AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,31

sur 77 notes
Ils sont 5, dont une fille. Ils ont la légèreté qui sied aux adolescents et la gravité des adultes qu'ils deviendront...
Car, l'un d'eux va mourir.

C'est une pièce de théâtre qui se joue, "Le songe d'une nuit d'été", mais dans les coulisses, la mort rôde. C'est aussi un spectacle de magie, une illusion, un moment de prestidigitation.

Approchez, approchez, l'Enchanteur va tirer, de son chapeau, un ruban. Mais, ce ruban sera suivi d'un autre, et encore un autre: moins blanc, plus sombre, plus noir.
Il tombera de ce chapeau : un masque, un clochard, un riot gun, des cafards, de la suie et ... la peur. Qu'y a t il encore au fond du chapeau? Une grande amitié, et...

Ce livre vous tiendra en haleine jusqu'au bout de la nuit ... noire.
Commenter  J’apprécie          164
On suit 5 amis au lycée. L'arabe qui raconte, la fille qui boxe, le petit juif, le gros noir qui va mourir et le blanc qui réalise les rêves. Ils préparent un truc énorme que leur a demandé Dan, qui doit être réalisé avant sa mort.
Alors je me suis attachée à certains personnages : David, Jenny et Dan. Moins aux deux autres, et aux personnages secondaires. Et puis j'ai trouvé que c'était long à se mettre en place, autant la surprise que la survenue du fantastique.
Oui, car en plus de la préparation de la grosse surprise, il y a des phénomènes étranges qui se produisent et un groupe de fascistes qui sème la zizanie.
Ce n'est pas mal écrit, c'est même plutôt le contraire. Mais j'ai vraiment eu du mal à entrer dans le livre. Je ne saurais dire... peut-être un manque de crédibilité ? L'empathie, l'intérêt est venu au bout d'un moment, mais le démarrage laborieux m'a laissé une impression mitigée tout au long de la lecture finalement.
Commenter  J’apprécie          141
Bof bof je viens de finir ce roman. Rien de passionnant.
Commenter  J’apprécie          143
J'ai rarement lu un roman ado aussi complet en n'étant pas moralisateur! Je m'explique les 5 jeunes sont des outisders, le beau parleur, le malade, la boxeuse, le talentueux dessinateur et l'intellectuel. Ils sont la diversité un black, une russe, un juif, un maghrébin au coeur d'une ville où la peur de l'autre se tapit et s'apprête à frapper.
5 jeunes avec leurs doutes, leurs forces, forts ensemble, décident de réaliser un miracle pour celui qui va les quitter, pour prouver leur valeur... Un miracle qui se heurtera à la bêtise, au racisme, à ces forces sombres qui hantent l'Homme.
Un roman magnifique, avec des personnages forts et une écriture fine. Offrez-le à tous vos ados dès 14 ans!
Commenter  J’apprécie          110
Suspendez votre crédulité !

Stan, Daniel, Moh, Jenny et David. Cinq adolescents liés par un pacte autour de Stan, l'enchanteur, embobineur de première qui parvient à tirer n'importe qui de n'importe quel mauvais pas en échange d'un service à venir, resserrés autour de Daniel, atteint d'un cancer et que l'on sait condamner dès les premières pages, aux exploits racontés par Moh, narrateurs férus de Shakespeare et qui met en scène Songe d'une Nuit d'Eté, mis en couleurs par David, l'artiste de la bande, entourés par la puissance protectrice de Jenny, fille de boxeur.

Stephen Carrière met en scène un groupe hétérogène et hétéroclite. Inséparables par l'amitié qui les lie malgré quelques tensions au fil du récit, ils n'en sont pas mois tous très différents. le groupe est un groupe multicolore : un groupe très black, blanc, beur, feuj et ruskof. Cela aurait pu être artificiel mais Stephen Carrière en joue admirablement en mettant en scène des problématiques liées à la fois à l'adolescence de ses personnages et à leurs « origines », sans en faire pour autant des archétypes.

