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EAN : 9782914428149
Cdl (06/06/2005)
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3.74/5   356 notes
Résumé :
Un homme, une femme et un enfant surdoué s'installent pour quatre saisons qui s'annoncent merveilleuses dans un vieux manoir, Haute-Pierre. Après un été splendide, l'automne se referme sur Haute-Pierre où d'étranges phénomènes se produisent soudain. Mais, aujourd'hui, qui peut encore croire aux maisons hantées ?
Vous serez envoûtés par le nouveau Patrick Cauvin, qui conjugue romantisme et humour avec un fantastique sens du suspense. Un vrai Cauvin. Vous n'en ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
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Un grand Patrick Cauvin, j'adore cet écrivain qui savait prendre des risques, un style bien différent et une histoire surprenante . Une chute très fine que je n'avais pas vue venir. Un grand moment de lecture pour ce livre. Pourtant peu convaincue a la base, faisant partie de la generation S. kiNG , j'ai eu peur d'un énième shining a la française....mais pas du tout!! A lire , et surtout jusqu'au bout !
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C'est bien les femmes... elles confondent le cinéma et la vie.
Signé Richard Coeur de Lion

Un roman que je conseille vivement. J'ai adoré la plume généreuse de Patrick Cauvin, un esprit tout en finesse, élégance et drôlerie. Haute-Pierre est un roman qui surprend par sa construction magnifiquement bien pensée. C'est épatant de voir à quel point l'auteur promène son lecteur avec aisance. Les personnages sont attachants, il leur donne avec simplicité l'intelligence de l'amour, du bonheur. L'intelligence tout court. Celle de la vie. J'ai ressenti au travers de ses mots un profond amour pour son prochain, un bien-être. Je me suis amusée de voir Marc arriver en pleine cambrousse, discuter avec les agents immobiliers pour finalement tomber sous le charme de cette vieille demeure « Haute-Pierre » et décider de s'y installer avec son amie et le fils de celle-ci. J'étais bien avec ce couple serein, sûr de leur avenir commun, sous le regard de ce petit garçon futé dont le nom quotidien changeait tout les jours (hier c'était Richard Coeur de Lion) et en compagnie de leurs proches, tous issus du monde du cinéma. Des costumières, des scénaristes, des acteurs en herbe... Cela permet à l'auteur de nous balader dans ses envies, dans ses rêves, dans son esprit. Et puis Patrick Cauvin ne se contente pas de cet univers, il rajoute la touche surnaturelle. Celle des maisons hantées. D'un coup, on se surprend à trembler. Non, vraiment, ce roman est un pur plaisir. La trame, les personnages, la construction, les thèmes... J'ai encore préféré Haute-Pierre à E=MC², mon amour, c'est dire !
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Dans la vieille Ford pliant sous sa charge, Marc, Andréa et, ce jour-là, l'inspecteur Smittey arrivent à Haute-Pierre, manoir figé dans le crépuscule aoûtien d'un petit coin de Touraine. Ils ont quitté Paris et son quartier Montmartre pour passer l'année à venir dans cette demeure « bourrée d'histoire » achetée récemment par Marc. Un besoin de savourer la campagne déserte, une envie de calme, de se sentir pleinement en vie loin de la ville.
L'inspecteur Smittey, c'est le fils d'Andréa, un garçon de huit ans dont on ignore longtemps le prénom. Chaque matin, avant de petit-déjeuner de lait chaud et de sardines à l'huile, il change d'identité et celle-ci peut être entendue, lue ça et là ou piochée dans un énorme dictionnaire des noms propres.
Marc est un brillant scénariste de séries TV alors qu'Andréa, sa compagne depuis trois ans, est costumière pour le cinéma.
De la grille du manoir, la vieille demeure massive fascine déjà et son intérieur pourtant vide exhale le doux parfum du passé emprisonné dans ses vieux murs. L'auteur nous envoûte en décrivant à merveille cette atmosphère laissée par les siècles écoulés.

