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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Il ne m'a pas fallu beaucoup de temps pour me replonger dans les aventures de Pierre, chevalier de Kosigan. Lui et sa troupe de mercenaires - fort hétéroclite d'ailleurs, cette troupe- commencent ce deuxième tome tambour battant puisque vont avoir fort à faire avec les anglais. Bizarre, quand on sait par qui Kosigan a été mandaté pour sa nouvelle mission.
Sa mission va l'amener à rencontrer le roi de France, Philippe de Valois et malgré les réticences de certaines personnes de l'entourage de ce dernier, Kosigan va être mandaté d'une autre mission. Il s'agit d'enquêter sur le meurtre du dauphin.
Cette histoire foisonne de bataille, de complots et franchement, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. J'ai bien réalisé que l'auteur nous baladait, et je n'ai rien vu venir, chose que j'adore dans mes lectures.
J'aime beaucoup l'évolution de l'histoire de France car n'oublions pas que nous sommes dans une uchronie et le postulat de l'auteur est franchement fort intéressant. Qu'il s'agisse d'ailleurs des Valois, mais aussi des Plantagenets. Donc, rien que pour cet aspect de l'histoire, je tire mon chapeau à l'auteur.
Cependant, contrairement au tome précédent, j'ai eu plus de peine à m'intéresser aux aventures de Kergael, le descendant de Kosigan. Je devais vraiment me faire violence pour ne pas sauter les pages. Je suis tout de même curieuse de savoir où cela va nous emmener.
Bon, je pense que je ne tarderais pas à me lancer dans la suite des aventures de Pierre de Kosigan.

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Un an après le succès de son premier roman mettant en scène un mercenaire aussi coriace que retors dans une France du XIVe siècle quelque peu différente de la notre, Fabien Cerutti revient enfin avec la suite des aventures de son bâtard de Kosigan. Et une fois encore, le résultat est plus qu'à la hauteur et ne manquera pas de ravir ceux qui, comme moi, ont été enthousiasmés par la lecture du premier opus.

Quelques mois ont passé depuis le succès de la mission de notre héros pour le compte de la comtesse de Champagne, et le voilà désormais au service de Guillaume le Maréchal, principal conseiller du roi d'Angleterre, inquiet de l'existence d'un traître au service du souverain français Philippe VI. Une affaire d'autant plus grave que, suite aux prétentions d'Édouard III sur la couronne de France, la Guerre de Cent Ans est sur le point de débuter... Fabien Cerutti nous plonge une fois encore dans une intrigue habilement et patiemment élaborée afin de surprendre le lecteur et maintenir le suspens intact du début à la fin. Et cela fonctionne. Difficile de se raisonner à enfin fermer le roman pour aller dormir tant le récit du mercenaire se fait captivant et tant on est avide de découvrir enfin tous les secrets que cachent cet ambitieux complot visant à déstabiliser les royaumes de France et d'Angleterre. le fait que l'essentiel de l'action se passe dans un espace géographique et une période très restreints (la ville de Lens durant quelques semaines de l'année 1340) ne nuit en rien à l'attrait du récit. Cela y ajoute même davantage de piment, le lecteur ne pouvant rapidement s'empêcher d'être lui aussi contaminé par le sentiment d'urgence qui anime le protagoniste tout au long du roman.