On pourrait réduire le thème du livre au racisme ambiant qui combattent le groupe d'amis mais ce serait par trop réducteur. Stephen Carrière s'attaque dans son récit à toutes les formes de haines et de rejet de l'autre. C'est sur cette haine tous azimuts que grandit la force fantastique et maléfique qui semble prendre possession de la ville où habitent les jeunes héros et, à force de grandir et de se renforcer de ces haines rampantes, sourdes, de prendre corps et de perpétrer des actes de plus en plus violents, le tout ourdi par un marionnettiste malfaisant on ne peut plus humain. En donnant à ces haines une réalité physique, aussi fantastique soit-elle, jouant avec une figure maléfique du Golem juif, Stephen Carrière donne chair au combat purement moral qu'on doit mener, dans la vraie vie, contre celles-ci.

Stephen Carrière mélange allègrement, mais toujours de manière parfaitement crédible et argumentée, réalité et fantastique, reliant les agissements des uns et des autres dans un vaste plan d'ensemble visant à semer le chaos et le désordre que les cinq amis vont tenter, au nom de leur amitié pour Daniel, condamné à terme, de combattre en s'opposant autant aux être humains qui veulent semer la graine de la révolution violente qu'aux forces surnaturelles qui semblent se liguer contre leur environnement. Ils feront de l'inévitable échéance qui attend Daniel l'étincelle de vie et d'avenir qui contrecarrera tout le reste.

Le récit de Stephen Carrière oscille entre farce et tragédie, comme le fait le Songe d'une nuit d'été de Shakespeare. Sous la plume de Stephen Carrière, Moh, le narrateur et metteur en scène, fait systématiquement le lien entre ce qu'il raconte et la pièce de Shakespeare, tout comme le lecteur ne peut que faire le lien entre le récit de Stephen Carrière et la pièce. Il y a, derrière une histoire qui emporte tout sur son passage, un vrai travail de construction du récit, servi, qui plus est, par un style au cordeau, une écriture limpide et émouvante (sans grandiloquence).

Stephen Carrière, par ailleurs éditeur aux éditions Anne Carrière et dans le collectif Anne Carrière qui regroupe quelques unes de mes maisons d'édition préférées, invite le lecteur à « suspendre sa crédulité » non pas pour accepter ou croire n'importe quoi qui ne serait pas crédible mais pour garder un esprit ouvert et à l'écoute du fantastique qui peuple notre monde. Notre monde a besoin de cette part de fantaisie, de fantastique, de rêve, donnez-lui le nom que vous voulez, non seulement pour être vivable mais aussi pour simplement exister. Stephen Carrière est un de ceux qui peuvent nous la montrer.

Ce roman est un vrai régal qui n'est pas destiné qu'aux adolescents, à mon sens, et qui plaira, a minima, aux adultes qui seraient restés d'éternels adolescents.
Lien : https://wp.me/p2X8E2-10N
Commenter  J’apprécie          110

Il va m'être difficile de parler de ce bouquin tant ça a été une lecture assez chaotique pour moi. Je ne m'attendais pas à ça. Je pense que c'est ce qui m'a le plus désarçonnée. de m'attendre à un schéma bien spécifique et à ne pas retrouver ce que j'étais venue chercher. Alors oui c'est original, mais j'ai été vraiment surprise par le fait qu'on tire vers un côté fantastique, qui ne m'a, vous l'aurez compris, pas convaincue. « L'enchanteur » de Stephen Carrière est très particulier. Je suis vraiment la première déçue de ne pas avoir accrochée à l'univers de l'auteur car d'ordinaire, quand je me plonge dans un young adult édité chez Pkj, je passe toujours un bon moment.


