L'histoire particulière d'un bébé découvert sur une plage, que l'on retrouve 20 ans plus tard à la recherche de ses racines.
Des secrets qui vont être révélés au fur et à mesure des chapitres avec des personnages qui cachent bien leur jeu.
Une écriture fluide pour parler de 3 jeunes femmes que la vie n'a pas épargné.
Un milieu de roman qui ne fait pas avancer l'histoire avec ses quelques faits répétitifs qui nous font faire du sur place.
Une dernière partie avec rebondissements et suspense qui fait repartir le récit.
Cependant, une fin qui aurait pu être autrement travaillée ou exploitée.
Cela restera néanmoins une lecture d'été sympathique.
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Une histoire au thème très touchant et à forte intrigue! Mais j ai eu beaucoup de mal avec le style d'écriture impersonnelle qui ne m a pas permise de m'attacher aux personnages jusqu'au 3/4 du livre! Puis tout se chamboule et je n avais pas envie de quitter leur histoire!
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On s'attache rapidement à ces personnages de monsieurs et madames Toutlemonde et cela nous rappelle nos vacances enfants au bord de la plage. Un roman vite lu et qui laisse un souvenir agréable.
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On tourne les pages sans voir passer le temps. Des rebondissements inattendus surgissent tout au long du roman et j'avais hâte de connaître la fin, tout aussi inattendue. J'ai beaucoup aimé et je lui attribue la note de 5/5.
Premier livre de cet auteure que je lis mais pas le dernier!
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Elle avait eu plus d’une liaison, mais contrairement à la plupart des femmes, elle ne considérait pas les hommes comme la grande affaire d’une vie. Elle, elle était différente. Elle élevait sa jeune sœur, s’habillait n’importe comment, et la menuiserie était son gagne-pain. Chloe lui avait fait souvent remarquer qu’elle avait tout d’un garçon manqué. Ce qui ne l’empêchait pas d’être attirée par les hommes.
Elle se sentait en ce moment plus à l’aise avec les étrangers qu’avec les personnes qui savaient ce qu’elle avait enduré ces derniers mois. La pitié, elle n’en voulait pas. La sympathie, non plus. Et, par-dessus tout, elle était fatiguée de parler. Parler, c’était désormais prendre le risque de s’effondrer, et ce luxe, elle ne pouvait pas se l’offrir.
Dans une petite communauté comme celle de Rodanthe, on savait vite ce qui se passait chez le voisin. Et, bien entendu, tout le monde connaissait les raisons de ses problèmes, tant physiques que matrimoniaux.
On entend tellement parler en ce moment de ces adolescentes qui mettent au monde des bébés dont elles essaient de se débarrasser, comme on jette le papier d’un bonbon à la poubelle.
« On ne peut jamais aller quelque part sans que les gens nous regardent »
Diane Chamberlain on Writing: Inspiration