Critiques filtrées sur 3 étoiles
Un roman très ado, très fille, qui se laisse lire.
J'ai trouvé la couverture relativement jolie et le fait de voir souvent ce livre dans la bibliothèque des autres babeliotes m'a convaincue de tenter l'expérience de cette lecture.
Bilan : Sans plus..., mais pourquoi pas...
Un petit quelque chose d'Hunger Game mais en moins abouti, en plus "romantique", en plus roman à l'eau de rose.
Je ne suis pas persuadée de finir la série, mais j'entame quand même le tome 2... Je suis comme l'héroïne, j'hésite !!!
J'ai trouvé la couverture relativement jolie et le fait de voir souvent ce livre dans la bibliothèque des autres babeliotes m'a convaincue de tenter l'expérience de cette lecture.
Bilan : Sans plus..., mais pourquoi pas...
Un petit quelque chose d'Hunger Game mais en moins abouti, en plus "romantique", en plus roman à l'eau de rose.
Je ne suis pas persuadée de finir la série, mais j'entame quand même le tome 2... Je suis comme l'héroïne, j'hésite !!!
Je dois vous avouer quelque chose : je suis une fleur bleue absolue. Romanesque, sentimentale, naïve. Alors, de temps en temps, je ressens le besoin de lire de la romance pure. Un amour torturé c'est l'idéal, histoire d'éprouver jusqu'où peut aller l'amour que se portent les personnages principaux. Si tout est beau et léger ce n'est pas drôle. J'aime que les personnages se cherchent, se questionnent, s'opposent pour mieux se retrouver.
Menfin quand-même, il y a une chose que je déteste par dessus tout, ce sont les triangles amoureux. Pour le coup avec ce bouquin, ce n'est même plus un triangle mais plutôt un dodécaèdre*. 35 jeunes filles qui participent à la Sélection et qui espèrent devenir la prochaine reine d'Illéa. Le prince Maxon a l'embarras du choix mais on espère bien qu'il tombera sous le charme d'America.
Alors oui, j'ai lu ce livre en très peu de temps, c'est un bon page-turner. C'est tout ? Oui c'est tout en ce qui me concerne. Je n'arrive pas à trouver de qualités précises à ce récit.
Par contre je lui ai trouvé plusieurs défauts.
Tout d'abord le monde dystopique dans lequel les personnages évoluent n'est pas abouti. J'ai cru (jusqu'à ce que je lise le second tome dans la foulée) que Kiera Cass y viendrait plus tard, se fixant pour le moment sur les personnages, qui sont nombreux.
Justement, là aussi le bât blesse : ils sont trop nombreux pour être attachants. D'ailleurs je n'ai même pas l'impression que l'auteur ait tenté d'en brosser des portraits incarnés.
L'écriture est un peu trop insipide, factuelle : aucun sentiment ni aucune sensation forte ne s'en dégage. Pas trop de suspens non plus, du coup.
Vous l'aurez compris, cette lecture ne fût pas une réussite mais, comme j'avais le second tome dans ma PAL, j'ai poursuivi sur ma lancée...
*J'avoue tout, j'ai cherché... https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/de/256-XX-dodecahedron.gif
Menfin quand-même, il y a une chose que je déteste par dessus tout, ce sont les triangles amoureux. Pour le coup avec ce bouquin, ce n'est même plus un triangle mais plutôt un dodécaèdre*. 35 jeunes filles qui participent à la Sélection et qui espèrent devenir la prochaine reine d'Illéa. Le prince Maxon a l'embarras du choix mais on espère bien qu'il tombera sous le charme d'America.
Alors oui, j'ai lu ce livre en très peu de temps, c'est un bon page-turner. C'est tout ? Oui c'est tout en ce qui me concerne. Je n'arrive pas à trouver de qualités précises à ce récit.
Par contre je lui ai trouvé plusieurs défauts.