L'un des grands atouts de ce second tome tient également aux « quelques » altérations historiques que l'on rencontre au fil de la lecture. Car si l'histoire se passe bel et bien dans la France du XIVe siècle et s'il est évident que l'auteur s'est minutieusement documenté sur le contexte de l'époque et sur tout ce qui a trait à la vie au Moyen Age, le monde dans lequel évolue le bâtard de Kosigan possède de curieuses et plus ou moins subtiles différences avec le notre. La plus visible étant très certainement l'existence de créatures fantastiques, des dragons aux elfes noirs en passant par les sorciers ou les ogres, qui cohabitent tant bien que mal depuis les temps anciens avec la race humaine. Une différence de taille que ne s'expliquent d'ailleurs pas, plus de cinq siècles plus tard, le descendant de notre héros et ses compagnons historiens dont on suit l'enquête en parallèle à l'histoire du bâtard. Outre l'attrait de ces petites « retouches » apportées à l'histoire officielle, le roman séduit également par la qualité de son écriture, à la fois très fluide et très dynamique, et surtout par celle de son héros. Difficile de ne pas se prendre d'affection pour ce mercenaire aussi habile guerrier que diplomate, ainsi que pour l'ensemble de ses compagnons ou alliés de circonstances (palme d'or à la belle princesse de Quiret qui illustre d'ailleurs magnifiquement la couverture).

Pari à nouveau réussi pour Cerutti qui signe avec « Le fou prend le roi » un second tome un peu plus sombre mais à la hauteur du premier. Seule déception une fois la lecture achevée : la perspective de devoir attendre encore un an avant de retrouver à nouveau Kosigan pour de nouvelles aventures (et dans le Saint-Empire, cette fois...). Si vous n'avez pas encore découvert cette série, courez-y !
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Le Fou prend le Roi, et les Dames sauvent Le Cavalier. Ainsi pourrait être précisé le titre du deuxième tome des aventures du Bâtard de Kosigan (même si ces volumes peuvent se lire indépendamment), de Fabien Cerutti chez les éditions Mnémos !

Après la renommée acquise lors des événements du premier tome, le Bâtard de Kosigan a dû se faire un peu petit, histoire de regagner de la marge de manoeuvre. Pour autant, il est envoyé en mission par son commanditaire anglais afin de sauver une « damoiselle en détresse » pour, à terme, être bien vu à la cour de France et pouvoir enquêter sur place sur un complot qui s'y tramerait. Vous le sentez, le complot dans le complot, caché lui aussi dans un complot ? C'est normal, les intrigues sont velues et Kosigan se retrouve dans ce sac de noeuds. Dans ce contexte du tout début de la guerre qu'on nommera un jour « Guerre de Cent Ans », les relations entre les nobles anglais et français sont tendues mais également floues, car le passage d'un côté à l'autre est courant. En leur sein, un personnage très puissant et semblant bien connaître le héros tente de tirer les ficelles.
Contrairement au premier tome, le lecteur a moins tendance à balancer des « oh, le Bâtard ! » devant la gouaille vantarde, la réussite insolente et l'extrême étendue des compétences stratégiques de Kosigan. Au contraire, ce coup-ci, le mercenaire doit s'employer, s'exposer constamment au danger et improviser au fur et à mesure qu'il découvre l'étendue du pouvoir de ses antagonistes. C'était une critique récurrente sur L'Ombre du pouvoir et l'auteur a de suite corrigé le tir afin de ne pas faire de son héros mercenaire un super-héros doublé de pouvoirs magiques, c'est très appréciable. D'ailleurs, mine de rien, celle qui est censée, au départ, n'être qu'une princesse en danger, Adélys de Quiéret, lui tient la dragée haute. Pour le reste, difficile de ne pas divulgâcher (oui, oh, « spoiler » si vous préférez) le fin de mot de l'histoire et ce serait vraiment bête.
D'un point de vue stylistique, quel auteur se permet de débuter son roman par l'expression « manuscrit sur vélin, fonds n°011b, exhumé de la nécropole du mont Éleu de Lens par l'équipe du professeur Ernest Lavisse entre le 26 mars et le 14 avril 1900 » ? Fabien Cerutti joue à plein la carte « écrit par un historien » sans pour autant que cela passe pour un cours d'histoire à chaque page. Cela peut passer par des anecdotes sur la vie quotidienne médiévale ou sur telle habitude, mais cela reste léger pour le lecteur qui ne veut pas y faire attention. Au contraire même, ce deuxième tome utilise encore davantage les intrigues à la cour du roi de France et des phases de course-poursuite captivantes (la toute première scène notamment, ainsi que la « bataille » finale). Après, en cherchant bien, ce roman concentre intelligemment des éléments uchroniques au point qu'on navigue pleinement dans l'Histoire secrète, ça ne change pas, tout en jouant également dans le registre d'un mystère à dévoiler, sans jamais vraiment nous le confirmer, ce qui est un bonus plaisant non négligeable.

