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4,05

sur 2318 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est amusant comme un détail, une image, un texte aperçu du coin de l'œil peut happer votre regard, vous faire tourner la tête et stopper votre marche à travers les rayons. C'est exactement ce qu'il s'est passé lorsque j'ai entraperçu ce visage de porcelaine durant mes courses dans un supermarché. Il me disait quelque chose ! Avec "Donato Carrisi" écrit en gros, j'ai vite fait le rapprochement avec "Le Chuchoteur". Et voilà qu'un petit bordereau rouge en bas de l'exemplaire annonce "La suite du best-seller Le Chuchoteur". Alors comme ça, chaque enquête de Mila sera illustrée par un visage de poupée ?!

"L'écorchée" c'est le retour de Mila Vasquez, 7 ans après l'enquête concernant le fameux "Chuchoteur". Sept années propices à Donato Carrisi pour modifier selon son bon vouloir le contexte de vie de la jeune femme. Désormais, elle travaille aux Limbes et s'occupe des personnes disparues. Fini les scènes de crimes macabres, l'hémoglobine, non tout ça elle n'en veut plus parce qu'au fond, elle sait qu'elle aime ça (dixit sa petite voix intérieure). Alors elle s'efforce maintenant de surveiller les petites filles, de repérer les éléments nuisibles dans leur vie et d'éviter qu'un malheur ne leur arrive. C'est ainsi que le livre s'ouvre. Mila vient à la rescousse d'un fantôme hantant une petite fille.

Lorsque j'ai ouvert la première page de ce roman, je n'ai pu m'empêcher d'esquisser un sourire. Un sourire parce qu'en fin de compte j'ai eu l'impression de rouvrir "Le Chuchoteur". La recette est la même et j'en sens les effluves dès le début.
Une introduction très mystérieuse qui ne peut qu'attiser la curiosité du lecteur et le pousser à tourner les pages suivantes. Une absence d'indicateurs géographiques précis, tout au mieux on sait que les scènes se déroulent en ville, en banlieue, dans la campagne mais au fond ça pourrait être n'importe où. Le temps, lui aussi, décontextualise l'histoire. En remplaçant les années par des XXXX, on ne peut que se raccrocher à un temps imaginaire que l'on suppose contemporain à notre temps de lecture. On s'agrippe aux éléments alentours comme la technologie, les noms de familles, etc mais le flou persiste et on regrette que l'auteur poursuive cette manie que personnellement je n'avais pas aimé dans le premier opus. Autant à l'époque j'y voyais un désir d'universalité : montrer que le Mal est partout, autant aujourd'hui j'y vois les désirs d'un écrivain de ne pas condamner son roman à devenir obsolète, de le garder lisible le plus longtemps possible et par le plus grand nombre.

La qualité descriptive et narrative n'est pas toujours ce qu'il y a de plus agréable à lire ici : "Hommes et véhicules accélérèrent l'allure. On aurait dit un comique du cinéma muet. Mais personne n'avait envie de rire, la tension était palpable". Noooonnn ???!!! Et moi qui m'attendais à les voir s'esclaffer devant cet enregistrement de vidéosurveillance ! Heureusement que l'auteur précise le contraire ! Encore heureux qu'il n'ait pas écrit "On aurait dit le clip "Ray of Light" de Madonna. Mais personne n'avait envie de chanter et de danser." ! Il aurait été sage de nous éviter quelques unes de ces évidences et autres idées déjà toutes faites...