Tout d'abord le monde dystopique dans lequel les personnages évoluent n'est pas abouti. J'ai cru (jusqu'à ce que je lise le second tome dans la foulée) que Kiera Cass y viendrait plus tard, se fixant pour le moment sur les personnages, qui sont nombreux.
Justement, là aussi le bât blesse : ils sont trop nombreux pour être attachants. D'ailleurs je n'ai même pas l'impression que l'auteur ait tenté d'en brosser des portraits incarnés.
L'écriture est un peu trop insipide, factuelle : aucun sentiment ni aucune sensation forte ne s'en dégage. Pas trop de suspens non plus, du coup.
Vous l'aurez compris, cette lecture ne fût pas une réussite mais, comme j'avais le second tome dans ma PAL, j'ai poursuivi sur ma lancée...
*J'avoue tout, j'ai cherché... https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/de/256-XX-dodecahedron.gif
Quatrième titre de la Collection R de Robert Laffont et quatrième bon moment même si La Sélection ne restera pas dans les annales. Si je devais faire un petit classement des quatre publications, ce premier tome de Kiera Cass arriverait en queue de peloton.
Alors oui, j'ai aimé, c'est frais, léger et plein de bons sentiments… mais peut-être un peu trop léger justement ? le côté dystopie n'est qu'un argument pour enrober une histoire d'amour mignonne mais sans grande originalité. Malgré tout, ma lecture a été rapide et agréable… je ne boude pas mon plaisir !
Présenté comme une nouvelle dystopie, La Sélection se révèle vraiment très léger de ce côté-là, voire un peu décevant. de ce monde nouveau on ne sait quasiment rien si ce n'est le nom de la monarchie qui remplace les Etats-Unis, Illéa. Les rois et reines ne parviennent plus à engendrer de princesses pour le royaume. le prince héritier doit donc trouver une épouse venant du peuple. Voilà pour l'explication de cette « sélection ».
Tout le monde ne semble pas apprécier la monarchie en place puisque des rebelles attaquent régulièrement le palais… Pour quelles raisons ? Dans quel but ? Grand mystère.
Que sait-on d'autre de l'univers créé par Kiera Cass ? Seulement que la population, à l'image d'Hunger Games, est divisée en classes, de 1 à 8. 1 étant le chiffre lié à la famille royale, 8 aux SDF et sans-papier. Plus vous vous éloignez de l'as, plus vous êtes pauvres et négligeables. La caste est une affaire d'héritage. Si papy était artiste, pas de bol. A vous le ventre vide et le numéro 5, comme l'héroïne, la jolie America.
Sans être particulièrement original, cet univers avait de quoi offrir quelques bonnes choses mais il est malheureusement complètement mis de côté : décor inutile, témoin d'une intrigue très fleur bleue.
En effet, côté rebondissements, tout est très attendu : de la sélection d'America parmi des milliers de filles (malgré son désintérêt pour la compétition) à ses amours compliquées et son amitié grandissante avec le prince qu'elle ne voulait absolument pas connaître au départ. En fait, cette histoire c'est l'histoire qu'on a toutes rêvé d'écrire (et de vivre) quand on était ado. C'est typiquement le genre de textes qui ferait une bonne fanfiction car Kiera Cass écrit ce que les lectrices ont envie de lire : une petite Cendrillon du peuple (la lectrice lambda s'identifie à elle) qui vit une aventure extraordinaire et rencontre le Prince charmant. Ajoutez à cela le triangle amoureux qui pimente la chose et rehausse l'égo de l'héroïne (et oui, deux garçons qui se battent pour vous… la lectrice se sent belle et désirée donc la lectrice est comblée) et vous voilà en présence de la Sélection.
De ce fait, ce titre touche le public visé (adolescentes, jeunes adultes et adultes fleur bleue) et ça fonctionne très bien. C'est pourquoi, je l'avoue sans honte, j'ai dévoré ce premier tome comme une petite douceur sucrée venue m'apaiser, m'apporter un peu de réconfort, un peu de rêve et de légèreté dans ma journée.