Même si l'histoire du Fou prend le Roi se termine dans ces pages, il est indéniable qu'une fois terminée, le lecteur n'a qu'une envie : la prolonger avec le tome suivant, le Marteau des Sorcières !

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J'avais accordé trois étoiles au premier opus du Bâtard de Kosigan. J'en octroie une supplémentaire à la lecture du deuxième.
Tout simplement parce que je l'ai trouvé beaucoup plus passionnant.
Même cet imbuvable de Kosigan a fini par trouver grâce à mes yeux, c'est vous dire !

Pour autant, il y a des éléments qui auraient pu m'agacer voire me rebuter totalement... Je m'explique :
Fabien Cerutti place son héros au beau milieu du conflit franco-anglais des débuts de la guerre de Cent ans et lui fait côtoyer maints personnages historiques tels que Edouard III et son fils le Prince Noir, Philippe VI de Valois roi de France, ou encore Hugues Quiéret commandant de la flotte française de la bataille de l'Ecluse. Chouette ! me suis-je dit au début du roman, j'adore cette période, je vais me régaler ! Mais rapidement je me suis rendue compte que l'histoire de Cerutti n'avait rien avoir avec l'Histoire de France telle que les historiens nous l'ont décrite. Ici, ne vous attendez pas à une reconstitution historique. Vous seriez déçus... Fabien Cerutti réinvente la guerre de Cent ans en la plongeant dans un univers fantasy.
Il réinvente les motivations de chacun des camps et nous emmène sur un terrain où l'imaginaire prend le dessus sur la réalité des faits.
J'aurais pu crier au scandale !
Mais non.
Car il s'agit bien d'un roman de fantasy uchronique et non pas d'un roman historique.
Une fois qu'on a compris que ce roman sortait très loin des sentiers battus pour s'enfoncer dans une forêt profonde, obscure et habitée par des créatures remontant aux légendes celtiques, il suffit de se laisser porter par l'aventure.


Et l'aventure menée par le Bâtard de Kosigan, ça vaut le détour. Intrépide mercenaire qui ne recule devant rien, ce dernier n'en finit pas de nous surprendre.
Même si j'ai encore un peu de mal avec certains côtés peu honorables de sa personne, j'avoue que je commence à m'amuser de son humour sarcastique et de son panache.


