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Les Voyageurs (Becky Chambers) tome 1 sur 4
EAN : 9782367934372
448 pages
L’Atalante (26/08/2016)
4.21/5   635 notes
Résumé :
Rosemary, jeune humaine inexpérimentée, fuit sa famille de richissimes escrocs. Elle est engagée comme greffière à bord du Voyageur, un vaisseau qui creuse des tunnels dans l’espace, où elle apprend à vivre et à travailler avec des représentants de différentes espèces de la galaxie : des reptiles, des amphibiens et, plus étranges encore, d’autres humains.

La pilote, couverte d’écailles et de plumes multicolores, a choisi de se couper de ses semblables... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (129) Voir plus Ajouter une critique
4,21

sur 635 notes
Rafraîchissant et très agréable.


La vie d'un petit équipage multiracial (quatre races, cinq si l'on compte l'IA) à bord d'un vaisseau-tunnelier (qui trace des routes entre les systèmes) dans un univers où la race humaine, si elle fait partie de l'union galactique est loin d'être en première ligne pour quoi que ce soit.


Dès les premières lignes, comme l'indique mon titre, on se sent bien, c'est frais, c'est léger. Très agréable à lire sans être simpliste. Si j'osais un parallèle avec l'une de mes dernières lectures (que je n'avais pas aimée) c'est « Les ferrailleurs du Cosmos », mais en bien cette fois.


Il n'y a pas de grands enjeux, pas d'envolée lyrique, pas de révélation cosmique mais une tranche de vie à bord d'un vaisseau où tous les personnages sont abordés, culturellement, socialement sexuellement et plus si affinité. Sans excès, sans vulgarité, sans réflexion profonde mais cette absence de tout ne signifie pas présence de rien. Beaucoup de sujets et de sentiments sont abordés dans un univers certes survolé mais cohérent.


On aime les personnages, leur histoire et leurs interactions. Ils forment une famille et on fait partie de la famille et on se sent bien dans cette famille.
Une blogueur et babelionaute a dit : « Le petit vaisseau dans la prairie ». Tout à fait d'accord. Mais au contraire de lui j'ai adoré « le petit vaisseau dans la prairie ».
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Dans ce Space-opéra aux accents de soap-opéra "familial", l'auteure embarque le lecteur dans le "Voyageur", vaisseau-tunnelier qui crée des trous de ver entre les planètes.
Livre qui avait été nominé pour le Arthur C. Clarke Award et dont le titre en anglais "The long way to a small angry planet" traduit bien plus explicitement dans quel type de périple le capitaine Ashby embringue son équipage hétéroclite, constitué d'humains, tous nés dans l'espace, et d'extra-terrestres allant d'une lézard coiffée de plumes, en passant par une "lovely" IA, jusqu'au alien à la double personnalité.

Pendant cette odyssée, chaque membre à bord est, a tour de rôle, mis sous la rampe d'éclairage, quand il/elle se trouve confronté à un problème, est en conflit avec soi-même ou avec d'autres, mais à aucun moment B. Chambers se permet l'apologie d'une race plutôt que d'une autre. Tous les Intells (êtres intelligents), biologiques ou non, sont décrits comme physiquement, sexuellement et culturellement très différents, qui s'acceptent... plus ou moins. Parce que les guerres, notamment pour les intérêts commerciaux, existent toujours.

Mais à bord du Voyageur, le lecteur, comme l'équipage, n'en a souvent que de lointains échos. le dessein de l'auteure se situe essentiellement dans la description de cette petite communauté soudée qu'on peut considérer comme une famille dans laquelle B. Chambers souhaite nous inclure. Et elle y réussit (dans un style agréablement accessible) fort bien, on s'attache à chaque personnage (même au plus grincheux d'entre eux), on suit avec sympathie et émoi les relations qui se tissent malgré les divergences, on désire pouvoir faire partie de cette unité et c'est finalement avec un pincement au coeur qu'on la laisse repartir dans l'espace...
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Récompensée en 2017 par le Prix Julia Verlanger pour son cycle « Wayfarers » (qui comporte à ce jour deux romans : « L'espace d'un an » et « Libration »), Becky Chambers est une auteure qui, jusqu'à présent, m'était parfaitement inconnue, et ce en dépit de la solide réputation qu'elle commence à se tailler en France et à l'étranger dans le domaine du space-opera. C'est finalement sur les conseils d'une grande lectrice, et encouragée par ma récente très bonne découverte de « Pyramides » de Romain Benassaya, que j'ai finalement décidé de tenter l'expérience. Or, sans être véritablement négatif (loin de là), le bilan reste malgré tout plus mitigé que ce à quoi je m'attendais. Posons d'abord le décor. le roman met en scène la vie menée par les membres de l'équipage du Voyageur, un vaisseau chargé de creuser des tunnels dans l'espace. A priori rien de bien particulier, sauf que les individus qui constituent cet équipage appartiennent à des espèces très différentes. Outre les humains, qui sont parmi les derniers a avoir été intégrés dans « l'union galactique » rassemblant toutes les races désireuses de vivre en bonne intelligence, on trouve également à bord une Aandriske (une espèce à plume et écaille), un Grum (une sorte d'amphibien doté de plusieurs bras/tentacules), ou encore une paire de Sianats (une espèce ayant accueilli dans son cerveau un neurovirus appelé chuchoteur et considéré comme formant la deuxième partie de cet étrange duo). Pour Rosemary, une humaine ayant grandi sur Mars dans un milieu très préservé et désormais greffière du vaisseau, la rencontre avec toutes ces espèces très différentes de la nôtre et pourtant aussi complexes et intelligentes a de quoi secouer. Surtout que le capitaine vient d'accepter de mener une mission inédite pour le compte de l'union galactique : les voilà tous partis dans l'espace pendant au moins un an, et ce dans le but de construire un tunnel censé relié l'Union à une autre race extraterrestre jusqu'à présent belliqueuse mais désormais avide de nouer contact.