Malgré tout, la lecture aurait été meilleure pour moi si l'héroïne m'avait davantage plu. Au début, je pensait qu'on allait être très amies toutes les deux : un peu rebelle sur les bords tout en étant réservée, artiste et passionnée… bref, America me plaisait. J'ai, qui plus est, apprécié le fait qu'elle renonce à son avenir heureux et tout tracé pour entrer dans un jeu qui ne l'intéresse pas… simplement afin de venir en aide à sa famille, gracieusement rémunérée pendant son absence. Malheureusement, dès son arrivée au palais, son comportement m'a agacée puis foncièrement déplu. America, censée être une jeune fille réservée voire complexée, se révèle bien sûre d'elle lorsqu'elle tient tête au prince Maxon et fomente des plans pour garder sa place. Elle qui ne voulait pas de cette sélection change radicalement d'avis. Son comportement m'a parfois laissée sceptique. C'est maladroit, peu naturel, paradoxal.
Les deux hommes de l'aventure sont différents mais manquent tous deux de charisme à mon goût. Aspen l'amoureux de la caste numéro 6 a une fierté mal placée qui m'a donné envie de le secouer. Maxon le prince, quant à lui, est un peu « tout beau tout gentil » (à la limite du niais parfois). Je lui concède tout de même une bonne répartie qui offre des face à face avec America intéressants. J'ai envie de croire qu'il a plus à offrir sans ses airs bien proprets, en tout cas je l'espère !
Du côté des 34 autres concurrentes, seules deux ont marqué mon esprit : Marlee la potentielle amie bien qu'elle me paraisse trop effacée et Céleste la garce de service sans subtilités.
Kiera Cass nous propose des personnages finalement assez manichéens. J'espère qu'elle va creuser ça par la suite.
Le résumé annonce la télé-réalité comme un aspect important de l'histoire mais en fait, elle est très peu mise en avant, souvent oubliée. Je pensais que les caméras seraient ultra-présentes, qu'il y aurait des épreuves, que ceux commandant le programme seraient plus directifs… mais en fait non. Si la présence des spectateurs n'était pas rappelée de temps en temps et si quelques soirées avec un présentateur télé n'étaient pas organisées, on pourrait complètement oublier cet aspect de voyeurisme. C'est dommage de ne pas avoir utilisé plus ce côté malsain et dérangeant.
Enfin, côté style, je n'ai pas grand-chose à dire. Ce n'est certes pas de la grande littérature (tout le monde le sait) mais cela a l'avantage de se lire très vite et très bien. C'est plus que fluide et le livre se dévore en quelques heures à peine. Une nouvelle fois, c'est le point de vue interne (le « je ») qui a été admis et qui, je pense, permet à un grand nombre de jeunes lectrices de vivre pleinement l'aventure.
A noter que pour ce quatrième titre, la Collection R conserve sa mise en page aérée et sa grosse police. La lecture est d'autant plus aisée et rapide. Par contre, le texte est finalement plus court qu'on le pensait et on regrette un peu qu'il ait été coupé à cet endroit…
Pour conclure. Malgré les nombreux bémols relevés (faiblesse de la dystopie, intrigue attendue et personnages un peu agaçants), ce premier tome de la Sélection offre un moment de douceur et de légèreté qu'on savoure sans bouder son plaisir !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
Alors oui, j'ai aimé, c'est frais, léger et plein de bons sentiments… mais peut-être un peu trop léger justement ? le côté dystopie n'est qu'un argument pour enrober une histoire d'amour mignonne mais sans grande originalité. Malgré tout, ma lecture a été rapide et agréable… je ne boude pas mon plaisir !
Présenté comme une nouvelle dystopie, La Sélection se révèle vraiment très léger de ce côté-là, voire un peu décevant. de ce monde nouveau on ne sait quasiment rien si ce n'est le nom de la monarchie qui remplace les Etats-Unis, Illéa. Les rois et reines ne parviennent plus à engendrer de princesses pour le royaume. le prince héritier doit donc trouver une épouse venant du peuple. Voilà pour l'explication de cette « sélection ».