Construit comme un surprenant et magnifique patchwork littéraire, ce roman à l'écriture efficace et exquise s'entoure d'une aura dont l'éclat attire indubitablement le lecteur amoureux des ambiances distillées par des habitations anciennes.
Certaines pièces de ce patchwork représentent des cas de maisons hantées. Ça n'existe pas les maisons hantées ? Bien sûr que si ! Tenez, en Norvège, une maison en béton (donc même pas ancienne) dans laquelle des objets datant d'une époque plus vieille que sa construction décident d'apparaître. Ou une autre, bien plus ancienne celle-là, qui, toute fermée et désertée, se voit dessiner une fresque de crucifixion. Et ces rires étouffés en Amérique, et ces drôles de phénomènes dans cette hutte africaine ?
Des extraits de lettres d'Andréa, pleines d'enthousiasme sur ce nouveau bonheur trouvé à Haute-Pierre, ou bien des lignes griffonnées dans le journal tenu par son fils viennent s'intercaler sur le fond de l'ouvrage où notre trio prend ses marques dans cette nouvelle vie. D'autres bouts de tissus affichent le passé récent de la rencontre de Marc et d'Andréa, un amour immédiat, comme une évidence.
Des visites d'amis plus ou moins appréciés, dont les excentricités sont cocassement décrites par le jeune garçon alternent avec des journées de travail sur un nouveau scénario, des sorties à vélo au bord de Loire, une halte au bistrot de campagne avant de se poser devant le feu crépitant dans les cheminées monumentales.

Les semaines lumineuses de l'été laissent place à l'ombre automnal, aux jours gris. Avec le froid, la plénitude et le bonheur se refroidissent et la magnificence de la demeure se pétrifie aussi. de troublantes révélations déterrées des anciens propriétaires de Haute-Pierre inquiètent Marc. Ne vaut-il pas mieux ignorer le passé de cette maison, le laisser tranquillement dormir ?
Le mystère s'épaissit à mesure que le patchwork se construit, le paranormal fait perdre tout bon sens et, baignant dans l'odeur ancienne de ce manoir, un tout autre visage se profile sur l'ouvrage. le résultat final n'est pas du tout celui escompté au départ !

Des personnages délicieusement étonnants, des traits d'humour leur collant à merveille, un réel dans un lieu merveilleusement envoûtant, des chiffres qui ne peuvent mentir, ce petit roman pétillant et plein de surprises a plus d'une flèche à son arc et m'a totalement séduite.
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Haute-Pierre, c'est le nom d'un vieux manoir de province situé non loin de Saumur. Un manoir de rêve pour Marc Conrad, scénariste à succès, qui vient de l'acquérir après des mois de recherche. Sa décision est prise, pendant un an, finis pour lui la vie parisienne trépidante et le milieu artistique sophistiqué dans lequel il évolue, à lui le calme et la simplicité de la campagne. Il y emménage, à la fin de l'été, accompagné d'Andréa sa nouvelle compagne, costumière pour le cinéma, et de son fils de 8 ans. C'est un enfant sympathique, un brin surdoué qui désire changer d'identité tous les jours et se fait appeler entre autres Louis Capet, Winston Churchill, Sigmund Freud, Lariboisière, Wilhelm Furtwängler

Les premiers mois sont idylliques, cette famille plutôt déjantée s'installe joyeusement, elle nage dans le bonheur de la nouveauté, de la bonne humeur et de l'amour partagé, jusqu'au jour où Marc commence à s'intéresser de plus près aux propriétaires précédents de sa résidence. Ils sont tous morts de façon énigmatique et chose encore plus curieuse il semble que tous connaissaient en avance la date de leur décès ! Quelle angoisse ! Un mystère serait-il caché dans ces vieux murs, cela intrigue Marc jusqu'à en devenir une obsession. Va-t-il être la prochaine victime ?

Patrick Cauvin signe un roman agréable à lire, pas vraiment un polar ni un thriller, ni non plus un roman fantastique même s'il se produit des événements non expliqués dignes d'une maison hantée. le récit commence doucement et l'histoire part un peu dans tous les sens, comme si l'auteur s'amusait à désorienter le lecteur. Durant les deux cents premières pages, il se passe relativement peu de choses : le quotidien, les souvenirs d'enfance, les rencontres avec les amis et les villageois. Puis au fur et à mesure une certaine tension commence à s'installer et à grandir jusqu'à ce que survienne un drame improbable à une centaine de pages de la fin. A partir de ce moment, impossible de lâcher le roman, qui ne peut pas se terminer ainsi, on n'y croit pas, ce serait trop cruel !

