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Après un premier tome fort divertissant dans lequel Gail Carriger avait su tordre efficacement le cou aux clichés de la « bit-lit » grâce à un savant mélange d'humour et d'élégance typiquement anglaise, l'auteur nous offre avec « Sans forme » la suite des aventures de son extravagante héroïne, Alexia Tarabotti. On retrouve dans ce deuxième tome notre Anglaise favorite presque là où on l'avait quitté dans le volume précédent, à savoir tout juste mariée au rustre mais néanmoins séduisant lord Maccon, chef de la meute de loups-garous la plus importante d'Angleterre. Si, dans le premier volume, la trame de fond élaborée par l'auteur semblait malheureusement avant tout servir à mettre en avant le petit jeu de chat et souris auquel se livraient les deux protagonistes, l'erreur est ici corrigée puisque nous avons affaire à une intrigue plus ambitieuse et bien plus captivante car mettant davantage en valeur les spécificités et l'originalité de l'univers créé par Gail Carriger. Or, celle-ci ne manque décidément pas de bonnes idées. le choix de délocaliser l'intrigue en Écosse apporte notamment un petit côté dépaysant fort sympathique et rafraîchissant. On peut également se réjouir de voir l'auteur mettre autant en avant le côté steampunk de ses romans avec des références à la modernité et aux nouvelles technologies très marquées (le lecteur aura notamment droit à une mémorable petite ballade en dirigeable)

Du côté des protagonistes, on retrouve bien évidemment avec plaisir ceux que l'on a déjà pu découvrir et apprécier dans « Sans âme » : Alexia Tarabotti, que le mariage est loin d'avoir assagie et qui, pour le plus grand bonheur du lecteur, n'a toujours pas appris à garder sa langue dans sa poche ; Lord Maccon, toujours aussi « fauve » et explosif ; l'extravagant Lord Akeldama ; le discret et efficace Lyall... C'est également l'occasion de découvrir plus en détail certains membres de l'entourage d'Alexia et de son époux sur lequel on en apprend davantage. Il convient également de saluer l'apparition de nouveaux personnages (bien plus charismatiques que ceux du précédent tome), qu'il s'agisse de la belliqueuse Alpha de Kingair, de certains membres de la meute de lord Maccon, et surtout de la très charmante et intrigante inventrice française, Mme Lefoux. le ton reste pour sa part toujours aussi décalé, rempli d'humour et de ce fameux flegme britannique que beaucoup envient à nos amis d'Outre-Manche. On ne sera ainsi guère surpris de voir notre héroïne se retrouver dans des situations plus rocambolesques les unes que les autres et s'inquiéter avant tout de maintenir les convenances si chères à la société anglaise du XIXe siècle. Après tout, ce n'est pas parce que l'on côtoie des loups-garous mal dégrossis ou que l'on se retrouve en territoire « barbare » que l'on se doit d'oublier les bonnes manières !

Ce deuxième tome du « Protectorat de l'ombrelle » s'est donc révélé pour ma part beaucoup plus savoureux que le premier opus, l'auteur étant semble t-il parvenue à rectifier certains de ses principaux défauts. C'est avec plaisir que j'attends de découvrir la suite des aventures d'Alexia Tarabotti qui, de toute évidence, nous réserve encore bien des surprises...
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Sans âme, premier tome de la série du Protectorat de l'ombrelle où l'on découvrait la téméraire Alexia Tarabotti fût une bonne découverte et une lecture très divertissante et c'est donc, tout naturellement, que je me suis penchée sur cette suite. Attention spoilers !

Notre Alexia devenue tout fraîchement Madame Woolsey n'aura pas longtemps profité de sa jeune vie de mariée puisque son cher et tendre disparaît sans crier gare et sans explications. Inquiète et voulant absolument comprendre ce qui se passe, notre héroïne part en Écosse avec sa soeur et sa meilleure amie qui ne vont pas lui faciliter les choses, loin de là.