Le livre est divisé en quatre parties : Mila, Berish, Alice et Kairus. Quatre personnages abîmés, liés les uns aux autres par cette "Hypothèse du mal" que Donato Carrisi nous présente fièrement tout au long de son roman. On adhère ou non en fonction de sa propre vision du monde, en tout cas il la vend bien et met l'intrigue au service de sa théorie.
J'ai bien aimé Simon Berish et son chien Hitch. Ce nouveau personnage apporte un peu de fraicheur dans ce "Chuchoteur 1.5". En revanche, la manière dont il est présenté m'a agacé. Lui aussi, comme Mila, à son leitmotiv : "Tout le monde veut parler à Simon Berish". Au tout début, Donato Carrisi nous présente ça comme une sorte de don inné que Simon possède à son insu : "Quelque chose en lui poussait les gens à s'ouvrir, à révéler des détails intimes et personnels." Ainsi, à l'école sa maitresse lui dit un jour "Simon, M. Jordan a lu ta rédaction chez moi, l'autre jour. Il dit que tu n'écris pas mal du tout." La maitresse couche avec le directeur et l'avoue ! Deux autres exemples sont donnés pour bien que le lecteur comprenne la nature de la compétence de Berish : il n'a aucun mal à recueillir le secret des autres. Et c'est pour cela que notre expert est appelé en renfort dans un commissariat de campagne pour recueillir les aveux d'un fermier dont la femme a disparue. Au vu de l'introduction, on s'attend à ce que le présumé coupable avoue comme si de rien n'était de son propre chef, après tout l'auteur nous conditionne pour cela… Que nenni ! Le doué Simon Berish est un escroc ! Cette fois, il use d'une habile manipulation pour amener le suspect à confesser son crime.
Un peu plus tard, on apprend qu'une fois devenu un "paria" dans la police, il s'est lancé dans une auto-formation d'anthropologie (si à la fin du livre on n'a pas compris qu'il avait lu plein de bouquins d'anthropologie c'est qu'on a sauté beaucoup de paragraphe !) et que suite à cela, il est devenu un expert en interrogatoire. D'un côté il y a cette idée d'un don existant depuis l'enfance et de l'autre une compétence acquise volontairement avec le temps après la mise à mal de sa carrière. D'un côté c'est autrui qui délivre son secret à Berish, sentant en lui un récepteur adéquat à l'inavouable et de l'autre c'est Bérish, qui par ruse conduit la conversation vers cet inavouable dans le but d'en être l'accoucheur. C'est à se demander si son leitmotiv ne l'aide pas à se créer l'illusion de posséder un don que les autres n'ont pas. Berish serait-il un homme de contradiction ou un homme qui se berce d'illusions ?

Comme dans "Le Chuchoteur" on retrouve une vision sombre de l'être humain. Personne n'est épargné et personne ne le doit. Les ténèbres et le vide nous entourent, s'installent et finissent par nous corrompre.
Un peu plus décevant, est l'idée redondante d'une sorte de déité dissimulée dans l'ombre qui prend plaisir à manipuler divers pantins pour jouer avec la police. Il y a eu le "Chuchoteur" et maintenant voilà "Kairus alias Le Magicien, l'Enchanteur des Rêves, le Maître de la nuit". Une créature énigmatique et maléfique tapie dans le noir et se jouant de notre part sombre. Donato Carrisi confronte Mila à non pas un seul tueur mais à une multitude de criminels dans chacun des deux romans. Sauf que cette fois, comme le livre ressemble au "Chuchoteur", on sait où trouver les coupables et à la fin il n'y a pas vraiment de surprise.

On n'attend donc qu'une chose, la fin de cette trilogie (pitié faite que ce ne soit qu'une trilogie !!!!) confrontant Mila au Chuchoteur une bonne foi pour toute. Bon, il est très probable qu'il nous ressorte encore un copier-coller du "Chuchoteur" mais ça fait son succès alors pourquoi tuerait-il la poule aux œufs d'or ? Au moins, la prochaine fois je serais préparé à ça et mon plaisir sera simplement contenté par des retrouvailles avec Mila et Bérish dans ce qui sera, je l'espère, une vraie et définitive conclusion sur le cas du Chuchoteur et celle de "l'armée des ombres".
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Mais pourquoi Mila ne va-t-elle pas voir un psychiatre? Comment peut-on laissé une telle personne se servir d'une arme? Cette protagoniste m'est antipathique. L'histoire, bien qu'ingénieuse, est cousue avec des cordes et malheureusement, ne m'aura pas convaincue. Beaucoup trop d'invraisemblances. On se perd parfois dans les nombreux rebondissements. J'ai le tome 3 dans ma PAL. Je poursuivrai donc car ce n'est pas non plus sans intérêts.
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Il y a quelques jours, j'avais été totalement emballée par ma découverte de Donato Carrisi à travers son premier roman "Le chuchoteur". J'étais donc ravie d'avoir déjà sous la main la suite, car souvent ma mémoire me fait défaut lorsque j'attends trop longtemps entre deux tomes d'une même série, et quoique certains lecteurs en disent, pour comprendre toutes les subtilités du second, il vaut mieux avoir lu le premier.

