Le pensionnat de Mlle Géraldine, tome 1 : Etiquette & espionnage

Je commence tout d'abord par remercier Babelio pour leur opération masse critique et bien sur les éditions Livre de poche pour l'envoi de ce roman.

Etiquette & Espionnage est le premier tome d'un saga du genre steampunk, univers que j'étais vraiment curieuse de découvrir. Alors de quoi il s'agit, voici un extrait de la page Wikipédia : L'expression steampunk, qui signifie littéralement punk à vapeur, parfois traduite par futur à vapeur, est un terme inventé pour qualifier un genre de littérature né à la fin du XXe siècle, dont l'action se déroule dans l'atmosphère de la société industrielle du XIXe siècle. le terme fait référence à l'utilisation massive des machines à vapeur au début de la révolution industrielle puis à l'époque victorienne. Aujourd'hui le steampunk est considéré comme un esthétisme pouvant intéresser à la fois des oeuvres littéraire fantastique, de fantasy, d'anticipation et certains sous-genres de la science-fiction. Tout un programme !!
Gail Carriger développe a merveille l'univers et je dois dire que je suis plutôt bluffée par l'imagination qu'il faut avoir pour décrire toutes ces mécaniques mais je me suis malheureusement très vite lassée.

L'intrigue s'annonçait prometteuse aussi mais elle n'est pas assez développée. J'ai eu l'impression qu'elle passait au second plan par rapport a toutes ses machines, ses mécanismes...... Même si je pense qu'il s'agit la d'un tome qui est la pour installer et préparer les suivants, ce premier roman n'a pas su me captiver.

Je pense donc que le steampunk n'est pas pour moi. C'est un genre qui plaît ou qui ne plaît pas, mais je suis contente d'avoir découvert un univers très différent des lectures que je peux faire habituellement.
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Ayant bien apprécié la saga steampunk et drôle à souhait le protectorat de l'ombrelle de Carriger, j'étais curieuse de commencer cette nouvelle saga qui s'inscrit dans le même univers et au titre si alléchant !

Et finalement, même si ce n'est pas mauvais, j'ai trouvé ça bien en dessous.
On a toujours cette touche d'humour si particulière à l'auteur, on retrouve quelques personnages de la première saga et cette ambiance steampunk mais le parallèle s'arrête là.

En premier lieu j'ai bien moins accroché avec Sophronia qu'avec Alexia. La jeune fille est amusante et vive mais elle n'a pas une personnalité aussi affirmée que notre précédente héroïne. Les personnages secondaires sont plus ternes eux aussi (ça manque de Lord Maccon !) et on peine à s'y attacher.

Au niveau de l'intrigue c'est amusant mais pas véritablement prenant, j'avoue que je me suis un peu ennuyée par moment... L'enjeu est moindre et le rythme très disparate.
Pour le coup je ne sais pas si c'est uniquement du au phénomène de la mise en place de premier tome ou si c'est juste la saga qui m'accroche moins. J'hésite à poursuivre...
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Je me faisais une grande joie de ce premier tome du Pensionnat de Mlle Géraldine : "Etiquette & Espionnage" de Gail CARRIGER. Premièrement, la couverture est magnifique, très classe 1900. Secundo, le synopsis était alléchant. J'ai cependant très vite déchanté : l'histoire est abracadabrante, la première moitié du livre n'est que descriptions interminables, l'intrigue est très très longue à venir et quand elle arrive, c'est vraiment peu crédible ! J'ai tenu jusqu'à la fin mais je ne lirai pas les tomes suivants. Evidemment, cet avis n'engage que moi, je pense que ce livre pourrait mieux toucher un public adolescent.

Que ce premier tome peine à démarrer ! On découvre l'école et l'univers, mais pourtant, pendant une bonne partie du roman, j'ai eu du mal à voir où l'autrice m'emmenait.
Nous sommes au milieu du XIXe dans un univers qui mélange steampunk (avec des machines volantes et des domestiques mécaniques) et surnaturel (avec des loups-garous et des vampires) pour un résultat hétéroclite qui donne envie d'être exploré.

