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Après l'attaque de la chapelle, Auguste et sa soeur Césarine sont obligés d'aller vivre chez leur tuteur, Marc DeVergy. Mais leur vie est toujours menacée par les Autodafeurs qui ont réussi à mettre au point une nouvelle arme pour détruire les livres et la connaissance. La famille Mars va devoir lutter pour survivre et combattre leurs ennemis de toujours...
Quel plaisir de retrouver ces jeunes héros si attachants dans ce second volet de leurs aventures !
Auguste n'a que 14 ans mais ressort plus mature de la tragédie qui a touché sa famille. Il garde tout de même le côté impulsif de sa jeunesse qui l'entraine parfois dans des situations cocasses ou dangereuses. Heureusement que son fidèle ami Néné est là pour lui remettre les pieds sur terre.
Ma tendresse va vers Césarine : cette jeune autiste porte un regard différent sur les choses et les événements, devenant un véritable stratège dans cette lutte contre les Autodafeurs. Elle gagne cependant en sensibilité dans ce tome, apprenant les sentiments auprès de son amis Sara. J'adore ce personnage.
J'ai vraiment apprécié cet opus, plein de rebondissements et de révélations sur le passé des membres de la Confrérie. Pour moi, cette série est une réussite : à travers ce roman d'actions, Marine Carteron pose de vraies pistes de réflexions sur l'importance des livres mais aussi sur les dangers de la manipulation de la connaissance par des gens mal intentionnés.
J'ai hâte de lire le tome 3 !
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1 ère scène : une réunion secrète dans un lieu secret avec des membres masqués. Ambiance ! le décor est planté. Cliché ? peut-être, mais le traitement de cette histoire ne l'est pas du tout.
Cliché car on a des super méchants qui veulent faire des choses pas jolies jolies qui auront un impact sur le monde entier. Cliché parce que les héros qui doivent sauver le monde sont des ados un peu idiots ou geek. Là où se n'est pas cliché c'est dans la menace mondiale (détruire les ivres). C'est dans l'humour omniprésent. C'est dans les personnages, tellement vivants. C'est dans Césarine, si originale. C'est dans le traitement de la différence, différent, justement.
J'avais adoré le tome 1, je récidive avec le 2. Et mon petit doigt me dit que le trois sera à la hauteur (ou sinon je me fache!).
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Après une fin en feu d'artifice on retrouve avec plaisir nos deux héros si différents.

C'est la guerre qui continue entre les autodafeurs et les gardiens des livres et de la mémoire.

Auguste est sous contrôle judiciaire mais Césarine reprend la lutte. Premiers objectifs : reconstituer la famille et sauver les archives !

Une suite dans la droite ligne du premier tome avec la même alternance de regards entre celui du frère et celui de sa soeur, jeune autiste.

L'un nous apporte l'action et les actes parfois irréfléchis de l'adolescence et l'autre une réinterprétation bienvenue du monde.

De nouveaux éléments apparaissent et le voile commence à être levé sur le passé des personnages. Les héros eux-mêmes évoluent dans la prise de conscience de leurs sentiments et de leur vision de la société.

Une série attachante par ses protagonistes hors du commun mais aussi par la réflexion induite par la prise de contrôle des livres et de la connaissance. le XXIème siècle est présenté comme celui où la maîtrise de l'information est synonyme de pouvoir. A lire !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Le premier tome des Autodafeurs avait été un véritable coup de coeur pour moi. le second l'est tout autant ! Je viens tout juste d'en terminer la lecture et je suis ravie de la manière dont l'auteur a développé son intrigue, ses personnages.
J'y ai retrouvé tout ce qui m'avait fait aimer le premier tome, cette capacité de l'auteur à nous livrer un récit à la fois riche en rebondissements, en humour mais possédant aussi une véritable tension dramatique. Elle parvient à mêler les genres avec une grande dextérité, si bien que l'on lit à la fois un thriller, une comédie, un drame familial et un récit d'aventures. A mes yeux, la série des Autodafeurs n'est pas à mettre qu'entre les mains d'ados férus d'action ou d'espionnage. Les adultes peuvent tout à fait y trouver leur compte car l'intrigue possède une vraie densité et conduit à de nombreuses réflexions sur le livre, le savoir et L Histoire en général.