Tout le monde ne semble pas apprécier la monarchie en place puisque des rebelles attaquent régulièrement le palais… Pour quelles raisons ? Dans quel but ? Grand mystère.
Que sait-on d'autre de l'univers créé par Kiera Cass ? Seulement que la population, à l'image d'Hunger Games, est divisée en classes, de 1 à 8. 1 étant le chiffre lié à la famille royale, 8 aux SDF et sans-papier. Plus vous vous éloignez de l'as, plus vous êtes pauvres et négligeables. La caste est une affaire d'héritage. Si papy était artiste, pas de bol. A vous le ventre vide et le numéro 5, comme l'héroïne, la jolie America.
Sans être particulièrement original, cet univers avait de quoi offrir quelques bonnes choses mais il est malheureusement complètement mis de côté : décor inutile, témoin d'une intrigue très fleur bleue.
En effet, côté rebondissements, tout est très attendu : de la sélection d'America parmi des milliers de filles (malgré son désintérêt pour la compétition) à ses amours compliquées et son amitié grandissante avec le prince qu'elle ne voulait absolument pas connaître au départ. En fait, cette histoire c'est l'histoire qu'on a toutes rêvé d'écrire (et de vivre) quand on était ado. C'est typiquement le genre de textes qui ferait une bonne fanfiction car Kiera Cass écrit ce que les lectrices ont envie de lire : une petite Cendrillon du peuple (la lectrice lambda s'identifie à elle) qui vit une aventure extraordinaire et rencontre le Prince charmant. Ajoutez à cela le triangle amoureux qui pimente la chose et rehausse l'égo de l'héroïne (et oui, deux garçons qui se battent pour vous… la lectrice se sent belle et désirée donc la lectrice est comblée) et vous voilà en présence de la Sélection.
De ce fait, ce titre touche le public visé (adolescentes, jeunes adultes et adultes fleur bleue) et ça fonctionne très bien. C'est pourquoi, je l'avoue sans honte, j'ai dévoré ce premier tome comme une petite douceur sucrée venue m'apaiser, m'apporter un peu de réconfort, un peu de rêve et de légèreté dans ma journée.
Malgré tout, la lecture aurait été meilleure pour moi si l'héroïne m'avait davantage plu. Au début, je pensait qu'on allait être très amies toutes les deux : un peu rebelle sur les bords tout en étant réservée, artiste et passionnée… bref, America me plaisait. J'ai, qui plus est, apprécié le fait qu'elle renonce à son avenir heureux et tout tracé pour entrer dans un jeu qui ne l'intéresse pas… simplement afin de venir en aide à sa famille, gracieusement rémunérée pendant son absence. Malheureusement, dès son arrivée au palais, son comportement m'a agacée puis foncièrement déplu. America, censée être une jeune fille réservée voire complexée, se révèle bien sûre d'elle lorsqu'elle tient tête au prince Maxon et fomente des plans pour garder sa place. Elle qui ne voulait pas de cette sélection change radicalement d'avis. Son comportement m'a parfois laissée sceptique. C'est maladroit, peu naturel, paradoxal.
Les deux hommes de l'aventure sont différents mais manquent tous deux de charisme à mon goût. Aspen l'amoureux de la caste numéro 6 a une fierté mal placée qui m'a donné envie de le secouer. Maxon le prince, quant à lui, est un peu « tout beau tout gentil » (à la limite du niais parfois). Je lui concède tout de même une bonne répartie qui offre des face à face avec America intéressants. J'ai envie de croire qu'il a plus à offrir sans ses airs bien proprets, en tout cas je l'espère !
Du côté des 34 autres concurrentes, seules deux ont marqué mon esprit : Marlee la potentielle amie bien qu'elle me paraisse trop effacée et Céleste la garce de service sans subtilités.
Kiera Cass nous propose des personnages finalement assez manichéens. J'espère qu'elle va creuser ça par la suite.
