AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782749160955
600 pages
Le Cherche midi (03/10/2019)
4.16/5   122 notes
Résumé :
New York, 1947 : un mystérieux tueur assassine de sang-froid tous les occupants d’un hôtel de Harlem. On parle d’un meurtre rituel, lié au vaudou. Un suspect est arrêté, condamné.
Une ancienne détective de l’agence Pinkerton, Ida Davis, et le patron d’un club en vogue de Manhattan, Gabriel Leveson, se retrouvent mêlés à l’enquête. Ils découvrent bientôt avec effroi que l’affaire est liée à une série de meurtres bien plus importante, impliquant le crime organi... >Voir plus
Que lire après MafiosoVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
4,16

sur 122 notes
5
14 avis
4
7 avis
3
2 avis
2
0 avis
1
0 avis
Un régal que ce troisième opus du quatuor The City blues quartet proposé par Ray Celestin ! Je précise qu'il peut se lire tout à fait indépendamment des deux précédents ( Carnaval et Mascarade ) puisque je n'ai lu ni l'un ni l'autre et mon plaisir de lecture a été au zénith !

Dans ce roman très ambitieux, deux enquêtes vont finir par se croiser à mi-parcours. Celle de Michael Talbot, retraité de la police, et de Ida Davis, détective privée pour sauver le fils du premier de la chaise électrique, Afro-américain accusé d'avoir sauvagement assassiné quatre personnes dans un hôtel miteux de Harlem. Celle de Gabriel Leveson, mafieux chargé par le parrain Franck Costello, capo di tutti capi, de retrouver deux millions de dollars qui lui ont été dérobés. Nous sommes en 1947.

L'intrigue est excellemment menée jusqu'à révéler un vertigineux complot, dont les racines plongent dans la Deuxième guerre mondiale, impliquant mafia, police et hautes sphères politiques. Si ce roman n'était « que » cela, un super polar rythmé et tendu, ce serait déjà fort bon, mais il est bien plus que cela en offrant aux lecteurs un portrait panoramique et ultra vivant de la New-York post Deuxième Guerre mondiale.

Des ses bouges à appartements de luxe, de ses clubs de jazz, de ses quais à dockers, de Brooklyn à Time square, la New-York de Ray Celestin est criblée de corruption massive et endémique, de racisme, de violences occasionnelles et de crimes organisés. Cet arrière-plan omniprésent aux côtés de l'enquête policière est absolument passionnant. D'autant plus que l'auteur y injecte des personnages réels : des mafieux comme Franck Costello et Vito Genovese, des jazzmen comme Louis Armstrong ou Charlie Parker, Ronald Reagan et le patron de studio Jack Warner, Franck Sinatra et même Stanley Kubrick alors photographe.

Dans ce cocktail jubilatoire fait de violences, de réalités sociales ( déjà les procès arbitraires dont sont victimes les Afro-américains ... ) et de détails historiques ( par exemple le début de la chasse aux communistes dans le milieu du cinéma ) , Ray Celestin parvient en plus à créer de très beaux moments d'humanité et d'émotion, à travers notamment de personnages superbes comme Gabriel Leveson, le mafieux qui veut se repentir et fuir la ville pour mettre sa nièce à l'abri, le mafieux qui brûle de venger l'assassinat de sa soeur par un tueur à gages qui refait surface au moment des faits. le personnage de Louis Armstrong, mineur dans la trame en elle-même, est tout aussi passionnant, au fond du trou face à la disgrâce des big bands, éclipsé par le prodige be bop Charlie Parker et rebondissant grâce à un producteur mafieux qui s'est reconverti en agent.

Un roman total captivant du début à la fin !

