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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Bon tout d 'abord ce bouquin n a pas grand chose a faire dans la collection " Grands Détectives " de 10/18 . Vous n 'y trouverez ni enquêteurs , ni tueur psy , Non mais un récit d 'aventure aux indes en 1837 époque de gestion du pays par la Compagnie Britannique des Indes Orientales avant la reprise en main par l 'état en 1858 et le début du RAJ . Un roman mêlant complot politique, économique pour la domination d une partie du sous continent indien par nos bon amis au dos de homard . Voyage initiatique du jeune et naïf héros en compagnie d un vieux routier des entourloupes locales à la recherche d un poète non conventionnel et déjanté , mais bien ( trop ) réaliste sur les desseins des uns et des autres .Tout cela ne s'excite guère qu au dernier tiers et encore tout ceci y compris l'heureuse fin ( enfin ça reste a voir ) assez terne et prévisible Malgré mon envie de mordre dedans j avoue ne pas pouvoir dire beaucoup de mal de ce pâle récit , mais pas grand bien non plus En fait oublié sitôt lu
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Je viens de terminer ce roman dont j'ai envie de dire que c'est un bon roman.Il est bien écrit, documenté et nous apprend bien des choses ,notamment l'occupation anglaise et son objectif de s'approprier bien des richesses.
L'auteure à bien travaillé et nous apporte beaucoup de renseignements sur le pays,ses moeurs,ses intrigues,ses complots.Il y a beaucoup à prendre en Inde,à cette époque.
Et puis il y a les personnages,deux qui s'ignorent au départ,s'observent ,s'estiment et se respectent.Et puis,il y a les autres,faibles,traîtres,menaçants ou bienveillants.Les portraits sont très bien évoqués.
Et que dire de toutes ces descriptions de très bonne facture.
Tout cela est fort bien.Malheureusement,il y a la lenteur.Lenteur de la mise en place,lenteur de descriptions interminables,dialogues sans fin,scènes dramatiques relatées de façon trop lisse.Il est effrayant de voir un crâne écrasé sous le pied d'un éléphant ,non?Et bien là ,pas d'émotion particulière ,pas de frayeur,pas de colère ...Tout manque un peu de sentiment de révolte,de force,les pendaisons collectives,les guet apens avec des morts,la poursuite,même pas peur.Tout est trop lisse,banal,et c'est dommage.Je pense que l'auteure ne sait pas nous faire "prendre parti",on lit,sans s'impliquer et c'est bien dommage.
Je le répète, ce livre mérite notre attention mais ne nous envoûte pas. Amateurs de thrillers,de romans noirs,passez votre chemin.Amateurs d'aventures,laissez vous entraîner et...donnez moi votre avis.
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Publié dans la collection Grands Détectives chez 10/18, Maharajah de M.J. Carter ressemble plus à un roman d'aventures à la manière du XIXè siècle (bien que publié en 2014) qu'à un véritable roman policier.

Situé dans l'Inde du début du XIXè siècle, encore sous la coupe de la Compagnie des Indes avant que la couronne britannique en prenne l'administration directe, Maharajah relate les pérégrinations d'un jeune officier anglais nouvellement arrivé dans le pays, accompagné d'un aventurier anglais (installé, lui, depuis beaucoup plus longtemps en Inde, et donc au fait des us et coutumes de ses peuples, en plus d'en parler les langues) envoyé par ses supérieurs hiérarchiques à la recherche d'un autre Anglais, un écrivain à succès (dont notre jeune officier est de plus, l'un des plus grands fans), mystérieusement disparu dans les jungles du nord de l'Inde -notons au passage que "jungle" est un mot d'origine sanskrite qui désignait au départ une savane arborée et non pas la forêt impénétrable dont nous en avons fait le synonyme.

Ce roman ne me laissera pas un souvenir impérissable . On est loin - très loin ! - du souffle romanesque de Pavillons lointains, de la fantaisie onirique de L'enchanteresse de Florence, ou de l'émouvant Taj.