J'ai vraiment eu du mal à savoir où l'auteur nous emmenait et quel était le réel but de tout ça.
On commence l'histoire tout doucement, on fait la connaissance des personnages, de leur quotidien, tout se mets en place très lentement. Je dois dire que ça commençait plutôt bien, et pourtant au fur et à mesure des pages je n'y voyais plus très clair. C'est un style d'écriture que je n'ai pas l'habitude de lire, peut-être un peu trop moderne ? Un peu trop different ? Je n'ai pas passé un super moment et me suis même par moments un peu ennuyée si je dois être tout à fait honnête. J'ai l'impression de ne pas avoir lu le même livre que certains qui l'ont absolument adoré. J'ai vu énormément de coup de coeur défiler et je suis heureuse de voir que certains ont pu apprécier cette lecture, malheureusement ce ne fût pas mon cas. Néanmoins on ressent vraiment le fait que ce soit un auteur français qui l'a écrit. Même si la plume ne m'a pas vraiment transportée c'est toujours agréable d'avoir affaire au texte brut de l'auteur et non pas à une traduction aussi bien faite soit-elle.
Point positif tout de même pour le contexte très actuel qui est mit en avant dans cette histoire.


Le fait que l'histoire se déroule en France, qu'on aborde des sujets qui nous touchent tout particulièrement ces dernières années était très intéressant. J'ai également apprécié le fait de mettre une touche de suspense et de thriller en fond de tableau en nous parlant de meurtres suspects. Malheureusement ça n'a pas pris autant de place que je l'aurais souhaité.


Les thèmes de ce roman sont nombreux. On y parle tout aussi bien de maladie, de manipulation, de racisme mais aussi d'amitié et surtout de la période si complexe de l'adolescence. Et pourtant même si ce cocktail aurait pu me plaire, le fait que l'intrigue m'ai perdu, que je ne voyais pas où nous allions, et qu'aucun des personnages, aussi différents et originaux soient-ils ne m'ai touché, à renforcé mon sentiment de déception. Je ne peux que vous inciter à le tenter s'il vous fait grandement de l'oeil, ce n'est que comme ça que vous saurez s'il est fait pour vous ou non. Dans mon cas, ça ne l'était pas.


Lien : https://booksandrap.wordpres..
Commenter  J’apprécie          80
De jeunes lycéens, banlieusards de différentes origines, se rassemblent autour de l'enchanteur, Stan. Celui-ci essaie d'arranger les problèmes de tous et réussit des miracles, souvent en rusant et en utilisant le mensonge. Parmi les jeunes qui l'entourent, il y a Dan, atteint d'une tumeur. Il est passionné de comédies musicales et ses amis vont tenter de monter un spectacle avant sa mort. On voit alors l'enchanteur à l'oeuvre.
En même temps, ils vont tenter de résoudre l'énigme : un tueur en série fait rage dans la ville, s'attaquant à des adolescents. Ils ont l'impression d'avoir affaire à un monstre, et nous-mêmes, on est parfois tenté de croire à des phénomènes surnaturels.
Un autre mal s'accroît dans la ville : le racisme et l'affrontement entre bandes risque de surgir.
J'ai eu beaucoup de mal à m'accrocher à ce roman. On ignore où on va et on reste dans le flou jusque la fin, quand enfin l'intrigue se dénoue.
C'est bien écrit mais complètement utopiste d'imaginer des jeunes issus des cités et de cet âge s'intéresser à la philosophie, au théâtre ou à la comédie musicale comme le font les jeunes de cette bande. Par contre, les dernières pages sont magnifiques et mon effort a été récompensé.
Commenter  J’apprécie          80
Tout d'abord, Pourquoi ?
J'ai choisi ce livre dans le cadre d'un challenge littéraire pour lequel je devais lire un livre paru en 2019. Devant l'engouement de bookstagram pour « L'enchanteur », mon choix a été vite fait.
L'écriture de Stephen Carrère est agréable. L'idée d'un adolescent enchanteur, doté d'un talent exceptionnel pour arranger les intérets des uns et des autres, est excellente. Mais j'ai néanmoins eu un peu de mal a entrer dans l'histoire. le roman est constitué de trois parties, et je suis en fait entrée dans l'histoire en fonction de chaque partie :
c'est à partir de la troisième partie que moi, j'ai été enchantée !
« L'Enchanteur » est publié aux éditions Pocket Jeunesse, et lorsque j'ai parlé de mon ressenti à mon fils aîne, il m'a expliqué que c'était normal, que je n'étais pas en adéquation avec le mot « jeunesse » !!
L'histoire ?
« Une bande inoubliable d'adolescents décide de lancer un défi à la mort.
Stan s'est taillé une place de choix au lycée. Ses camarades viennent le voir avec leurs problèmes et il élabore des stratagèmes insensés pour les résoudre. Aidé de sa bande d'amis fidèles, Daniel, Jenny, David et Moh, il est devenu un artiste en manipulation de la réalité. On l'appelle l'Enchanteur et, cette année, il va devoir réaliser son chef-d'oeuvre. Car Daniel est malade. Daniel va mourir. Comme il est fan de comédies musicales, il a demandé à Stan de transformer sa mort en un spectacle si grandiose qu'il lui offrira un peu d'immortalité. Il ne reste que neuf mois à l'Enchanteur et ses comparses pour accomplir ce " miracle ". Mais, dans les ruelles du centre-ville, un Mal ancien et féroce se répand... et, même s'ils préféreraient l'ignorer, nos héros semblent être plus impliqués qu'ils ne le souhaiteraient. »
Je pense que j'ai principalement été impatiente après avoir pris connaissance de la 4ème de couv., alors que la « mise en place » a, selon moi, été un peu longue. Mais cela reste un livre que j'ai apprécié et que je recommande !
Commenter  J’apprécie          60
En quelques mots :
Je n'ai pas adhéré ni à l'histoire ni au style de l'auteur. Un roman à la croisée de tout : du Young Adult et de l'Adulte ; du fantastique et du contemporain. Un roman qui traite de l'adolescence mais avec la pensée d'un adulte. Au final beaucoup d'ennuie pour ma part.

