AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782280393850
Harlequin (07/03/2018)
3.79/5   151 notes
Résumé :
Ce voyage, elle n'avait pas envie de le faire.Cette destination, elle ne l'a pas choisie.Cet hôtel, elle ne l'aurait jamais sélectionné.Et pourtant, Sofia se retrouve au Royal Redstone House, majestueux manoir écossais, pour une durée indéterminée, afin de se remettre de l'événement. Si, au début, elle ne voit que la décoration trop baroque, trop ostentatoire, trop passéiste, Sofia apprend au fil des jours et des rencontres à découvrir l'hôtel d'un nouvel ?il. Ce li... >Voir plus
Que lire après Qu'est-ce qui fait pleurer les crocodiles ?Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (52) Voir plus Ajouter une critique
3,79

sur 151 notes
Des répliques qui fusent à cent à l'heure, un manoir écossais transformé en hôtel de luxe , des tableaux qui disparaissent : je ne m'attendais pas à une histoire pareille , et j'ai savouré le voyage en première classe…

Sofia qui travaille dans une galerie d'art monégasque , s'est vue imposer un séjour d'une durée indéterminée en Ecosse . Dés le départ, un homme particulièrement désagréable attire son attention par son physique et par ses réparties cinglantes ( mais extrêmement drôles …). Elle fait la connaissance du propriétaire, du personnel et d'une cliente, une riche lady légèrement manipulatrice, mais très sympathique qui la prend sous son aile. C'est au cours d'une insomnie qu'elle soigne à grand coups de ballades nocturnes dans les couloirs de l'hôtel , que Sophia se rendra compte qu'il s'y passe des choses bizarres…

J'avais été séduite par la plume pleine d'humour de Lucie Castel , avec son roman précédent " Pas si simple". Elle excelle dans les joutes verbales entre un homme, une femme Chabadabada … Et ça pétille, ça claque. J'ajoute que ça surprend chez une auteure française qui possède sur le bout des doigts l'humour anglais.
En quelques phrases, elle bâtit une héroïne de chick-lit qui n'est pas une potiche. Sophia vient de la Dass, mais l'auteur n'en fait pas une pauvre Cendrillon (juste un "crocodile"! ) . Elle bosse dans le milieu de l'art et ça la rend intéressante. Elle est cultivée.
La troisième chose qui m'a plu dans ce roman, c'est l'ambiance, le décor. Dés les premières lignes, l'univers est magique. Je me suis demandé si le héros (celui qui a des réparties cinglantes, il faut suivre… ) était humain, j'ai supputé qu'il s'agissait d'un fantôme. ( On retrouve un peu de cette magie à la toute fin du roman ).
Décor baroque, vieux tableaux, murder party : un univers "Cluedo" s'installe.
Sofia et Lachlan m'ont légèrement fait penser au couple "Tommy et Tuppence Beresford" d'Agatha Christie.

Lucie Castel en deux romans, impose son humour , et change brillamment d'univers mais nous fait toujours voyager . Ses personnages sont toujours très originaux .
Réservez sans plus tarder , votre suite dans cet hôtel écossais, rassurez- vous, le port du kilt n'est pas obligatoire ….


Challenge Mauvais Genres
Commenter  J’apprécie          542
Je n'ai pas trop aimé ce roman : ce n'était pas vraiment la comédie romantique à laquelle je m'attendais après avoir lu deux autres des romans de Lucie Castel, "Pas si simple" et "La guerre des papilles".

C'est comme si l'auteur voulait dire trop de choses en même temps ou qu'elle dosait mal ses ingrédients et que du coup le message ne passait pas. Entre romance et suspense, entre comédie et drame, on se perd un peu : j'ai eu du mal à prendre au sérieux l'enquête sur le trafic d'oeuvres d'art et l'histoire d'amour tourne très vite au mélodrame vu le lourd passé des deux héros ; deux héros qui sont marqués par un passé hyper-malheureux et qui passent leur temps à se chamailler assez méchamment, ce qui ne m'a pas aidé à les trouver attachants.