Comme l'indique chaque titre de volume, le pensionnat de Mlle Géraldine dispense deux formations. D'une part, elle prépare les filles à être de parfaites ladys et, d'autre part, à être de parfaites espionnes. Si j'ai beaucoup apprécié tout ce qui relevait de l'espionnage (dissimulation, combat, poisons, etc.), j'ai parfois été agacée par la frivolité des élèves. (J'ai beau savoir que ce sont les moeurs, l'époque et la société qui veulent cela et que c'est le but du roman, ça m'a tout de même irritée.)
Je n'ai pas pu m'empêcher de comparer à Harry Potter pour le côté « école » et je trouve le résultat moins satisfaisant. Dans Harry Potter, dès le premier tome, j'avais une idée précise des cours et des professeurs (un premier aperçu qui n'a évidemment fait que s'étoffer au fil de la saga). le résultat est bien moins efficace dans ce premier tome où j'ai trouvé que les cours et les professeurs étaient simplement survolés, ce qui ne m'a pas permis de me faire une idée précise du contenu de la formation.

Avec, en outre, des personnages classiques et pas spécialement attachants (mais je compte sur les tomes suivants pour remédier à cela) et une écriture agréable mais sans charme particulier, on ne peut pas dire que ce premier tome ait réussi à me séduire. Il m'a fait l'impression d'un long préambule un peu vide que ce soit en terme d'action ou de personnages. Toutefois, j'ai bravement continué ma lecture pour laisser une chance à cette série.

Je vous propose maintenant un récapitulatif des points positifs et négatifs de cette saga.

Les + :
- le mélange steampunk, surnaturel et enquêtes policières ;
- L'humour et les petites piques qui se glissent ici et là ;
- Les personnages (quand on a appris à les connaître, ce qui m'a demandé d'attendre le troisième tome), notamment les filles avec leurs caractères très différents ;
- Les enjeux sociétaux et technologiques développés au fil de la série.

Les - :
- Un triangle amoureux qui dure bien trop longtemps à mon goût ;
- Une intrigue parfois un peu faible ;
- le premier tome (c'est le plus mauvais, ce qui est plutôt dommage) ;
- Une héroïne un peu trop parfaite.

Résultat : une série distrayante, mais pas particulièrement excitante. Malgré un univers et une héroïne sympathiques, elle ne me laissera sans doute pas un souvenir marquant.

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Le livre est un peu lent à démarrer et est beaucoup moins passionnant et foisonnant que le protectorat de l'ombrelle. On retrouve un peu de la fantaisie de la précédente série mais c'est beaucoup moins bien, l'héroïne a pourtant un caractère bien trempé.

J'ai voulu commencer cette série car cela ferait longtemps que je n'avais pas lu de livre d'espionnage et d'enquête, et je le regrette un peu.
En effet, l'auteur utilise un univers spécial : le steampunk, c'est à dire un univers basé sur l'atmosphère de l'ère industrielle mais pour moi cet environnement n'a rien à faire dans ce livre car on se croirait à l'époque victorienne. A chaque fois que le sujet était abordé cela me dérangeait. Sinon la partie victorienne est très bien faite et on arrive à bien l'imaginer.
Au niveau des personnages, on sait qui on aime et qui on n'aime pas. Au départ, les personnages sont tous du même moule avec quelques différences mais plus on avance et plus on voit chaque caractère de chacun. Les caractères les plus développés sont bien sur celui du personnage principal et des personnes proches d'elle (famille, amie et ennemie). En dernier lieu, on ne sait que peu de chose sur les professeurs, ce qui est normal dans un pensionnat comme celui-ci. Il reste des choses à découvrir sur les personnages car certains cachent des secrets.
Au niveau de l'histoire, l'action n'arrive réellement qu'à la fin du livre avant ce sont plus des petites mises en bouche. Sur certains points que l'on souhaiterai éclaircir nous l'apprenions que bien plus tard (ex : les vinaigriers). A part une chose que l'on n'attendait pas, on s'attend à tout dans ce livre, il y a très peu de suspense.
Au niveau de l'enquête, on en perd un peu le fil car chaque avancée est coupée par de long chapitres explicatifs que ce soit sur le pensionnat, sur les liens avec les autres écoles et autres. Tout au long du livre, on parle d'un prototype qui fait partie d'un objet, j'ai fini le livre et je n'ai toujours pas compris en quoi ce prototype ou cet objet est si important.