Maharajah aligne tous les clichés sur l'Inde coloniale, comme si son auteur craignait d'en oublier un seul et se hâtait d'en cocher les cases : tigres féroces, bandits de grand chemin encore plus féroces (et membres de mystérieuses et féroces compagnies secrètes), féroces maharajahs ruisselant de pierreries résidant dans de luxueux palais pleins de mystères et de concubines ...

M.J. Carter parsème son livre de mots hindis, comme la maîtresse de maison qui s'imagine que si elle décore joliment son gâteau, personne ne se rendra compte qu'il n'est vraiment pas fameux. Las ! Ce genre de supercherie ne prend pas plus en littérature qu'il ne prend en cuisine et Maharajah m'est resté sur l'estomac comme des jalebis trop sucrées et beaucoup trop grasses ...
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En lisant la 4e de couverture de ce roman édité dans la catégorie « Grands détectives » , je m 'attendais à une enquête beaucoup plus fouillée et plus captivante .
Il s'agit plutôt d'un roman d'aventures bien que les péripéties ne soient pas très nombreuses .
Le héros et son compagnon de voyage doivent retrouver un célèbre écrivain disparu . Au cours de cette recherche , ils découvrent une machination politique qui permet à la Compagnie des Indes d'asseoir et conforter son autorité .
Ambiance exotique : jungle , embuscades , bandits de grand chemin , temples , palais de Maharajah , chasse aux tigres , complot et trahison ...
Style très agréable , écriture fluide mais avec beaucoup de clichés et quelques longueurs au milieu de l'histoire .
Dans le genre « exotique indien », je n'ai pas trouvé dans ce roman autant de souffle que «Pavillons lointains» de Mary Margaret Kaye .
Je n'ai donc pas été aussi captivé que je l'espérais .
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Fraîchement débarqué en Inde pour travailler au sein de la Compagnie des Indes orientales, William Avery s'attendait à périr d'ennui dans ce pays au climat inhospitalier. L'élue de son coeur ne semble pas lui prêter attention, il n'a qu'un seul ami et même pas d'affectation. Et pourtant, un fâcheux concours de circonstances l'amène à partir à l'aventure avec un Anglais énigmatique, à la recherche du plus grand romancier de son temps. le voilà parti sur les routes d'Inde dans le plus grand inconfort qu'il n'ait jamais connu, poursuivi par des brigands, à sauver un prince indien lors d'une chasse au tigre, à être retenu prisonnier par de thugs, et même à devoir se déguiser en femme pour s'échapper…

Les aventures ne manquent pas dans ce récit aux maintes péripéties et revirements impromptus. le début est assez lent à démarrer, l'auteur prend le temps de nous planter le décor, de nous expliquer le climat particulier qui règne dans l'Empire colonial britannique de l'époque, et le fonctionnement tout particulier de l'Inde sous la coupe de la Compagnie. Nous, lecteurs, partageons le point de vue du narrateur, d'abord franchement hostile à sa nouvelle terre d'accueil, mais qui se transforme peu à peu au fil de ses aventures et de ses expériences. Il ne comprend absolument rien, d'un bout à l'autre du roman, et nous non plus finalement, les explications finales de ses nobles compagnons de voyages sont les bienvenues sur la fin.

Malheureusement, le récit manque d'indices pour nous mettre la puce à l'oreille, de petites anecdotes qui nous font nous exclamer, une fois le pot aux roses révélé : « Mais bien sûr, j'aurais dû y penser plus tôt ! » En fait, on ne comprend rien, du début jusqu'à la fin, on profite de la balade au coeur de l'Inde du XIXème siècle, tout aussi bien que le personnage qui nous transporte, on apprécie le folklore, les idées racistes de la majorité des personnages qu'on croise, l'exotisme de nos hôtes. Et puis, sur la fin, on comprend qu'en fait, tout cela était bien plus compliqué que ce qu'on avait cru comprendre au début.

