L'agent 212, tome 12 : Ris, ô poulet

Toujours les mêmes styles de gag dans ce douzième volume.
L'agent 212, le stakhanoviste du P.V., va de bourde en bourde dans des gags de deux à trois pages. L'air pur de la campagne ne lui réussit pas plus que celui plus chargé de la ville. Certains gags sont plaisants à lire pendant que d'autres ont bien mal vieilli. Et comme souvent dans ces BD, c'est souvent le titre qui est le plus sympa !
Quant aux dessins, pas de changement, mais là-dessus, il n'y a pas grand chose à dire. c'est un style qui va bien avec l'humour plus ou moins lourd de notre cher poulet.

J'ai lu du 11/11/2017 au11/11/2017.
Encore, une fois, un tome très hilarant.
En effet, on évoque tous : les problèmes des policiers, leurs quotidien, leur vie privée, leurs relations avec leurs supérieurs, citoyens...
Je trouve que cette série rend hommage aux policiers qui nous protègent au quotidien contre vents et marées.

Ma note : 9/10

Ce douzième album de l'agent 212 qu'on ne présente plus est une suite gags humoristique très bon enfant. Dans cet album, il y a beaucoup d'auto dérision sur la fonction d'agent mais garde toujours un esprit correct sans méchanceté. Les gags s'étalent sur trois pages permettant aux auteurs de pouvoir proposer des petites histoires plus longues, mieux construites. L'avantage d'être sur plusieurs pages permet aussi aux auteurs de présenter l'entourage de l'agent 212 de manière plus profonde. On fait la connaissance de ces collègues et de sa femme de meilleure manière que dans les albums précédents. Au niveau du graphisme, les auteurs conservent toujours les décors de l'époque du premier album. Ce héros rondouillard est sympathique, et ne vieillit pas malgré les albums qui avancent. le travail de Kox est irréprochable faisant de cet album un album très réussi.
Lien : https://lectureroman.wordpre..