Certains personnages connaissent une nette évolution dans ce tome. Je pense notamment à Auguste. Il est loin maintenant, l'adolescent qui ne se souciait que de son look et sa popularité. Les récents (et tragiques) évènements qui se sont produits dans la vie du jeune homme l'ont profondément bouleversé. Les attaques des Autodafeurs ont laissé des marques, tant dans son corps que son esprit. L'auteur nous le montre d'ailleurs avec beaucoup de finesse.
En ce qui concerne Césarine, elle est égale à elle-même... sans l'être tout à fait. Elle continue de trouver son frère idiot (ce qu'il est, un peu, il faut bien le reconnaître!), de compter tout ce qui l'entoure, de ne pas aimer le contact physique avec les gens, de faire des cachotteries... Bref, elle est toujours une "artiste" comme le dit si joliment son frère, étonnamment intelligente pour son âge et d'une rationalité déconcertante. Néanmoins, face aux évènements traumatisants qu'elle a traversé, la petite fille change. Je pense notamment à une scène particulière émouvante. Tandis que sa mère est allongée, inconsciente, sur son lit d'hôpital, Césarine pose la main sur son coeur puis prend sa maman dans ses bras, pour la toute première fois...

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L'avantage avec les Autodafeurs, c'est que même avec six moins d'intervalle entre le premier et le second tome, le lecteur n'est pas perdu. Tout est réexpliqué en quelques lignes et on retrouve avec plaisir le tandem de narrateurs Césarine et Auguste. Ces deux derniers ont quasiment tout perdu dans le premier volume (d'ailleurs, cela m'avait grandement plus que les Autodafeurs gagnent ! Cela changeait des Happy end habituels en jeunesse/ado !) et sont contraints de vivre avec Marc DeVergy, leur tuteur. Malheureusement, leurs ennemis les surveillent toujours et poursuivent leurs sinistres desseins... Les Mars vont devoir s'armer de patience, faire une introspection, accepter leur défaite et lutter contre les Autodafeurs.

Évoluer psychologiquement. C'est bien de ça qu'il s'agit dans ce second tome. Sans faire l'impasse sur le mystère et le suspense, Marine Carteron s'est surtout penchée sur la psychologie de ses deux héros. On va assister à leurs remises en question et à leur prise de conscience : reprendre une vie normale leur est désormais impossible. Il faut qu'ils apprennent à se battre, qu'ils ne fassent plus (trop) de bêtises en public (comme embrasser Isabelle juste devant BG ou faire le mur au beau milieu de la nuit), etc. Auguste est celui qui aura le plus de mal à accepter son sort. Grâce à ses amis et à ses proches, il va réaliser qu'il n'est pas seul : Néné, Isabelle, Bart et sa famille sont là pour l'épauler... Mais avant cela, il faut qu'il fasse le deuil de ceux qu'il a perdu... Il est très facile de s'identifier à Auguste. C'est un garçon drôle, humain et simple. Il a beau retenir ses larmes ou faire de son mieux, on ne peut que comprendre sa colère grandissante et sa peine... Sa soeur est celle qui grandira le plus. Ah, que je l'adore cette Césarine ! C'est mon personnage favori et de loin ! J'aime énormément sa façon de voir les choses... Dans ce second tome, elle va apprendre ce que sont les sentiments. Elle, qui détestait être en contact avec autrui et qui ne comprenait pas pourquoi on souriait ou on pleurait, va enfin se découvrir ! Les scènes la concernant sont vraiment touchantes, surtout celles à l'hôpital. Par ailleurs, Césarine va prouver qu'elle est vraiment la tête pensante de la famille : c'est elle qui va découvrir divers secrets (par exemple sur DeVergy ou Mamina), qui va lire un ouvrage qui parle d'elle, qui va s'entraîner au combat et qui va agir lorsque sa mère aura besoin d'elle... Nos deux jeunes héros ont énormément grandi et vont montrer un côté sombre de leur personnalité... Les Autodafeurs ne feront plus l'erreur de les sous-estimer... Cela me fait grandement plaisir, car j'aime beaucoup lorsque les protagonistes évoluent. Cela montre que l'auteure creuse vraiment ses personnages et ce, que ce soit la famille Mars ou les personnages secondaires comme Néné.