Dans Sans Formes, l'intrigue est encore une fois haletante et sans temps morts. Distrayant et plein de rebondissement, le roman se dévore. J'avoue cependant être beaucoup moins emballée par ce tome-ci notamment à cause du caractère de notre protagoniste. Alors qu'Alexia était une héroïne attachante qui brillait par sa curiosité et son intellect dans le premier tome, ici elle est hautaine et méprisante. Son comportement avec son entourage notamment avec sa meilleure amie, Ivy m'a dérangée. Elle est condescendante et odieuse. Son comportement m'a plutôt exaspérée et m'a un peu gâchée ma lecture... Dommage.

La fin de ce deuxième tome me fait espérer une remise en cause au niveau du personnage et de son comportement. Je croise les doigts et sera donc au rendez-vous pour le troisième tome !
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Un 2e tome aussi bon que le premier!

On retrouve cette même ambiance, hybride de style que j'affectionne beaucoup et que Gail Carriger sait visiblement très bien dosé! L'aspect steampunk est même beaucoup plus visible. de même, l'autrice développe un peu les esprits, la troisième catégorie de surnaturel que nous n'avions pas du tout vu dans le premier tome. On reste dans le même degré enquête paranormale : elle fait le fil rouge mais elle reste très légère. L'aspect imaginaire est tout de suite bien plus discernable. Quant à l'aspect romance, même mariés, on assiste à quelques scènes très suggestives.

Ce qui me pousse à aborder les personnages. Décidément, le personnage d'Alexia, quel régal! Sa relation avec son mari est toujours très passionnée et son caractère à lui seul vaut le détour. Bas-bleu, sarcastique et très indépendante d'esprit, une langue acérée et beaucoup de courage. C'est une protagoniste comme je les aime. On en apprend un peu plus sur elle, sur son père, sans que cela reste très approfondi. J'ai la sensation que cela va être distillé dans chacun des 5 tomes. L'histoire de son mari est en revanche beaucoup plus exposée, l'enquête touchant de très près son ancienne meute. Quant aux personnages secondaires, qui sont pour beaucoup présents pour le ressort comique, là aussi on en raffole. La sottise d'Ivy et la langue vipérine de Félicity...

Côté narration, on reste toujours sur ce style très fluide, et toujours beaucoup dans la dérision, en accord avec les personnages du récit. L'action est sans longueurs. Les quelques surprises ont été devinées, à l'exception d'une seule, la principale. Par contre cette fin! J'en reste baba!! Il va me falloir me procurer le tome 3 très rapidement pour que l'histoire n'en reste pas là!
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Je ne me lasse pas des aventures d'Alexia Tarabotti,maintenant Lady Maccon. Si bien que j'ai déjà commandé les tomes trois et quatre, et je vais attendre avec impatience que le dernier tome sorte en livre de poche (prix et couverture beaucoup plus attractifs !). Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant apprécié une série de la sorte. J'adore le style de Gail Carriger, toujours piquant, dynamique, drôle et malicieux. Cela donne encore plus vie à notre héroïne qui a les mêmes qualités. Et je l'avoue, j'aime les héroïnes comme Alexia, des femmes fortes et débrouillardes qui ne vous laissent pas indifférents.

Nous reprenons l'histoire peu de temps après le mariage de Conall et d'Alexia. Les deux époux ont trouvé leurs marques et la vie semble se dérouler sans accroche. C'était sans compter, bien entendu, sur un événement inattendu. Les vampires, loups-garous et fantômes se trouvent dans une situation assez "humanisante", ce qui bien entendu fait du ramdam. Alexia se jette bien évidemment dans l'enquête. On ne peut pas dire que l'action tarde à arriver (elle est là dès les premières pages), et elle continue tout au long de l'histoire. On ne s'ennuie pas une seconde car il arrive une multitude de choses à notre héroïne. Entre les nouvelles rencontres et les événements fâcheux, on ne sait pas où donner de la tête. Mais ce n'est pas dérangeant, bien au contraire. J'apprécie vraiment ce dynamisme, même si du coup, l'enquête d'Alexia passe un peu en second plan, en quelque sorte, vu toutes les intrigues qui se développent.