Lu dans le cadre des Explorateurs du polar, Lecteurs.com
Commenter  J’apprécie          984
Mafioso est le tome 3 d'une quadrilogie policière historique et il vaut mieux commencer par le premier , afin de mieux savourer le(s) voyage(s)...
Et donc, après Carnaval qui nous amenait à la Nouvelle Orléans en 1919, après Mascarade qui déposait ses valises à Chicago en 1928, cap sur New York ...
On est en 1947, et nos héros récurrents ont un peu vieilli...Ida Davis (l'ancienne détective privée de l'agence Pinkerton ), s'est mise à son compte) et vient prêter main forte à son mentor Michael (désormais à la retraite) , dont le fils a été accusé d'un quadruple meurtre. ils savent bien que Tom, médecin et vétéran de la dernière guerre, n'a rien fait, mais comment le prouver et surtout, comment , alors qu'il ne leur cache des choses, faire accepter son innocence à un jury de blancs...
Il y a le feu pour ce dernier, et notre cher duo d'enquêteurs va devoir s'allier avec un mafieux pour sauver Tom , car les mafieux aussi peuvent être des gentils ! Surtout s'ils trahissent (un peu...) leur camp.
Qualité d'écriture, immense travail de reconstitution historique , suspens, personnages attachants et musiciens , sont encore une fois au rendez- vous.
je ne saurais davantage exprimer tout le bien que je pense de cette série...
C'est une ouvre ambitieuse qui ferait un malheur en série télévisée.
Commencez impérativement par le premier ,même si chaque épisode traite d'une enquête différente, mais L Histoire avec un grand H . Celle des USA, celle de la musique, de la mafia , celles des différentes populations (Noirs, Italiens, Juifs...) ,tout ça tout ça obéit à une progression , à un ordre qu'il serait dommage de zapper...
Le tome 4 se passera à Los Angeles, la ville du cinéma .
Vivement la suite ...

Challenge Mauvais genres.
Commenter  J’apprécie          593
Pour moi, ce livre, c'est 590 pages de bonheur !

D'abord, parce que l'intrigue est bien ficelée, tout s'enchaîne, les zones d'ombre sont stratégiquement placées… On retrouve la construction chère, visiblement, à Ray Celestin, dans les livres duquel plusieurs personnages se retrouvent en général à « enquêter » en parallèle sur une même affaire, avec des progressions qui font que le lecteur, sans encore tout savoir, en sait souvent un petit peu plus que le personnage qu'il suit – ce qui est très agréable ! -.

Mais ce livre est aussi l'occasion de se plonger dans l'histoire de New-York à la sortie du deuxième conflit mondial, alors que l'Amérique s'engage dans une sorte de croisade contre le communisme, avec le travail de la Commission sur les activités anti-américaines (à ne pas confondre avec le maccarthysme, qui débute un peu plus tard). On y découvre – ou peut-être certains le savaient-ils déjà – que c'est l'occasion pour un acteur de série B, un certain Ronald Reagan, de relancer sa carrière… on sait où cela le mènera.

La peinture de cette ville de New-York inclut naturellement l'emprise de la mafia sur la ville, au travers de la lutte, au sein même de la famille Luciano, entre Franck Costello et Vito Genovese, alors que d'autres familles cherchent à préserver leurs propres acquis, comme les Mangano, alors dirigés par Albert Anastasia…

Et, en plus, on garde également la trame musicale de la série. Louis Armstrong a explosé, mais se trouve désormais à un moment charnière. Les big bands semblent avoir fait leur temps, les nouveaux venus sur la scène du jazz occupent la place. Alors, s'il ne participe pas, ou quasiment, à l'enquête cette fois-ci, c'est avec plaisir que l'on retrouve sous cet angle plus intimiste le jazzman, en proie au doute, alors qu'il est sur le point de retrouver un second souffle…

On retrouve évidemment avec un grand plaisir Ida Davis et Michael Talbot. Ils ont pris de l'âge – Michael est en retraite, Ida est à un tournant de sa vie -. Non, vraiment, que du bonheur, je ne sais pas comment dire mieux !

