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EAN : 9782277210948
J'ai lu (14/02/2006)
3.7/5   5 notes
Résumé :
M. Arnold, le mage auquel s'adressent tant d'êtres qui doutent ou désespèrent, aime varier les chemins de sa voyance. Alors, délaissant la boule de cristal et le pendule...
Il se penche, le mercredi, sur les Lignes et les Monts des mains tendues vers lui. Mains qui disent tout au chiromancien : le meilleur et le pire...
Le jeudi, il manipule le tarot. Rituel savant et silencieux, ponctué seulement de « Coupez ! » - geste capital pour le visiteur.
... >Voir plus
Que lire après Le mage et les lignes de la main... et la bonne aventure... et la graphologieVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Il y a une vingtaine d'année, j'ai lu La brute de Guy Des Cars que j'avais beaucoup aimé et c'est donc tout naturel que j'ai acheté ce livre que j'ai malgré tout laissé dormir sur une étagère pendant de très nombreuses années, il faut dire que mon style de lecture a énormément évolué et qu'en tant qu'adepte de policiers, thrillers, polars... les "vieux" livres m'ennuient souvent, je mets ça sur le fait que les technologies (portables, internet, moeurs...) ont tellement évoluées que ces livres n'ont pas suivis.
J'ai donc ouvert ce livre aux pages jaunies avec beaucoup d'appréhension, surtout qu'il est assez épais et écrit en tout petit, on y retrouve Arnold qui le mercredi lit les lignes de la main, le jeudi lit la bonne aventure dans un jeu de tarot et le vendredi décrypte la vie des gens dans leurs écritures, concernant le lundi et le mardi, il faut lire deux autres livres de cet auteur.
Ce livre se découpe donc en environ une trentaine d'histoires principalement basées sur l'amour, elles sont toutes aussi différentes les unes que les autres mais dans l'ensemble, elles sont intéressantes et jamais ennuyeuses. On voit que l'auteur connaît bien la nature des gens et qu'il a du tout au long de sa vie, les étudier dans leurs réactions, comportements, attitudes car toutes ces histoires sont vraisemblables et tiennent la route, il n'y a pratiquement aucune similitude entre elles et alors qu'elles font toutes entre 12 et 15 pages, on arrive à passer de l'une à l'autre sans soucis et sans perdre le fil de la lecture comme il peut m'arriver de le faire quand je lis un recueil de nouvelles par exemple. La construction de ce livre est aussi intéressante car on a tout d'abord le titre de l'histoire en gras, vient ensuite la rencontre du consultant avec le mage (avec une description du consultant en 2 ou 3 lignes seulement), vient ensuite l'analyse du mage et enfin sa conclusion, entre ces 3 étapes il y a un astérix qui nous permet de savoir où on en est facilement.
Donc sans dire que j'ai passé un super moment de lecture, j'ai malgré tout passé un bon moment sans ennui, et je ne dis pas que je relirais des livres de cet auteur mais je ne le bouderais pas non plus.
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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Le mécanisme est des plus simples : dès que Nadia sent un homme bien accroché – un homme très riche, naturellement ! – elle lui montre l’une des perles en lui disant qu’elle a perdu l’autre dans l’incendie de « son » château et qu’elle serait la plus heureuse des femmes d’en retrouver une semblable… Si l’homme marche – ce qui s’est produit à chaque fois tant l’imbécile était amoureux –, elle avertit immédiatement le fameux intermédiaire qui n’est autre que son frère et complice. Ce dernier, après des recherches « intenses », rapporte triomphalement la perle. Il ne reste plus à l’amant qu’à signer un chèque à celui-ci qui garde pour lui vingt-cinq pour cent du montant et remet le reste à Nadia. Vous voyez que tout se passe en famille !
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Il est des mains fines et racées, d’autres plus rustres, certaines, enfin, qui se révèlent vulgaires. Et il est impossible de les modifier : Les miracles de la chirurgie esthétiques peuvent changer un nez, un regard, des oreilles, un visage, des seins, mais pas une main. Il faut l’accepter et la subir telle que la nature l’a voulue. Même les plus beaux bijoux du monde, bagues ou bracelets, ne peuvent pas supprimer l’apparence boudinée de certains doigts ou l’épaisseur des attaches.
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ivre était alors la seule chose qui importait ! Vivre dans la gaieté, dans l’insouciance et dans l’abondance… Les femmes, dont les seules parures avaient été durant le cataclysme le voile blanc de l’infirmière, l’uniforme ou le sinistre crêpe de deuil, éprouvaient de nouveau le besoin de rehausser leur beauté par des artifices. En existe-t-il de plus flatteur que l’éclat de pierres précieuses sur une peau de satin ?
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C’est dans cette plaine que s’entrecroisent les lignes qui sont les conducteurs de la destinée… S’il s’y trouve le moindre affaissement, cela indiquerait chez vous une déficience de l’énergie, peut-être du désir de lutter… Et, si les lignes qui doivent normalement la traverser sont à peine visibles, cela peut devenir l’annonce d’une maladie, d’un manque inquiétant et aussi… de mort imminente !
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Quand on a autant de femmes que vous, on ne peut pas exiger cela d’elles… Il faut faire preuve de compréhension : la femme est un être délicat.
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Video de Guy des Cars (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Guy des Cars
"Le chateau du clown" (Plon) est le 40ème roman de Guy des CARS, dont il lit les premières lignes à Bernard PIVOT. L'écrivain définit ce qu'est un roman, alors que le personnage de son livre, lui, a existé. Au cours d'un séjour dans le Sud il visite le château de GROK, château monstrueux ou le clown est enterré. Guy des CARS raconte, comment, jeune journaliste, il a fait une tournée avec le Cirque Pinder. Dans son roman il raconte l'ascension et le déclin de GROK.PIVOT lui parle de sa "pas bonne" réputation dans le milieu littéraire, celui-ci dit qu'il est "lu". Il a des lettres de grands écrivains, GIDE, VALERY, CARCO, COLETTE qui l'ont encouragé. Il parle du seul prix littéraire qu'il ait eu dans sa carrière, du Goncourt qu'il n'a pas eu, et de la bataille que ça a suscité à l'époque. De noblesse authentique, il est fier des militaires de sa famille, notamment celui de l'Algérie. Il se dit "heureux", entouré de gens intelligents...ne se voyant pas d'ennemis.Mot de la langue française qu'il n'aime pas : valableMot que vous aimez bien : l'amitié
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