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EAN : 9782203097513
Casterman (06/01/2016)
3.68/5   109 notes
Résumé :
Une cabane perdue dans la neige et des jeunes filles qui disparaissent tour à tour la nuit venue...
Des monstres parasites cachés au fond des bois qui attendent la proie idéale pour faire ... leur nid.
Emily Caroll nous livre un florilège de contes horrifiques à l’ambiguïté grinçante, et nous rappelle cette délicieuse sensation d'avoir peur, confortablement installé sous les couvertures, en toute sécurité.
A moins que...
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Promenons-nous dans les bois
Pendant que le loup n'y est pas
Du moins, c'est ce que l'on croit...

Dans ce roman graphique, Emily Carroll nous présente cinq contes horrifiques.
Il s'agit d'histoires plus ou moins courtes, où meurtriers en série et humains psychopathes n'ont pas leur place.
Ici, l'auteure joue plutôt avec nos peurs ancestrales et irrationnelles.
Nous commençons à chaque fois par une histoire réaliste, où peu à peu l'horreur et le paranormal s'insinuent.
Au fond des bois sont enfouis les plus terribles mystères...
Vaincre des monstres tapis dans le noir ne relève pas de la capacité humaine et leur échapper n'est pas si simple.
Les protagonistes vont être confrontés à des situations diverses et plutôt angoissantes.

J'ai cependant trouvé le résultat assez inégal. Certains contes sont plus inquiétants que d'autres, comme le premier qui est selon moi le meilleur du recueil.
Le gros point fort de ce livre reste la beauté des dessins.
Les mises en page et le travail de lettrage sont remarquables. On alterne entre des planches colorées sur fond noir et des pages en noir et blanc. Sans oublier les touches rouge vif de part et d'autre.
Il vaut mieux lire ces contes sans en connaître le résumé au préalable, afin de garder entièrement l'effet de surprise.
Ce livre n'est évidement pas recommandé aux enfants.

À lire de préférence à la tombée de la nuit.
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À travers ce sublime ouvrage illustré, Emily Carroll nous propose des histoires dont l'horreur ne manquera pas, si ce n'est de vous effrayer, de vous marquer et de vous pousser, durant quelque temps, à vous tenir éloignés des bois. Cet endroit bien souvent effrayant et non dénué d'une certaine aura de mystère et de danger que l'autrice met ici brillamment en scène. Au fil des pages, vous rencontrerez des personnages différents, bien souvent féminins, et systématiquement englués dans des situations difficiles dont il semble bien impossible de s'échapper…

Parfois ambiguës, systématiquement expressives, ces histoires vous plongeront dans l'horreur, l'autrice jouant habilement avec les peurs ancestrales, celles tapies en chacun de nous, tout en nous faisant miroiter une ambiance de conte à l'ancienne. Parce que le loup n'est pas la seule menace dans les bois, vous apprendrez que la peur peut prendre bien des formes et qu'elle est parfaitement justifiée face à des monstres souvent insaisissables. Des monstres qui vous parasiteront sans même que vous ne vous en rendiez compte. D'ailleurs, de parasites, il en est beaucoup question dans ce recueil, ce qui m'a semblé assez original et qui pourrait presque servir d'allégorie à tous ces parasites, réels ou imaginaires, qui nous plombent l'esprit. Néanmoins, et ce sera le seul petit défaut de ce livre, il m'a manqué un peu plus de diversité, non pas dans les situations, mais dans la forme des menaces qui pèsent sur les personnages.

Quant à l'ambiance graphique, elle participe intégralement à ce sentiment d'angoisse qui monte à mesure que l'on tourne les pages et que l'on s'approche de figures cauchemardesques qui menacent de nous engloutir. Il y a d'ailleurs un véritable focus fait sur des détails comme la bouche et les dents, accentuant notre sentiment de malaise et de danger. La palette de couleurs est plutôt restreinte, mais l'autrice utile avec maestria chaque couleur, avec un jeu particulier sur le rouge qui vient souligner les moments d'horreur et les événements tragiques. On notera également une totale liberté dans les cases, une liberté ordonnée dans le chaos qui apporte beaucoup de vivacité et de réalisme aux illustrations.

En conclusion, Dans les bois devrait ravir les amateurs de textes à l'ambiance horrifique qui jouent sur des peurs ancestrales, en les ancrant dans des situations angoissantes dans lesquelles les personnages se trouvent inexorablement piégés. Des émotions variées ne devraient pas manquer de vous accompagner durant la lecture de ces textes qui semblent parfois réticents à livrer tous leurs secrets, mais que vous prendrez tout de même plaisir à dévorer !