7 ans plus tard, on retrouve donc Mila Vasquez, toujours hantée par sa confrontation avec "le chuchoteur". Elle officie désormais au service des "Limbes" qui s'occupe de rechercher les personnes disparues. Mais voilà que plusieurs meurtres commis en peu de temps semblent avoir un point commun : les premiers éléments de l'enquête laissent à penser qu'ils ont été commis par des hommes et des femmes dont la disparition remontent à une vingtaine d'années. Vengeance, acte de terrorisme ou manipulation par un gourou ? Mila va devoir compter sur l'aide de Berish qui avait enquêté à l'époque sur ce qu'on avait appelé l'affaire du "Maître de la nuit" car tous les disparus avaient acheté des somnifères avant de se volatiliser. Mais Berish n'est pas en odeur de sainteté au sein de la police et Mila va une fois encore devoir franchir la frontière des ténèbres dont elle est si coutumière.

Je n'ai pas trouvé dans "L'écorchée" l'originalité du scénario qui m'avait tant séduite dans "Le chuchoteur". Donato Carrisi n'a pas changé de cuisine, il a pris exactement les mêmes ingrédients : aucune indication de lieu de l'histoire, plusieurs meurtres consécutifs qui forment un jeu de piste macabre, et encore le thème du Bien et du Mal à la sauce manipulation. J'ai trouvé tellement de similitudes que pour moi, cet opus n'est qu'un remake du premier, en plus compliqué car les évènements passés et présents interfèrent sans arrêt.
J'ai par contre aimé découvrir un peu plus d'humanité dans le personnage de Mila à travers sa relation avec sa mère et sa fille même si cela reste très compliqué pour elle. Ce personnage reste une énigme pour le lecteur et j'aurais aimé en savoir plus sur son passé. Malheureusement il va falloir sans doute attendre un troisième tome de la série car la fin n'en est pas une. Malgré cette légère déception, je lirai quand même la suite en espérant un dénouement apaisant pour tous, lecteurs et enquêteurs. J'accorde un petit 12/20 à cette lecture car j'en attendais beaucoup plus.


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Ça démarre bien. Une femme flic pêchue qui doit faire face à plusieurs enquêtes bientôt rejointe involontairement par un flic mis sur la touche. le duo va avoir du mal à s'accorder mais leurs complémentarités vont fonctionner pour sortir de l'oubli d'anciennes affaires ou plutôt disparitions non résolues qui semblent avoir un lien avec ce qui se passe aujourd'hui et qui reste très mystérieux.
Le mystère c'est bien, c'est même le coeur d'un bon polar mais là on s'enfonce de plus en plus dans de l'incompréhensible, on ne sait plus qui est qui, quels sont les liens. On nage en plein brouillard et forcément l'histoire perd totalement de son intérêt. J'ai dû relire 2 fois des dernières pages pour essayer de comprendre et j'en suis toujours au même point. Je ne sais pas s'il fallait avoir lu « Le Chuchoteur » pour comprendre.... en tout cas je ne conseille pas ce roman.
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Mila Vasquez l'enquêtrice et héroïne du Chuchoteur a été affectée au bureau des personnes disparues : Les Limbes. Elle est chargée de retrouver la trace des centaines de personnes qui se sont évaporées dans la nature sans laisser de traces, que ce soit volontairement ou parcequ'elles ont été enlevées ou assassinées. Dans la Salle des Pas Perdus des Limbes sont affichées les photos de ces personnes et Mila passe tous les jours devant leurs visages. Elle va être confrontée à plusieurs de ces individus qui avaient disparu depuis plus de vingt ans et qui reviennent pour commettre des meurtres. Et ces meurtriers veulent être identifiés, reconnus. Mila va devoir interpréter les indices qu'ils laissent derrière eux et faire le rapprochement avec les renseignements contenus dans ses dossiers. Mais pourquoi sont-ils revenus après toutes ces années ? Qu'ont ils fait pendant tout ce temps ?