L'éditeur nous prévient dès la quatrième de couverture, et pour une fois la description n'a rien d'exagéré : ne vous attendez pas à « un space-opera d'action et de batailles rangées ». La guerre dans l'espace n'intéresse pas du tout l'auteur, de même que les considérations d'ordre plus scientifiques sur le fonctionnement de tel vaisseau, tel phénomène ou telle planète. Non, ce qui compte pour Becky Chambers, ce sont les individus et les relations qu'ils tissent les uns avec les autres, en dépit de leurs différences. le roman met ainsi l'accent sur des valeurs profondément humanistes et livre un véritable plaidoyer pour la paix entre les peuples. le pari était un peu osé, et ne remportera certainement pas l'adhésion de tous les lecteurs, mais l'auteur ne s'en sort pas moins avec beaucoup d'élégance. le principal attrait du roman réside par conséquent dans ses personnages, tous plus attachants les uns que les autres. Difficile de les qualifier d'« humains », compte tenu de leur appartenance à une autre espèce, mais c'est pourtant l'impression qui se dégage du récit : quand bien même les différences entre toutes les races intelligentes qui peuplent la galaxie peuvent paraître insurmontables, on finit malgré tout par observer chez eux des similitudes qui finissent par gommer toutes autres considérations et nous les font envisager comme nos semblables. Et pourtant certaines espèces paraissent très éloignées de la nôtre ! Physiquement, d'abord : on trouve des individus à plume, à écaille, à tentacules, plus grands, plus petits, augmentés par la technologie, d'une autre couleur… La différence est aussi bien souvent sociétale : les autres espèces ne se construisent pas autour des mêmes concepts que les humains, ils n'ont pas les mêmes codes, ni les mêmes notions d'amour, de pudeur, d'éducation… le travail effectué par l'auteur à ce sujet est remarquable, et on se prend à plusieurs reprises à sourire ou à s'interroger devant la description faite à une autre espèce de certaines de nos habitudes qui paraissent soudainement parfaitement incongrues (la manière de considérer les enfants, celle de manifester son affection…).

Cet aspect humaniste du texte permet à l'auteur d'aborder quantité de thèmes qui questionnent évidemment beaucoup notre société : le clonage et ses dérives, les Intelligences artificielles et leur accès à la conscience, la modification du corps par la technologie… La plupart des autres thématiques abordées sont plus classiques et plus consensuelles : le ravage des ventes d'arme et de la guerre, les bienfaits de l'amitié et de la solidarité… C'est d'ailleurs l'une des choses que l'on peut reprocher au roman : sa tendance à nous présenter un monde « bisounours ». Oui on entend parler de massacres, oui tous les personnages ne sont pas sympathiques (quoique…), oui la plupart sont hantés par de vieilles blessures. Il n'empêche que tout finit toujours par s'arranger et que, globalement, tout le monde est plutôt gentil : on s'entre-aide, on se pardonne tout, on se soutient dans les moments difficiles, si bien qu'il n'y a finalement quasiment pas de tensions entre les personnages. Or, vous en conviendrez, c'est assez malheureux mais ce sont justement les conflits qui donnent bien souvent du sel à une histoire. On arrive là à ce qui, à mon sens, constitue le coeur du problème de ce roman : le pitch se résume à nous narrer le voyage du vaisseau et les relations entre les membres de l'équipage, sans que l'auteur cherche à construire une véritable intrigue. La toute nouvelle mission confiée au Voyageur aurait pourtant pu engendrer plusieurs péripéties qui seraient venues complexifier et enrichir le récit, seulement tout cela reste très marginal, et est finalement évacué de manière assez expéditive à la toute fin. Sans aller jusqu'à parler d'ennui, on ne peut ainsi se départir d'un sentiment de lassitude, renforcé au fil du récit par le nombre très limité de rebondissements venant rompre cette monotonie. C'est d'autant plus dommage que tous les personnages ne se valent pas, certains finissant par agacer par leur babillage, tandis que d'autres sont quasiment invisibles.

