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Le Bâtard de Kosigan tome 2 sur 4
EAN : 9782354083038
432 pages
Mnémos (03/04/2015)
4.15/5   222 notes
Résumé :
1340, au cœur du comté de Flandre. Alors que les premiers feux de la guerre de Cent Ans s’allument, le Bâtard de Kosigan et ses Loups se voient confier, par le sénéchal d’Angleterre, la délicate mission de découvrir les tenants et aboutissants d’un complot qui se trame… autour du roi de France.

Une enquête surprenante et extrêmement dangereuse, mêlant trahisons et forces obscures, dans laquelle l’ascendance surnaturelle du Bâtard, habituellement son ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (71) Voir plus Ajouter une critique
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sur 222 notes
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Oh ! que cette saga est jubilatoire et addictive a souhait !!

Elle a tout pour elle!
L'écriture de l'auteur est agréable, addictive également. On tourne indéniablement les pages sans s'en rendre compte.
Les combats sont épiques et on s'y croirait réellement… et puis diable ! On prend parti en plus.
Les personnages sont travaillés , sympathiques ou non c'est selon … mais une chose est sure c'est qu' on est pas indifférent.
Et puis l'auteur est le digne fils d'Alexandre Dumas,parce que je le trouve formidable dans le maniement des esprits pour fomenter les plus grands complots que l'on puisse imaginer.

Je suis réellement conquise. Et puis cela faisait un moment que je n'avais pas croisé le chemin d'une saga de fantasy aussi intéressante. Je suis sûre que je ne vais pas tarder à lire la suite.. d'autant que de nombreux secrets restent encore a découvrir..
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Quel plaisir de retrouver messire de Kosigan et sa compagnie de mercenaire !
Après un premier tome de haute volée ("l'Ombre du pouvoir") "le Fou prend le Roi" maintient un niveau de qualité littéraire élevé et corrige certains défauts de l'histoire précédente.

1340 : alors que débute la guerre de Cent ans, entre la France et la perfide Albion, Pierre Cordwain de Kosigan, et ses Loups, sont engagés par Guillaume le Maréchal, sénéchal d'Edward III, roi d'Angleterre, afin de mettre au jour un complot visant à assassiner Philippe VI, souverain de France et de Navarre. Bien évidemment les choses ne sont jamais aussi simples qu'elle ne paraissent et la machination se révélera à multiples tiroirs...Parallèlement nous suivons les aventures de Kergael de Kosigan, pour l'heure dans le coma, suites aux évènements du premier tome, descendant, à la fin du XIX siècle, du chevalier de Kosigan, et dont les investigations mènent sur les traces d'un passé magique, un moyen-âge pas si fantasmé que ça, et qui diffère grandement de l'Histoire officielle...

Si, dans "l'Ombre du Pouvoir", le chevalier de Kosigan était véritablement au centre du récit, flamboyant, charismatique, leader incontesté, jamais pris en défaut, il est, dans "le Fou prend le Roi", beaucoup plus malmené et se révèle davantage humain. Ceci est plutôt bien vu car cela évite l'agacement qu'aurait pu inspirer le personnage, en cas de récidive, et illustre parfaitement la pertinence de la maxime "à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire". de façon concomitante, Fabien Cerutti choisit de mettre en avant des autres membres de la compagnie, notamment Edric et Dun, et on a, pour le coup, vraiment l'impression d'avoir affaire à une équipe.

Et l'équipe n'est pas de trop pour permettre à notre héros de se sortir des griffes de ses ennemis, lui qui semblait, dans le tome précédant, avoir toujours un coup d'avance, est ici davantage à la peine. Il faut dire que ce n'est pas seulement l'avenir du comté de Champagne qui est en jeu cette fois-ci mais bien celui de l'ensemble du monde occidental. Ce récit, d'une tonalité générale plus dramatique (il faut voir l'hécatombe dans les rangs des Loups), avec des aspects horrifiques assumés (liés aux cultes des anciens dieux), est aussi l'occasion, pour l'auteur, de développer son univers dont les éléments propres à la fantasy sont d'ailleurs bien plus nombreux que dans "l'Ombre du Pouvoir".

Par ailleurs, les pérégrinations, sous forme épistolaire (qui ne sont pas sans rappeler "Dracula") de Kergael sont plus fluides et hachent moins l'histoire principale, tout en y étant davantage connectées. En clair, même s'il reste beaucoup de questions en suspend, et que de nouvelles apparaissent, les choses avancent et, contrairement aux aventures de messire de Kosigan, qui peuvent se lire indépendamment les unes des autres, celles de Kergael semblent devoir constituer le fil rouge des tomes à venir.

