Dans ce troisième et dernier tome de "Génération K" (à la fin duquel on comprend mieux le titre), chacun "cherche son chat". Kassandre, Georges et Enki cherchent à se remettre des épreuves passées, à échapper à Bathory et au Maître. Karl Bathory de Kapolna cherche les Génophores pour se faire toujours plus de blé en créant un antidote au virus qu'il a créé et qu'il vendra à prix d'or au monde entier. le Maître cherche ses enfants afin de renaître, mais il cherche aussi son identité primale ("Qui suis-je ? D'où viens-je ? Dans quel état j'erre ?"). Carlo cherche à retrouver son humanité. Les hommes, eux, cherchent juste à survivre... le méritent-ils ?
Et moi, j'ai juste cherché à ne pas m'ennuyer avant un final qui m'a certes laissée la tête à l'envers (mais c'est parce que j'ai lu "Les Autodafeurs"...). Mais avant d'y arriver, j'ai malheureusement trouvé le temps très long. Et ça me fait de la peine de devoir l'avouer car j'ai positivement adoré tous les autres livres de l'auteur. Moins de peps, moins de vitesse, et nettement moins de petites touches d'humour noir dans ce volume que dans les deux précédents. Malgré tout, l'envie de savoir le pourquoi du comment du parce que reste intacte et sur ce plan-là, je n'ai pas été déçue.
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Dans ce troisième et dernier tome de "Génération K" (à la fin duquel on comprend mieux le titre), chacun "cherche son chat". Kassandre, Georges et Enki cherchent à se remettre des épreuves passées, à échapper à Bathory et au Maître. Karl Bathory de Kapolna cherche les Génophores pour se faire toujours plus de blé en créant un antidote au virus qu'il a créé et qu'il vendra à prix d'or au monde entier. le Maître cherche ses enfants afin de renaître, mais il cherche aussi son identité primale ("Qui suis-je ? D'où viens-je ? Dans quel état j'erre ?"). Carlo cherche à retrouver son humanité. Les hommes, eux, cherchent juste à survivre... le méritent-ils ?
Et moi, j'ai juste cherché à ne pas m'ennuyer avant un final qui m'a certes laissée la tête à l'envers (mais c'est parce que j'ai lu "Les Autodafeurs"...). Mais avant d'y arriver, j'ai malheureusement trouvé le temps très long. Et ça me fait de la peine de devoir l'avouer car j'ai positivement adoré tous les autres livres de l'auteur. Moins de peps, moins de vitesse, et nettement moins de petites touches d'humour noir dans ce volume que dans les deux précédents. Malgré tout, l'envie de savoir le pourquoi du comment du parce que reste intacte et sur ce plan-là, je n'ai pas été déçue.
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