Enfin bref, je ne suis jamais vraiment entrée dans cette histoire qui oscille maladroitement entre plusieurs registres.
Commenter  J’apprécie          240
Cette couverture n'est-elle pas superbe ? Et le titre, qu'en pensez-vous ? Ayant bien aimé [PAS SI SIMPLE], l'autre roman de l'auteure dans la collection &H, je n'ai pas hésité à tenter l'aventure avec Sofia.

Direction le Royal Redstone House, un majestueux manoir en Ecosse. Autant vous dire que Sofia ne savait pas du tout où elle mettais les pieds, et dès son arrivée, elle va comprendre que son séjour risque d'être mouvementé. Concrètement, Sofia n'avais pas prévu ce voyage, et à ses yeux, elle n'en avait pas besoin mais voilà elle y est et elle va devoir composer avec ce lieu étrange à la décoration trop baroque, criarde et ostentatoire. Elle perçoit la richesse de ce lieu. Et puis au fil des jours elle va apprendre à connaître les personnes qui y vivent. En commençant, par Lachlan, un rustre glacial, antipathique et suffisant mais qui arbore un charme qui ne laissera pas Sofia indfférente.

Ce que je trouve remarquable chez lui, c'est qu'il est aussi beau que désagréable à regarder. Son visage un brin osseux, aux pommettes assez saillantes pour le structurer avec élégance, ses yeux d'une couleur rare, hésitant entre le vert et l'or, et sa chevelure châtain foncé aux reflets auburn attaché en chignon haut lui confère un côté viking assez sensuel.

Après les premières rencontres avec le personnel de l'hôtel et les personnes qui y vivent, Sofia va comprendre qu'il se trame quelque chose de pas clair au Royal Redstone House, en parfaite experte d'oeuvre d'art, elle va mettre le nez dans les affaires de Glen Wallach, le directeur et futur dirigeant. Avec l'aide de Lachlan, de Lady Catherine et du personnel de l'hôtel, Sofia va se retrouver au coeur d'une enquête pleine de mystère. Et oui, Lucie Castel nous offre une comédie romantique pleine de suspense dans un cadre charmant et dépaysant.

Avec ce nouveau roman, je retrouve ce que j'ai aimé dans [PAS SI SIMPLE], un humour à l'anglaise et des personnages plus complexes qu'il n'y paraît. j'ai tout de suite été intriguée par la personnalité de Sofia. C'est une femme franche et rentre dedans. Je dois dire que son humour colle totalement au mien donc je me suis sentie très à l'aise avec son personnage. Elle m'a énormément fait rire mais également émue car au fil des pages on découvre ce qui la ronge et la réelle raison de sa présence en Ecosse. Sofia est un sacré bout de femme. Un brin féministe, elle affirme ses droits en pointant du doigt ce qui ne tourne pas rond. C'est un peu une tête brûlée, défendez-lui de faire quelque chose et elle se jettera dans la gueule du loup. Lachlan, notre anti-héros ^^ Franchement j'ai aimé son personnage dès le début, car son air glacial est suffisamment intriguant pour que l'on s'intéresse à lui. Que fait-il dans cet hôtel ? Est-il un employé ? Que cache-t-il ? Est-il toujours aussi imbuvable ? Lachlan a aussi un prénom qui m'a fait fondre. Son personnage a une évolution constante dans l'histoire, on sent qu'il n'a rien envie de laisser transparaître sur son visage, il arrive d'ailleurs à garder une contenance dans n'importe quelle situation mais j'ai adoré voir son masque se fendiller au fil des pages. Il a aussi une place de premier choix dans l'intrigue ce qui le rend définitivement irrésistible.