Quelques petites réserves néanmoins : la fin est, à mon sens, un peu rapide et la confrontation finale, entre Kosigan et son adversaire principale (dont je ne dirai rien, afin de ne pas spoiller l'intrigue) manque d'intensité même si elle met bien en lumière les enjeux, à un niveau personnel, pour notre condottiere préféré et laisse entrevoir de multiples possibilités d'intrigues futures. Enfin je trouve que, malgré des atouts certains, le personnage d'Adélys de Quiéret n'est pas assez exploité.

C'est franchement presque rien et ça ne m'empêchera pas de mettre cinq étoiles à un roman que j'ai dévoré et dont j'attends la suite avec grande impatience. Après l'histoire de cape et d'épée en plein moyen-âge et le récit de fantasy historique, à tendance apocalyptico-horrifique, que nous réserve Mr Cerutti pour le tome trois ?
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Il ne m'a pas fallu beaucoup de temps pour me replonger dans les aventures de Pierre, chevalier de Kosigan. Lui et sa troupe de mercenaires - fort hétéroclite d'ailleurs, cette troupe- commencent ce deuxième tome tambour battant puisque vont avoir fort à faire avec les anglais. Bizarre, quand on sait par qui Kosigan a été mandaté pour sa nouvelle mission.
Sa mission va l'amener à rencontrer le roi de France, Philippe de Valois et malgré les réticences de certaines personnes de l'entourage de ce dernier, Kosigan va être mandaté d'une autre mission. Il s'agit d'enquêter sur le meurtre du dauphin.
Cette histoire foisonne de bataille, de complots et franchement, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. J'ai bien réalisé que l'auteur nous baladait, et je n'ai rien vu venir, chose que j'adore dans mes lectures.
J'aime beaucoup l'évolution de l'histoire de France car n'oublions pas que nous sommes dans une uchronie et le postulat de l'auteur est franchement fort intéressant. Qu'il s'agisse d'ailleurs des Valois, mais aussi des Plantagenets. Donc, rien que pour cet aspect de l'histoire, je tire mon chapeau à l'auteur.
Cependant, contrairement au tome précédent, j'ai eu plus de peine à m'intéresser aux aventures de Kergael, le descendant de Kosigan. Je devais vraiment me faire violence pour ne pas sauter les pages. Je suis tout de même curieuse de savoir où cela va nous emmener.
Bon, je pense que je ne tarderais pas à me lancer dans la suite des aventures de Pierre de Kosigan.

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Un an après le succès de son premier roman mettant en scène un mercenaire aussi coriace que retors dans une France du XIVe siècle quelque peu différente de la notre, Fabien Cerutti revient enfin avec la suite des aventures de son bâtard de Kosigan. Et une fois encore, le résultat est plus qu'à la hauteur et ne manquera pas de ravir ceux qui, comme moi, ont été enthousiasmés par la lecture du premier opus.

Quelques mois ont passé depuis le succès de la mission de notre héros pour le compte de la comtesse de Champagne, et le voilà désormais au service de Guillaume le Maréchal, principal conseiller du roi d'Angleterre, inquiet de l'existence d'un traître au service du souverain français Philippe VI. Une affaire d'autant plus grave que, suite aux prétentions d'Édouard III sur la couronne de France, la Guerre de Cent Ans est sur le point de débuter... Fabien Cerutti nous plonge une fois encore dans une intrigue habilement et patiemment élaborée afin de surprendre le lecteur et maintenir le suspens intact du début à la fin. Et cela fonctionne. Difficile de se raisonner à enfin fermer le roman pour aller dormir tant le récit du mercenaire se fait captivant et tant on est avide de découvrir enfin tous les secrets que cachent cet ambitieux complot visant à déstabiliser les royaumes de France et d'Angleterre. le fait que l'essentiel de l'action se passe dans un espace géographique et une période très restreints (la ville de Lens durant quelques semaines de l'année 1340) ne nuit en rien à l'attrait du récit. Cela y ajoute même davantage de piment, le lecteur ne pouvant rapidement s'empêcher d'être lui aussi contaminé par le sentiment d'urgence qui anime le protagoniste tout au long du roman.

