.D.R.) se scinda en deux fractions, suite à des désaccords politiques entre Lénine et Martov. D'où la naissance du Parti Bolchevique (signifiant majoritaire et se nommant Communiste à partir de mars 1918) de Lénine, et le Parti Menchevique de Martov (signifiant minoritaire). Jusqu'à l'été 1917, Trotski, lui, restera plus proche des Mencheviques que des Bolcheviques.

En 1905, les tensions dans la société Russe étaient exacerbées, et le 20 décembre, une grève se déclencha aux usines Poutilov à Pétersbourg (future Capitale, Petrograd) suite aux licenciements de quatre ouvriers. Suite aux grèves et en solidarité avec les ouvriers licenciés, survint alors l'idée du grève générale. Il fut même rédigé une supplique, dans le but de la remettre à Nicolas II, le dimanche 9 janvier. Mais le 8 janvier malgré les troubles dans la Capitale, l'Empereur décida de partir dans sa résidence de Tsarskoïe Selo.
Le dimanche 9 janvier une immense manifestation pacifique et désarmée avança en direction du Palais Impérial pour remettre sa supplique au Tsar.
Nicolas II n'ayant pas laissé de consignes particulières avant son départ, les troupes alors affolées tirèrent sur la foule. Dans leur fuite les manifestants furent écrasés au sol ou contre les grilles. le bilan fut de plusieurs centaines de morts et de blessés.
La rupture entre le Peuple et le Tsar fut définitive. Pour le Peuple, il avait laissé massacré ses sujets ; et Nicolas II quant à lui se renferma sur son régime Autocratique.
Cette journée sanglante du 9 janvier 1905, sera désormais nommée : le « Dimanche Rouge ».
Le 17 octobre 1905, afin de mettre un terme à la Révolution Populaire naissante, Nicolas II finit par accepter de signer le « manifeste » proposé par Witte, comprenant enfin qu'il ne lui restait plus que deux choix : une répression pouvant déboucher sur une impitoyable Dictature, ou accepter les conditions de ce « manifeste » démocratisant le régime et qui concernait (page 157) :

« (…) libertés individuelles et publiques totalement accordées ; progrès du suffrage universel ; enfin, « établir comme règle inviolable que nulle loi ne pourra entrer en vigueur sans l'approbation de la Douma, et que les élus du peuple auront la possibilité d'être effectivement associés au contrôle de la légalité des actes des autorités nommées par Nous ». »

En 1906, Witte fut à nouveau remercié et remplacé par Stolypine en tant que chef du Gouvernement.
Entre 1906 et 1907, Stolypine lança une répression implacable contre le Terrorisme. D'ailleurs, le 12 août 1906, sa propre résidence fit l'objet d'un attentat causant la mort de trente personnes et blessant grièvement deux de ses enfants. Lui-même en réchappa de justesse.
Il instaura alors des cours martiales ambulantes procédant à l'instruction immédiate des actes révolutionnaires ou terroristes. Cette justice expéditive prononça plusieurs milliers de condamnations à mort ou aux travaux forcés.

P.S. : Vous pouvez consulter ce commentaire, dans son intégralité, sur mon blog :
Lien : https://communismetotalitari..
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