Je lirai donc le troisième volume avec intérêt car ma curiosité concernant les origines de Pierre Cordwain de Kosigan est encore plus attisée qu'à la fin du premier tome.
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En Résumé : J'ai de nouveau passé un bon moment de lecture avec ce second tome des aventures du Bâtard de Kosigan qui offre une histoire toujours aussi nerveuse, vivante, sans temps morts avec son lot de rebondissements et de surprises. L'intrigue comporte toujours son lot de manipulations et de jeux de pouvoir qui se révèlent attrayants. L'aspect historique uchronique ne manque pas d'intérêt et se révèle surtout cohérent et logique. Je reprocherai par un intérêt moindre sur la partie qui se déroule en 1899 donnant l'impression de tirer en longueur et aussi une capacité du héros, sur la période de 1340, à trop subir et parfois faire des choix très contestables alors que le premier tome montrait complètement l'inverse. L'univers s'avère toujours aussi solide et entrainant, l'aspect Fantasy y apporter un plus efficace et soulève aussi sont lot de questions, donnant envie d'en apprendre plus. Concernant les personnages, je me suis accroché rapidement au héros qui est toujours aussi charismatique et entrainant, se complexifiant au fil des tomes. Je regretterai par contre des personnages secondaires qui ont un peu de mal à sortir du lot et le fait que le personnage d'Adélys manque légèrement de profondeur. La plume de l'auteur est simple, entrainante et vivante, happant finalement assez facilement le lecteur dans son intrigue. Au final un second tome qui, malgré quelques défauts, se révèle plus qu'efficace et je lirai la suite sans soucis.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Mon intérêt se confirme pour cette série, cela continue à être intéressant et intriguant.
La bataille de l'écluse et le contexte de la guerre de cent ans que j"apprécie tout particulièrement servent de trame à ce deuxième opus haut en couleurs et actions.
Les anciens peuples et leur magie donnent à l'intrigue beaucoup d'attraits, j'apprécie énormément le contexte et cet univers assez original ma foi.
Les chapitres sont plus denses, plus "dans le détail" et ce n'est pas pour me déplaire, l'intrigue est vraiment passionnante.
Toujours cette propension à mettre notre héros dans des situations extrêmes dont il se sort à chaque fois de justesse mais à part ça c'est vraiment addictif, j'ai hâte de savoir le fin mot de cette histoire, place au tome 3 !
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Nouvelle mission pour le bâtard de Kosigan chargé avec sa fine équipe de déjouer un complot ourdi dans l'ombre du Roi de France. C'est dans la région de Lens que la troupe de mercenaires s'emploiera d'abord à "sauver" Adélys de Quiéret pour finalement s'empêtrer dans un imbroglio de conspirations et complots en tout genre.

J'avais trouvé, dans le premier tome, que le bâtard était assez caricatural dans son genre vu la somme de choses qui lui arrivait en un court laps de temps et dont il se tirait seul avec beaucoup trop d'aisance. Dans ce deuxième volume, on peut remarquer qu'il ne joue plus cavalier seul. En effet, il se retrouve en mauvaise posture à plusieurs reprises et devra compter sur l'aide de son équipe, et parfois même de la princesse qu'il pensait fragile. Ceci rend le personnage plus humain, même si l'on sait qu'un mystère entoure sa condition.
Comme dans le premier tome, l'intrigue principale est entrecoupée par des immersions à la fin du 19e siècle où l'enquête du descendant du bâtard, dans le coma, se poursuit à travers ses collaborateurs.

On reste donc dans une épopée historique, dans un moyen-âge peuplé de créatures magiques, très bien documentée et tellement bien écrite que l'on oublie aisément qu'on est en fait plongé dans une uchronie et que tout n'est pas fidèle à la réalité.
Je vais poursuivre cette série bien entendu sans pour autant éprouver l'enthousiasme débordant auquel je m'attendais en lisant les chroniques des autres lecteurs.
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Suite aux évènements du 1er tome, nous retrouvons le Bâtard et sa compagnie alors qu'ils travaillent pour un nouveau commanditaire. Leur première mission consiste à sauver une demoiselle en détresse, tâche qui se révèle plus ardue que prévue.

Au menu de ce deuxième opus: aventure, action, magie, complots divers et variés, batailles, elfes, inquisiteur, une brochette de souverain-e-s plus retors les uns que les autres et pas mal d'acrobaties. Nous suivons en parallèle le Bâtard au 14e siècle et Michael Konnigan au 19e, alors que celui-ci et ses comparses mènent l'enquête sur les traces de Kosigan.

Mon problème avec ce livre a été que ma lecture du tome 1 remontait à trop longtemps (ne faites pas la même erreur que moi si vous vous lancez dans cette série ^^). Je me souvenais de la trame générale de l'intrigue et de certains points parmi ceux qui m'avaient le plus plu, mais j'avais oublié pas mal de détails, notamment sur la fin. Après quelques chapitres, j'ai dû me résigner à relire la dernière centaines de pages de L'Ombre du Pouvoir et ma lecture du tome 2 a pâti de cette coupure. Si je l'ai appréciée malgré tout, j'avoue que j'ai moins aimé cette suite et, pour le moment je reste un peu dubitative sur ce qu'elle annonçait pour les tomes suivants.

