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Les Tuniques Bleues tome 56 sur 67

Lambil (Autre)
EAN : 9782808501354
48 pages
Dupuis (01/06/2023)
3.6/5   54 notes
Résumé :
À rancunier, rancunier et demi : Blutch n’est pas sûr d’avoir le dernier mot ! La carrière de Chesterfield dans l’armée, c’est fini ! Terminées les charges héroïques et les querelles avec Blutch, il doit retourner à la vie civile pour épouser… la mère de sa fille. Chesterfield père, personne ne s’y attendait, surtout pas lui. Mais rien ne dit qu’il est arrivé au bout de ses surprises, et nous non plus !
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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A la médiathèque je me suis laissé tenter par cette BD par ce que le titre correspond à un item du Challenge Multi-Défis.

J'ai commencé à lire Les tuniques bleues dans le Spirou que “j'empruntais” à mon cousin ! Pour tout dire ça date de quelques décennies puis plusieurs albums au rythme de leur sortie que mon cousin me prêtait à reculons !!

J'ai le souvenir de bien avoir aimé à cette époque, que ça soit les dessins, les personnages et les histoires dans l'Histoire de l'Amérique.

Par contre dans celui-ci, mis à part les dessins et les personnages j'ai eu plus de mal avec l'histoire, du moins avec le mauvais tour que Blutch a fait à Chesterfield. Ça m'a semblé bête et méchant alors que j'avais le souvenir de quelques “farces” bon enfant ! Mais en plus de 40 ans... je ne suis pas certaine de mes souvenirs.

Si un jour je me replonge dans cette série ça sera je pense avec les premiers. Quoique... ! 3 étoiles pour les graphismes et la nostalgie.

Challenge MULTI-DEFIS 2021
Challenge RIQUIQUI 2021
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Voilà des jours que Blutch rumine. La dernière blague de Chesterfield a du mal à passer.

Le sergent, apprenant que certains soldats se droguent pour se donner le courage de charger, a la très mauvaise idée de droguer Arabesque pour se moquer de Blutch.

Du jamais vu, Blutch chargera en tête, son cheval ne se couchant pas dès le premier pet de canon.

Mais attention, s'en prendre à Arabesque, c'est risquer de se mettre Blutch à dos pour un bout de temps.

On ne sait pas encore comment il va se venger, mais une lettre arrive au camp.

Chesterfield apprend brutalement qu'il est l'heureux père d'une petite fille et qu'il doit renoncer à sa carrière militaire pour remplir son devoir de chef de famille !

Vous vous souvenez de la fille du boucher vue pour la toute première fois dans "Blue Retro" ? Amélie... n'a pas changé, toujours aussi enrobée.

Bien que j'ai aimé revoir les parents de Chesterfield, surtout son père, bien qu'il y ait aussi l'officier qui l'avait enrôlé, lui et Blutch, un soir de beuverie, je me suis demandé ce que l'auteur voulait faire.

Pensant que cela arriverait sur la fin, j'ai continué ma lecture.

Ben, ça fait "pfouuit" l'histoire.

Tout cela pour ça ??

Ok, Cauvin nous parle des soldats obligés de se droguer et de toutes les misères qui vont avec, dont généralement la mort puisque non conscient du danger.

Mais bon dieu, à partir d'un certain moment, j'avais déjà tout compris !

Là, on aurait pu éviter cet album. Décidément, les 27 premiers demeurent les meilleurs.