À la fin de la postface, Ray Celestin nous annonce enfin que la série comptera un quatrième et dernier tome, qui se déroulera à Los Angeles en 1967. Mais qu'il n'a pas commencé à l'écrire… L'attente va être longue !
Lien : https://ogrimoire.com/2019/1..
Commenter  J’apprécie          362
Un livre prometteur, du Name dropping comme s'il en pleuvait ( Kubrick fait même une apparition dans le livre en tant que jeune photographe), New York en 1947 et une ambiance de film noir fort plaisante.
Toutefois le livre ne m'a pas paru tenir toutes ses promesses. L'intrigue est complexe (ça ok), mais également parfois un peu confuse, les personnages principaux deviennent secondaires et sont un peu négligés ( à l'image d'Ida), l'écriture est un peu décousue (parfois subtile, parfois plus banale, parfois un peu confuse, mais est-ce un problème de traduction). Ce qui fait que ce gros livre (600 pages quand même) que j'aurais du normalement dévorer, m'a paru bien long et que, pour un peu, j'aurais eu du mal à le finir.
Reste un moment de lecture agréable sans plus.
Dommage car avec New York, Charlie Parker, 1947, le monde du cinéma et de la nuit, j'attendais bien plus de ce livre acheté il est vrai à la seule lecture du pitch....
Commenter  J’apprécie          150
Je continue mon immersion dans l'univers de Ray Célestin. Mafioso est le 3ème volet de la série. Après Carnaval et la Nouvelle-Orléans, Mascarade et Chicago avec Mafioso l'auteur nous emmène à New-York en novembre 1947. Si vous n'avez pas lu les précédents romans cela ne gêne pas la compréhension de l'histoire, mais je conseille de les lire car ils sont très passionnants.
On retrouve les personnages de Mickaël, Ida et Louis Armstrong, qui on vieillit. le fils de Mickaël est accusé de meurtre. Ida va venir lui prêter main forte pour essayer de disculper Tom. Ils vont reformer leur duo d'enquêteur. Gabriel Leveson, mafieux et patron d'une boite de nuit et qui veut fuir ce milieu, se retrouve mêler à cette enquête.
L'auteur nous offre une intrigue complexe et très bien construite en s'inspirant de faits réels. Il y a du rythme et des rebondissements. L'écriture est clair et fluide. Chaque début de chapitre commence par un article de journal. L'auteur ne se contente pas de nous offrir seulement une enquête policière, mais il nous offre à nous lecteur une visite de New-York d'après-guerre où se mêle la corruption, la politique, le crime organisé, mafia, racisme, sans oublier la musique. Tout est bien retranscris, les codes de l'époque, les tenues vestimentaires nous immerge en tant que lecteur dans cet univers.
Une lecture captivante.
J'ai hâte de découvrir le dernier roman de la série.
Commenter  J’apprécie          110

Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
Pour moi, ce livre, c’est 590 pages de bonheur !

D’abord, parce que l’intrigue est bien ficelée, tout s’enchaîne, les zones d’ombre sont stratégiquement placées… On retrouve la construction chère, visiblement, à Ray Celestin, dans les livres duquel plusieurs personnages se retrouvent en général à « enquêter » en parallèle sur une même affaire, avec des progressions qui font que le lecteur, sans encore tout savoir, en sait souvent un petit peu plus que le personnage qu’il suit – ce qui est très agréable ! -.

Mais ce livre est aussi l’occasion de se plonger dans l’histoire de New-York à la sortie du deuxième conflit mondial, alors que l’Amérique s’engage dans une sorte de croisade contre le communisme, avec le travail de la Commission sur les activités anti-américaines (à ne pas confondre avec le maccarthysme, qui débute un peu plus tard). On y découvre – ou peut-être certains le savaient-ils déjà – que c’est l’occasion pour un acteur de série B, un certain Ronald Reagan, de relancer sa carrière… on sait où cela le mènera.

La peinture de cette ville de New-York inclut naturellement l’emprise de la mafia sur la ville, au travers de la lutte, au sein même de la famille Luciano, entre Franck Costello et Vito Genovese, alors que d’autres familles cherchent à préserver leurs propres acquis, comme les Mangano, alors dirigés par Albert Anastasia…

Et, en plus, on garde également la trame musicale de la série. Louis Armstrong a explosé, mais se trouve désormais à un moment charnière. Les big bands semblent avoir fait leur temps, les nouveaux venus sur la scène du jazz occupent la place. Alors, s’il ne participe pas, ou quasiment, à l’enquête cette fois-ci, c’est avec plaisir que l’on retrouve sous cet angle plus intimiste le jazzman, en proie au doute, alors qu’il est sur le point de retrouver un second souffle…

On retrouve évidemment avec un grand plaisir Ida Davis et Michael Talbot. Ils ont pris de l’âge – Michael est en retraite, Ida est à un tournant de sa vie -. Non, vraiment, que du bonheur, je ne sais pas comment dire mieux !

À la fin de la postface, Ray Celestin nous annonce enfin que la série comptera un quatrième et dernier tome, qui se déroulera à Los Angeles en 1967. Mais qu’il n’a pas commencé à l’écrire… L’attente va être longue !
Commenter  J’apprécie          161
Et Gabriel allait retrouver Frank Costello, le Premier ministre de la pègre, comme on l'appelait.
(...)

