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Critique de kuroineko


Avec L'Australienne, Nancy Cato rejoint les auteurs de grandes sagas tels que Kathleen Winsor, James Michener, James Clavell ou encore sa compatriote Colleen McCullough.

J'ai lu ce gros pavé de plus de 700 pages, édition France Loisirs, lorsque j'étais adolescente, à la fin du collège. J'ai suivi les aléas de la vie de Délie. Ça commence mal puisque le bateau qui la mène jusqu'en Australie fait naufrage. Ses parents meurent et elle débarque en ces terres encore sauvages orphelines. Recueillie par son oncle et sa tante, déjà installée, elle découvre ce qui restera le fil conducteur de sa vie: sa passion pour le dessin et la peinture. L'amour aussi... Car ce roman se focalise aussi sur les aléas sentimentaux de Délie.
Autre leitmotiv, la présence du fleuve Murray et la navigation fluviale, à laquelle la jeune femme s'attelera également.

Si ce n'est certes pas de la grande littérature, L'Australienne avait alors tous les ingrédients pour me transporter dans cet ailleurs livresque : dépaysement, de vastes espaces, une jeune fille puis femme au parcours semé d'embûches, des hommes séduisants et forts avec toutes les difficultés possibles de l'amour, ...

La recette continue de fonctionner puisqu'il paraît chaque année de nombreux ouvrages la reprenant, dont plusieurs en Australie d'ailleurs. Plus ou moins bien écrits, plus ou moins clichés, ils parviennent souvent à leur but premier: le divertissement. Et ce n'est déjà pas si mal. Adolescente, j'ai dévoré les aventures de Délie (et d'Ambre, et de Meghan, ...). Je ne suis pas certaine qu'une relecture me rendrait les mêmes sensations aussi préféré-je rester sur mon ressenti d'alors.
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