La vague d'humanisation nous permet d'en savoir un peu plus sur Alexia, et en particulier sur les sans âmes. C'est une trame de fond que j'apprécie car nous ne savons, en fin de compte, pas grand chose sur son état de paranaturelle, elle-même étant assez dans le flou. Je pense que ce sera une intrigue qui se poursuivra dans les prochains tomes, car décidément tout semble tourner autour d'Alexia ! Indirectement, nous en apprenons aussi beaucoup sur Conall. Ce dernier se rend en Écosse, pour régler un problème de famille. Alexia le suivant, cela nous permet de mieux appréhender son mari et de comprendre tout son histoire. Une bonne chose, d'autant plus, que cela nous permet aussi de voir une nouvelle facette de la relation Alexia/Conall. Les voir en tant que mari et femme est différent mais toujours aussi réjouissant. Ils n'ont pas cessé leurs joutes verbales à mon plus grand plaisir.

L'enquête en elle-même est bien menée et je suis restée dans le flou pratiquement jusqu'à la fin ! Encore un autre bon point, car généralement j'arrive à deviner très rapidement le pourquoi du comment. Je ne m'attendais pas à ce que ce mystère soit lié à une certaine chose (oui, je ne vous spoile pas quand même !) et le "coupable" était assez inattendu... Ou bien plutôt tellement évident qu'on n'y pensait pas. Il y a par contre certains événements qui étaient très faciles à décrypter même si les personnages ne s'en rendent compte qu'à la fin...

Un nouveau personnage fait son entrée dans ce second tome : Mme Lefoux. Il y en a d'autres, mais c'est elle qui m'a le plus marquée. Cette inventrice de génie a quelque chose d'assez inexplicable. Elle est fascinante (pas autant qu'Alexia). Sûrement parce qu'elle reste un mystère même si on apprend à la connaître tout le long du roman. J'espère qu'elle sera présente dans d'autres tomes. Au contraire, je n'ai pas apprécié la présence de l'une des demi-soeur d'Alexia, Félicité... Mon dieu qu'elle est énervante (et je reste polie). Elle n'a aucun intérêt... vraiment aucun... Je ne sais pas si cela va changer (je me demande si Gail Carriger ne l'a pas mise en avant pour qu'elle prenne de l'importance par la suite), mais si elle continue comme cela, je préférerai ne plus la revoir... Ivy, elle, même si elle est enquiquinante, apporte au moins une dose de dérision et de situations très cocasses. le personnage ne casse pas trois pattes à un canard, mais elle a au moins le mérite d'être un apport de drôles de situations.

La fin ne nous laisse pas sur une note très gaie par contre... C'est assez brutale et j'avoue que je suis contente d'avoir assez rapidement la suite du Protectorat de l'ombrelle, car rester sur une touche aussi désagréable n'est pas très plaisant. Je ne doute pas qu'Alexia va rebondir très rapidement, mais il n'en reste pas moins que je trouve la situation très peu engageante... Affaire à suivre.
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Notre intrépide Alexia Tarabotti est maintenant devenue Lady Woolsey. Va-t-elle pouvoir profiter paisiblement de son mari ? Eh bien, non ! Mandée par la Reine Victoria, Alexia va devoir enquêter sur l'humanisation soudaine que semble subir les surnaturels. Cette quête la conduira tout droit en Écosse ...
Histoire sympathique à l'humour malicieux, dans la même verve que le premier tome. La fin me pousse à découvrir la suite des aventures de cette incorrigible Lady.

Challenge Multi-auteures SFFF
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"Une histoire de vampires, de loups-garous et de dirigeables."

Tout est résumé dans cette unique accroche. Dans le protectorat de l'ombrelle, que j'ai découvert au début de l'année avec le premier tome, Sans âme, Gail Carriger nous offre un savant mélange entre bit-lit, steampunk et humour anglais...