Les personnages secondaires ô combien haut en couleur m'ont beaucoup fait rire, même l'homme tout nu de la première scène, si si ! J'ai adoré Lady Catherine, c'est une sacrée bonne femme, de bons conseils… ou pas ! Elle m'a plu pour sa personnalité hors du commun et sa façon d'aider Sofia à traverser cette période difficile et cette enquête pleine de suspense.

Cette comédie romantique s'articule autour d'une enquête un peu loufoque, et si j'ai douté un peu de la crédibilité de celle-ci cela ne m'a pas empêché de suivre l'ensemble de l'histoire avec intérêt. Sofia a mis les pieds dans une histoire un peu dingue et en même temps vu ses connaissances en matière d'art et son côté tête brûlée, elle avait terriblement sa place dans cette sombre affaire. Lucie Castel nous offre aussi une belle introspection sur la vie de ses héros. Je me suis posé pas mal de questions sur Sofia et Lachlan. Sofia n'est pas en Ecosse par hasard, on sent bien qu'elle est hanté par un événement de son passé, et que c'est une épreuve terriblement difficile à surmonter. Lachlan aussi nous fait ressentir un trouble, j'ai eu envie de percer le mystère de cet homme dès son entrée en scène.

La romance naît au milieu de ce joyeux bordel. C'était clairement une évidence, les opposés s'attirent, et Sofia et Lachlan était loin d'être compatibles dès le départ mais finalement l'auteure brouille les pistes et nous démontre que finalement les apparences sont trompeuses et c'est là que le titre prendra tout son sens ^^ le style de Lucie Castel est toujours aussi agréable, charmant et un peu décalé. L'humour détonne toujours au milieu des rebondissements et je peux vous dire que pour se détendre c'est vraiment l'idéal. Elle n'omet pas la bonne dose d'émotions pour rendre l'histoire touchante au-delà de l'aspect suspense.

En bref, j'ai passé un moment sympathique aux côté de Sofia, Lachlan et tous les personnages haut en couleurs de ce roman. Evasion totale dans un cadre avec du cachet et des secrets à découvrir. Cette comédie romantique s'associe à une enquête un peu loufoque pour rendre l'ensemble très divertissant. Tous les ingrédients se mélangent à merveille pour nous offrir une histoire comme Lucie Castel sait en écrire. du suspense, de l'humour et de l'amour sont au rendez-vous de [Qu'est-ce qui fait pleurer les crocodiles ?]
Lien : http://www.lmedml.fr/2018/03..
Commenter  J’apprécie          40
Après avoir lu Lucie Castel avec Pas si simple, je n'ai pas hésité à lire ce roman. J'ai tellement aimé sa plume, qui m'a fait un bien fou que l'allier à l'Ecosse était plus que tentant. L'immersion en Ecosse et surtout dans cette bâtisse au fort potentiel historique nous sont retranscris avec beaucoup de justesse et de détails. Cela nous permet de nous imprégner totalement dans le décor qu'a choisit Lucie Castel pour cette romance, sur fond d'intrigue.

Nous suivons dans ce roman une jeune femme, Sofia qui a quitté le sud de la France pour une retraite au calme, une pause qu'elle n'a pas souhaité prendre mais qui semble lui être salutaire même si elle ne pense qu'au moment où elle rentrera. Les raisons qui l'ont poussé à partir ne nous sont pas de suite révélées, cela reste très vague. Il y a comme une aura de mystère autour de sa présence ici, mais aussi autour de tout ce qui se passe au sein même de l'hôtel. Elle se retrouve mêler à quelques intrigues qu'il nous est difficile d'identifier. Les personnages le sont eux même, bien mystérieux, chacun d'eux ayant des particularités qui font d'eux des personnes bien définies.

