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Les bizarres tome 1 sur 2

Andrew Weldon (Illustrateur)
EAN : 9791036302961
272 pages
Bayard Jeunesse (18/09/2019)
3.8/5   20 notes
Résumé :
Bienvenue à Huggabie City, la ville la plus bizarre au monde !

Quelle est la chose la plus étrange que vous pouvez imaginer ? C'est tout ! Et vous appelez ça bizarre ?
Vous devriez rencontrer Kipp, Tobias et Coralie. Ils vivent à Huggabie City avec une prof de maths sorcière, des piranhas végétariens, un rat qui s'appelle Ralph, un pirate qui déteste les pirates... Tout va pour le mieux jusqu'au jour où une terrible catastrophe frappe la ville ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Déjà, la page de couverture très colorée, où sont représentés deux garçons et une fille pourchassés par des piranhas et des chauves-souris, interpelle avec dans le mot BIZARRE (écrit en relief), la deuxième lettre R écrite à l'envers. Rassurez-vous, ce n'est que la première Bizarrerie !
En effet, Huggabie City où le roman se déroule est " la plus bizarre de toutes les villes de notre galaxie". N'y vivent que des familles toutes plus loufoques les unes que les autres. Parmi tous ses habitants, trois enfants Kipp Kindle, Tobias Traître et Coralie Chan sont les meilleurs amis du monde. Des trois, Coralie appartient à la seule famille ordinaire de la communauté. Et voilà que dans cette vie où ils doivent user de beaucoup d'ingéniosité pour éviter d'être transformés en tout et n'importe quoi par la terrible Madame Turgan, professeure, mais surtout sorcière diabolique, une catastrophe survient ! Nos amis n'ont qu'une idée en tête, percer ce mystère et pour cela commencer par suivre à la trace Pestilent K. DAVRE qu'ils suspectent d'être à la base de ce phénomène nouveau et très dérangeant : la normalité est en train de se répandre sur la ville comme une traînée de poudre et la contagion se propage vite ! Vont-ils parvenir à sauver leur ville la plus bizarre du monde ?
C'est un vrai thriller fantastique que nous offre avec talent Adam Cece, roman magnifiquement illustré par quelques dessins en noir et blanc d'Andrew Weldon, très représentatifs de l'imagination débridée de l'auteur.
J'ai aimé ce roman-jeunesse pour son esprit foldingue qui nous emporte dans un monde imaginaire surréaliste où chacun vit d'une manière libre, de façon excentrique, où les enfants, parfois préfèreraient un mode de vie plus calme et plus normal. Mais qu'est-ce que la normalité ? En effet, lorsqu'elle va survenir dans le récit, ceux qui la souhaitaient comme Kipp ou Tobias vont s'apercevoir que, finalement, c'était mieux avant.
Ce roman qui, au départ, peut paraître assez farfelu se révèle très enrichissant. Sans être moralisateur, il apprend le respect de la marginalité, l'acceptation de soi tel qu'on est et l'enrichissement de chacun au contact de gens différents.
Les jeux de mots avec les noms de famille et quelques comparaisons désopilantes ajoutent aussi de la saveur au texte.
Le côté fantaisiste et fantastique est encore accentué, à mon avis, par le narrateur qui n'hésite pas à prendre la parole au cours du roman et ne peut s'empêcher de donner son avis sur le comportement de nos trois amis, allant parfois jusqu'à affirmer qu'il ne fallait pas agir ainsi... Parfois, rendez-vous compte, il ose même prendre à partie le lecteur !
Ce premier tome devrait ravir les enfants à partir de 8 -10 ans mais aussi les plus grands. J'ai moi-même pris un grand plaisir à découvrir cette épopée complètement déjantée mais pleine d'amitié et d'entraide et vais rapidement en faire profiter mes petits-enfants.
Un grand merci donc aux Éditions Bayard et à Masse critique privilégiée de Babelio !

Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Merci à Babelio et à l'opération Masse critique ainsi qu'aux éditions Bayard Jeunesse pour ce roman jeunesse joliment loufoque.