Rappelons-le, Alexia n'est pas un personnage ordinaire, puisqu'elle est la seule paranaturelle de Londres. Elle n'a pas d'âme, ce qui lui permet d'un seul contact d'ôter tout pouvoir surnaturel à un vampire ou un loup-garou, ou encore d'exorciser définitivement un fantôme. Dans ce tome, elle est amenée à enquêter sur un phénomène très étrange qui supprimerait les pouvoirs des êtres surnaturels dans un périmètre précis, et qui se déplace vers l'Écosse. Virus ? Arme ? Il y a là de quoi piquer la curiosité d'Alexia, toujours aussi intelligente et intrépide que dans le premier tome.

J'ai retrouvé dans cette suite la fraîcheur, la folie et l'humour anglais collé-monté qui m'ont tant plus dans Sans âme. Sans être la série du siècle, le protectorat de l'ombrelle n'en est pas moins très distrayant. le temps passe vite à sa lecture, on rigole, on s'interroge, il y a de l'action et aucun temps mort. Une parfaite lecture de vacances pour qui ne souhaite pas se triturer les méninges.

Si vous pensez le lire, prenez bien soin d'avoir le tome 3, Sans forme, sous la main. Vous ne pourrez pas ne pas enchaîner les deux tomes ! D'ailleurs je m'y mets tout de suite.
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AAAAAAAAAAAAAAH ! Non mais c'est QUOI cette fin, là ? Obligée je suis de sauter sur le tome 3, non mais c'est pas croyable, ça ! Madame Carriger, vous devriez avoir honte de nous laisser dans cet état !

Je ne vais pas cracher dans la souplette, je me suis régalé. Je trouve ces histoires originales, l'ambiance steampunk est omniprésente (alala la nouvelle ombrelle d'Alexia, trop Tatie Gadget elle, j'ai adoré !), et même si les explications sont un peu emberlificotées et fumeuses, ce n'est pas très grave.

Conall est un affreux macho maladroit, c'est assez dingue comment il n'est pas sûr de lui (et plutôt bien écrit par G. Carriger), après c'est vrai qu'après des siècles de célibat, s'adapter à vivre à deux ne doit pas être très facile !
Les aventures de Tunstell et Ivy sont réjouissantes, cela apporte des moments de délire très amusants dans une ambiance somme toute assez glauque, puisque les tentatives d'assassinats sont légions dans ce tome.

Il y a parfois des coquilles étranges dans mon exemplaire, et à un moment je me suis posé des questions sur une tournure de phrase, où il m'a semblé qu'un mot était mal employé (mais je ne me souviens plus lequel).
Par ailleurs je n'ai pas compris l'intérêt de la présence de Félicité (la demi-soeur d'Alexia dans tout ça), elle sert à rien, vraiment.
A part ça, c'est quand même que du bonheur !
Et puis il faut voir comment ça finit, c'est pas possible de rester sur cette fin, on est obligés de sauter sur le tome 3 !
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Comme dans le premier tome, le style du livre est un pur bijou : c'est acidulé tout en étant sirupeux. On a l'impression d'avoir traversé la Manche dans une machine à remonter le temps pour atterrir en Angleterre à l'époque victorienne, au début des machines à vapeur. On pourrait même croire que les vampires, loups garous etc. sont d'origine ;)
Les dialogues sont également des perles d'humour grinçant qui donnent du relief à ce livre, si tant est qu'il en est besoin (?)
L'auteur nous donne une infinité de détails sur les machines, les inventions et les ombrelles d'Alexia fourbissant ainsi son univers. D'autant que notre héroïne va rencontrer une inventrice de génie qui saura lui donner du fil à retordre.

Les personnages sont toujours aussi bien travaillés. La situation de certains a changé mais les caractères restent les mêmes. On retrouve Alexia qui est devenue Lady Woolsey et miss Ivy Hisselpenny, sans oublier Lord Conall Macon sur lequel on fait beaucoup de découvertes. Mais comment aurait-il pu en être autrement quand on connait le caractère curieux de sa jeune épouse ?
Les seconds couteaux sont également de retour et on fait connaissance également avec de nouveaux personnages assez hauts en couleur eux aussi.
Les relations entre tous ces personnages ne peuvent que réjouir le lecteur qui suit au gré de sa lecture les ententes et mésententes successives, voire intempestives de ces anglais pas comme les autres.

