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Critique de Sevlipp
"Profession du père" est l'histoire d'une homme qui revient sur son enfance.
Le roman est en deux parties. La première sont les souvenirs d'enfance du narrateur auprès d'un père mythomane, violent et d'une mère qui ne le protège pas ; "tu connais ton père" ne cesse-t-elle de dire.
L'autre partie est la vision de cet enfant devenu adulte et lui même père.
Je suis mitigée sur la première partie qui m'a paru assez redondante sur les délires du père. La mère est également coupable de la situation même si elle en est aussi victime.
Par contre, j'ai particulièrement aimé la seconde partie et les réflexions du narrateur sur les conséquences de cette enfance sur sa vie d'adulte.
Peut-on se remettre de cette maltraitance, pardonner et être sois même un bon père ?
Le récit est émouvant sans être larmoyant.
C'est un joli livre.
Le roman est en deux parties. La première sont les souvenirs d'enfance du narrateur auprès d'un père mythomane, violent et d'une mère qui ne le protège pas ; "tu connais ton père" ne cesse-t-elle de dire.
L'autre partie est la vision de cet enfant devenu adulte et lui même père.
Je suis mitigée sur la première partie qui m'a paru assez redondante sur les délires du père. La mère est également coupable de la situation même si elle en est aussi victime.
Par contre, j'ai particulièrement aimé la seconde partie et les réflexions du narrateur sur les conséquences de cette enfance sur sa vie d'adulte.
Peut-on se remettre de cette maltraitance, pardonner et être sois même un bon père ?
Le récit est émouvant sans être larmoyant.
C'est un joli livre.