Je ne dirai pas, comme le précise l'éditeur sur la couverture du livre, que l'Ecorchée est la suite du Chuchoteur, mais plutôt un deuxième volet des enquêtes de Mila Vasquez. On y retrouve quelques personnages présents déjà dans le Chuchoteur, comme l'agent Boris, mais ils ne tiennent pas une grande place dans le récit. Par contre Mila se fait aider par un enquêteur atypique : Simon Berish, flic paria féru d'anthropologie, toujours flanqué de son chien Hitch.

J'ai trouvé l'Ecorchée meilleur, plus abouti que le Chuchoteur. Carrisi use toujours de la même construction narrative : les crimes se succèdent reliés entre eux par des indices et des énigmes que les enquêteurs doivent résoudre pour comprendre le suivant. Une sorte de jeu de piste haletant entrecoupé de parties de ping pong : chaque crime, chaque indice renvoie à un coupable potentiel, mais le vrai coupable n'est jamais celui qu'on croit.

Il n'y a pas trop d'effusions de sang dans ce récit, il s'agit plutôt d'un suspense psychologique. L'intrigue est bien ficelée, le suspense toujours présent. Mila est un personnage qui inspire d'emblée un sentiment d'empathie (un comble pour une femme qui en est totalement dépourvue !) malgré sa tendance à vouloir faire cavalier seul et se jeter systématiquement dans la gueule du loup. L'Ecorchée, c'est elle : à la fois dans sa chair et dans son esprit. Simon Berish est l'autre personnage principal de ce récit : flic atypique au passé douteux, il m'a intrigué tout au long du récit.

Je ne peux pas dire que L'Ecorchée ait été un coup de coeur. J'ai beaucoup aimé cette lecture mais, comme pour le Chuchoteur, j'ai trouvé que Carrisi abusait un peu du système du "meurtrier qui en cache un autre qui lui même en cache un autre...." A force, j'ai trouvé cela un peu fatiguant.L'Ecorchée n'en reste pas moins un très bon thriller ; j'espère qu'il y aura un troisième volet des enquêtes de Mila Vasquez et pourquoi pas Simon Berish.
Lien : http://lecturesdebrigt.canal..
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Un peu sur ma faim.... j'ai adoré le Chuchoteur mais un peu déçue de cette suite. Je trouve que l'intrigue traine en longueur, on dirait que l'auteur veut nous emmener quelque part mais n'y arrive pas (enfin c'est mon ressenti). Il n'y a pas les rebondissements du Chuchoteur seul les 100 dernières pages nous éclairent et on comprend là où veut nous mener l'auteur.
J'espère sincèrement une suite pour savoir ce que devient Mila et comment peut finir son histoire avec le mal qui la traque.
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Donato Carrisi est l'auteur italien de thrillers le plus lu dans le monde. "Le chuchoteur", son premier roman, a été traduit ans vingt pays, a reçu quatre prix littéraires en Italie. (extrait de la page de garde)
Un thriller que j'ai lu assez rapidement mais qui ne m'a pas fait frissonner !
Bien que pas très adepte du genre, je pense qu'il doit y avoir mieux pour sensations fortes ! car un thriller est bien fait pour ça non ?
Ceci dit, c'est un livre que j'ai bien aimé (quand même)
je le conseille.
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Donato Carrisi est un auteur italien qui s'est fait grandement remarquer avec son premier roman, « le chuchoteur », que j'ai déjà critiqué, là.