J'avoue avoir un peu trainé sur la première partie de ce livre, rythme lent, nombreuses digressions et flash-backs, entrecoupés d'exemples de maisons hantées aux quatre coins du monde. Mais la seconde partie et le dénouement rachètent allègrement la légère déception ressentie. J'ai bien aimé aussi me retrouver dans les années 80, une période où l'on payait encore ses achats en francs, on regardait des cassettes vidéo avec son magnétoscope, et ou l'on écoutait les Forbans, ce sympathique groupe de rock. "Chante, chante, danse et mets tes baskets..." Certains Babéliotes doivent s'en souvenir ! Nostalgie quand tu nous tiens...

J'ai lu ce roman atypique et bien construit grâce au Challenge solidaire et je ne regrette pas d'avoir pu ainsi découvrir la plume élégante, précise et efficace de Patrick Cauvin.

#Challenge solidaire 2023
#Challenge ABC 2023 / 2024
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Oh le curieux bouquin que voilà !
Un couple un peu déjanté (madame est costumière, monsieur écrit des scenarios de feuilletons TV), un gamin plus fantasque encore (qui se nourrit exlusivement de sardines à l'huile et qui change de nom chaque matin), et pour finir une étrange maison en Touraine - plutôt un vieux manoir - fraichement acquis et plein de mystères : pour peu qu'on sache y faire, il y a là matière à bâtir une histoire un peu dingue.

Or Patrick Cauvin sait s'y prendre, et le moins que l'on puisse dire c'est que son roman ne manque pas d'originalité. Il y réunit des personnages plutôt barrés, des situations improbables, une bonne dose d'humour (notamment dans les dialogues) et bien sûr un suspens savamment entretenu et qui va crescendo, sur fond de malédiction et de prophétie mortelle.
Tout ça commence à faire beaucoup, j'en conviens... Aussi ai-je été un peu déboussolé en début de lecture par cet étonnant mélange des genres et par le caractère inclassable de ce petit livre surprenant, un peu daté (presque aussi vieux que moi ! ☺) et néanmoins assez plaisant. Chahuté de rebondissement en rebondissement, incapable de véritablement cerner les personnalités changeantes de Marc, d'Andréa et de leur rejeton schizophrène, j'avoue avoir eu parfois du mal à voir où l'auteur voulait en venir ... jusqu'à ce joli coup de théâtre final, que je n'avais que partiellement anticipé et qui fait tout le sel du roman.

Le style est quant à lui assez savoureux. Cauvin passe d'un certain lyrisme (dans les descriptions du manoir et de la nature environnante), à une truculence souvent cocasse dans les réparties pleines d'allant échangées entre les protagonistes, sans oublier bien sûr ce sentiment d'angoisse latent, planant sur chaque page comme une ombre diffuse, et qui atteindra son paroxysme dans un avant-dernier chapitre tragique (pour ne rien dire du petit twist final).

Haute-Terre est donc sans nul doute une belle oeuvre de littérature fantastique, une chouette histoire de fantômes un peu tarabiscottée mais qui vaut largement le détour, ne serait-ce que pour la réjouissante fantaisiste des personnages et l'indiscutable qualité d'écriture.
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Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Marc l'écoutait parler de ce monde qui s'éloignait de lui. Au fond, ce n'était pas très différent de la lutte pour la vie... On allait à la chasse au boulot, pour payer ses impôts, les fourrures à Madame, on cultivait les relations comme on cultivait les pommes de terre pour l'hiver, la pêche aux informations remplaçait la pêche en rivière, mais le résultat était le même, rien ne changeait vraiment, simplement tout se compliquait et devenait moins naturel, peut-être moins agréable.
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Mon dieu, ce soleil…
La mesure exacte entre le déjà chaud et le pas trop brûlant. Une perfection d’équilibre. Un matin de fine harmonie. Voici pourquoi les rois étaient venus s’installer dans ces lieux… Ils avaient dû rechercher ce matin de miracle, ce ciel d’un bleu de fleurs bleues lavé par des orages lointains, ce bonheur de l’herbe… La Touraine.
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Marc affermit sa voix, se campa la main sur la poignée de la rapière.
« Vous êtes la plus jolie costumière du royaume, Andréa, venez dès ce soir partager à la taverne la pitance du pauvre d'Artagnan. »