Costello ne portait pas de flingue, ne s'entourait pas de gardes du corps et n'avait même pas de chauffeur attitré. Quand il avait un rendez-vous, il prenait le taxi, seul, sans arme. Comme n'importe quel New- Yorkais.Pour les gens, c'était le signe que, après tout, Costello n'était pas si horrible : il avait beau être le capo di tutti capi, le chef de la Commission, le leader des cinq familles, le patron de tout le crime organisé, responsable d'une armée de deux mille hommes, c'était avant tout un petit gars du quartier qui avait réussi.
Commenter  J’apprécie          150
" Peut- être que si je vous donne une image, vous comprendrez mieux ma vie. Imaginez quelqu'un au volant d'une voiture sur une route inconnue. Il ne peut pas arrêter la voiture. Sur son trajet, il n'y a que des événements inattendus, inédits, totalement différents de ce qu'il s'attendait à vivre. C'est terrible pour un homme de se rendre compte qu'il est au volant de sa vie, et que les freins ne marchent pas."

FRANCK COSTELLO, MAFIOSO
(1891 - 1973)
Commenter  J’apprécie          200
Le soleil se levait sur l' Etat de New York, soulignant la ligne d'argent qui traversait en ondulant la vallée de l'Hudson River, se dirigeant vers le sud. C'était le 20th Century Limiteed, le train de nuit express en provenance de Chicago. Il perçait le paysage comme une aiguille traversant le tissu des montagnes, longeant le miroitement des lacs et le feuillage enflammé des forêts, comme inexorablement attiré par le coeur hypnotique de New York.
Commenter  J’apprécie          190
NOUVELLES LOCALES

LA MAISON DES HORREURS DE HARLEM

QUATRE PERSONNES MASSACRÉES
DANS UNE PENSION DE HARLEM

UN VÉTÉRAN NOIR ARRÊTÉ

LE VAUDOU AU CŒUR DE CES MEURTRES BARBARES

Leonard Sears, correspondant aux affaires criminelles

Manhattan, le 2 août. Un certain Thomas James Talbot, 35 ans, employé dans un hôpital de New York, a été inculpé ce matin d’un quadruple assassinat à la suite du massacre qui a eu lieu tard dans la soirée de vendredi dans un hôtel de Harlem. La police, prévenue de nuisances sonores à l’hôtel Palmer, a découvert sur place un vrai carnage : des cadavres jonchaient l’hôtel et Thomas Talbot, couvert du sang de ses victimes, avait encore entre les mains l’argent et la drogue qu’il venait de leur dérober. Talbot, qui résidait à l’hôtel, a tenté de s’enfuir mais a pu être rapidement appréhendé.

« Une scène de meurtre épouvantable »

Les quatre victimes ont été tuées à coups de couteau : certaines ont été égorgées, d’autres partiellement démembrées et éventrées. Leurs corps ont été retrouvés à l’accueil, dans un couloir et dans deux des chambres. Le capitaine de police John Rouse, chargé de l’enquête, a déclaré : « C’est la plus épouvantable scène de meurtre que j’aie vue en trente années d’exercice dans la police. Toutes les victimes ont été tuées de sang-froid, après avoir subi des violences barbares. » L’arme du crime, sans doute un couteau à longue lame ressemblant à une machette, n’a pas encore été retrouvée.

ATTIRAIL VAUDOU

Thomas Talbot, un vétéran ayant servi dans le Pacifique, louait une chambre depuis plusieurs semaines au dernier étage de l’établissement. La fouille de cette pièce a permis de découvrir divers objets liés au culte vaudou : grigris, amulettes, petits ossements pour la divination, crânes et toges de cérémonie. Des bouteilles contenant des liquides non identifiés ont également été retrouvées, ainsi que des objets rituels en provenance des îles du Pacifique. Des objets similaires se trouvaient dans une chambre du deuxième étage où gisaient deux des corps, ainsi que des ouvrages concernant le Temple de la Tranquillité, culte vaudou originaire de Harlem. L’enquête doit déterminer si les meurtres ont été perpétrés dans le cadre de rites sacrificiels vaudous ou s’ils sont plutôt la conséquence tragique d’une dispute ayant opposé Thomas Talbot aux autres adorateurs résidant également dans l’hôtel. Au petit matin, Talbot était le dernier résident de l’hôtel encore en vie.