Sur la couverture du livre intitulé Les Bizarres, trois enfants paniqués sont poursuivis par des chauves-souris et des piranhas, à l'air aussi féroce les uns que les autres. Les enfants sont les héros de Catastrophe à Huggabie City, premier tome d'une série d'Adam Cece, illustré par Andrew Weldon. On est bien obligé de s'attendre à quelque chose d'étrange…

Eh bien oui ! Il faudra vous y faire, Huggabie City est une ville étrange. Par exemple, toutes les rues s'appellent « cours Digmont », ce qui ne facilite pas les choses pour dénicher une adresse dans un coin de la ville qui nous est inconnu. Nous allons suivre les aventures extraordinaires de trois enfants extraordinaires : Kipp Kindle, Coralie Chan et Tobias Traîtrise. Peut-être avez-vous remarqué que les noms et prénoms des enfants possèdent des initiales jumelles ? Ne vous étonnez pas : c'est le cas de tous les habitants de cette ville sauf un, celui par qui le malheur arrive ; il se nomme Pestilent K. Davre, ce qui n'augure rien de bon. Mais revenons aux enfants. Les deux garçons sont bizarres, ce qui est normal dans une ville bizarre. Coralie est moins bizarre, plus normale si on veut ; enfin… elle est bizarre pour les habitants de la ville, mais plus normale pour vous et moi. On s'y perd… Sa seule particularité, c'est qu'elle a une mémoire phénoménale et donc qu'elle retient des tas de choses très utiles tous les jours : l'envergure des pélicans, par exemple, ou les capitales des pays du monde entier. Inutile de vous préciser que les familles des deux garçons sont particulièrement étranges, mais pas celle de Coralie. Je ne dirai pas un mot de la drôle d'école que les enfants fréquentent. Je ne vous parlerai même pas de Turgan la Terrible qui est prof de math, mais aussi une sorcière irascible et malveillante. Quelle catastrophe peut bien arriver dans une ville pareille ? Peut-être tout simplement perdre sa bizarrerie… Comment vont réagir les enfants ? Que vont-ils pouvoir faire pour ramener les choses à la normale ? Enfin, à la normale d'Huggabie City, bien sûr…

Ce roman devrait ravir les 8-10 ans par son humour décalé et sa loufoquerie. Le renversement des situations, le contre-pied systématique de la normalité peut, je crois, les amuser et les intéresser. Ils devraient être ravis de découvrir certains personnages secondaires : les parents Traîtrise, arnaqueurs professionnels, le vrai-faux pirate, Violet van Vrumvrum, Fergus Farmelade, ou encore, mon coup de coeur, le rat de laboratoire lusophone dont les répliques sont traduites en fin d'ouvrage. Ils devraient apprécier aussi des jeux de mots à leur portée, des détournements compréhensibles pour eux et pas mal de second degré. Le vrai plus pour moi, ce sont les interventions du narrateur qui se donne comme l'auteur. Il fait part de ses doutes, hésite sur une péripétie, demande son avis au lecteur, lui propose des solutions, lui demande si tel point est crédible, etc. Bref, on découvre un narrateur très actif, parfois peu sûr de lui, mais bien décidé à ce que tout redevienne comme au début : si modification il y a, elle sera positive. Positif aussi le message que veut faire passer l'auteur : il faut accepter les différences et aimer ce que l'on a. J'allais oublier : les enfants adoreront la fausse fin, aux trois-quarts du roman, et la découverte dans les dernières pages, de la particularité des parents Kindle !
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Huggabie City ou "La plus bizarre de toutes les villes de notre galaxie"( et les habitants de cette ville le sont tout autant...) Effectivement, les gens de cette ville sont tous étranges: Mme Turgan, l'enseignante est une sorcière, M. Haurik est un pirate, les Klovek sont des elfes qui vivent dans un sapin de Noël, le docteur est un loup-garou et j'en passe!

Une catastrophe serait sur le point de se produire. Kipp, Tobias et Coralie, qui sont amis, ont décidé de mener l'enquête.

Tous les habitants se transforment, ils deviennent...normaux! Les parents de Kipp... et même M. Haurik veut devenir expert-comptable! L'affaire se corse pour nos trois jeunes amis. Ils vont devoir chercher pourquoi tout le monde semble revenir à la normalité mais pour cela ils vont devoir affronter bien des choses comme des chauves-souris tueuses ou une horde de piranhas!

Ce livre est conseillé dès 10 ans mais facilement accessible un peu avant pour de bons lecteurs. le texte est aéré, l'écriture est simple et le tout est parsemé de dessins en noir et blanc qui donnent bien envie d'y passer un coup de feutre. le narrateur de cette histoire parle aux jeunes lecteurs tout en racontant l'histoire. J'ai beaucoup aimé cet univers étrange et loufoque qui fait de ce livre un roman jeunesse original. Il nous parle du respect de la différence. C'est un livre qui laisse une porte ouverte aux marginaux, aux excentriques, aux originaux, aux différents et pousse à la réflexion. C'est bourré de rebondissements, le faux dénouement page 177 est déroutant mais renforce le côté original.

Bref, ce livre est décalé mais terriblement drôle. C'est une première aventure dont on attend le deuxième tome avec impatience.