histoire style de Tim burton, je n'ai pas su m'accrocher à cette histoire, je m'attends à autre chose. Bref cette histoire n'est pas mon style, j'aurais cru pourtant...

Plutot déçue de ce premier tome, que j'ai trouvé très long. le côté girly m'a un peu bloqué et j'ai eu du mal a trouver le courage / le besoin de terminer le livre... Heureusement, le tout est rehaussé par une plume agréable et parfois comique, et un personnage principal sympathique.

J'ai souvent vu ce livre être comparé à Harry Potter version Steampunk. le fait est que ce n'est pas parce qu'on le compare qu'il est aussi bon.

Beaucoup de mécaniques et je n'ai pas été prise dans leur engrenage. L'histoire avance sans qu'il se passe grand-chose entre le début et la fin. C'est répétitif. Des enfilades de mécaniques, couloirs, balcons, couloirs, mécaniques. le pensionnat de demoiselles est un dirigeable, ça devrait être excitant ! Mais tout est d'un commun.
Le livre est surtout rempli de phrases bien construites qui cachent le vide derrière la fioriture d'un style, certes, vraiment sympa et drôle à lire. L'humour déployé par Gail Carriger m'a un peu irritée comme si elle m'avait jeté de la poudre aux yeux. Disperser des paillettes colorées avec un éventail à dentelle sur un récit ennuyeux ne suffit pas à lui donner de la substance. Les rebondissements rigolos ne font pas une histoire à eux tout seuls.
Son univers est vraiment très girly et manque d'une certaine crédibilité. En partie dû à l'absence de précisions. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas la précédente saga de l'auteure, peu d'informations sur ce monde parallèle sont données dans Etiquette & Espionnage. Les éléments de surnaturels inclus tel que vampires et loups-garous donnent juste l'impression d'être là pour faire joli comme le reste.
Aussi, je trouve le résumé mensonger. Je m'attendais à suivre la formation de Nikitas en jupons et bottines à lacets. C'est beaucoup plus gentillet et gnangnan. Aussi palpitant que l'heure du thé avec de l'eau chaude et une rondelle de citron.
Sophronia, le personnage principal, est l'exemple même du vilain petit canard rejeté par sa famille qui déploiera ses ailes. Elle est entourée de caricatures de personnages sans vraie personnalité. La plupart ont un rôle, une fonction dans l'histoire et c'est tout : le garçon manqué fan de mécanique, le garçon manqué tout court, la peste, la peste en chef, la copine loukoum aux nerfs fragiles etc…
Le problème c'est que j'ai eu l'impression que Sophronia avait autant d'émotions qu'une mécanique. Même ses amis, on sait qu'ils le sont parce que c'est écrit noir sur blanc. Pas parce qu'on le sent dans l'écriture. C'est apathique. du coup, j'ai lu le pensionnat de Mlle Géraldine en restant indifférente à l'histoire. Je pense que Sophronia et sa cour ont encore besoin d'être grandement développées et leurs relations approfondies émotionnellement. Peut-être dans le tome 2 ? de tous, il n'y a vraiment que Savon, le soutier, qui me reste en mémoire.
Je vois que le livre a reçu le label Jeune Adulte, pourtant en tant que jeune adulte je ne me suis pas sentie visée à la lecture de ce roman trop superficiel. Peut-être est-ce de là que viennent toutes mes déconvenues, le label n'est pas bon.

Par intérêt envers le style de l'auteur et le Steampunk en général, je pense lire la suite pour voir si certaines questions laissées sans réponses seront élucidées et si la série gagne en profondeur.