Mélange subtil entre le récit d'aventures et le roman d'apprentissage, Maharajah n'est cependant définitivement pas un roman policier. le rythme lent et les nombreuses descriptions permettent d'apprécier le cadre, mais desservent l'intrigue, en effaçant toute possibilité de suspense et de tension dramatique. C'est un beau voyage, une belle histoire qui finit bien, quelques jolies réflexions sur la vie. Un roman agréable, à défaut d'être mémorable.


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Beaucoup de mal à me mettre dans ce roman. 1837 l'Inde, la Compagnie des Indes, William Avery jeune officier britannique, Jeremiah Blake ancien de la compagnie partent à la recherche du poète Xavier Montstuart. Intrigues dans ce vaste pays, assassinats, sectes, trahisons. J'ai bien aimé la description de la vie en Inde à cette époque, les moeurs et coutumes. Mais je ne suis pas convaincu, il m'a manqué quelque chose pour plonger dans cette histoire.
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" La position d'officier dans l'armée de L'Honorable Compagnie était pourtant supposée offrir des compensations. Néanmoins, au bout de quelques mois, elles semblaient bien maigre en regard des désagréments : le climat abominable, la barbarie désinvolte de la population indigène et la froideur guindée de la société européenne. Calcutta était l'esclave des apparences, du statut social et de l'argent. " 


Calcutta, 1837, le pays est gouverné par la Compagnie britannique des Indes orientales. L'écrivain Xavier Mountstuart s'est volatilisé dans les profondeurs de la jungle.

L'armée de la compagnie envoie à sa recherche Jeremiah Blake, un agent spécial et William Avery un jeune officier,
Un périple débute à travers le pays des mille et une nuits, une aventure parfois périlleuse mais passionnante qui ne leur laissera aucun répit et leur réservera quelques surprises.



" L'homme que vous cherchez. le poète. Je dirais qu'il avait l'apparence de quelqu'un qui ne souhaitait pas qu'on le trouve. Je dirais qu'il était au- delà de tout espoir. " 



Premier conseil si vous êtes tenté à lire ce livre. Ne vous fiez pas à la quatrième de couverture, ce livre cache derrière sa magnifique couverture un roman d'aventure historique. le terme Thriller s'est glissé malencontreusement dans la présentation et n'a absolument rien à y faire. 
 Moi qui ne me fit pas au résumé je n'ai point été déçu, j'ai apprécié ce duo atypique et j'ai partagé leurs mésaventures avec enthousiasme. le voyage était surprenant même si parfois ça traînait un peu, en même temps à dos de chameau on ne peut guère passer la cinquième. 


Maharajah nous offre un belle aventure en Inde en 1837, avec un réalisme étonnant. Un livre qui plaira à tous ceux qui ont une âme d'aventurier. 
Un beau voyage initiatique, une lecture agréable sans être mémorable mais au dépaysement garanti. 




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Quelles désillusions… Bercés par les romans de Xavier Mountsuart, William Avery s'est engagé dans l'Armée de la Compagnie afin de vivre, à son tour, de grandes aventures en Inde. Pourtant, la réalité est très éloignée de ses rêves. Endetté et avec peu de chances de monter grades, le jeune homme commence à avoir le mal du pays et désire rentrer en Angleterre. Mais voilà, le destin semble être farceur avec lui, car il va devoir retrouver la trace de son auteur préféré, qui a disparu, avec l'aide de Jeremiah Blake, un agent spécial assez taciturne.

La narration se passe par William Avery qui a tout du… Colon blasé qui regarde de haut une civilisation bien différente de sa chère Angleterre et qui ne lui offre pas les merveilleuses aventures que lui promettaient ses nombreuses lectures. Je vous avoue que sur le coup, j'ai un peu grogné… mais avec un léger sourire, car je pensais bien deviner pourquoi l'auteur nous dresse un tel portrait dès les premières pages.

