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EAN : 9782843377020
197 pages
Anne Carrière (16/10/2014)
4.1/5   321 notes
Résumé :
Fatimah vit au Kurdistan irakien avec son mari, leurs enfants et la famille de son mari. Un jour, elle est emmenée à l'hôpital de Souleymanyeh, très grièvement brûlée. Un accident domestique, apparemment... " Apparemment " car ces accidents dont sont victimes de nombreuses femmes, en général très jeunes, masquent souvent des crimes d'honneur. Tandis que Fatimah va lutter pour vivre malgré ses blessures, pour ses enfants et le bébé qu'elle porte et qu'elle appelle le... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (85) Voir plus Ajouter une critique
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C'est son premier roman, moi je l'ai lu après son deuxième, « Une femme entre deux mondes », qui m'avait bouleversée.

Ici, la condition de la femme dans les pays où l'honneur de la famille a le goût du sang, et dépend surtout des femmes, bizarrement. Les fautives ! Même la simple suspicion d'adultère mène à l'enfer. Pas la peine de consommer, le simple fait de regarder un autre homme que son mari les rend plus que coupables. Pire encore, quand elles ont consommé de force, violées par l' inceste ou l'étranger, là encore elles sont coupables. Inconcevable, n'est-ce pas ? Mais pourtant, c'est la triste vérité, punies d'avoir été violées. Même la simple rumeur peut les mener au bûcher. Un jet de kérosène, une allumette, et le voile s'enflamme, leur visage fond sous la rage vengeresse de celui qui punit d'un crime non commis. Brulées vives, hôpital de l'horreur, elles sont soignées à l'abri, mais où vont-elles à leur sortie, quand elles n'en meurent pas ? Retour à l'envoyeur ?

La brûlure n'est qu'un exemple des nombreux moyens utilisés pour soi-disant laver l'honneur de la famille :
« Différents moyens sont utilisés pour assassiner ces jeunes filles, elles sont le plus souvent empoisonnées, égorgées, fusillées, étranglées, poignardées ou encore arrosées d'essences et brulées vives. le criminel, son forfait accompli, est accueilli comme un héros par sa famille, il se rend souvent lui-même à la police, qui encourage généralement son geste » Page 317.
( Et la lapidation).

Le PIRE :
« Malgré le fait que les victimes soient souvent innocentes de ce dont on les accuse (selon l'Institut jordanien de médecine légale, 80 % des jeunes filles tuées ont été retrouvées vierges au cours des autopsies), le nombre des assassinats au Moyen-Orient, au Pakistan et au Brésil est en augmentation.

Alors, ce livre est un roman, certes, mais il ne fait que dépeindre une des histoires plausibles de toutes ces femmes et rend compte de la réalité. de plus, Marina CARRÈRE D'ENCAUSSE pose également la question essentielle du lien de la mère à l'enfant issu d'un viol.

Comment aimer cet enfant qui n'est que le fruit de l'horreur ? Et pourtant ? Les mères ont des ressources insoupçonnées et une force incroyable. Pour un enfant, une femme se bat plus qu'une lionne. C'est la vie qui prend le dessus. Mais les marques des brûlures sur le visage et sur le corps resteront à vie. Ces femmes sont marquées au fer rouge, et une fois de plus, je vois rouge.

“Selon l'ONU, au moins 5000 femmes sont tuées chaque année au nom de l'honneur.
Une pratique d'origine babylonienne
Il s'agit d'une tradition particulièrement répandue dans les sociétés patriarcales du Moyen-Orient, au Pakistan et en Turquie”. Page 315.
Ce livre date de 2014, je le rappelle.

