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Citations sur Mafioso (39)

Tu sais ce qu'on dit : à avoir le cul entre deux chaises, on finit par se déchirer le futal..."
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" Derrière tout homme qui a réussi, il y a une belle-mère étonnée."
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" Peut- être que si je vous donne une image, vous comprendrez mieux ma vie. Imaginez quelqu'un au volant d'une voiture sur une route inconnue. Il ne peut pas arrêter la voiture. Sur son trajet, il n'y a que des événements inattendus, inédits, totalement différents de ce qu'il s'attendait à vivre. C'est terrible pour un homme de se rendre compte qu'il est au volant de sa vie, et que les freins ne marchent pas."

FRANCK COSTELLO, MAFIOSO
(1891 - 1973)
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La faculté d'adaptation, Gabriel, c'est la clé de la survie.
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Le soleil se levait sur l' Etat de New York, soulignant la ligne d'argent qui traversait en ondulant la vallée de l'Hudson River, se dirigeant vers le sud. C'était le 20th Century Limiteed, le train de nuit express en provenance de Chicago. Il perçait le paysage comme une aiguille traversant le tissu des montagnes, longeant le miroitement des lacs et le feuillage enflammé des forêts, comme inexorablement attiré par le coeur hypnotique de New York.
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- Si on ne peut même plus faire confiance à un comptable véreux... " soupira Gabriel malicieux.
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Pour moi, ce livre, c’est 590 pages de bonheur !

D’abord, parce que l’intrigue est bien ficelée, tout s’enchaîne, les zones d’ombre sont stratégiquement placées… On retrouve la construction chère, visiblement, à Ray Celestin, dans les livres duquel plusieurs personnages se retrouvent en général à « enquêter » en parallèle sur une même affaire, avec des progressions qui font que le lecteur, sans encore tout savoir, en sait souvent un petit peu plus que le personnage qu’il suit – ce qui est très agréable ! -.

Mais ce livre est aussi l’occasion de se plonger dans l’histoire de New-York à la sortie du deuxième conflit mondial, alors que l’Amérique s’engage dans une sorte de croisade contre le communisme, avec le travail de la Commission sur les activités anti-américaines (à ne pas confondre avec le maccarthysme, qui débute un peu plus tard). On y découvre – ou peut-être certains le savaient-ils déjà – que c’est l’occasion pour un acteur de série B, un certain Ronald Reagan, de relancer sa carrière… on sait où cela le mènera.

La peinture de cette ville de New-York inclut naturellement l’emprise de la mafia sur la ville, au travers de la lutte, au sein même de la famille Luciano, entre Franck Costello et Vito Genovese, alors que d’autres familles cherchent à préserver leurs propres acquis, comme les Mangano, alors dirigés par Albert Anastasia…

Et, en plus, on garde également la trame musicale de la série. Louis Armstrong a explosé, mais se trouve désormais à un moment charnière. Les big bands semblent avoir fait leur temps, les nouveaux venus sur la scène du jazz occupent la place. Alors, s’il ne participe pas, ou quasiment, à l’enquête cette fois-ci, c’est avec plaisir que l’on retrouve sous cet angle plus intimiste le jazzman, en proie au doute, alors qu’il est sur le point de retrouver un second souffle…

On retrouve évidemment avec un grand plaisir Ida Davis et Michael Talbot. Ils ont pris de l’âge – Michael est en retraite, Ida est à un tournant de sa vie -. Non, vraiment, que du bonheur, je ne sais pas comment dire mieux !

À la fin de la postface, Ray Celestin nous annonce enfin que la série comptera un quatrième et dernier tome, qui se déroulera à Los Angeles en 1967. Mais qu’il n’a pas commencé à l’écrire… L’attente va être longue !
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Derrière chaque grande fortune, il y a toujours un crime. Ça prend le temps que ça prend, Frank. C'est tout. Les crimes s'effacent dans la mémoire des gens et tout ce qui reste , c'est le pognon. "
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" C'est un vieux classique : foutre la merde et se pointer après pour vendre des serpillières.
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Les gratte-ciel de Manhattan accueillaient de plus en plus de gens sur l' île et, de la même manière, la ville ne cessait de compacter leurs journées, de ramasser, de densifier, d'intensifier et d'épaissir le temps.
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