Bizarre, vous avez dit bizarre? Comme c'est bizarre!
Lien : http://auchapitre.canalblog...
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C'est grâce à une opération de Masse Critique que j'ai eu l'honneur de recevoir ce roman de fantasy jeunesse. Je remercie donc les équipes de Babelio et des éditions Bayard Jeunesse. Ceux qui ont l'habitude de lire mes critiques le savent : j'aime beaucoup découvrir des romans jeunesse. C'est l'occasion de me plonger dans des univers où les auteurs ont entièrement laissé libre-court à leur imagination. Tout est possible ! Et à Huggabie city, même l'impossible me semblait être possible. C'était la promesse d'un bon moment de lecture. Malheureusement, je n'ai pas réussi à me laisser emporter.
Tout d'abord, parlons de la couverture. Elle est colorée … Cela-dit, les dessins ne sont pas très attirants à mon sens. Même enfant, je ne serais jamais allée vers ce roman en me basant sur sa couverture. Au contraire, elle m'aurait repoussé. Et en le feuilletant, j'aurais eu le même constat à cause de ces dessins qui illustrent certaines péripéties. Étant adulte, je suis donc passée outre ces dessins qui ne me plaisaient absolument pas et suis passée à la lecture de ce bizarre petit roman.
Au niveau des personnages, là encore, ça a été difficile de m'y faire. Quand je lis un roman, c'est justement pour laisser mon imagination épouser celle de l'auteur. le problème c'est qu'ici, on a les illustrations des personnages. Par conséquent, on doit lire ce roman en éteignant notre propre imagination. Et ça, c'est quelque chose qui me perturbe énormément. Il m'est beaucoup plus facile de m'attacher à des personnages que mon imagination aura créer en suivant les prérogatives de l'auteur. D'autant plus que je trouve ça dommage de réduire l'imagination des enfants au lieu d'encourager son utilisation. Pour ma part, je n'ai jamais réussi à m'attacher à eux, ni vraiment à trop m'intéresser à eux et à leurs histoires.
Ce qui m'a le plus gêné avec ce roman, c'est la plausibilité. On peut créer un monde étrange, bizarre, loufoque sans pour autant lui enlever tout réalisme. le monde d'Harry Potter est mystique, fou et magique. Et ça fonctionne. On s'y croit réellement. Ici, rien n'est plausible. Rien ne nous rattache à une certaine réalité qui puisse nous faire rêver et nous faire dire : « j'aimerais trop être lui ». On lit avec beaucoup de distance. J'ai aussi rencontré des problèmes de cohérences. Bien qu'il n'y ait pas de caractéristiques physiques propres à un troll, ils ont toutefois un physique hors-norme. Un gros nez, des cornes, deux têtes, collossaux … Certains ne supportent pas la lumière du jour … Bref, ils ont des particularités, c'est littéralement ce qui fait d'eux ce qu'ils sont. Quand à Coralie, elle est décrit comme une fille aux cheveux bouclés alors que sur chaque illustration, elle a des cheveux extrêmement raides. Bizarre ne veut pas dire qu'on peut absolument tout faire. de plus quand on me parle de « bizzareries », je m'attends à un monde complètement sans dessus-dessous. Et j'ai été un peu déçue. Où est le fait étrange dans le manège qui ferme le soir ou les kidnappeurs qui jouent aux cartes habillés comme des mafieux ? Ça ne va pas assez loin. C'est bridé.
J'en viens maintenant au narrateur. J'avais envie d'appeler à l'aide à chacune de ses interventions. C'est un humour lourd qui ne ferait même pas rire une hyène. Et pire que ça, c'est ce que j'estime être du « placement de mot ». Combler les pages de futilités pour gagner en épaisseur … La moitié du roman est à enlever. Et quand enfin l'auteur pourrait apporter des connaissance à son public (notamment sur l'ADN), il préfère couper court au sujet en prétextant que ce n'est pas intéressant … Je ne comprends pas ! C'est justement le moment d'intéresser les enfants à la découverte de nouvelles choses. Pas de les inciter à penser que ce n'est pas intéressant.
Parlons des enjeux. Quels enjeux ? Il n'y en a pas ! Ces enfants ne courent pas de risques puisque les « méchants » ne leur veulent pas vraiment de mal. D'ailleurs, à quoi bon créer des « méchants » aussi stupides ? Il fallait une chute simple et efficace, du coup les « méchants » révèlent naïvement leur plan d'attaque …
Pour résumer, je n'offrirais ce roman à aucun enfant. Il n'est pas assez addictif pour donner envie de lire à un enfant qui n'aime pas beaucoup la lecture, et il est trop bâclé pour un enfant qui adore lire. Je ne sais donc pas à qui s'adresse ce roman puisque les adultes, eux, n'y trouvent pas non plus leur compte. Je préfère combler mes neveux avec des romans bien mieux écrits, des romans qui peuvent littéralement les emporter dans un autre univers (comme par exemple, du Philip Pullman).
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Je remercie Les éditions Bayard Jeunesse et Babelio pour l'envoi de ce roman, reçu dans le carde d'une masse critique.
Kipp Kindle et ses amis Coralie Chan et Tobias Traîtrise habitent Huggabie City, la plus bizarre de toutes les villes de notre galaxie. La nuit qui tombe en plein milieu de l'après-midi, un rat qui parle portugais ou bien encore une sorcière comme professeur de mathématiques, ici, tout est bizarre, bizarre, vraiment bizarre ! Même leurs familles sortent complètement de l'ordinaire. Mais pour découvrir le secret de la famille de Kipp, il va falloir se plonger dans ce mystérieux livre !
C'est en allant à l'école par une banale journée que Kipp entend parler pour la première fois de LA catastrophe... Et celle-ci semble surtout concerner ses parents. Alors imaginez dans quel état de frayeur se trouve notre héros lorsqu'il franchit la porte de chez lui, pour découvrir ce qui est arrivé à sa famille !
Peut-être que le célèbre Monsieur Pestilent K. Davre n'est pas étranger à tout ce changement... Après tout, il est le directeur du Bureau d'Investigation et de Lutte Anti-Bizarrerie !
Ainsi débute l'histoire de ce livre, rocambolesque, loufoque et farfelu. Bref, un livre vraiment très bizarre !
Bien que ce roman s'adresse à un public relativement jeune, j'émets un certain scepticisme quant au succès de celui-ci. La couverture est très attrayante, mais le format de 272 pages ne me semble pas adapté. D'autre part, je n'ai absolument pas été emballée par l'histoire, beaucoup trop farfelue à mon goût, et la construction de l'intrigue un brin brouillon. L'auteur alterne l'histoire, les dialogues et ses propres commentaires (ces derniers ne me semblent pas indispensables). L'humour, s'il y en a, ne m'a pas fait décrocher le moindre rictus. Adam Cece est australien, je me pose donc la question de la pertinence de la traduction ? Alors non, je ne me précipiterai pas sur le tome 2, et ne le préconise même pas à mon fils de 11 ans, craignant de voir en lui s'évaporer tout espoir de se passionner pour la lecture.

