Génération K, tome 3

Voilà une critique vraiment à chaud ! J'ai terminé le roman à onze heures hier soir après avoir passé une bonne partie de la journée dessus et je ne résiste pas à l'envie de partager tout de suite mes impressions avec vous.

On retrouve pour la dernière fois Kassandre et ses acolytes dans un troisième tome au rythme aussi effréné que dans les deux premiers. Courses poursuites, actions, affrontements aussi bien physiques (contre les hommes) que psychologiques (contre le Maître), ce final est aussi diablement sanglant !

Une nouvelle fois, j'ai été complètement fascinée par les entités millénaires créées par Marine Carteron. Je trouve que cela apporte beaucoup de poésie dans un roman autrement surtout centré sur l’action.
On se rend compte à quel point les quatre Génophores sont complémentaires, chacun représentant l'un des quatre éléments. La connexion qui lie Enki à la Nature permet à l'autrice de faire passer un message alarmant sur l'écologie tandis que Kassandre nous incite à avoir confiance en l'humain.
Après le taureau blanc de Kassandre et le noir dragon de Georges, on découvre les bêtes qui abritent les pouvoirs d'Enki et de Mina. Cette matérialisation donne lieu à des scènes très visuelles lorsque leurs pouvoirs, bien plus puissants que dans le premier opus, se réveillent.

Mais surtout… il y a cette révélation finale ! Ah, mes aïeux ! Des indices n'ont cessé de me titiller tout le long de ma lecture, mais ce n'est qu'à la page 354 que ça a enfin fait « tilt » (enfin, plutôt « Mais putain, évidemment ! »). La réponse à l'interrogation qui parcourt tout le roman était tellement évidente, écrite même, et j'ai bien eu l'impression d'avoir été menée en bateau avec maestria. Chapeau à Marine Carteron, voilà un moment qu'une fin ne m'avait pas enthousiasmée et amusée comme ça.
D'ailleurs, petit conseil à celles et ceux qui aiment fouiller les pages avant et après le roman, lire les remerciements, tout ça : je vous déconseille de lire la partie intitulée « Mais où trouvez-vous vos idées ? » au risque de complètement vous spoiler la fin ! Vous êtes prévenus !
Bon, ce n'est pas facile de vous faire passer mon enthousiasme et mon admiration sans spoiler, sans indice même, mais je serais ravie d'en parler avec vous dans les commentaires !

Des morts, du sang, un virus qui se propage de plus en plus, un antidote qui se fait attendre, des tensions exacerbées, un Maître très en colère… Tous les ingrédients nécessaires à un final sombre, pimenté par une révélation qui m'a tout simplement ravie. Ce troisième tome conclut en beauté (une beauté un peu morbide, certes) cette trilogie totalement addictive !
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Mon opinion ne va peut-être pas faire l'unanimité, mais je suis extrêmement déçue par cette trilogie.
J'avais adoré les Autodafeurs, c'est donc tout naturellement que j'ai acheté cette série, étant de la même auteure. Je l'ai très vite regretté. C'est allé de pire en pire à chaque tome, donc le troisième est l'apothéose de la nullité.
Ce qui m'a le plus dérangé, c'est que l'histoire n'a aucun intérêt seul importe la violence, le sang... (ce qui l'ont lu, vous voyez ce que j'entends par "...")
Bref, juste du trash.
Tout ce que je déteste !

Et ça c'est un final! Bravo à Marine Carteron pour avoir mené tambours battants une intrigue à couper le souffle, pour avoir créer des personnages aussi complets, pour m'avoir donné envie de lire des suites (alors que des nouveautés s'entassent sur ma table de chevet). Generation K, c'est aussi bien que les Autodafeurs, mais ce n'est pas les Autodafeurs, c'est plus sombre, plus dense mais toujours aussi passionnant!

Un livre qui m'a tenu en haleine du début jusqu'à la fin et dont le dernier chapitre me laisse espérer une suite aussi étoffée que l'entièreté de l'oeuvre. Je me réjouis de la suite…
Aux lecteurs avides de séries fantastiques et d'intrigue, vous êtes sûr de vous régaler !

