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EAN : 9782290348352
154 pages
J'ai lu (16/02/2011)
4/5   1 notes
Résumé :

De retour de guerre, le comte Garth d'Inchester trouve un château en ruine et une montagne de dettes. Pris à la gorge, il se résout à faire appel à Rustuss Groon, l'impitoyable usurier tant redouté par ses malheureux débiteurs. Or, contre toute attente, ce dernier se montre plutôt bienveillant à son égard et lui propose un marché. Il lui prêtera de quoi faire prospérer le domaine et rendre &... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Que dire sur ce roman ? Déjà que j'ai passé, comme toujours, un excellent moment. Ce n'est pas mon auteure préféré mais pas loin. Bon parlons du livre.

Le truc avec les Cartland, c'est qu'ils sont tellement semblable entre eux, que ce soit du circuit utilisé que de la fin, qu'il est difficile de dire beaucoup de choses à leurs sujet. Les héros sont quasiment tous les mêmes. le scénario c'est pareil... Mais alors pourquoi j'en lis? Car j'adore l'univers doux et simple de l'auteure, malgré son univers fleur bleue, elle arrive à me faire rêvé.

Nous suivons donc nos deux héros, dans leurs nouvelles vie imposé. On débute avec Garth qui essaye de sortir la tête de l'eau depuis sont retour de la guerre contre Napoléon. Rentrant de guerre, il découvre que son domaine n'a pas été entretenue. Et pire, il a aucune aide pour pouvoir le remettre en état et surtout, aider les gens sous sa responsabilités. Il va donc emprunter de l'argent, une nouvelle fois, à un usurier afin de pouvoir tout remettre à flot. C'est la qu'on va lui proposé, voir imposer, le mariage. Il n'en veux pas, mais accepte tout de même pour que les personnes à sa charge ne meurent pas de faim ou froid. Il ne connais pas la femme, de vue comme de nom, mais accepte tout de même par responsabilités.
De l'autre coté, nous rencontrons Benita qui apprend le jour de son mariage, qu'elle va devoir épousé un homme qu'elle ne connaît pas et qu'elle est sûre de déteste. Elle accepte uniquement car c'est son père qui lui demande, et que ce dernier est mourant.

J'ai beaucoup aimé l'héroïne qui c'est moquée gentiment du comte lors de leur vrai rencontre. N'ayant pas reconnu sa femme, qu'il avait épousé la veille, a sa décharge il n'a pas vue son visage étant donné que c'était un mariage forcé et qu'elle avait un voile assez épais devant le visage, sans oublié qu'elle ne c'est pas montré non plus, leur rencontre c'est fait dans une alchimie parfaite.

En conclusion : encore un bon Cartland, j'ai juste une petite déception dans le fait qu'on a pas toute les... information je dirais... sur toutes les réactions à venir de certain personnages. L'auteure nous met une scène pour une action futur qu'on aura pas. Bon ce n'est pas de la plus haute importance... Mais j'aurais aimé savoir. Les héros sont comme toujours agréable, et l'histoire est mignonne.
Lien : https://chabouquine.blogspot..
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
La haute société n'est plus ce qu'elle était, Les bonnes manières se perdent. Quant à la morale! Cela m’ennuierait de te voir nouer des relations avec des gens qui ne savent plus se conduire correctement
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Tant d'autres se sont fait dépouiller par ces vautours! Ils sont piresqu'une nuée de sauterelles s`abattant sur un champ. Ils ne laissent rien à ceux qui ont eu le malheur de s'adresser à eux...
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L’Angleterre, rendue exsangue par des années de conflit, était à genoux.Les banques fermaient, les fermiers n'avaient plus d’acheteurs pour leurs produits, les courageux soldats, revenus du front en ayant perdu une jambe ou un bras, ne parvenaient pas à obtenir de pension d'invalidité. Ni même un mot de
remerciement...
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—Londres est une ville chère. Je n'avais pas assez d’argents pour mener à bien tous mes projets.
—Vous avez préféré offrir un collier de rubis à une courtisane,des diamants à une autre, sans parler de l’équipage dans lequel se pavane une danseuse ni des gros billets que vous avez jetés sur les tapis verts.
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Les coureurs de dot ont l'art de couvrir une femme de compliments, de lui jurer un amour éternel... Eblouie par le beau parleur, tu te retrouverais vite l’épouse d'un joueur doublé d’un débauché. Il te ruinerait, te tromperait sans vergogne, et tu n’aurais plus que tes yeux pour pleurer.
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