Si vous aviez peur de vous ennuyer, sachez que ce ne sera pas le cas avec "Ma soeur est une artiste de guerre" ! Malgré un début un peu lent permettant à nos protagonistes de faire face à leurs démons intérieurs, la suite est truffée de rebondissements et de révélations en tout genre ! Quant au final, il est totalement explosif ! On a le droit à une superbe infiltration style James Bond ou Mission Impossible, suivie d'un affrontement très intéressant... Personnellement, je ne me suis pas lassée et suis toujours aussi conquise par cette série ! Je compte lire " Nous sommes tous des propagateurs" dès qu'il ne sera plus en "nouveauté" à la médiathèque. Si vous avez apprécié le premier tome, celui-ci vous plaira également ! ... Et, si vous n'osez pas vous attaquer à cette saga sous prétexte que la couverture "ne vous parle pas", sachez que vous avez tort. C'est vraiment une bonne série pour adolescents qui sort de l'ordinaire. E. C.

Lien : https://lespagesquitournent...
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J'attendais avec impatience de me plonger dans le tome 2 des Autodafeurs et je n'ai pas été déçue. J'ai retrouvé avec plaisir les personnages et surtout Césarine mais aussi Néné qui apportent un petit décalage humoristique sur les situations parfois dramatiques qui se jouent.
Auguste est équipé d'un bracelet électronique depuis qu'il a été accusé de l'incendie de la bibliothèque de son école Ste Catherine, ses mouvements sont donc surveillés et il déborde de haine, de rage et de colère après la mort de ses grands-parents qu'il n'a pas pu empêcher. Césarine accepte la nouvelle situation avec plus de distance évidemment mais elle a décidé de ne plus se laisser mettre à l'écart et de prendre une part active aux événements à venir. D'ailleurs, depuis qu'elle a trouvé dans la bibliothèque de Marc, le prof de Gus mais également leur tuteur légal pendant que leur mère est dans le coma, le livre « L'Art de la guerre » de Sun Tzu, elle est devenue une artiste de guerre...
L'intrigue est plus explicite concernant l'objectif des Autodafeurs et il faut bien avouer que le risque d'un tel projet fait froid dans le dos ! Tout va se jouer le soir de la fête de fin d'année à Ste Catherine et chacun aura son rôle à jouer y compris Mamina que les enfants ont découvert sous une autre facette que celle qu'ils connaissaient.
J'ai bien sûr adoré la façon dont Césarine a géré la situation de son point de vue. Ses interactions que ce soit avec son amie Sara, maître Atikori, son frère ou sa mère dans le coma sont à la fois émouvantes et drôles. Mais un gros coup de coeur aussi pour le plan élaboré par Néné pour révéler aux camarades qui l'ont toujours mis de côté le revers de leur hypocrisie. Il y a aussi Bart qui, au sein de la famille Montagues, va permettre à la Confrérie d'agir.
Il y a en arrière plan le passé de l'histoire familiale des Mars et le lien qui unissait leur mère à Marc de Vergy. Et c'est bien sûr un volume sur l'évolution du caractère de Gus à qui les épreuves vont faire prendre conscience de l'importance de sa mission et du lourd héritage qu'il a du mal à accepter.
C'est vrailment un livre très fort à tous niveaux et j'ai hâte de lire la suite !!!
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Le premier tiers du roman manque un peu d'action (puisque Gus est limité dans ses déplacements), mais compense en développant davantage la psychologie des deux héros. Je suis toujours aussi fan de la petite Césarine qui, du haut de ses sept ans, fait preuve d'une intelligence et d'une pertinence que bon nombre d'adultes n'ont pas ! Se découvrant une passion pour L'art de la guerre du général chinois Sun Tzu, elle va non seulement mettre les autres "sur le cul" (sic) avec sa maîtrise des arts martiaux, mais aussi faire des découvertes primordiales pour la suite des événements, alors que "tout le monde fait l'erreur de la sous-estimer". Tout simplement époustouflante, Césarine a sans conteste plus de maturité que son grand frère !
Il faut dire que celui-ci est en pleine remise en question. Mais s'il donne l'impression de s'apitoyer sur son sort "comme un gamin", on sent au fond de lui un mélange de rage, de frustration et de culpabilité qui apporte des nuances nouvelles à sa personnalité. Il faudra du temps mais Gus finira par "accepter sa peine" pour aller de l'avant et retrouver son esprit d'initiative.
En attendant, les Autodafeurs prennent de plus en plus d'assurance et de pouvoir et leur projet de destruction massive des livres fait une avancée significative... On en apprend beaucoup plus dans ce deuxième tome sur les détails de leur plan machiavélique, à grand renfort de références à 1984 de George Orwell ou encore Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, deux romans d'anticipation incontournables sur des régimes totalitaires pratiquant la propagande pour asseoir leur domination. Car les Autodafeurs, après avoir joué les manipulateurs de l'Histoire, s'apprêtent à détruire les témoignages pouvant les incriminer en usant de technologies de pointe... le terrible Adam Murphy et son projet GoodBooks, tout à fait réaliste, fait froid dans le dos ! On note au passage une opposition entre le monde ultra high tech des Autodafeurs, et celui "unplugged" de la Confrérie, symbolisé par un Gus anti réseaux sociaux : "Je suis plutôt fier de vivre en marge de ce monde de dégénérés", clame-t-il, et bien lui en fait, vu les dérives dont il est témoin...
Dans le dernier tiers l'action redémarre, Gus prend un nouveau départ, lâchant "sa vie trop futile pour avoir encore du sens à ses yeux". L'intrigue se complexifie mais gagne en profondeur, et Murphy est plus enragé que jamais... Suite et fin dans le tome 3 !
Lien : http://www.takalirsa.fr/les-..
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*Attention tome 2, SPOILS du premier tome*