Elle tendit la main, souleva le verre et grimaça sous la brûlure du rhum.
« La triste Andréa sera vannée ce soir, monsieur le mousquetaire, mais demain ce ne sera pas impossible.

- Montjoie Saint-Denis! Morbleu, palsambleu et ventre-saint-gris, belle Andréa, vous emplissez de joie le cœur d'un militaire.

- Je ne savais pas que tu avais un texte aussi long, remarqua Philippe, allez, on y va. »

Le flipper s'arrêta net et il y eut un remous vers la sortie. Devant l'esplanade du château de Vincennes, les cars de la régie stationnaient, Marc entre les têtes distingua les caméras. Il la regarda et sentit une paix l'envahir... On versait une eau limpide dans une vasque craquelée par des étés d'abandon et de sécheresse. Il ne saurait jamais dire comment ni pourquoi de cette fille morte de fatigue accrochée à son rhum de bar-tabac lui venait une telle paix.

Les boucles de sa perruque lui chatouillèrent la joue.

« Une dernière chose, dit-il, je n'ai cet engin sur moi que pour quelques heures, alors dites-moi tout de suite qui je dois embrocher avec : amant, mari, fiancé, ami d'enfance, amoureux transi, foi de d'Artagnan, il est déjà mort.

- Vous pourriez essayer mon propriétaire, à part cela je ne vois pas très bien qui.

- Pas d'homme dans votre vie, Milady ? »

Elle pêcha entre deux doigts une cigarette dans la poche de son blouson.

« Mon fils, dit-elle.
- Ah, ah, fit d'Artagnan... Et comment s'appelle-il ? »

La bouffée de tabac sembla lui procurer un intense plaisir. Elle fumait bien, largement, de toute son âme.

« Ludwig van Beethoven.

- Ah! ah! reprit d'Artagnan. Vous devez beaucoup aimer la musique allemande ou alors il fait pompom-pom-pom, chaque fois qu'il frappe à votre porte.

- Il s'appelle Ludwig van Beethoven aujourd'hui, hier c'était Jolly Jumper. »

Marc opina du chef d'un air entendu.
« Je crois qu'il faudra que vous m'expliquiez tout cela plus longuement et à tête reposée. »