J'ai eu un peu de difficultés à entrer dans l'histoire, et pourtant les descriptions de l'environnement, de l'architecture jusqu'aux oeuvres qui passionnent tant Elodie nous mettent dans l'ambiance des lieux et j'ai trouvé cela très plaisant, je m'y suis complètement vue. J'ai été fascinée par cette Ecosse et le mysticisme qui déborde autour des personnages et du lieu. Mais de ne pas en savoir plus sur les personnages au début m'a un peu freiné, j'ai eu du mal à les cerner puis il est vrai que leurs caractères sont très marqués, alors il m'a fallu du temps pour prendre mes marques auprès d'eux. Après toutefois, une fois chaque personnage un peu plus défini, je me suis bien plue à les suivre et à en découvrir plus sur eux.

Et ce héros ? Qu'en est-il de lui ? Lachlan, un prénom fort, qui semble si bien choisit pour ce personnage. Il n'est pas évident de se faire une idée, il en impose physiquement, cela semble indéniable mais il est particulièrement antipathique ! et quel est son rôle au sein de cet hôtel ? Nous nous posons beaucoup de questions à son propos, et tout comme Elodie il nous intrigue et nous attire. Cette aura de mystère est d'autant plus accentuée par son comportement avec des non-dits, une certaine distance et surtout la façon dont il a de juger le comportement de Sofia. Mais cet homme fascine, je ne sais pas, il a un petit quelque chose qui vous pousse, tout comme l'héroïne de cette histoire, à ressentir un léger émoi (je minimise l'effet qu'il engendre), des frissons en sa présence et ce point m'a particulièrement tenu en haleine. Les écossais ont cette particularité d'être charmant malgré une imposante présence physique, n'est-ce pas un pays où les légendes et les mystères sont de mises ? Voilà donc l'ambiance de ce roman.

C'est auprès du clan Wallace que nous allons découvrir cette contrée lointaine d'Ecosse, un clan qui comme tout autre a un passé et donc l'héritage reste important. La bâtisse se transmet de père en fils et il semble qu'ici les histoires de familles ne soient pas simples, il y est question de testament, d'oeuvres d'art qui disparaissent. le propriétaire des lieux est un personnage suffisant, peu à même d'attirer la sympathie, nous ressentons bien alors que des enjeux conséquents pèsent sur l'ensemble de cette histoire. Sofia arrive ici pour des vacances mais sa fascination pour l'art va l'entrainer malgré elle au coeur même d'une enquête autour de ces oeuvres d'art et ce en compagnie de l'énigmatique mais si séduisant Lachlan.

Une romance où les lieux s'imposent d'eux-mêmes, ils fascinent et révèlent leurs secrets au fil des pages. Les ambiances de suspicion et de mystères à résoudre régissent le déroulement de l'histoire. Mais la relation qui s'établit entre Sofia et Lachlan s'intensifie au fil des pages, tous deux profitent des moments qui leur sont offerts sans qu'il ne soit question d'évoquer un lendemain. Un peu comme si, tout était alors lié à la durée que prendrait leur petite enquête pour dévoiler la vérité sur ce que devrait être la succession de ce lieu plein d'histoire. Et pourtant, on peut dire que la jolie Sofia a su apprivoiser l'impétueux Lachlan. Leurs échanges sont incisifs, tous deux nous font beaucoup sourire et rire, ils s'opposent, se frottent l'un à l'autre et vont même jusqu'à s'apprécier dans certains moments d'intimité.

La plume de Lucie Castel est toujours aussi parsemée de cette humour, que l'on pourrait presque qualifié de British. Avec ce roman, j'ai ressenti comme ces huit-clos des enquêtes anglaises où chacun s'observe, peut être est-ce les lieux, les personnages si particuliers ou encore l'ambiance un peu comme fantomatique avec ses secrets et ses intrigues. Nous frissonnons au détour d'un couloir sombre le soir, nous demandons quelles sont ces lumières qui Sofia aperçoit qui percent la nuit, ou encore que se chuchote ce couple caché des yeux de tous ? Mais ce sont aussi ses personnages si marqués, chacun tenant un rôle particulier et avec surtout des personnalités un peu atypiques qui rythment le roman. L'enquête et la recherche de la vérité sont menés de front avec Sophia et Lachlan, ainsi que quelques acolytes de confiance mais c'est aussi à la façon d'une comédie romantique que nous suivons ses personnages. Un roman qui offre un vrai dépaysement et qui vous pousse à vouloir connaitre le mot de la fin avec des personnages à découvrir.
Lien : http://www.livresavie.com/qu..
Commenter  J’apprécie          40
Je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler d'une romance qui m'a particulièrement plu. Qu'est ce qui fait pleurer les crocodiles est sorti le 7 Mars chez Harlequin. J'ai obtenu ce roman via la plateforme Netgalley que je remercie au passage.