Le résumé annonce la télé-réalité comme un aspect important de l'histoire mais en fait, elle est très peu mise en avant, souvent oubliée. Je pensais que les caméras seraient ultra-présentes, qu'il y aurait des épreuves, que ceux commandant le programme seraient plus directifs… mais en fait non. Si la présence des spectateurs n'était pas rappelée de temps en temps et si quelques soirées avec un présentateur télé n'étaient pas organisées, on pourrait complètement oublier cet aspect de voyeurisme. C'est dommage de ne pas avoir utilisé plus ce côté malsain et dérangeant.
Enfin, côté style, je n'ai pas grand-chose à dire. Ce n'est certes pas de la grande littérature (tout le monde le sait) mais cela a l'avantage de se lire très vite et très bien. C'est plus que fluide et le livre se dévore en quelques heures à peine. Une nouvelle fois, c'est le point de vue interne (le « je ») qui a été admis et qui, je pense, permet à un grand nombre de jeunes lectrices de vivre pleinement l'aventure.
A noter que pour ce quatrième titre, la Collection R conserve sa mise en page aérée et sa grosse police. La lecture est d'autant plus aisée et rapide. Par contre, le texte est finalement plus court qu'on le pensait et on regrette un peu qu'il ait été coupé à cet endroit…
Pour conclure. Malgré les nombreux bémols relevés (faiblesse de la dystopie, intrigue attendue et personnages un peu agaçants), ce premier tome de la Sélection offre un moment de douceur et de légèreté qu'on savoure sans bouder son plaisir !
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J'ai lu ce livre car c'est une recommandation de ma petite soeur qui m'a dit qu'elle avait adoré lorsqu'elle était adolescente. Eh bien oui, je pense que j'aurai adoré en ayant 14 ans ! J'en ai 27 ; mon avis est plus nuancé.
L'histoire en elle-même est bien : America est "tirée au sort" pour participer à La Sélection (une compétition entre 35 filles pour épouser le prince). Elle va donc vivre au palais afin d'essayer de conquérir le prince.
Mais America est amoureuse d'un autre et ne compte pas se lancer corps et âme dans la compétition. Si elle y participe, c'est pour aider sa famille à se nourrir - et tout simplement vivre plus correctement.
Le livre se lit rapidement et facilement. On se prend au jeu de la Sélection - tout comme America.
C'est une dystopie. le seul soucis, c'est qu'on a très peu d'éléments à ce sujet. Nous savons qu'il existe des castes (un peu comme dans Hunger Games pour le coup) ; et lors d'un cours d'histoire, nous comprenons rapidement ce qui a pu se passer mais sans plus... J'espère que dans les prochains livres, ce sera un peu plus détaillé.
Concernant la romance, c'était tellement prévisible et beaucoup trop facile!
Je lirai la suite pour connaître le fin mot de l'histoire, qui du Prince ou d'Aspen choisira-t-elle ?
L'histoire en elle-même est bien : America est "tirée au sort" pour participer à La Sélection (une compétition entre 35 filles pour épouser le prince). Elle va donc vivre au palais afin d'essayer de conquérir le prince.
Mais America est amoureuse d'un autre et ne compte pas se lancer corps et âme dans la compétition. Si elle y participe, c'est pour aider sa famille à se nourrir - et tout simplement vivre plus correctement.
Le livre se lit rapidement et facilement. On se prend au jeu de la Sélection - tout comme America.
C'est une dystopie. le seul soucis, c'est qu'on a très peu d'éléments à ce sujet. Nous savons qu'il existe des castes (un peu comme dans Hunger Games pour le coup) ; et lors d'un cours d'histoire, nous comprenons rapidement ce qui a pu se passer mais sans plus... J'espère que dans les prochains livres, ce sera un peu plus détaillé.
Concernant la romance, c'était tellement prévisible et beaucoup trop facile!
Je lirai la suite pour connaître le fin mot de l'histoire, qui du Prince ou d'Aspen choisira-t-elle ?