L'un des grands atouts de ce second tome tient également aux « quelques » altérations historiques que l'on rencontre au fil de la lecture. Car si l'histoire se passe bel et bien dans la France du XIVe siècle et s'il est évident que l'auteur s'est minutieusement documenté sur le contexte de l'époque et sur tout ce qui a trait à la vie au Moyen Age, le monde dans lequel évolue le bâtard de Kosigan possède de curieuses et plus ou moins subtiles différences avec le notre. La plus visible étant très certainement l'existence de créatures fantastiques, des dragons aux elfes noirs en passant par les sorciers ou les ogres, qui cohabitent tant bien que mal depuis les temps anciens avec la race humaine. Une différence de taille que ne s'expliquent d'ailleurs pas, plus de cinq siècles plus tard, le descendant de notre héros et ses compagnons historiens dont on suit l'enquête en parallèle à l'histoire du bâtard. Outre l'attrait de ces petites « retouches » apportées à l'histoire officielle, le roman séduit également par la qualité de son écriture, à la fois très fluide et très dynamique, et surtout par celle de son héros. Difficile de ne pas se prendre d'affection pour ce mercenaire aussi habile guerrier que diplomate, ainsi que pour l'ensemble de ses compagnons ou alliés de circonstances (palme d'or à la belle princesse de Quiret qui illustre d'ailleurs magnifiquement la couverture).

Pari à nouveau réussi pour Cerutti qui signe avec « Le fou prend le roi » un second tome un peu plus sombre mais à la hauteur du premier. Seule déception une fois la lecture achevée : la perspective de devoir attendre encore un an avant de retrouver à nouveau Kosigan pour de nouvelles aventures (et dans le Saint-Empire, cette fois...). Si vous n'avez pas encore découvert cette série, courez-y !
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Le Fou prend le Roi, et les Dames sauvent Le Cavalier. Ainsi pourrait être précisé le titre du deuxième tome des aventures du Bâtard de Kosigan (même si ces volumes peuvent se lire indépendamment), de Fabien Cerutti chez les éditions Mnémos !

Après la renommée acquise lors des événements du premier tome, le Bâtard de Kosigan a dû se faire un peu petit, histoire de regagner de la marge de manoeuvre. Pour autant, il est envoyé en mission par son commanditaire anglais afin de sauver une « damoiselle en détresse » pour, à terme, être bien vu à la cour de France et pouvoir enquêter sur place sur un complot qui s'y tramerait. Vous le sentez, le complot dans le complot, caché lui aussi dans un complot ? C'est normal, les intrigues sont velues et Kosigan se retrouve dans ce sac de noeuds. Dans ce contexte du tout début de la guerre qu'on nommera un jour « Guerre de Cent Ans », les relations entre les nobles anglais et français sont tendues mais également floues, car le passage d'un côté à l'autre est courant. En leur sein, un personnage très puissant et semblant bien connaître le héros tente de tirer les ficelles.
Contrairement au premier tome, le lecteur a moins tendance à balancer des « oh, le Bâtard ! » devant la gouaille vantarde, la réussite insolente et l'extrême étendue des compétences stratégiques de Kosigan. Au contraire, ce coup-ci, le mercenaire doit s'employer, s'exposer constamment au danger et improviser au fur et à mesure qu'il découvre l'étendue du pouvoir de ses antagonistes. C'était une critique récurrente sur L'Ombre du pouvoir et l'auteur a de suite corrigé le tir afin de ne pas faire de son héros mercenaire un super-héros doublé de pouvoirs magiques, c'est très appréciable. D'ailleurs, mine de rien, celle qui est censée, au départ, n'être qu'une princesse en danger, Adélys de Quiéret, lui tient la dragée haute. Pour le reste, difficile de ne pas divulgâcher (oui, oh, « spoiler » si vous préférez) le fin de mot de l'histoire et ce serait vraiment bête.
D'un point de vue stylistique, quel auteur se permet de débuter son roman par l'expression « manuscrit sur vélin, fonds n°011b, exhumé de la nécropole du mont Éleu de Lens par l'équipe du professeur Ernest Lavisse entre le 26 mars et le 14 avril 1900 » ? Fabien Cerutti joue à plein la carte « écrit par un historien » sans pour autant que cela passe pour un cours d'histoire à chaque page. Cela peut passer par des anecdotes sur la vie quotidienne médiévale ou sur telle habitude, mais cela reste léger pour le lecteur qui ne veut pas y faire attention. Au contraire même, ce deuxième tome utilise encore davantage les intrigues à la cour du roi de France et des phases de course-poursuite captivantes (la toute première scène notamment, ainsi que la « bataille » finale). Après, en cherchant bien, ce roman concentre intelligemment des éléments uchroniques au point qu'on navigue pleinement dans l'Histoire secrète, ça ne change pas, tout en jouant également dans le registre d'un mystère à dévoiler, sans jamais vraiment nous le confirmer, ce qui est un bonus plaisant non négligeable.

Même si l'histoire du Fou prend le Roi se termine dans ces pages, il est indéniable qu'une fois terminée, le lecteur n'a qu'une envie : la prolonger avec le tome suivant, le Marteau des Sorcières !