Pour aller plus loin, cliquez sur le lien ci-dessous, la fondation SURGIR lutte contre les violences faites aux femmes partout dans le monde.
Lien : http://www.surgir.ch/
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Superbe ce roman, mais terrible, Dans un village du Kurdistan iraquien, Fatimah, jeune mère de famille vit avec sa belle-famille qui ne l'a pas accueillie à bras ouverts. Un jour, Fatimah est brûlée atrocement dans la cuisine en préparant le biberon de son enfant, on utilise du kérosène dans les cuisines là-bas. Accident dit-on, mais.... Fatimah passe des semaines à l'hôpital dans une grande solitude et souffrant atrocement, sa belle- famille ne voulant pas que ses enfants lui rendent visite, son mari non plus d'ailleurs ne la voit pas, il se contente de prendre des nouvelles auprès de son médecin. Petit à petit, Fatimah qui a une extraordinaire force mentale, reprend le dessus, pour le bébé qu'elle porte et qu'elle ne voulait pas au départ, pour un motif dont je ne vous dévoile pas la raison. Son mari ne la savait pas enceinte et le découvre par hasard. On découvre toute l'horreur de ce qu'a subi Fatimah quand elle décide de parler à son amie Malika et ensuite à son mari. L'histoire se termine bien, c'est le seul bémol dans ce roman, c'est trop beau pour être vrai. Marina Carrère d'Encausse est médecin et journaliste, elle signe ici son premier roman après avoir écrit pour des journaux médicaux. Après le dernier chapitre, le crime d'honneur- par la fondation Surgir qui lutte contre les violences faites aux femmes nous explique cette pratique. Je vais mettre cette explication par le biais d'une citation, c'est assez long. Un roman poignant s'il en est, je ne dirai pas qu'il se termine par une note d'espoir, parce que justement ces pratiques ont toujours cours au 21ème siècle.
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Dans cet hôpital irakien, le chirurgien Omar soigne des femmes brûlées. Presque toutes prétendent avoir été maladroites avec le réchaud à kérosène en préparant le repas. Il est vrai que le voile et la longue tunique entravent les mouvements et ne sont pas ignifugés.

La réalité est encore plus tragique, puisqu'il s'agit rarement d'accidents.
Ces femmes sont pour la plupart victimes de 'crimes d'honneur'.

« La femme blessée » (bel euphémisme, vu ce qu'elle a enduré) en question est Fatimah. On apprend peu à peu ce qui lui est arrivé - très lentement, car sa parole ne se libère pas facilement et l'omerta règne dans la famille.

Ce récit est instructif, poignant et révoltant. Dommage que le ton soit un brin naïf, comme si le narrateur était un enfant - ce qui est parfois le cas avec la bouleversante petite Farah -, et le dernier chapitre si rocambolesque.

Marina Carrère d'Encausse a choisi de situer son roman dans le Kurdistan irakien. J'ai apprécié qu'elle précise en postface que ce type de violence envers les femmes n'est pas spécifique à cette région du monde, ni aux musulmans :

► « Selon l'ONU, au moins 5 000 femmes sont tuées chaque année au nom de l'honneur.
Il s'agit d'une tradition d'origine babylonienne répandue dans les sociétés patriarcales du Moyen-Orient, au Pakistan, en Turquie, au Tchad et dans certains régions d'Amérique latine.
On en retrouve déjà les prémices dans la société arabe avant la naissance de l'islam.
Elle est pratiquée dans tous les milieux socio-culturels, ne répond à aucune loi et n'est pas d'ordre religieux puisque des personnes de confessions différentes la pratiquent.
Cette coutume cruelle légitime l'assassinat, par un membre de la famille, d'une fille ou d'une jeune femme suspectée d'avoir enfreint le code d'honneur familial. [...] C'est le père, un frère, un cousin ou une personne désignée par la famille qui se charge de venger l'honneur familial, souvent un mineur ne risquant qu'une petite peine.
Différents moyens sont utilisés pour assassiner ces femmes, elles sont le plus souvent empoisonnées, égorgées, fusillées, étranglées, poignardées ou encore arrosées d'essence puis brûlées.
Le criminel, son forfait accompli, est accueilli comme un héros par sa famille, il se rend souvent de lui-même à la police, qui encourage généralement son geste. »
___

Comme pour l'infanticide des bébés filles en Chine, pour les 'Bacha posh' ou pour l'excision, il est effrayant de constater que les hommes ne sont pas les seuls à perpétuer la tradition. Des femmes aussi peuvent s'avérer particulièrement zélées.
___

• Merci Sandrine ! 😉
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Kurdistan irakien. Fatimah, jeune maman de 4 enfants, dont un garçon décédé, est hospitalisée à l'hôpital des grands brûlés. Elle est prête à se laisser mourir ; seul le bébé qu'elle porte en elle la rattache à la vie.
Progressivement, grâce au docteur Omar, à Kamal le kiné et surtout à sa rencontre avec Malika qui vient de perdre son fils, elle reprend confiance.
Pendant ce temps, au village, dans la belle-famille de Fatimah, la vie continue comme si la jeune femme n'avait jamais existé. Seules ses deux filles aînées semblent préoccupées par son absence.
C'est à Malika, devenue son amie, que Fatimah confiera une partie de son secret...