Comme pour le premier tome, l'intrigue passe très vite au second plan. Elle est surtout la trame sur laquelle évolue Alexia. Cependant, elle est tout de même riche et nous donne même l'occasion de voyager jusqu'en écosse. Il se pourrait même qu'un traitre soit de la partie...
Enfin, l'auteure est vraiment très cruelle avec le lecteur car après une fin pareille, on me peut que se transformer en loup garou pour hurler à la Lune !
Mais mystère et boule de gomme, vous n'en saurez pas plus... Je vous en ai d'ailleurs certainement déjà trop dit...

En conclusion, un deuxième tome palpitant dans la lignée du premier où l'on a le plaisir de retrouver Alexia et toute sa clique. le style, les détails, les personnages toujours "so british" sont parfaits !
Lien : http://lefso.blogspot.de/201..
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Nous voici de retour dans l'Angleterre victorienne en compagnie de l'énergique Alexia Tarabotti, maintenant devenue lady Woolsey, et de son sanguin loup-garou de mari. Après les péripéties de « Sans âme », nos deux aristocratiques tourtereaux devraient pouvoir se reposer sur leurs lauriers quelques temps, mais la maligne destinée et le service de sa Majesté ont en décidé autrement… Un jour, tôt dans la soirée (rappelant que la demoiselle a adopté le mode de vie nocturne pour vivre aux côtés de son époux), Alexia est réveillée par les beuglements tonitruants de ledit époux. Et il faut reconnaître qu'il y a de quoi se mettre en rogne : une étrange épidémie s'est abattue sur Londres transformant tous les êtres surnaturels en humains normaux. Un événement fort embarrassant, il faut bien le dire, surtout pour le vampire privé de ses crocs à un moment inopportun ou pour le loup-garou se retrouvant soudain à quatre pattes et les fesses à l'air au milieu d'une rue.

En tant que mujah de la reine Victoria, Alexia est chargée d'enquêter sur cette étrange affaire ; une mission qui, comme on se doute, ne sera pas de tout repos et l'entraînera jusque en Ecosse, ce pays à moitié civilisé ou les hommes exhibent leurs genoux à tout va (ce qui indubitablement une grande preuve de bestialité et de déchéance morale). Mais on peut compter sur la courageuse lady pour ne pas se déconcerter pour si peu et protéger les intérêts de l'Angleterre avec toute l'efficacité qu'il se doit. Et s'il faut pour cela casser quelques ombrelles sur les têtes d'importuns, en menacer d'autres et résister aux viles tentatives de séduction d'une espionne française et bien, soit !

Ce nouvel opus des aventures d'Alexia Tarabotti s'avère à nouveau une très agréable lecture. Si on y retrouve les mêmes défauts que dans le roman précédent – scénario peu consistant et personnages à la limite de la caricature – il en a également les qualités : un style léger et au maniérisme amusant, un humour permanent et un univers réjouissant. C'est également l'occasion d'ajouter au défilé de personnages déjà plutôt réussi de « Sans âme » quelques nouveaux protagonistes fort sympathiques dont une terriblement sexy et pas très hétérosexuelle inventrice française et une tripotée de loups-garous écossais en kilt. Encore une fois, un livre plaisant, sans autre ambition que de distraire le lecteur et qui y réussit fort bien !
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J'avais un peu peur que le 2cd tome me déçoive et bien pas du tout, l'auteure a vraiment bien su nous surprendre à nouveau.
Nos "jeunes" mariés subissent leur première crise une vague d'humanisation des plus inquiétante. Alexia va donc se rendre en Ecosse pour découvrir la cause de tout ça, sa belle famille et qui tente de la tuer. Bataille d'ombrelle en perspective !
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