Suite à un ordre donné par la Compagnie qui a imposé la présence anglaise en Inde, il va aller à la rencontre de Jeremiah Blake qui est son total opposé.
Certes, Blake n'est pas vraiment un joyeux luron et ne donne pas beaucoup d'occasions de vraiment découvrir l'homme qui se cache derrière son attitude assez froide. Mais ce n'est pas pour autant qu'il n'essaie pas d'ouvrir les yeux d'Avery sur la vie de la population indienne sous le joug de la Compagnie qui n'est pas aussi parfaite qui semblait être. D'ailleurs, le jeune homme le verra de lui-même tout le long du voyage qui a tendance à nous faire penser à un parcours initiatique.

Ils feront la rencontre de plusieurs personnages qui enrichiront l'intrigue:
– On retiendra en premier les Thugs, une confrérie d'assassins et adorateurs de la déesse Kali. Ils furent, d'ailleurs, très popularisés dans le monde par divers romans publiés à la même période où se déroule cette histoire
– Puis, il y'a ceux qui apportent différents regards, en plus de ceux d'Avery et Blake sur l'Inde: source de richesse pour certains, d'autres d'un air « paternaliste » pensent offrir une meilleure qualité de vie et de savoir à une société indienne bien trop archaïque pour eux, des souverains indiens qui essayent de maintenir leurs trônes pour conserver leurs territoires face à la domination anglaise etc….

On sent qu'on est sur une poudrière prête à exploser et l'avenir ne va faire que confirmer ce ressenti.
D'accord pour le contexte, mais l'intrigue ? Tout d'abord, il a tout du roman d'aventures:
– traverser la jungle pleine de dangers, en quête d'une personne disparue et se battre contre des bandits prêts à vous écorcher vifs…
Dit comme cela, je ne peux m'empêcher de voir les éléments des histoires que lisaient Avery et une des raisons qui l'ont poussé vers l'Inde. Pourtant, tout en reprenant les codes du genre, l'auteur nuance le côté le romanesque en y incluant des personnages historiques avec leurs véritables contributions au sein de la Compagnie, mais aussi un regard lucide de la situation à travers le personnage de Blake. Peut-être que j'extrapole, mais il est possible d'y voir une certaine ironie de la part de l'auteur, sur ses récits qui pullulaient dans les journaux lors de la période coloniale.

Le seul point gênant durant ma lecture fut la présence de quelques longueurs lors du trajet et a levé les yeux face aux lamentations d'Avery. Mais lorsqu'une scène d'action arrive, je peux vous dire qu'elles sont efficaces et bien dynamiques.

Conclusion:
« Maharajah » est un roman qui m'a beaucoup plu pour son traitement du contexte historique et son duo, qui là encore, j'aimerais retrouver dans d'autres récits afin de surtout voir continuer l'évolution d'Avery auprès de Blake.

Le style est agréable et on ne peut qu'apprécier le travail minutieux de l'auteur pour les détails historiques. Côté aventure, bien qu'il y' ait quelques longueurs, on se laisse facilement entraîner par cette enquête qui touche les hautes sphères de la Compagnie.

A conseiller surtout pour ceux qui aiment lire des romans historiques fort bien détaillés et sachant retranscrire avec lucidité et sans condescendance une période riche en événements.
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Notre narrateur, ce cher William Avery, est le parfait produit de son temps. Plus ou moins contraint par l'ordre familial établi de s'éloigner de son Angleterre chérie pour s'engager en tant qu'officier en Inde, il méprise souverainement ce pays « sous-développé » au milieu duquel il est contraint d'évoluer. Les jolis clichés de ses lectures des livres du grand poète Xavier Montstuart sont loin, et ne restent que la chaleur, les dettes de jeu et le mal du pays. Forcément, l'expérience de lecture est d'emblée très, très particulière parce qu'il est difficile d'avoir de l'empathie pour ce type fermé, qui se lamente sur son sort en permanence, et qui se comporte, comme l'essentiel de ses pairs, en petit c(ol)on idéal. Et en même temps, M.J. Carter nous prouve avec ce choix audacieux qu'elle entend bien restituer l'esprit nauséabond de l'époque.