Le hasard a voulu que je lise ce livre au moment où les talibans reprennent le pouvoir en Afghanistan. Il y aura probablement, hélas, des milliers de nouvelles Fatimah dans les villes et les villages de ce pays...
L'histoire que nous raconte Marina Carrère d'Encausse est celle de la place des femmes, dans les familles et auprès des hommes, dans ces pays où les traditions sont pesantes et où la lutte pour l'égalité des sexes est encore balbutiante, voire interdite. Si l'on y rencontre quelques hommes éclairés et bienveillants (le docteur, le kiné, l'instituteur), la cellule familiale reste dominée par les hommes et la belle-famille, la place de la femme étant réduite à la portion congrue.
Si le lecteur croit comprendre assez vite quel est le secret de Fatimah, l'auteure le détrompe en en rajoutant progressivement dans l'horreur et même la perversion, et il faut atteindre les derniers chapitres pour retrouver un peu d'espoir.
Ce livre, qui traite d'un sujet de société particulièrement difficile et source de conflits (nous avons oublié ce qu'était la condition de la femme occidentale il y a un siècle ou deux !) se lit comme un thriller. Cela tient à la qualité de l'écriture, et à la façon dont l'auteure dévoile peu à peu les secrets de l'existence de son héroïne.
L'espoir malgré le poids des traditions ?
Lien : http://michelgiraud.fr/2021/..
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Difficile d'évaluer un tel roman.

Si on se place d'un point de vue littéraire, on pourra apprécier la justesse des personnages et du ton, et déplorer le manque d'originalité du sujet ou la fin un peu complaisante...

Mais il est impossible d'aborder ce livre sous l'angle littéraire uniquement, car il reflète la terrible réalité pour de nombreuses 'femmes blessées' lors de crimes d'honneur infâmes souvent perpétrés par leur propre famille et pour des motifs imaginaires...

C'est donc aussi et surtout un témoignage, un cri d'alerte face à ces horreurs encore bien trop répandues. Si on le lit comme tel, ce livre est très réussi, poignant, tragique mais ne fermant pas la porte à la tendresse et à l'optimisme.

Décidément, il doit y avoir un gène de l'écriture chez les Carrère/Carrère d'Encausse...
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critiques presse (1)
LeFigaro
24 octobre 2014
Jour après jour, heure après heure, Marina Carrère d'Encausse prend sa plume comme on porte une caméra. Elle décrit ce qui se passe dans ce service des grands brûlés, puis au village.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (50) Voir plus Ajouter une citation
Le crime d'honneur par la Fondation Surgir
Selon l'ONU, au moins 5000 femmes sont tuées chaque année au nom de l'honneur.
Une pratique d'origine babylonienne

Il s'agit d'une tradition particulièrement répandue dans les sociétés patriarcales du Moyen-Orient, au Pakistan, en Turquie, au Tchad, et dans certaines régions d'Amérique latine. On en retrouve déjà les prémisses dans la société arabe avant la naissance de l'Islam. Elle est pratiquée dans tous les milieux socioculturels, ne répond à aucune loi et n'est pas d'ordre religieux puisque des personnes de confessions différentes la pratiquent.
L'honneur de la famille

Cette coutume cruelle légitime l'assassinat, par un membre de la famille, d'une fille ou d'une jeune femme suspectée d'avoir enfreint le code d'honneur familial. Les critères régissant ce code sont évidemment propres à la société. Cependant on peut affirmer que toute attitude remettant en cause la virginité de la fille (relation sexuelle consentie, viol, inceste, rumeurs), le fait d'avoir été vue avec un garçon, une tenue vestimentaire jugée indécente, rentrer chez soi tard le soir, parler au téléphone avec un ami peut éveiller les soupçons des proches et les conduire au crime d'honneur. En effet, ceux-ci pensent que l'honneur de la famille réside dans l'intégrité physique de la fille et que, si cet honneur a été bafoué - ou si l'on pense qu'il a été bafoué, il doit être lavé dans le sang de la présumée coupable. C'est le père, un frère, un cousin ou une personne désignée par la famille qui se charge de venger l'honneur familial, souvent un mineur ne risquant qu'une petite peine.

Différents moyens sont utilisés pour assassiner ces jeunes filles, elles sont le plus souvent empoisonnées, égorgées, fusillées, étranglées, poignardées ou encore arrosées d'essence puis brûlées. Le criminel, son forfait accompli, est accueilli comme un héros par sa famille, il se rend souvent de lui-même à la police qui encourage généralement son geste.