Avant de commencer, je veux souligner que j'ai enfin apprécier un roman dans cette maison d'édition. Jusqu'à présent, les quelques romances lues avaient été compliquées pour moi, soit je les avais abandonnées, soit j'avais un avis mitigé. (Bad de Jay Crownover, Leaving Amarillo de Caisey Quinn ou dernièrement Tout en haut de la liste d'Emily Blaine que j'ai abandonné dès le début).
C'est vrai, me direz-vous, que je n'ai pas pris trop de risque en me jetant sur le roman de Lucie Castel, quand on sait que j'ai adoré les autres livres écrits par elle comme "Le roi Sombre" ou encore "J'agonise fort bien merci" qu'elle a publié sous le pseudonyme d'Oren Miller.

Dans cette romance, on rencontre Sofia, une monegasque envoyée à Oban en Ecosse pour se ressourcer. Délaissant sa galerie d'Art, elle décide de découvrir le pays Ecossais, particulièrement l'hôtel (de luxe) où elle loge.

Les premières lignes donnent le ton : Sofia se retrouve dans sa chambre, qu'elle partage apparemment avec un autre homme qui a pris ses aises. Ne vous méprenez pas, ce ne sera pas le prince charmant du livre comme j'ai pu le croire au début. Non non non, le mâle du roman s'appelle Lachlan, et on le rencontre lorsque Sofia vient se plaindre à l'accueil de ce problème d'attribution des chambres.
Il est taciturne, froid, distant. Personne n'arrive vraiment à le cerner.
Sofia, elle, est à fleur de peau, elle a le sang chaud et réplique très rapidement, ce qui nous laisser être spectateurs de superbes joutes verbales entre les deux protagonistes.

Le couple est alchimique, on sent qu'ils se détestent et en même temps, on a hâte de les voir passer la seconde vitesse tellement leur aura est explosive !

J'ai eu énormément de sympathie pour l'ensemble des protagonistes secondaires comme par exemple Lily qui est rigolote puisqu'elle prend tout au premier degré. Elle est très.. naïve, ce qui prête aussi à des histoires attendrissantes la concernant, même si elle fait aussi de la peine par moments :) on dirait une petite fille perdue, et à travers elle, on découvre que Sofia, derrière ses barrières, a beaucoup d'amour à donner. Lady Catherine a été exceptionnelle à mes yeux! Cliente régulière de l'hôtel, elle connait les rumeurs sur les gérants, et elle accueille sous son aile charitable la belle rousse qu'est Sofia. Leurs échanges sont également jouissifs!

Ce qui m'a également énormément plu dans cette histoire, c'est que la romance laisse aussi une place équivalente à une intrigue de vols de tableaux. Ainsi, cela met du piment au récit. Pour les partisans, Lucie Castel fait de nombreuses références à des tableaux et des peintres de la période pré-raphaélites. du coup, on tourne les pages rapidement pour connaître le fin mot sur ces larcins!