Dans ce deuxième tome, on retrouve avec plaisir Auguste et Césarine Mars, les deux héros qui nous racontent chacun à leur tour l'histoire de leurs aventures. La construction reste la même : les chapitres d'Auguste alternent avec le journal de Césarine dans lequel elle nous raconte très précisément ce qui lui arrive et finit par un pense-bête. Cette dernière est encore plus attachante que dans le premier tome, on découvre une petite fille sensible qui commence à s'ouvrir malgré son autisme, le traitement de la différence à travers ce personnage est très réussi et les réactions et les réflexions de Césarine sont toujours aussi savoureuses !

L'autrice débute le roman en prenant le temps d'installer ses personnages et leurs nouveaux rôles dans La Confrérie. Tout a été chamboulé suite à la fin du premier opus et en plus de se remettre de leurs nombreuses pertes, les protagonistes doivent se réorganiser discrètement avant de porter une nouvelle attaque aux Autodafeurs. Une fois l'intrigue installée, le livre s'accélère et on se retrouve au coeur de nombreuses scènes d'action, qui sont d'ailleurs plus ou moins menées à bien par Auguste. Césarine qualifie son frère d'idiot et force est de constater que, parfois, elle a raison 😉 Les personnages secondaires ne sont pas en reste et Néné, qui n'en a pourtant pas l'air, et Bart, celui qui est passé du bon côté de la Force, vont se révéler être des soutiens de poids. Les rebondissements s'enchaînent rapidement, on a pas le temps de s'ennuyer et malgré le côté très manichéen, on se laisse emporter par l'histoire jusqu'au final qui laisse présager un troisième tome détonnant !

Les thèmes abordés sont les mêmes : l'importance de la conservation du savoir et de la connaissance, la force de la différence et le dernier pourrait se résumer par l'habit ne fait pas le moine. Ainsi, au moyen d'une histoire construite et efficace, l'autrice parvient à aborder des sujets importants et à faire réfléchir.

Bref, j'ai encore eu un petit coup de coeur pour ce deuxième tome et je me réjouis de lire le point final de la trilogie !
Lien : https://thetwinbooks.wordpre..
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Dans ce second tome, la menace se précise : Gus, Cés et le lecteur avec eux en apprennent davantage sur le plan des Autodafeurs (et en découvrant l'identité de leur Grand Chef) tandis que Gus découvre l'héritage de son père, son carnet de Bord.