Des filles innocentes
Malgré le fait que les victimes soient souvent innocentes de ce qu'on les accuse (selon l'Institut jordanien de médecine légale, 80% des jeunes filles tuées ont été trouvées vierges au cours des autopsies), le nombre d’assassinats au Moyen Orient, au Pakistan et au Brésil est en augmentation. Les assassins se voient attribuer des peines allant de six mois à deux ans de prison seulement et sont souvent relâchés au bout de quelques mois. Il n'est pas rare qu'ils ne soient condamnés à aucune peine car la société reconnaît «qu'ils n'avaient pas le choix»... En effet, les lois locales sont très laxistes à ce sujet.
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- Mon mari, tu sais, je ne l'aime pas, je ne l'ai jamais aimé. On m'a mariée avec lui. Ce sont mes parents qui ont arrangé le mariage, j'étais toute jeune, contente de leur obéir même si j'avais un peu peur. Je [le] connaissais à peine avant de l'épouser, je l'avais vu deux fois. Il me paraissait gentil, il était beau. Quand mes parents m'ont dit qu'ils avaient tout arrangé, j'ai dit d'accord.
Je ne peux pas vraiment me plaindre, il n'est pas méchant, il ne me bat pas. Mais j'ai mal quand il vient la nuit. Là, il est brutal, et se moque quand parfois je pleure. Il me dit que c'est le sort de toutes les femmes. Alors j'accepte.
[...]
Tu sais, je ne me suis jamais sentie chez moi dans cette maison. On me faisait comprendre que je n'étais pas de la famille. Oh, ils étaient contents que mes parents leur donnent de l'argent tous les mois, mais cela ne s'est jamais transformé en affection. C'était dur, mais tu sais comment c'est : les journées passent vite entre les enfants, le ménage, le linge, les repas. Je n'avais pas trop le temps de penser.
(p. 105-106)
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Mais le lendemain, il avait appris de la bouche même de sa fille la mort de Samal. Cette disparition brutale, qui manifestement affectait beaucoup Farah, l’avait plongé dans un profond désarroi. Il aurait dû en être soulagé : après tout, cet homme était peut-être la source de ses maux. Mais non, cette mort remettait tout en question. Et d’abord, quelle était la raison de sa mort ? Accident ? Suicide ? Jalal ne croyait à aucune des ces hypothèses.
Et si… si … Ses pensées avaient pris une tournure qui le terrifiait mais qui, si ce qu’il commençait à entrevoir se révélait juste, expliquerait beaucoup de choses. Mais sa vie en serait détruite, à jamais. Et ce n’est sûrement pas à sa mère qu’il pouvait demander des explications. Que faire ? A qui s’adresser ?
Dix jours qu’il retourne tout cela dans sa tête. Dix jours à se dire qu’il n’a rien vu, rien compris, à prendre conscience que depuis des mois, peut-être des années, des rancœurs qu’il n’a pas perçues s’accumulaient sous son toit. Dix jours à se demander si ce qui est arrivé à sa femme n’est pas en réalité couvert par un faisceau de mensonges, et ce qui s’est réellement passé le jour de l’accident. Dix jours enfin, à penser à sa femme et à ce qu’elle vit depuis ce drame, ses souffrances physiques et morales, le combat qu’elle mène pour l’enfant qu’elle porte, un enfant qui peut devenir un jour le leur.
Dix jours et dix nuits à vivre ces nouvelles émotions, à laisser enfin les larmes couler. Il ne sait aps encore y mettre de l’ordre, il ignore de quoi l’avenir sera fait, mais quelque chose qui ressemble à de l’espoir affleure. Un amour reconstruit fait son chemin dans son cœur, avec une femme blessée, c’est vrai, mais la sienne. Une victime qu’il n’a pas su protéger.
Mais comment savoir ce qui s’est passé ? De qui est l’enfant ? Pourquoi l’accident ? Il n’en finit plus de chercher. Il est à bout de forces. Epuisé, il voudrait dormir, mais il doit à Fatimah de découvrir la vérité.
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"Parce que j'allais raconter à mon mari, ton frère, que je portais dans mon ventre le fruit d'un viol. Un viol perpétré par Dilo. Et ta mère n'a pas supporté, oh, pas cet acte immonde, mais sa dénonciation ."
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Jai beaucoup aimé ce roman plein de sensibilité. Sujet grave qu interroge sur le sort de beaucoup de femmes dans le monde subissant violence et humiliation. C’est le cas de Fatimah qui va se retrouver à l'hôpital dans la ville de Souleymanieh au Kurdistan irakien, elle est brûlée au 3ème degré. Elles sont des dizaines dans cet hôpital, à se battre pour garder la vie. Fatimah se bat surtout pour ses enfants, et pour celui qu'elle porte. Mais est-ce un accident comme elle le prétend ? Et comme le souligne l'auteur à la fin du livre 5000 femmes sont tuées chaque année au nom de l'honneur, c'est une tradition répandue au Moyen Orient, Pakistan, Turquie, Tchad et certaine région d'Amérique latine comme le Brésil, ce n'est pas une question de religion, ni de milieux socioculturels c'est un code d'honneur familiale. C’est un roman/récit qui me révolte… mais je le recommande vivement car cette narration est poignante et bouleversante.
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