J'ai passé un bon moment avec cette lecture, je cherchais une lecture rapide sans prise de tête et cela a été le cas.
Alors certes ce n'est pas la lecture la plus originale que j'ai lu il s'agit plus ici d'un mélange entre Hunger Games (les gens tirés au sort ici pour être prétendante du prince Maxon) et de l'émission le Bachelor ou autres émissions du même types (le garçon doit choisir entre plusieurs prétendantes).
America Singer est sélectionné elle remplit les conditions au niveau de son âge et cela permettrais à sa famille de mieux vivre, America fait partie de la caste des 5 et la famille est dédommagé le temps que leur fille reste dans le jeu. Celle-ci participe donc surtout pour aider sa famille et parce que son petit-ami de la caste 7, Aspen le lui demande.
Il y a toujours l'histoire du triangle amoureux qui n'a rien de novateur, le fait que tout ceci soit retransmis à la télévision également.
Alors oui c'est couru d'avant on peut anticiper ce qui va se passer très vite mais cela se lit bien et je poursuivrais sans souci.
Alors certes ce n'est pas la lecture la plus originale que j'ai lu il s'agit plus ici d'un mélange entre Hunger Games (les gens tirés au sort ici pour être prétendante du prince Maxon) et de l'émission le Bachelor ou autres émissions du même types (le garçon doit choisir entre plusieurs prétendantes).
America Singer est sélectionné elle remplit les conditions au niveau de son âge et cela permettrais à sa famille de mieux vivre, America fait partie de la caste des 5 et la famille est dédommagé le temps que leur fille reste dans le jeu. Celle-ci participe donc surtout pour aider sa famille et parce que son petit-ami de la caste 7, Aspen le lui demande.
Il y a toujours l'histoire du triangle amoureux qui n'a rien de novateur, le fait que tout ceci soit retransmis à la télévision également.
Alors oui c'est couru d'avant on peut anticiper ce qui va se passer très vite mais cela se lit bien et je poursuivrais sans souci.
Je me suis bien amusée à la lecture de ce livre qui est à mille lieues de ce que je lis habituellement.
Je me suis bien amusée donc mais pas toujours pour les bonnes raisons.
Bon, premièrement, j'ai trouvé ça distrayant, pas prise de tête pour deux sous et plutôt addictif. Il y a de bonnes idées et, si le scénario est hyper prévisible et très convenu, c'est plutôt chouette à lire.
Les personnage de America, qu'on a envie de secouer à chaque répartie tellement elle est nunuche, de Céleste, la perverse, et des autres sont très classiques, manichéens et même un peu caricaturaux mais ça fait partie du charme de ce livre...Je reste par contre fort perplexe face aux dangereux rebelles qui...lancent des oeufs sur le palais, retournent les matelas et déchirent les photos...quels vilains vilains révolutionnaires.
J'ai trouvé le concept des castes plutôt bien pensé mais pour le reste, j'ai trouvé la dynamique assez rigolote : une sorte de Bachelor Romantique dans ce qui est, j'en suis persuadée, le fantasme américain de la monarchie : le roi, la reine et le prince se baladent toute la journée avec une couronne sur la tête, toutes les portes du palais sont surveillées par des gardes armés de lances et de hallebardes, les sélectionnées ne peuvent se balader qu'en robe de bal.
Je pense que je lirai tout de même la suite, ça reste une petite lecture feel-good sans prise de tête
Je me suis bien amusée donc mais pas toujours pour les bonnes raisons.
Bon, premièrement, j'ai trouvé ça distrayant, pas prise de tête pour deux sous et plutôt addictif. Il y a de bonnes idées et, si le scénario est hyper prévisible et très convenu, c'est plutôt chouette à lire.
Les personnage de America, qu'on a envie de secouer à chaque répartie tellement elle est nunuche, de Céleste, la perverse, et des autres sont très classiques, manichéens et même un peu caricaturaux mais ça fait partie du charme de ce livre...Je reste par contre fort perplexe face aux dangereux rebelles qui...lancent des oeufs sur le palais, retournent les matelas et déchirent les photos...quels vilains vilains révolutionnaires.