Auguste et Césarine changent. Chacun déteint un peu sur l'autre et tous deux évoluent énormément psychologiquement parlant.
Gus prend conscience de ses responsabilités, de l'inéluctabilité du combat à venir. Il abandonne son image de beau gosse, ne se soucie plus de son allure. Il mûrit et se met à réfléchir un peu plus. Il doit accepter qu'une vie d'ado banal est désormais impossible pour lui et surtout, il doit faire son deuil de tous ceux qu'il a perdu. Plein de colère et de peine, il a à présent un côté très touchant qu'il possédait moins auparavant.
Pendant ce temps, Césarine dévore L'art de la guerre du stratège chinois Sun Tzu et se met aux arts martiaux. Et se révèle être un adversaire redoutable. Ainsi, elle participe réellement (et avec efficacité) à la lutte, en appliquant à la lettre les conseils de Sun Tzu. Césarine est devenue une artiste de guerre à la logique implacable.
Les autres personnages ne sont pas oubliés. Les talents de hackers de Néné sont à nouveau indispensables et vont d'ailleurs lui permettre de se venger de ceux qui l'ont persécuté pendant des années. Bart sera lui aussi plus présent, faisant preuve d'un courage impressionnant. de plus, on en apprend davantage sur la grand-mère maternelle de nos deux héros, absente du premier opus.

Marine Carteron arrive à entremêler des problèmes d'adolescents (concernant l'amour d'une jolie fille, le bal de fin d'année… des soucis parfaitement idiots aux dires de Césarine) à ceux de la Confrérie concernant le devenir des bibliothèques mondiales. Tout est lié et chacun a un rôle à jouer.

Je suis décidément totalement conquise par les chapitres narrés par Césarine. Sa façon de voir le monde, sa méthodologie, ses découvertes avec son amie Sara… Elle transmet beaucoup d'émotions, ce qui est plutôt fort pour quelqu'un qui les enfouit au plus profond de son coeur ! Elle est vraiment là où on ne l'attend pas et a souvent une longueur d'avance sur son grand frère. Un personnage à la fois attendrissant et stupéfiant : unique !

A la fin de ce tome, on se demande vraiment comment ils vont s'en sortir car leur situation n'est pas glorieuse et les forces en présence semblent très inégales. Les Autodafeurs semblent progresser à grand pas vers leur objectif de contrôler l'information à travers le monde. Marine Carteron nous attrape à chaque chapitre et à chaque final, nous laissant en haleine, avides d'en savoir davantage !

Avec une menace qui se précise, un futur qui s'assombrit et des personnages qui, malgré tout, ne perdent pas leur sens de l'humour (Césarine étant involontairement la plus hilarante de tous), Ma soeur est une artiste de guerre est à la hauteur du premier volet des aventures d'Auguste et Césarine.
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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Le troisième tome des Autodafeurs m'attendant toujours bien sagement dans ma PAL, j'en profite pour relire Ma soeur est une artiste de guerre, afin de me souvenir de chaque détail.
La guerre entre les Autodafeurs et la Confrérie a déjà fait beaucoup de mal à la famille Mars, et ce n'est pas fini. Après la mort du père d'Auguste, c'est maintenant ses grands-parents qui sont décédés, et sa mère est dans le coma à cause d'une blessure... Pour pouvoir lutter efficacement contre les Autodafeurs, la Confrérie décide de se rassembler, et donc de quitter La Commanderie. Pendant les préparatifs de départ, Auguste décide de fouiller les laboratoires de recherche gardé par la famille Montagues, et ce qu'il y découvre pourrait bien faire pencher la balance du côté de leurs ennemis !
Césarine et Auguste vivent chez leur tuteur, Marc DeVergy, et ont pour mission de faire profil bas en attendant de pouvoir fausser compagnie aux Autodafeurs, qui sont bien déterminés à empêcher la Confrérie de leur mettre des bâtons dans les roues. Mais c'est sans compter sur Auguste, qui fait un peu trop cavalier seul et s'attire des ennuis. Heureusement que Césarine est là pour apporter un nouveau point de vue et des éléments cachés, mais aussi sur les membres de la Confrérie qui les soutiennent !
Après avoir lu Mon frère est un gardien, j'étais curieuse de découvrir la suite des aventures de nos héros. Que ce soit la première fois que je l'ai lu ou lors d'une relecture, j'ai toujours été aussi captivée par l'histoire de Marine Carteron. On retrouve dans Ma soeur est une artiste de guerre tout ce que j'avais aimé du premier tome, et on les développe encore davantage. Une histoire palpitante, avec des rebondissements, beaucoup de tension mais également de l'humour, pour un mélange qui tient à la fois du drame familial mais aussi de l'enquête et du complot, tout ça avec une grande dextérité !
(Mon avis complet sur mon blog.)
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