En beaucoup plus de mots :
Je ne vais certainement pas vous faire sourire avec ces quelques mots mais je n'ai pas été enchanté par ce roman. Non, non pas du tout enchantée. Avec un tel synopsis, je m'attendais à me retrouver à la croisée des chemins entre "Le club des cinq" et "ça". le fantastique n'est ici qu'un leurre, une dénomination pour évoquer le "Mal" qui se propage dans le monde auquel nous appartenons : racisme, violence, agression. L'auteur en fait une analogie au Grand Mal tel un Grand Méchant Loup traquant sans relâche non pas le petit-chaperon rouge mais un groupe d'ami lycéen stéréotypé et/ou dérangés et/ou dé-rangé, à vous de vous faire votre propre opinion.

Je ne vais sans doute pas être très gentille envers Stephen Carrière, qui si par le plus grand des hasard me lit, j'espère qu'il ne m'en tiendra pas rigueur, mais j'ai eu l'impression durant toute ma lecture que l'auteur avait choisi d'écrire un roman qualifié jeunesse pour surfer sur un courant littéraire porteur, mais la vague était trop grande et trop forte conduisant à une chute inévitable.

Un auteur avec une plume très belle pour un public averti et expérimenté qui a choisir d'écrire pour un public plus jeune mais sans adapter son phrasé ce qui fait que même si les grandes idées sont présentes, le reste est ennuyeux. Je m'explique. Lorsque je lis de la littérature jeunesse, et je pense que je ne suis pas la seule à rechercher cela en ayant discuter avec pas mal de personne que ce genre littéraire, j'attends un rythme, de l'étonnement, des surprises au détriment parfois d'une histoire très bien construite au profil psychologique pas tout à fait abouti, qu'importe l'envie de connaitre la suite est la plus forte. Dans L'enchanteur c'est le twist complet : beaucoup d'état d'âme, de sentiments explorés, des interactions entre un nombre trop importants de personnages dont il est difficile de retenir les prénoms qui ont des sons proches et trop peu d'aventures au final.

C'est tout simplement un livre d'adulte écrit pour conquérir un nouveau public. Vous me trouvez trop directe, ou trop dure ? Après m'être fait ma propre opinion, j'ai consulter d'autres avis et les critiques sont nombreuses concernant le nombre de personnages, la lenteur et l'ennuie sans parler du nombre important d'abandon, ce qui n'est pas mon cas mais j'avoue y avoir pensé à de nombreuses reprises.