Je vous propose maintenant de parler brièvement de chaque histoire.

L'hôte

Nous suivons Bell, jeune fille solitaire et taciturne que son frère vient chercher à son pensionnat pour qu'elle passe les vacances avec lui et sa fiancée, Rebecca. Arrivée sur place, la jeune fille n'aspire qu'à lire en toute tranquillité quand son frère et sa fiancée ne peuvent s'empêcher de la solliciter. Mais ce désagrément n'est finalement rien par rapport à l'atmosphère étrange qui règne dans la maison et dans les bois à proximité, un endroit que Bell devrait éviter comme le lui a suggéré la cuisinière. En effet, Rebecca, quand elle y était plus jeune, y a vécu un événement fort désobligeant qui aurait pu lui coûter la vie.

De fil en aiguille, la curiosité et la peur s'insinuent dans le coeur et l'esprit de Bell et des lecteurs jusqu'à ce que la vérité se fasse sur la vraie nature de l'horreur. Une horreur qui peut prendre des formes inattendues et faire son nid aussi sournoisement que le plus affreux des parasites. Mais après tout, parasite ou non, que ne ferait-on pas pour protéger ses enfants ? Peut-être d'ailleurs que Bell aurait bien fait d'écouter les histoires de sa maman…

Son visage ensanglanté

Un homme regarde son frère rire et amuser la galerie, mais alors qu'il devrait ressentir, comme les autres villageois, un certain soulagement à le voir bien vivant, le malaise s'empare de lui. Il faut dire qu'il en est certain, il s'agit d'un imposteur, car si cet homme a le visage de son frère et porte les habits de son frère, il n'est pas on frère. Et pour cause…

J'ai apprécié la manière dont l'autrice fait planer le mystère et cette ambiance de traque d'une bête monstrueuse que deux frères tentent d'éliminer, mais j'ai eu l'impression de ne pas avoir tout compris. J'ai donc apprécié l'histoire, mais je reste réservée quant à la clarté avec laquelle elle a été présentée. Peut-être trop subtile et ambigüe pour moi !

Mon amie Janna

Dans cette histoire, il est question de spiritisme et de deux amies qui, sans malice mais avec une certaine légèreté, se font complices d'une mascarade. Si Yvonne ne croit pas aux fantômes et n'en a jamais vu, cela ne signifie pas qu'elle est aveugle face à l'aura qui entoure son amie Janna. Par peur de la brusquer ou de lui donner l'impression de vouloir lui voler la vedette, elle préfère néanmoins se taire.

Une décision que l'on peut comprendre, mais qui ne sera pas sans conséquence… Et si Janna se laissait submerger par cette tempête intérieure qui l'isole, et dont on ne connaît que trop tard la véritable nature ? À trop vouloir jouer avec le feu, ne risque-t-on pas de se brûler ? À moins que ce ne soit de nouveau les bois qui placent sur le chemin de deux jeunes filles un danger inattendu, source d'une catastrophe inévitable.

La maison voisine

Trois soeurs attendent le retour de leur père parti depuis sept jours à la chasse. Mais contrairement à ses instructions, l'aînée, qui à la charge de ses cadettes, a refusé de quitter la maison pour aller frapper à la porte de la maison voisine… Néanmoins, petit à petit, le foyer se vide jusqu'à ce que la maison voisine s'impose comme seul et dernier refuge.

J'ai apprécié l'ambiance pesante de ce huis clos dans lequel sont piégées des soeurs qui vont devoir faire face à une menace d'autant plus insidieuse qu'elle semble endormir les consciences, du moins certaines consciences. Avec des rappels subtils, mais bien présents, l'autrice nous offre une histoire qui ne sera pas sans rappeler celle du Petit Chaperon Rouge. Un conte toujours efficace, a fortiori quand il est auréolé comme ici d'une pointe de mystère et de la certitude que quelque chose de terriblement dangereux vient frapper chaque nuit à la porte d'une cabane isolée…

La dame aux mains froides

Il était une jeune fille qui, comme tant d'autres, dût épouser un mari choisi par son père. Si la situation est déjà fort désobligeante en soi, elle devient franchement inquiétante, quand la nuit tombée, une étrange et funeste mélodie réveille la jeune mariée. Une mélopée entêtante qui la conduira dans une macabre chasse aux membres. Et si finalement, certains secrets méritaient de rester enterrés ou, plutôt, emmurés ?