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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Tobias dut s'asseoir pour se remettre de ses émotions. Apparemment, depuis la catastrophe, sa famille nageait dans le bonheur. Mais à quoi bon être populaire, si l'on négligeait les siens ? Autrefois les Traîtrise se serraient les coudes face à l'adversité. Ils étaient très soudés. Tous les soirs, ils jouaient ensemble à des jeux de société et bavardaient ensemble jusque tard dans la soirée. La ville entière les détestait mais, entre eux, ils s'adoraient.
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Passons à la mère de Coralie. Dire qu'elle était bizarre, ce serait comme dire que les courgettes bouillies sont délicieuses, il s'agirait d'une exagération. Elle n'avait qu'une seule particularité : elle était capable de dévorer n'importe quel roman en moins de vingt minutes. Sauf qu'il ne s'agissait pas tant d'une particularité que d'une compétence qu'elle avait acquise au cours d'un stage intensif de lecture en accéléré. À mon humble avis : ça ne compte pas.
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AVERTISSEMENT AUX LECTEURS

Je vous préviens, le chapitre que vous êtes en train de lire est l’un des plus longs du roman. Je vous entends d’ici : « Dans ce cas, laisse-moi lire, au lieu de m’interrompre ! » Certes. Mais tout de même. Une mise en garde me semble nécessaire. Au cas où vous vous disiez : « Je finis mon chapitre et je vais faire pipi », je vous recommande de poser cet ouvrage, de prendre vos précautions, de vous servir votre verre (voire de vous préparer un sandwich, il est important de faire trois repas équilibrés par jour), comme ça, vous serez parfaitement détendu et vous pourrez profiter pleinement des pages à venir. On apprécie d’avantage les bonnes choses la vessie vide et la bouche pleine de jambon beurre, c’est bien connu ! Donc, organisez-vous. Je vais sauter plusieurs lignes avant de reprendre mon récit pour être sûr que vous n’en ratiez pas une miette.
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En dépit de son nom de famille, Tobias Traîtrise était la loyauté incarnée. jamais il n'aurait manqué à sa parole ou laisser tomber ses amis. Malheureusement, ses parents ne pouvaient pas en dire autant. En parfaite harmonie avec leur patronyme, ils mettaient un point d'honneur à mener une vie aussi malhonnête que possible.
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La nature humaine est curieuse. Quand on voit pleurer quelqu'un, même s'il nous a fait du mal, c'est plus fort que nous : on éprouve de la peine pour lui.
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