L'écriture est encore une fois pleine de pep's et de punchline J'ai dévoré ce roman et je me suis régalée!! Humour décalé et cynique, sarcasme, références culturelles à des oeuvres d'art, gloussements de rire, fous rire, larmes aux yeux, gorge serrée, je suis passée par toutes sortes d'émotions dans cette romance qui met de bonne humeur! Je ne peux que vous recommander ce roman
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
- Votre époux ne prend pas le petit déjeuner avec vous ?
- Mon époux est le genre d'accompagnement qui fonctionne très bien la nuit, mais devient très vite encombrant le jour. Je l'ai envoyé se dépenser à la piscine de l'hôtel.
- Il me donne l'impression d'aimer se dépenser.
- Oui, un peu comme les labradors.
Commenter  J’apprécie          253
Je suis sûre qu'il y a une bête enragée terrée entre mes côtes et, dés qu'il lui prend l'envie, dés qu'elle juge que la joie tourne un peu trop autour de moi, elle ouvre sa gueule pleine de crocs et mord encore et encore.
Commenter  J’apprécie          210
- "Un homme nu et une suite dans la même soirée, il me semble qu'il y a là de quoi satisfaire n'importe quelle femme, commente l'homme antipathique.
- Votre simplicité d'analyse est vraiment rafraîchissante.
- Le chauffage de la chambre se règle, cela devrait suffire à vous réchauffer, rétorque-t-il avant de se pencher pour saisir une pochette cartonnée.

P. 19
Commenter  J’apprécie          110
Mathilde me disait : « Tu es un crocodile. » Une seconde, immobile, impassible et inoffensive, la seconde d’après, violente, agressive et incontrôlable. Et entre ces deux instants, presque aucune nuance.

Mon visage se trouve au niveau des épaules de Lachlan. Sa veste en cuir souligne leur envergure et donne de l’emphase à sa silhouette. Il a un cou long et nerveux ; l’arête de sa mâchoire est volontaire, un brin anguleuse. Son attention est entièrement tournée vers les deux hommes, et je sens sa concentration couler dans ses veines et tendre ses muscles. J’ajoute la détermination jusqu’à la rigidité au nombre de caractéristiques que je devines chez lui.

Il tourne soudain le visage vers moi. Ses yeux verts piqués de jaune en leur centre sont comme des projecteurs. Il y a tant d’autorité et de certitude, dans ces pupilles ! Elle vibrent d’intensité. Il me semble qu’il accentue la pression de ses mains sur mes épaules et ça m’électrise. Je reste immobile, impassible, inoffensive, j’observe.

Et je comprends.

Lui aussi est un crocodile. Et nous sommes sur le même territoire.
Commenter  J’apprécie          30
– L’endroit est effectivement magnifique.
– Parfois, on s’y ennuie à mourir. C’est d’ailleurs la réponse pour laquelle Dieu a créé un tel paysage. Le contempler fait passer le temps, les jours de pluie.
Commenter  J’apprécie          140

Videos de Lucie Castel (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Lucie Castel
Cet été, plongez dans la lecture ! Et si nous vous disions que nous avons la sélection IDEALE pour cet été ? A découvrir dès maintenant ?
Au programme : - La librairie des rêves suspendus, de Emily Blaine - Petites confidences et grandes confessions à Martha's Vineyard, de Sarah Morgan - Tu ne m'oublieras pas deux fois, de Mhairi McFarlane - C'était pas censé se passer comme ça, de Eve Borelli, - Fais-moi taire si tu peux, de Sophie Jomain - Ce crétin de prince charmant, de Agathe Colombier-Hochberg - La guerre des papilles, de Lucie Castel - Mes amies, mes amours, mais encore ? de Agathe Colombier-Hochberg - Avant, j'étais un salaud, de Louisa Méonis - Mais sinon, tout va bien, de Max Deloy
+ Lire la suite
autres livres classés : ecosseVoir plus
Les plus populaires : Roman d'amour Voir plus


Lecteurs (344) Voir plus



Quiz Voir plus

Compléter les titres

Orgueil et ..., de Jane Austen ?

Modestie
Vantardise
Innocence
Préjugé

10 questions
20193 lecteurs ont répondu
Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..