Si je n'avais pas été aussi enthousiaste que la plupart des lecteurs, je reconnaissais tout de même des qualités à ce roman, notamment au milieu de celui-ci, moins au début, et encore moins à la fin.

Avec « L'écorchée », Donato Carrisi nous livre une suite fortement attendue par son lectorat. Suite ? Pas vraiment puisque les deux romans peuvent se lire indépendamment l'un de l'autre, mais suite, tout de même, puisque l'auteur reprend certains de ses personnages, dont le principal, sept ans après l'affaire du « Chuchoteur ».
Sept ans après avoir résolu l'affaire du « Chuchoteur », Mila Vasquez s'est réfugiée dans « Les Limbes », un service spécial de la police réservée aux disparitions. Dans cette section, enfermée dans un sous-sol, Mila Vasquez vit avec les oubliés, tous ces disparus, dont les photos jonchent les murs, jusqu'à celle d'un de ses collègues, disparu, lui aussi.

Toujours incapable de la moindre empathie, la jeune femme s'est résolue à laisser sa fille de sept ans vivre sans elle, auprès de sa grand-mère, mais garde un oeil sur elle grâce à une webcam installée secrètement dans sa chambre.
Mais voilà que ressurgit un oublié 20 ans après sa disparition pour assassiner une famille, ne laissant qu'un enfant en vie pour témoigner de son retour. À travers son meurtre, l'homme laisse des indices guidant Mila vers un autre meurtre, commis également par un oublié. Là encore, un indice pour trouver le prochain crime...

Pour résoudre l'affaire, le chef de Mila l'enjoint à prendre contact avec un flic paria qui a enquêté, il y a vingt ans, sur une série de disparitions.

« L'écorchée » reprend la trame du « Chuchoteur » avec la poursuite d'un criminel expert en manipulation mentale à travers des crimes sur les lieux desquels Mila trouve un indice pour trouver le crime suivant. Pour autant, l'auteur semble mieux maitriser sa trame narrative et évite les moments de flottement du premier opus.

Le lecteur est alors plus happé par l'histoire qu'il ne l'était dans « le chuchoteur » et en découle un plaisir de lecture amplifié.

Donato Carrisi a la volonté de dématérialiser son histoire en occultant les notions d'espace et de temps (l'histoire n'est fixée ni géographiquement ni temporellement), un procédé que je peux comprendre pour l'avoir utilisé.

Pour le reste, l'enquête est haletante et le rythme ne faiblit jamais jusqu'à la fin qui, malheureusement, comme bien souvent, est un peu tirée par les cheveux, mais on a vu pire dans le genre.

On ne peut que regretter que l'auteur n'utilise pas toutes les possibilités de son personnage principal, Mila Vasquez, dont la pathologie (elle est incapable d'empathie) est malheureusement sous-exploitée (elle l'était déjà dans « le chuchoteur », mais beaucoup moins).

Au final, « L'écorchée » est un bon roman policier qui peut se lire indépendamment du « Chuchoteur », même s'il vaut mieux les lire dans l'ordre.
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Un thriller qui vous happe avec des policiers qui semblent avoir autant de problèmes que les criminels.
Une histoire qui dure depuis 20 ans mais Mila et simon vont s'en occuper.
haletant nous sommes menés d'un crime à l'autre jusqu'à une fin qui ne m'a pas emballé.
Mais c'est vous qui voyez!
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Après le chuchoteur, je me suis lancée dans la suite que nous propose Donato Carrisi. Je dirai tout de même que j'ai préféré le premier même si j'ai aimé celui là. J'aime les renversements de situations et ne pas m'attendre à la fin, j'aime toute la tournure psychologique et les réflexions des personnages. le personnage de Mila Vasquez est touchant.
J'avoue ne pas avoir tout compris de la fin, peut-être que l'auteur laisse t-il sous entendre une suite ?
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