Elle lui sourit. Il la regarda. Il se demanda si cela faisait longtemps que le café était vide.
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Il n'arrivait pas à dormir. C'était rare. Quelque chose avait craqué, le bahut sans doute ou une lame de parquet de l'étage. Les lettres couraient devant ses yeux... Duchesse de Brassac..., l'autre surtout, celle d'avant Pontieu : Antoinette Morlon, la folle. 1924... Andréa se retourna et gémit. Marc dégagea lentement son bras ankylosé de sous le corps de la jeune femme. Il sentit la vie revenir dans ses muscles en vibrations convergentes. Antoinette Morlon, morte à l'asile. Ce ne devait pas être drôle, la folie en 1924. Que lui était-il arrivé ? Et l'autre rigolo qui s'était ouvert la gorge pour prouver à d'autres poivrots qu'il avait raison. Comment pouvait-on savoir la date de sa mort ? Il avait dû compter les semaines, les jours, les heures... Peut-être Pontieu avait-il connu la pire des morts... Encore un sujet de scénario, mais la télévision n'était guère friande d'histoires fantastiques ces temps derniers... Il semblait qu'une lueur commençait à poindre... l'aube peut-être... Malgré l'obscurité il tenta de distinguer les aiguilles de sa montre mais n'y parvint pas. Ne pas éclairer, Andréa dormait. Le bras de Marc retomba sur le drap. Cinq heures peut-être. Plus, car les jours raccourcissaient... Il ferma les yeux. Au fond du parc la dame coulait entre les arbres, une coiffe serrant son visage invisible. La duchesse ? Antoinette Morlon ?...
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Un granit poreux et moussu, oublié, des visages sous verre, sévères... Les morts ne sourient jamais sur leur photo, comme si un jour ils s'étaient installés devant le photographe et avaient su que ce visage offert serait le leur pour toujours, la face d'éternité, celle qu'il fallait montrer au passant, celle qui s'enfouirait à la Toussaint sous les fleurs mouillées à l'odeur de pluie fade.
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Videos de Patrick Cauvin (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Patrick Cauvin
"J'ai le goût du merveilleux, ce sont des restes d'enfance." C'est avec ces quelques mots de Romain Gary, extrait de "La Nuit sera calme", que nous démarrons ce nouvel épisode de notre podcast. Car il y sera justement question d'éblouissement des premières fois, de cet âge où chaque découverte est un trésor à apprivoiser. D'enfance, en somme.
Pour nous accompagner : nous recevons Valentine Goby, autrice de nombreux romans pour adultes, mais aussi pour la jeunesse. Son dernier livre, "L'Île haute", nous emmène à la rencontre de Vadim, jeune garçon de 12 ans, qui vit à Paris. Nous sommes en 1943 et il est envoyé dans les Alpes. Officiellement pour soigner son asthme, mais surtout pour fuir les Allemands... car il est Juif. Arrivé après un long trajet en train et dans la neige, Vadim découvre la splendeur de la montagne, immensité enivrante qui le rend minuscule.
Au cours de cet entretien, Valentine Goby nous dira comment est née cette envie d'écrire un roman d'apprentissage, et en quoi l'enfance la fascine et l'inspire.
Juste après, nous retrouverons les libraires de Dialogues, Romain, Rozenn et Laure. Ils ont sélectionné pour nous plusieurs romans sur l'enfance et l'émerveillement. 
Bibliographie : 
- L'Île haute, de Valentine Goby (éd. Actes Sud) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20859799-l-ile-haute-valentine-goby-actes-sud
- Murène, de Valentine Goby (éd. Actes Sud) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18855093-murene-roman-valentine-goby-actes-sud
- L'Anguille, de Valentine Goby (éd. Thierry Magnier) https://www.librairiedialogues.fr/livre/16758956-l-anguille-valentine-goby-thierry-magnier
- Chèr.e moi (éd. Seuil) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21362899-cher-e-moi-lettres-a-l-ado-qu-lettres-a-l-ado--collectif-seuil
- Germinal, d'Émile Zola (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/843968-germinal-emile-zola-folio
- Les Misérables, de Victor Hugo (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/11354695-les-miserables-victor-hugo-folio
- E = mc2 mon amour, de Patrick Cauvin (éd. le Livre de poche) https://www.librairiedialogues.fr/livre/185907-e-mc2-mon-amour-roman-patrick-cauvin-le-livre-de-poche
- Élisée, avant les ruisseaux et les montagnes, de Thomas Giraud (éd. Contre-allée) https://www.librairiedialogues.fr/livre/16687921-elisee-avant-les-ruisseaux-et-les-montagnes-thomas-giraud-contre-allee
- Ciel bleu, de Galsan Tschinag (éd. Métailié) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18909888-ciel-bleu-une-enfance-dans-le-haut-altai-galsan-tschinag-anne-marie-metailie
- L'Invention de Louvette, de Gabriela Trujillo (éd. Verticales) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18955179-l-invention-de-louvette-roman-gabriela-trujillo-verticales
- le Petit Prince, d'Antoine de Saint-Exupéry (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/392754-le-petit-prince-avec-des-aquarelles-de-l-auteur-antoine-de-saint-exupery-folio
- Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/8194310-les-aventures-d-alice-au-pays-des-merveilles---lewis-carroll-folio
- L'Étranger, d'Albert Camus (ed. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/440374-l-etranger-albert-camus-folio
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