Témoignage sans prétention. J'ai trouvé le style de l'auteure assez indigeste, et le récit plutôt répétitif. Je ne sais pas à quoi je m'attendais, mais surement pas à ça. Effectivement le sujet abordé est grave mais n'a pas suscité de grande empathie chez moi. Désolé.
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C'est fou ce que certaines personnes sont prêtes à accepter par amour. Marie ne se rend pas compte des risques qu'elle prend par amour pour son homme. le récit est bien mené parce qu'on comprend par quelle étape il est passé pour l'amener à faire ce qu'il voulait lui. A certains passages, elle prend conscience de ce qu'elle est en train de faire mais n'arrive pas à renoncer à lui, l'homme de sa vie. J'ai trouvé intéressant que le récit soit plus que l'histoire de ces 4 années de perversité, c'est surtout le cheminement d'une femme qui doit se reconstruire complètement, qui est brisée et qui rencontre de vraies difficultés à sortir ce cercle vicieux. Très intéressant à lire et qui éclaire une situation où l'on a parfois tendance à dire que la victime était consentante !
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c'est intéressant comme lecture.
selon les recherches scientifique, le cerveau humain change tout le temps notre perception de la réalité et surtout du souvenir. et du point de vu juridique, un témoignage n'est pas suffisant pour affirmer la culpabilité ou pas d'une personne, donc...
tout ça pour dire que je me fie pas à l'histoire mais je trouve que l'aventure et la façon dont l'auteur l'a vécu est très intéressante, et je la remercie de tout partager avec nous
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Restons dignes et fiers, car n'oublions pas que nous sommes éphémères. Profitons de chaque moment présent, car on ne peut savoir de quoi sera fait demain. Brisons les chaînes et les codes. Personne ne peut nous dire qui nous sommes. Personne n'a le droit de nous dicter sa loi. Nous sommes bien, ici ou ailleurs, dès que nous suivons ce que nous dicte, au fond, notre cœur. Prenons la vie comme elle vient. Rien n'arrive par hasard. Personne ni rien ne peut nous empêcher de vivre. Changeons de peau, mettons les voiles, prenons le large. Vivons notre idéal et transformons le monde à notre façon.
Je commence à comprendre, à ce moment-là, que l'attente est un poison, que celui ou celle qui attend finit par attendre une personne très différente, souvent idéalisée. En cela, l'attente est dangereuse. C'est d'un manque, devenu un songe dont je suis tombée amoureuse.
Quand j'allais bien, je buvais. Quand j'allais mal, je buvais encore. En résumé, je buvais tout le temps.
La culpabilité, la honte, le mépris, la colère que j'ai pu retourner contre moi. Je n'aimais pas ce que j'étais devenue mais je ne pouvais m'en passer.
J'ai compris que Lucas était vraiment un être abject et, je l'ai plaint. J'ai eu envie de vomir mais, pour la première fois, de le vomir lui. Je refuse de me laisser miner par les fantasmes d'un pauvre type qui, après m'avoir rêvée en rose, m'a repeinte en noir avant de me défigurer.