UN CHAUFFEUR ROUTIER PORTÉ DISPARU
FAISAIT PARTIE DES VICTIMES

Parmi les morts, Arno Bucek, 25 ans, est la seule victime blanche. Le jeune homme avait été porté disparu par ses parents, résidant dans le Queens, six semaines auparavant. C’est dans la chambre où se trouvait le corps de Bucek que Talbot a été initialement appréhendé par la police alors qu’il tentait de s’enfuir avec de la drogue et de l’argent. On se perd en conjectures sur les raisons de la présence de Bucek, consommateur d’héroïne, dans un hôtel pour Noirs. On ignore également où il a passé ses dernières semaines. La police ne néglige pas la possibilité qu’il ait été séquestré pour servir de victime lors de tortures rituelles.

AUDIENCE AU TRIBUNAL

C’est un Talbot indifférent et à l’apparence hirsute qui s’est présenté à la cour d’assises de Manhattan. L’assistant du procureur Russell Patterson a réclamé une inculpation pour assassinat ; une date pour l’audience préliminaire a été décidée sur cette base. Talbot n’a pas souhaité inscrire de plaidoyer. Placé en détention préventive, il est actuellement incarcéré à Rikers Island.

VICTIMES

Voici la liste des victimes découvertes à l’hôtel :

Arno Bucek, 25 ans. Découvert au premier étage. Décédé des suites de multiples lacérations au torse.

Lucius Powell, 29 ans. Découvert dans le couloir du deuxième étage. Membre présumé du Temple de la Tranquillité. Décédé des suites de multiples lacérations au torse.

Alfonso Powell, 32 ans. Découvert au deuxième étage. Frère de Lucius, également membre présumé du Temple de la Tranquillité. Décédé suite à un seul coup à la gorge.

Diana Hollis, 45 ans. Découverte à l’accueil de l’hôtel. Mlle Hollis était une employée de l’hôtel. Ses blessures ont été décrites comme « particulièrement horribles » par le capitaine Rouse.

Pour plus de détails et des photographies de ce quadruple homicide, voir en page 4
Commenter  J’apprécie          10

Videos de Ray Celestin (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ray Celestin
L'émission "Le coup de coeur des libraires est diffusée sur les Ondes de Sud Radio, chaque vendredi matin à 10h45. Valérie Expert vous donne rendez-vous avec votre libraire Gérard Collard pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • Les Petits plats dans les grands de Henriette Walter aux éditions Robert Laffont https://www.lagriffenoire.com/1038413-article_recherche-les-petits-plats-dans-les-grands.html • Carnaval de Ray Celestin et Jean Szlamowicz aux éditions 10-18 https://www.lagriffenoire.com/40420-nouveautes-polar-carnaval.html • Mascarade de Ray Celestin aux éditions 10-18 https://www.lagriffenoire.com/105314-nouveautes-polar-mascarade.html • Mafioso de Ray Celestin et Jean Szlamowics aux éditions Cherche Midi https://www.lagriffenoire.com/1017633-nouveautes-polar-mafioso.html • Haute fidélité de Nick Hornby et Gilles Lergen aux éditions 10-18 https://www.lagriffenoire.com/73375-poche-haute-fidelite.html • Un mariage en dix actes de Nick Hornby aux éditions Stock https://www.lagriffenoire.com/1038668-article_recherche-un-mariage-en-dix-actes.html • Et les vivants autour de Barbara Abel aux éditions Belfond https://www.lagriffenoire.com/1035750-nouveautes-polar-et-les-vivants-autour.html • La Préhistoire du sexe de Timothy Taylor aux éditions Bayard https://www.lagriffenoire.com/1038669-article_recherche-la-prehistoire-du-sexe.html • • Chinez & découvrez nos livres coups d'coeur dans notre librairie en ligne lagriffenoire.com • Notre chaîne Youtube : Griffenoiretv • Notre Newsletter https://www.lagriffenoire.com/?fond=newsletter • Vos libraires passionnés, @Gérard Collard & @Jean-Edgar Casel • • • #lagriffenoire #bookish #bookgeek #bookhoarder #igbooks #bookstagram #instabook #booklover #novel #lire #livres #sudradio #conseillecture #editionsrobertlaffont #editions1018 #editionscherchemidi #editionsstock #editionsbelfond #editionsbayard
+ Lire la suite
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (451) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2817 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}