Bilan assez mitigé sur ce troisième et dernier tome malheureusement. Je tiens quand même à dire que j'ai lu ce livre pour un challenge et que je ne l'ai donc pas forcément lu parce que j'en avais envie à ce moment là. Je pense que ça a beaucoup joué dans mon expérience de lecture parce que j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, sans avoir pour autant de reproches à faire au livre au départ. Je n'étais juste pas dans le bon mood en fait.
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Malgré tout, je dois avouer que la conclusion m'a objectivement un peu déçu. J'étais content de découvrir enfin le lien avec la saga Les autodafeurs, mais j'ai trouvé que l'élément commun était bien mieux expliqué dans Les autodafeurs. Il me semble que l'explication peut être assez floue pour les gens qui n'ont lu que Génération K. En soi, ce n'était pas un problème pour moi mais en étant objectif, je pense que ça peut l'être pour d'autres. En plus de ça, je n'ai pas forcément été convaincu par les explications sur les pouvoirs des Génophores et du Maître, ce qui est un peu dommage.
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Quoi qu'il en soit, j'ai beaucoup aimé tous les autres livres de Marine Carteron que j'ai pu lire jusque là et je continuerai donc de la suivre. Je reste d'ailleurs convaincu que j'aurais bien mieux apprécié la lecture si j'avais sorti ce roman à un autre moment (même si ça n'aurait certainement rien changé aux petits bémols concernant la fin).

Je suis ravie d'avoir enfin lu le dénouement de cette trilogie. Les personnages des génophores se révèlent totalement dans ce troisième tome. J'ai trouvé ce tome un tout petit peu en dessous des deux précédents car beaucoup de choses se mêlent et j'avoue que la fin m'a un peu déçue même si elle tient complètement la route.

Du génie.

Je n'aime pas les fins d'histoire, encore moins lorsqu'il s'agit d'une trilogie et qu'on sait que les aventures de personnages devenus familiers au fil des tomes, sans qui on peut vivre bien sûr, mais avec lesquels on peut aussi vivre 1001 situations, vibrer, rire, tressaillir, respirer deux secondes et repartir, touchent à leur fin.
Ce tome 3 me fait cet effet. J'étais impatiente de découvrir comment l'auteure allait mettre un point final à cette trilogie, je n'ai pas été déçue. Comparé au précédent, ce livre m'est apparu plus calme, il y a toujours de l'action mais moins de révélations. J'ai senti le point final s'étirer jusqu'au moment fatidique, où le Maitre se révèle à nous.
Pour toute cette trilogie que j'ai apprécié autant que les Autodafeurs, je remercie Marine Carteron d'avoir le talent de créer des histoires si fantastiques et cohérentes, pour notre plus grand plaisir de lecteurs.

Après le tome 1, vous pensiez connaître les personnages et avoir une idée de ce qui les attendait, peut-être un peu à la X-Men... Après le tome 2, vous vous êtes rendus compte que tout cela était bien plus complexe, que les personnages étaient bien différents de ce que vous pensiez, et que la situation devenait très compliquée.

Dans le tome 3, c'est encore complètement autre chose et en pire car le Maître est de retour!

Dans un tourbillon d'action, de mort, de redécouverte et de fin du monde, tout est bouleversé jusqu'au final grandiose! Tout ce que l'on pensait avoir compris du tome 1 semble n'avoir plus aucune importance, Kassandre, petite princesse gâtée et révoltée et Georges, petit délinquant des cités, semblent tellement loin au fur et à mesure des pages...

A lire absolument!

A partir de 12-13 ans.
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..

J'ai trouvé ce dernier tome beaucoup trop sanglant et violent. Les descriptions sont atroces et certaines m'ont choquée, en particulier cet ongle qui s'enfonce dans la pupille de je-ne-dirai-pas-qui et son oeil qui est dévoré. ou encore le coeur de je-ne-dirai-pas-non-plus-qui qui est indifféremment mangé.

Ma critique est peut-être un peut déplacée mais je préfère alerter les futurs lecteurs de quelque chose que j'aurais mieux fait d'éviter. Pourtant, le scénario est superbement écrit, avec des retournements de situation bouleversants et des visions différentes de beaucoup de personnages, même les plus déments.

Je conseille ce 3e tome à ceux qui n'ont pas froid aux yeux et qui sont à la recherche des émotions les plus intenses.