J'ai trouvé que ce tome souffrait de quelques longueurs dans sa première moitié (mais est-ce dû à une mise en place réellement trop longue, ou est-ce le fait qu'il m'a fallu relire la fin du tome 1, je ne saurais pas le dire…), alors que la dernière partie, bourrée d'action, se dévore d'une traite tellement on est tenu-e-s en haleine.

Si les évènements se déroulant au 14e siècle sont palpitants, ceux situés au 19e le sont également et j'aurais aimé que cette partie soit davantage développée; elle ne tient malheureusement qu'une place réduite et se compose essentiellement de lettres, à raison d'une tous les 4-5 chapitres consacrés au Bâtard.

Malgré tout, j'ai passé un très bon moment avec ce livre et je pense lire la suite dans un avenir proche. J'ai hâte!
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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J'ai retrouvé avec plaisir la suite des aventures de Pierre Cordwain de Kosigan.
J'ai eu l'impression que l'intrigue mettait un peu plus de temps à se mettre en place ou alors c'est juste moi qui étais trop impatiente, et aussi une petite pointe de déception à ce que son descendant reste inconscient dans la totalité de ce tome. Ça se produit souvent avec les livres que j'aime bien, comme une sorte d'enthousiasme que j'ai du mal à réfréner.

Dans cet opus comme dans le premier, on retrouve intrigues, complots, trahisons et combats dans un ensemble bien orchestré avec ce qu'il faut de rebondissements. Un vrai plaisir de lecture.
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Pas de repos pour les méchants ! Quelques mois à peine après leur dangereuse équipée en Champagne, le Bâtard de Kosigan et sa petite armée de mercenaires se voient confier par l'Angleterre une nouvelle et délicate mission : enquêter sur un complot visant le roi de France, Philippe VI – complot qui pourrait englober à la fois l'héritier de la couronne anglaise et des proches de Philippe. Les voici donc en Flandres, au pied des murailles de la ville de Lens, dans un pays balayé par les premières bourrasques de la Guerre de Cent Ans. Pour arriver à ses fins, Kosigan devra, comme à son habitude, jouer double, triple et même quadruple jeu. Et toujours conserver plusieurs longueurs d'avance sur ses ennemis, tous plus redoutables les uns que les autres. Tout ceci pour le plus grand bonheur du lecteur, bien entendu.

Après un premier tome très sympathique, Fabien Cerutti enchaîne sur « le Fou prend le Roi », suite des aventures du capitaine-espion, Pierre Cordwain de Kosigan. Ce deuxième opus s'avère tout aussi divertissant et encore plus ambitieux que son prédécesseur, mettant en scène un vaste complot destiné à déstabiliser les royaumes de France et d'Angleterre. L'intrigue est solide et bien menée, le format uchronique nous réservant quelques jolies surprises puisque tout ou presque peut arriver dans ce monde médiéval mâtiné de fantasy celtique. Qui se serait attendu à voir… Argh, argh, argh ! Pardon, j'ai rien dit. Euh… Bref. Reprenons. le personnage principal, quasiment inoxydable dans le premier tome, perd un peu de sa superbe et se retrouve en difficulté plus souvent qu'à son tour – ce qui n'est pas un mal. Il a également moins souvent l'occasion de courir la ribaude, ce qui m'a déçue un poil car la comparaison avec James Bond devenait moins pertinente (je m'attendais ingénument à une moyenne de deux donzelles au moins par épisode). M'enfin, entre l'amour et l'intrigue, il faut parfois choisir. Par contre, les pérégrinations épistolaires de son descendant, Kergael de Kosigan, me sont toujours aussi indifférentes. On ne peut pas satisfaire tout le monde. Vivement tout de même le tome suivant !
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