J'ai trouvé le concept des castes plutôt bien pensé mais pour le reste, j'ai trouvé la dynamique assez rigolote : une sorte de Bachelor Romantique dans ce qui est, j'en suis persuadée, le fantasme américain de la monarchie : le roi, la reine et le prince se baladent toute la journée avec une couronne sur la tête, toutes les portes du palais sont surveillées par des gardes armés de lances et de hallebardes, les sélectionnées ne peuvent se balader qu'en robe de bal.
Je pense que je lirai tout de même la suite, ça reste une petite lecture feel-good sans prise de tête
Bon bon bon, j'avoue que je m'attendais à autre chose au vu de la couverture, et ce n'est pas la première fois que je me fais avoir de cette façon par un roman de la même collection...oui, il est question de compétition, dans un monde avec des inégalités, et d'une héroïne belle mais droite, hésitant entre 2 garçons.
Le monde cruel au-dehors, on en entend juste parler. La compétition est...plutôt gentillette. Quant à notre héroïne, elle change tellement d'avis qu'il est impossible de la suivre, encore moins de la trouver crédible.
Je me demande vraiment pourquoi j'ai mis 3 étoiles et lu la suite en fait ?...un mystère aussi épais que la couche de fond de teint sur le visage d'America.
Le monde cruel au-dehors, on en entend juste parler. La compétition est...plutôt gentillette. Quant à notre héroïne, elle change tellement d'avis qu'il est impossible de la suivre, encore moins de la trouver crédible.
Je me demande vraiment pourquoi j'ai mis 3 étoiles et lu la suite en fait ?...un mystère aussi épais que la couche de fond de teint sur le visage d'America.
Pour une dystopie ,ce n'est pas terrible ...l'histoire se centre surtout sur le concours pour épouser le prince ( "la sélection") et sur le dilemme de la jeune America qui hésite entre Aspen et le prince qu'elle apprend à connaitre . C'est un livre qui est ,pour le coup ,vraiment destiné aux ados. C'est sympathique ,sans plus.
Dans un monde où ta valeur se résume à ta caste, et dans lequel certaines castes n'ont d'autres choix que de mourir de faim à certaines époques de l'année, c'est une aubaine lorsque le Souverain décide du début de la Sélection : une émission durant laquelle 35 candidates se disputent le titre de préférée de l'Héritier du trône ; une émission au terme de laquelle la préférée se retrouve propulsée au rang de princesse et Reine en devenir. de tout cela, America, l'héroïne, n'en a que faire. Elle est amoureuse et ne veut pas se battre pour le Prince. La situation de sa famille, cependant, l'enjoint à s'enrôler dans cette farce et elle se retrouve sélectionnée ; sa caste, sa personnalité et ses valeurs provoquant étincelles sur étincelles dans ce milieu si guindé.
Alors, avant toutes choses, ne nous voilons pas la face : il s'agit de romans pour adolescentes. le style est léger, simple, et c'est tout à fait ce qu'il me fallait après ces quelques mois de vide intellectuel. Mes yeux n'ayant plus eu l'habitude de caresser les pages d'un livre, un roman d'adolescente sans trop de complexité m'apparaissait comme parfait.
Le début est lent et un poil grotesque. Les personnages prennent du temps à prendre leur envol, ainsi que le contexte qui fait penser à la trilogie du même genre des Hunger Games. J'ai souvent levé les yeux au ciel pendant ces premiers chapitres, surtout parce que le personnage principal n'est pas forcément attractif de prime abord.
Une fois arrivée au palais, en revanche, les interactions entre les personnages deviennent plus intéressantes. En effet, les Sélectionnées sont plus complexes, finalement, que la famille d'America, ce qui rend les dialogues plus vifs et plus rythmés. le Prince est mignon, dans sa manière de parler et dans ses réactions face à America.