Mais ce n'est que mon humble avis...
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Depuis 1972, deux soldats de l'armée de l'Union, le sergent Cornelius Chesterfield et le caporal Blutch, vivent leurs aventures sous le crayon de Lambil. Et si, graphiquement, il n'y a plus guère de surprise (nous en sommes, malgré tout, à la cinquante-sixième aventure), l'originalité surgit des scenarii de Raoul Cauvin. Certaines histoires s'inspirent directement des événements de la guerre de Sécession, ce qui n'est pas le cas, ici. Au contraire, le prolixe Cauvin prend la vie de camp militaire comme ressort narratif : l'hôpital et ses blessés, la hiérarchie, les rapports humains, la camaraderie. Il part du fait (avéré) que certains militaires (aussi bien nordistes que sudistes) usaient, pour pouvoir tenir le coup face à la violence de la situation, d'alcool et de drogues. Ce qui donne une très mauvaise idée à Chesterfield pour mettre Blutch dans une situation délicate. le caporal, teigneux comme pas possible, mettra au point une réelle machination pour se débarrasser définitivement du sergent. Mais celui-ci ne restera pas sans réagir. Il appliquera la loi du talion : oeil pour oeil, dent pour dent.
Bien entendu, sont présents, en plus des deux héros, les personnages récurrents : le capitaine Stark, le général Alexander, le capitaine d'État-Major Stephen Stilman (toujours sirotant son verre), l'officier Horace et le cheval Arabesque. Mais certains personnages d'albums précédents ressurgissent : le père et la mère de Chesterfield, Charlotte et son père, le sergent recruteur…
Une fois de plus, Cauvin, que j'aime envisager comme antimilitariste, nous présente l'absurdité de la guerre mais également nous pose la question des qualités humaines. A quoi sert l'intelligence si elle est mise au service de la violence, de la mesquinerie et de l'exploitation de la chair à canon ? Que devient un homme dès qu'il reçoit un peu de pouvoir ? Que faire pour ne plus voir un homme, même pas un ami, pleurer ou souffrir ?
Un épisode est assez signifiant à ce propose quand la hiérarchie s'inverse : l'oppressé devient, bizarrement, l'oppresseur. D'autres affirmeraient : naturellement. Mais, avec Cauvin, j'ai encore un peu de confiance en l'homme.
Par ailleurs, l'inanité des actions humaines est parfois soulignée par des plans inserts, sans aucun rapport avec l'histoire : des corbeaux sur le toit de l'hôpital, un chat sur le rebord de la fenêtre, deux pies sur une branche. le monde continue de tourner quoiqu'il arrive, et il ne sera ni meilleur ni pire si des milliers d'hommes meurent pour des idées. Comment ne pas être désabusé, voire cynique comme Stilman, face à la bêtise de l'homme, avec sa mauvaise foi et ses agissements étriqués ?
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Blutch et Chesterfield, pour cette 56ème aventure, sont encore en proie à leur éternel bisbille. Cette fois là, c'est Blutch qui ouvre les hostilités.
Et d'une manière assez singulière : Chesterfield après une énième blessure lors d'une charge, reçoit une lettre de Charlotte (voir "Vertes Années" tome 34). Elle lui annonce qu'elle est enceinte de lui. La nouvelle surprend le sergent Chesterfield, qui quitte l'armée et part chez lui pour retrouver ses parents et Charlotte.
Mais voilà, arrivé chez lui, l'ex sergent apprend.... je n'en dirais pas plus car l'intrigue tourne autour de cette nouvelle. Et je vous laisse le plaisir de découvrir cette histoire.

Une fois de plus Cauvin et Lambil retournent vers les origines de la rencontre de nos héros. L'histoire n'est pas très intéressante, pas accrocheur, elle fait passer le temps.
Chesterfield pour la énième fois se fait avoir par Blutch qui se venge comme il peut de cet engagement forcé dans l'armée, de toutes ses charges et des nombreuses missions à haut risque.
La fin se termine par une galipette afin que le cours des évènements reprenne normalement jusqu'à la prochaine aventure, qui je l'espère, sera beaucoup plus accrocheur.
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Ahhh, enfin ! Blutch et Chesterfield nous reviennent comme on l'aime.
Dans ce volume, Lambil et Cauvin frappe un grand coup et ça marche, il y avait longtemps que je n'avais plus tant rigoler à la lecture des aventures rocambolesques des deux compères.
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critiques presse (2)
BulledEncre
15 novembre 2012
La démobilisation de Chesterfield offre bien quelques scènes cocasses, mais les évènements sont trop prévisibles pour faire véritablement mouche. Le dénouement est tout aussi décevant.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Sceneario
24 septembre 2012
Le dessin de Lambil est toujours d'un grand niveau. […] Certaines scènes sont vraiment réussies à plus d'un titre et nous font tordre de rire.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
- il est gravement touché ?
- noon... une balle qui lui a effleuré le front. Il devrait recouvrer ses esprits dans pas longtemps !
- ...ses esprits ?... ça, c’est vous qui le dites ! Le connaissant, ça risque de prendre un bout de temps !
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- laisse tomber, Élisabeth ! Un jour viendra ou faire des enfants avant ou après le mariage n’aura vraiment plus la moindre importance !
- JOSHUA ! JE T’EN PRIE !
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