Je parlais de voyage initiatique puisqu'évidemment, Avery ignore tout du pays qui l'a accueilli et il va falloir qu'il s'embarque dans une mission qu'il n'a pas choisie, auprès d'un type autrement plus tolérant, dégourdi et clairvoyant, pour apprendre l'Inde, et au passage, la vie en général. En le trainant avec lui pour un voyage harassant entre Calcutta et Jabalpour, semé d'embûches et de dangers, Jeremiah Blake va offrir à ce garçon un regard neuf sur la réalité des conditions de vie du peuple et de la main-mise de la Compagnie sur l'ensemble du pays. La mission secrète d'Avery, à savoir surveiller son supérieur qui n'a pas toute la confiance de l'armée pour retrouver Montstuart, va devenir de plus en plus difficile à mesure que son respect grandit pour lui.

Point de vue évasion, j'ai été largement servie. Dans un décor tour à tour merveilleux, inhospitalier, étouffant, l'auteure nous entraine au coeur des palais fastueux des maharajahs, des résidences exotiques des britanniques et des régions secrètes où sévit une secte adoratrice de Kali, la déesse de la mort… Point de vue rebondissements et mystère, on y est aussi, mais malheureusement l'ensemble est un peu plombé par un rythme trop lent et un style, certes élégant, mais un chouïa daté… D'un côté, j'ai été séduite par l'aspect roman d'aventure vintage, mais de l'autre, il faut reconnaitre que certains passages sont un peu longuets et que le suspense est bien souvent éclipsé au bénéfice de l'intérêt historique.

On y apprend beaucoup de choses, on a le plaisir de retrouver le genre du roman d'apprentissage dans un cadre exceptionnel et les piqûres de rappel de la cruauté de la colonisation ne font jamais de mal, mais c'est vrai qu'il a manqué un peu de nerf à ce roman pour me passionner tout à fait.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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William Avery est un jeune officier anglais en poste à Calcutta en 1837 qui est sous la régence de la Compagnie britannique des Indes orientales. C'est un admirateur de l'écrivain Xavier Mountstuart, très connu des expatriés anglais. Et Avery va avoir comme mission de le retrouver car l'écrivain a disparu dans la jungle indienne. Pour cela, il doit accompagner Jeremiah Blake, agent spécial, grand spécialiste des moeurs avec un caractère bien trempé. Ils vont traverser le pays, vivre des aventures assez incroyables, rencontrer des personnages atypiques.
La lecture de « Maharajah » a été longue et ce n'est pas en raison de son nombre de pages… Pour moi, ce n'est pas un thriller mais un roman d'aventures où le lecteur va découvrir l'Inde de cette période aussi bien dans les paysages que dans les us et coutumes des Indes orientales. L'auteure donne de belles descriptions et permet de voyager. Ne connaissant pas cette période dans cette Inde, j'ai appris comment cela pouvait se passer la vie d'expatriés anglais et d'indiens avec leurs croyances.
« Maharajah » est considéré comme un thriller mais je n'ai malheureusement pas senti du thriller pendant ma lecture… Si vous aimez l'Inde et les aventures, ce roman est fait pour vous. Les copines et moi avons le même sentiment par rapport à ce roman et nous n'avons pas accroché comme son dit… Par contre, la couverture du livre est juste sublime tout comme l'intérieur où il y a des rappels de cette couverture (et je trouve cette couverture beaucoup plus jolie de celle originale 😉 )!!
Lien : https://unbrindesyboulette.w..
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