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critiques presse (1)
Elbakin.net
29 avril 2015
La suite s’annonce des plus palpitantes !
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (64) Voir plus Ajouter une citation
Le peuple fait ce que lui dictent ceux qui le commandent. Quant aux nobles, nous leur octroierons le loisir de conserver leur foi en la Croix, du moment qu'ils honorent leurs vœux d'allégeance envers leur souverain. Ceux qui résisteront seront balayés, mais je gage qu'ils seront peu nombreux. Pourquoi croyez-vous que l’Église ait ressenti le besoin d’instaurer le culte de multiples saints à l'intérieur d'une religion censée honorer un dieu unique ? Elle avait tout simplement pour but de compenser discrètement l'absence des anciennes divinités dans le cœur des populations. Les hommes n'ont pas changé depuis les temps antiques, ils aiment à prier quelqu'un de particulier afin de bénir leurs moissons, leurs amours, de retrouver leurs objets perdus ou de les garder face à leurs ennemis. Ils aiment pouvoir lancer le mauvais œil à ceux qu'ils détestent, ils aiment se voir punis lorsqu'ils sortent des chemins sacrés. Dieu, comme vous dites, est trop lointain, trop anonyme, trop bon.
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D'après ce que Marjeurie a pu nous expliquer, le nom de la Ciguë Joyeuse provient de celui de la bière maison, légère et affreusement amère, que l'on y sert. Un nectar immonde semble-t-il, mais particulièrement euphorisant et désaltérant, capable d'échauffer la tête du plus épais des forgerons dès la première chope et de noyer, en quelques gorgées seulement, les peines et les misères du quotidien. Le fait qu'elle puisse également se révéler aussi mortelle que le poison dont elle porte le nom paraît ici unanimement considéré comme une qualité supplémentaire.
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A ma connaissance, les deux Grands Gris d'Auvergne sont peut-être encore de ce monde, grâce à leurs accords millénaires avec les seigneurs des Marches. Il est possible qu'il en aille de même pour le Long Azuréen qui protège les froidures gelées des royaumes nains d'Enibelungen. Ou pour le Sombre Rouge de Salamanque, pilier asservi de la Reconquista espagnole. Mais, pour peu que je le sache, ils peuvent aussi bien être tous morts...Curieuse impression que de penser qu'il est envisageable que plus un seul dragon vivant n'existe de par le monde à l'instant précis où j'écris ces lignes.
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Un sacrifice rituel. Et des plus puissants, à en juger par le nombre de vies qu'il a été nécessaire d'arracher pour l'accomplir. Au vu de la décomposition, je dirais que le massacre remonte à une semaine. Dix jours tout au plus. Une des jeunes femmes se trouvait enceinte lorsqu'elle a été tuée, son future bébé a été extirpé de son ventre, on en a décharné le petit cœur battant, et on l'a très probablement dévoré. Et après on s'étonne que le commun des mortels préfère se tourner vers la foi de l’Église plutôt que vers les sorceries du passé.
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« Personnellement, je n’ai pas l’outrecuidance de présager de ce qui existe ou n’existe pas dans les abysses insondables des mondes au-delà du visible. Les prêtres, les dru-wi-des, les haruspices et autres sorceliers se ressemblent beaucoup : ils affirment tous connaître la volonté des entités divines ; ils le clament haut et fort, et poussent les gens autour d’eux à leur obéir au nom de cette volonté ; mais en réalité, je n’ai encore rencontré un seul qui ait déjà échangé ne serait-ce que deux mots avec un quelconque dieu ou une puissance sacrée réelle…
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Videos de Fabien Cerutti (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Fabien Cerutti
En librairie le 12 juin 2020 : Les Secrets du Premier Coffre Fabien Cerutti
Six histoires hautes en couleur dans le monde du Bâtard de Kosigan !
Avec ce coffre empli de trésors littéraires, Fabien Cerutti propose six textes qui enluminent ou permettent de découvrir l'univers de sa série à succès le Bâtard de Kosigan. Avec un récit de la jeunesse gouailleuse du Bâtard en Italie, une pièce de théâtre truculente à la cour d'Angleterre, un drame amoureux entre un pape et une satyre, un journal de voyage aux confins du monde en quête des elfes de Chine, et bien d'autres surprises encore, l'auteur nous émeut, nous surprend, nous fait frissonner, nous dépayse et nous emporte dans son imaginaire vif et attachant.
Fabien Cerutti est agrégé d'histoire et enseigne en région parisienne. Avec le Bâtard de Kosigan, il est l'auteur de l'un des cycles de fantasy historique qui connaît le plus de succès. le tome 1 L'Ombre du Pouvoir a obtenu le Prix Imaginales des lycéens et le Prix révélation des Futuriales en 2015. La série du Bâtard de Kosigan a reçu le Book d'or de Bookenstock 2019.
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