En bref, des sourcils levés, des petits sourires et quelques rires. Une lecture agréable. de quoi se remettre dans le bain tout doucement.
Alors, avant toutes choses, ne nous voilons pas la face : il s'agit de romans pour adolescentes. le style est léger, simple, et c'est tout à fait ce qu'il me fallait après ces quelques mois de vide intellectuel. Mes yeux n'ayant plus eu l'habitude de caresser les pages d'un livre, un roman d'adolescente sans trop de complexité m'apparaissait comme parfait.
Le début est lent et un poil grotesque. Les personnages prennent du temps à prendre leur envol, ainsi que le contexte qui fait penser à la trilogie du même genre des Hunger Games. J'ai souvent levé les yeux au ciel pendant ces premiers chapitres, surtout parce que le personnage principal n'est pas forcément attractif de prime abord.
Une fois arrivée au palais, en revanche, les interactions entre les personnages deviennent plus intéressantes. En effet, les Sélectionnées sont plus complexes, finalement, que la famille d'America, ce qui rend les dialogues plus vifs et plus rythmés. le Prince est mignon, dans sa manière de parler et dans ses réactions face à America.
En bref, des sourcils levés, des petits sourires et quelques rires. Une lecture agréable. de quoi se remettre dans le bain tout doucement.
Mignon tout plein.
Un avenir pas tout à fait identifiable, une société réduite à huit castes dont les dernières sont plutôt misérables. Une société clairement inégalitaire où des renégats essayent de renverser le pouvoir royal. Une société où le mariage du Prince se fait par une sélection parmi toutes les jeunes filles célibataires du Royaume et donc, où même une fille de la caste la plus basse a ses chances. Bon, ça, c'est pas tout à fait vrai :-p
Une héroïne, America, de caste cinq, plutôt cultivée et surtout très bonne musicienne va donc tenter sa chance suite à la réception de la convocation tout attendue pour certaines mais clairement pas pour elle car elle est déjà amoureuse et l'histoire peut alors commencer.
Une plume divertissante où les rebondissements sont liés au soubresauts du coeur du l'héroïne ainsi qu'aux multiples mesquineries liées au regroupement de 35 jeunes filles trop belles dans un même endroit clos ;-) Il y a de l'humour, de la tendresse, de l'amitié et de la compétition, juste ce qu'il faut pour dynamiser le récit. Enfin, il y a de la haine, de l'amour et surtout, la naissance peut-être d'un amour vrai qui est fait de connivences et de compréhension.
Bon, la fin du premier tome est assez abrupte : la sélection est terminée, ne reste que l'Elite dont notre héroïne fait bien sûr partie :-)
Un avenir pas tout à fait identifiable, une société réduite à huit castes dont les dernières sont plutôt misérables. Une société clairement inégalitaire où des renégats essayent de renverser le pouvoir royal. Une société où le mariage du Prince se fait par une sélection parmi toutes les jeunes filles célibataires du Royaume et donc, où même une fille de la caste la plus basse a ses chances. Bon, ça, c'est pas tout à fait vrai :-p
Une héroïne, America, de caste cinq, plutôt cultivée et surtout très bonne musicienne va donc tenter sa chance suite à la réception de la convocation tout attendue pour certaines mais clairement pas pour elle car elle est déjà amoureuse et l'histoire peut alors commencer.
Une plume divertissante où les rebondissements sont liés au soubresauts du coeur du l'héroïne ainsi qu'aux multiples mesquineries liées au regroupement de 35 jeunes filles trop belles dans un même endroit clos ;-) Il y a de l'humour, de la tendresse, de l'amitié et de la compétition, juste ce qu'il faut pour dynamiser le récit. Enfin, il y a de la haine, de l'amour et surtout, la naissance peut-être d'un amour vrai qui est fait de connivences et de compréhension.
Bon, la fin du premier tome est assez abrupte : la sélection est terminée, ne reste que l'Elite dont notre héroïne fait bien sûr partie :-)
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