Derrick Storm travaille pour la CIA. Cette fois ils vont l'envoyer sur une scène de crime où un banquier a été torturé comme plusieurs autres déjà de façon atroce. Il semblerait que son ennemi juré, Volkov, ne soit finalement pas mort, car ces actes ressemblent aux méthodes de celui-ci. C'est comme James Bond mais en moins bien, tout est trop gros pour que ce soit un temps soit peu imaginable.
Toujours drôle d'imaginer le personnage de la série écrire ce livre.
un roman d'espionnage génial!! j'ai adoré du début à la fin cette fabuleuse aventure de Derrick Storm!!
brrrr ! Quel thriller !
Le gondolier, un beau ténébreux brun aux yeux noirs, la mâchoire carrée et les muscles tonifiés par le maniement quotidien de la rame, arborait le costume attendu
par les touristes : un t-shirt blanc moulant à rayures rouges, pantalon noir et foulard rouge noué autour du cou. Pour parachever son effet, il gardait un chapeau de paille vissé sur la tête malgré l’heure tardive. On ne pouvait lui dénier un certain charme voyou.
D’un geste rompu, il donna une puissante impulsion pour faire passer la barque sous le pont de la Calle delle Ostreghe. Une fois la gondole lancée, il entonna un air mélancolique
de sa belle voix de baryton.
— Arrivederci Roma. Goodbye, au revoir, mentre...
— Pas de chant, merci, objecta le passager, un homme au teint pâle et au physique mou, dont la voix et la veste de tweed évoquaient un pur produit de pensionnat britannique
à l’ancienne.
— Mais cela fait partie du service, répondit le gondolier avec un fort accent italien. C’est – comment dites-vous ? – romantique. On pourrait peut-être vous trouver une gentille
fille, hein ? Pour vous mettre de meilleure humeur ?
Ce sont les yeux qui vous marquent. Derrick Storm le savait par expérience.On a beau se dire que ce sont des gamins tout ce qu’il y a de plus normaux ; on a beau se dire que tout va s’arranger pour eux ; on a beau se dire que ce n’est peut-être pas si dur pour eux…Les yeux. Ah ! ces grands yeux noirs et brillants. Pleins d’espoir et de souffrance. Que d’histoires ils vous content. Que de suppliques ils contiennent : « S’il vous plaît, aidez-moi, s’il vous plaît ; emmenez-moi, s’il vous plaît ; prenez-moi dans vos bras, s’il vous plaît, juste un petit câlin, s’il vous plaît, et je serai à vous à tout jamais. »Oui, ils vous touchent. Chaque fois. Ces yeux étaient la raison pour laquelle Storm ne cessait de retourner à l’orphelinat du Saint-Nom, ce petit paradis d’amour et de beauté inattendue au sein d’une sinistre ville industrielle du nord-est de la Roumanie
En se retournant, il découvrit une fillette, cinq ans à peine, serrant contre elle la dépouille d’un nounours qui devait avoir traversé le temps et être passé entre bien des mains. Ses vêtements étaient usés jusqu’à la corde. Elle avait les cheveux bruns et le visage grave, un peu trop triste pour un enfant de cet âge.
arrivederci Roma goodbye au revoir...
Tempête de...