Ce roman m'a fait pensé à "Nous sommes l'étincelle" de Vincent Villeminot, je ne suis décidemment pas le bon public pour des pensées capilotractées. Même constat ici, je n'adhère pas.

Cependant, les vrais émotions sont présentes, la lecture fluide et on s'attache enfin à chacun de ces personnages pour seulement quelques lignes. Monsieur Stephen Carrière auriez vous été fatigué lors de la rédaction de la fin de ce roman ? Saviez-vous où vous vouliez nous emmener ? Car j'ai eu l'impression que vous lâchiez enfin prise et que vous vouliez aller plus vite, mais pas au détriment des personnages dont j'ai senti que vous affectionnez beaucoup. Alors si c'est le cas, continuer comme ça, car oui, la fin est grandiose comme l'équipe entière que forme ces cinq amis qui courent après le temps essayant de l'arrêter mais qui glisse inexorablement... A la fin de ce roman, le temps passe trop vite et c'est justement ce qui fait que l'on apprécie encore plus un roman.
Lien : https://exulire.blogspot.com..
Commenter  J’apprécie          40
Stanislas Danner est L'Enchanteur, il manipule les gens avec art et résout ainsi les problèmes de ses camarades de lycée. C'est le blanc de l'équipe. Ses aventures sont racontées par son ami, Mohammed Habes après l'année extraordinaire qu'ils ont vécue. Mo' est le maghrébin de l'équipe. Leur camarade Daniel Larochelle, un garçon noir, petit et gros, est atteint d'un cancer et il lui reste un peu moins d'un an à vivre. Stan lui a promis un spectacle, la mise en scène du Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare. Ils sont aidés par leurs amis, David, un jeune juif artiste et fragile et Jenny, une fille tout en muscles. Mohammed a perdu ses parents quand il avait huit ans et il a été élevé par son oncle Mehdi et sa femme Isabelle dans une librairie, c'est l'intellectuel de la bande. Durant la préparation de cet événement hors normes au sein de leur petite ville, ils sont confrontés d'une part à un climat de défiance car un groupe de fascistes sème la terreur en faisant croire à des actes délinquants des jeunes des cités et d'autre part à une montée de la terreur avec un monstre qui assassine des adolescents.

Stephen Carrière est à la fois éditeur et auteur. Il a repris les éditions Anne Carrière, la maison de sa mère et il est par ailleurs le petit-fils de Robert Laffont. Il a publié Une vieille querelle en 2004 et Comme des héros sans guerre en 2006 chez Albin Michel. Il a aussi traduit les Dr Seuss en jeunesse pour leur réédition chez Le Nouvel Attila.

Il ne s'agit pas d'un roman pour la jeunesse mais d'un roman ayant pour protagonistes de grands adolescents voire de jeunes adultes. L'intrigue principale montre comment une bande d'adolescents organise un spectacle pour dire adieu à son camarade atteint d'un cancer devenu incurable. Cependant, s'y ajoutent deux autres histoires, celle du monstre qui tue de jeunes adolescents de manière horrifique et les complots d'une bande de néo-nazis qui terrifient la cité. Aussi, le narrateur, le jeune Mo', élevé par son oncle et sa tante libraire, se perd dans de nombreuses considérations sur Shakespeare, le Golem ou la vie politique. de ce fait, le roman peut intéresser pour l'ensembles des réflexions qu'il suscite mais il reste peu dynamique, il y a peu de dialogues ; les personnages peuvent sembler stéréotypés et en sont de ce fait moins attachants et les moments de suspense perdent aussi de leur saveur dans ce mélange de registres.
Commenter  J’apprécie          40




Lecteurs (193) Voir plus



Quiz Voir plus

Livres et auteurs chez PKJ (pocket jeunesse)

Qui est l'auteure de "Eleanor & Park" et "Carry on" ?

Cat Clarke
Marika Gallman
Rainbow Rowell
Jo Witek

20 questions
82 lecteurs ont répondu
Thèmes : jeunesse , littérature pour adolescents , jeune adulteCréer un quiz sur ce livre

{* *}