On reconnaît volontiers le trait de l'autrice, mais celle-ci introduit dans cette histoire aux allures de conte, une nouvelle palette de couleurs avec un joli bleu et un jaune profond, qui finissent néanmoins par être souillés, la vie de princesse ne mettant pas à l'abri d'une bien difficile destinée.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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Through the Woods est un roman graphique et recueil de contes qui m'a bien plu mais il manque un petit quelque chose pour que le coup de cour soit la....

Le défaut (commençons pour une fois par le négatif) est la répétition des mêmes thèmes : mort, fantômes.... Alors ça donne une certaines continuité à l'oeuvre mais ça m'a lassé au bout d'un moment. On est très loin des contes enchanteurs, ici le public visé est bien un public adulte mais j'aurai aimé des contes un peu moins effrayants.

Par contre je suis complètement séduite par les dessins qui sont splendides. Face à ces pages, on retombe en enfance et chacune est une découverte magnifique.

Amateur de fantastique et de contes ce roman devrait vous plaire.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Brillante auteure et illustratrice de BD canadienne, Emily Carroll est malheureusement encore trop méconnue dans l'hexagone, où seulement deux de ses créations ont été publiées en quatre ans. Son univers, où se côtoie monstres des frayeurs enfantines et étrange fantasmagorie, ne peut laisser personne indifférent, surtout pas les amoureux d'Edgard Poe, de Lovecraft ou... d'Angela Carter.

En effet, dans ce magnifique album à lire sous la couette à la lueur de la torche (mais réservé aux plus grands), l'artiste présente à son lecteur cinq histoires courtes encadrées d'une introduction et d'une conclusion, le tout en BD, évidemment. L'incipit vous sera terriblement familier : la narratrice raconte ses innombrables lectures à la lampe de chevet, le soir avant de s'endormir, craignant qu'une main invisible sortie des ombres l'agrippe soudain sans crier gare. Quel lecteur ne s'est pas laissé aller, enfant, à la peur d'être englouti par une quelconque créature née de la nuit ou vivant sous son lit?

Sans transition et après ces angoissantes interrogations, la première histoire commence. Elle nous entraine dans une ambiance évoquant les années trente, aux côtés d'une collégienne solitaire quittant le pensionnat pour passer quelques jours dans la maison de campagne de son frère et de sa jeune épouse. Cette dernière, répondant à l'élégant prénom de Rebecca (serait-ce un hasard? Aucun point commun dans l'intrigue avec le célèbre roman de du Maurier, mais on se demande si le choix de l'auteure est totalement anodin), est trop douce et trop sophistiquée pour être honnête. La jeune héroïne ne tardera pas à découvrir quelle monstruosité a investi les lieux... et sa belle-soeur, par la même occasion...

La seconde histoire prend place dans un tout autre contexte : la campagne en des temps reculés où une chasse au loup tourne au cauchemar, laissant le lecteur en plein cliffhanger. La troisième nous invite dans un environnement évoquant une gentry anglaise à la Jane Austen, mais où des séances de spiritisme bidons mènent finalement à une possession bien réelle. La quatrième plonge le lecteur dans une forêt enneigée à la fin du XIXème siècle : les membres d'une famille vivant dans une maison isolées disparaissent un à un jusqu'à ce que la dernière fillette en vie décide d'affronter les bois... pour mieux tomber dans les bras du ravisseur, peut-être? L'ultime historiette illustrée est un régal de préciosité, mettant en scène un XVIIIème siècle baroque en diable où se côtoient esprit rococo et esprit frappeur pour un mariage façon Barbe-Bleue qui tourne court.

Terriblement dérangeantes, ces histoires courtes construites comme des nouvelles fantastiques dans le pure style du genre jouent avec nos nerfs en s'amusant des codes du bizarre et du suspense. Les chutes, toujours glaçantes, nous laissent parfois comme pétrifiés face à l'horreur qu'elles suggèrent et ce même si le lecteur n'est jamais sûr de rien, ni même parfois d'avoir ne serait-ce que saisi toutes les subtilités de l'intrigue. Or, comme les zones d'ombre de la chambre à coucher propices à imaginer les pires monstres tapis dans le noir, les angles-morts qu'Emily Carroll disperse dans ses histoires deviennent des espaces de libre projection du lecteur, où il peut laisser enfler ses angoisses les plus personnelles. Seul point commun à tous ces récits : l'omniprésence de la forêt, lieu symbolique par excellence où se sclérosent toutes les peurs, résidus de nos frayeurs enfantines.

A l'inspiration de la nouvelle dans le fond comme dans la forme, il faut aussi ajouter l'inspiration manifeste du conte. Il y a en effet quelque chose des contes gothiques de Poe aussi bien que des contes merveilleux dans les BD d'Emily Carroll, l'image du monstre ou du kidnappeur suggérant souvent la figure du loup caché dans les bois, près à nous dévorer. Dès lors, une silhouette encapuchonnée de rouge traversant une forêt enneigée ne peut être un hasard, surtout lorsque cette dernière fonce tête baissée (et presque volontairement) dans les bras du criminel vêtu de noir. Par association d'idées, difficile de ne pas penser, encore une fois, aux jeunes filles et chaperons qui épousent la part sombre et animale des bois dans "La compagnie des loups" d'Angela Carter, d'autant que la construction en histoires dans l'histoire et le panache d'époques et de personnages ne sont pas non plus sans évoquer son adaptation par Neil Jordan.

Cette étrange fantasmagorie est servie par des illustrations aux traits d'apparence simple mais magnifiés par un jeu très audacieux des couleurs et des contours. Emily Carroll est la seul illustratrice de son album, mais elle adopte à chaque fois des techniques de mise en page ou de mise en couleurs différentes d'une histoire à l'autre, donnant à chacune sa personnalité. Un univers esthétique entier sépare la première, à la construction sous forme de vignettes très classique, de la dernière, aux larges images vertigineuses. Ombres et lumières se côtoient dans une mise en image quasi cinématographique qui ne peut que retenir notre attention.

En bref : Dans la lignée de Poe, Lovecraft, ou d'Angela Carter, l'auteure et artiste Emily Carroll nous sert ici un florilège gothiques et macabre d'histoires courtes bédéisées, à mi chemin entre le conte noir et la nouvelle fantastique à l'ancienne. Dérangeant, palpitant et visuellement captivant!
Lien : http://books-tea-pie.blogspo..
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Nouvelles sous formes de bandes dessinées, elles exploitent certains thèmes des contes, comme la forêt, les monstres, les loups... Ainsi qu'une réécriture du Petit Chaperon rouge.
L'ensemble donne un recueil assez angoissant, mais très beau. Les 3 couleurs utilisées, noir, blanc et rouge, donnent une poésie à l'ensemble tout en étant parfaitement adaptées aux thématiques. La dessinatrice joue sur des contrastes très forts. Les textes ne sont pas envahissants, le lettrage est soigné.
Une belle manière de revisiter les contes, en accentuant leur côté angoissant, à destination d'un public adulte.
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critiques presse (4)
BulledEncre
06 juin 2016
Préparez-vous à trembler.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BDGest
09 février 2016
Portées par un graphisme plein d’imagination et une mise en couleur qui sait saisir ses effets, ces cinq nouvelles font cependant plus frissonner que trembler !
Lire la critique sur le site : BDGest
Auracan
12 janvier 2016
Surprenant, déroutant parfois, Dans les Bois pourra exercer une noire séduction sur les bédéphiles curieux, les amateurs de "nouvelle" BD ou les accros purs et durs de fantastique...
Lire la critique sur le site : Auracan
BoDoi
11 janvier 2016
Légèrement changeant, le trait d'Emily Caroll mêle délicatesse et noirceur de façon très habile. Mais on reste frustré par ce galop d’essai, qui laisse à l’issue de chaque intrigue un peu sur sa faim, à peine familier de personnages intrigants qu’il faut déjà en changer.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
When I was little I used to read before I slept at night. And I read by the light of a lamp clipped to my headboard. Stark white and bright, against the darkness of my room. I dreaded turning it off. What if I reached out... Just past the edge of the bed and SOMETHING waiting there, GRABBED ME and pulled me down, into the DARK.
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And once she was in bed, she said: What a fine night ! What a good walk! I knew the wolf wouldn't find me!

Oh, but you must travel through those woods again and again... said a shadow at the window. And you must be lucky to avoid the wolf every time...
But the wolf... the wolf only needs enough luck to find you once.
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Un jour, Janna et moi avons vu un lièvre étalé sur la route. Mort. Tué par les renards. Du sang coulait de sa gueule et maculait sa fourrure. J'avais été saisie par le besoin de le toucher. Mais je ne l'avais pas fait. Janna, si. Janna l'avait touché et j'avais eu trop peur. Trop peur, mais de quoi?
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I MARRIED my LOVE in the SPRINGTIME, but by SUMMER HE’D LOCKED ME away. HE’D MURDERED me dead by the AUTUMN & by WINTER I was NAUGHT BUT DECAY. IT’S COLD where I am and SO LONELY, but in LONELINESS I will REMAIN, UNLOVED, UNAVENGED and forgotten UNTIL I AM WHOLE once again.
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Sais-tu, petite, que tu portes mon collier? (...) Lorsque je t'aurai mise en pièces, petite, alors je serai apaisée.
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