Ce roman de Becky Chambers n'a pas grand-chose à voir avec ce qu'on s'attend à trouver dès lors qu'on parle de « space-opera », et c'est justement ce qui fait une partie de son charme. L'auteur se donne du mal pour dépeindre des races extraterrestres totalement différentes de la nôtre, ce qui permet une remise en question et suppose une ouverture d'esprit qui sont toutes deux nécessaires et intéressantes. On peut toutefois regretter la quasi inexistence d'une véritable intrigue, ainsi que le caractère un peu trop « gentillet » de la plupart des personnages. A vous de vous faire votre propre avis !
Lien : https://lebibliocosme.fr/201..
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Bah, au final, je ne ferais pas la fine bouche, ce sera un cinq étoiles, je ne serais pas ce pisse-froid, je vais vous expliquer tout ça.

En général, quand je me lance dans de la SF, d'autant plus une série, je m'attends à de l'espace, des vaisseaux, des conflits, des avancées technologique, de l'action. Disons que là il y a de tout ça, mais pas de la façon habituelle ; j'y vais sans détour, au début, j'ai trouvé ça un peu mièvre. Mais une fois le livre refermé, je me suis senti honteux d'avoir pu utiliser ce qualificatif, tel le lecteur aigri qui arrive à juger une oeuvre au bout de 60 pages…

L'autrice nous a produit une oeuvre pleine, des messages clairs et sans ambages : le vivre-ensemble, l'acceptation des différences d'autrui. Cette SF tourne à plein régime grâce à ses personnages, tous différents mais tellement empathique et avec des histoires personnels tellement bien construite. Pour autant, certains auront des relations « tendues », mais l'évolution des relations entre les personnages est présente et bien étayée.

J'oublie de commencer par le début, l'espace d'un an, c'est un roman de SF certes, qui nous emmène à bord d'un tunnelier, un vaisseau qui ouvre des trous de vers dans l'espace pour rallier rapidement des points très éloignés de l'espace habités. Mais attention l'espace est habité par une multitude d'espèces.
Ces multitudes d'espèces, nous en retrouvons à bord du vaisseau « le Voyageur » ou va se dérouler une très grosse partie du roman, comme un huis clos ou nous allons devenir un occupant au sein de cet équipage hétéroclite.

L'autrice, nous a créé un univers à la Stars Wars, j'entends par la, une mixité des espèces qui vivent ensemble avec leur différence physiologique, culturelle et historique. La ou c'est très bon, d'une, c'est que les espèces sont décrites, mais sans trop en dire ce qui laisse un part de liberté à l'imagination. Mais ce n'est pas inventer des espèces, juste pour en inventer, non ! C'est plus complexe et tellement bien fait. Chacune des espèces présentées dans ce tome, au-delà de l'apparence est également présentée leur environnement, leur histoire, leurs moeurs, etc. Comme un travail sociologique et c'est ce qui viens nous choper et nous faire rentrer dans ce monde imaginé, c'est crédible, plausible.

Nous les humains, rien de nouveau, on a flingué notre planète bleue, à coup de guerres, de destruction climatique. On se retrouve donc avec deux « peuples » si je puis dire, les « soliens » qui vivent sur la planète Mars, plus ou moins terra formé et les « exodiens » qui eux ont pris la voie des aires et vivent à bord de vaisseau ou ont établis des lieux de vie sur d'autres planètes.
À bord du vaisseau, nous avons également un « Grum » une espèce quasiment éteinte, qui comme les humains se sont foutus la gueule à l'envers, mais avec un surplus de fierté qui à été quasiment jusqu'au bout de l'auto-génocide.
On a une Aandriske, une espèce aux apparences de sauriens (des hommes lézards), qui à une sexualité débridée et une structure sociale particulière, qui évolue de la ponte des oeufs jusqu'à la fin de vie.
Un sianate, à l'apparence de « primate »(c'est de l'à peu près là.) qui eux contractent un virus qui les fait devenir deux dans le même corps. Ils sont appelés les paires, ce virus leur confère notamment une intelligence supérieure leur conférant des capacités de navigation bien particulière et indispensable à notre équipage du tunnelier.

On croisera d'autres espèces au fil du roman, toute aussi intéressante les unes que les autres, par leur diversité.

La vie à bord du vaisseau est géniale, c'est là où on découvre nos personnages, leur histoire. C'est la ou le monde créé par l'auteur prends de l'épaisseur au travers certaines escales. Les péripéties ne sont pas légion, mais elles sont utiles à l'immersion dans cet univers qui me plaît.
Ce tome 1 est comme les fondations inébranlables de ce qui risque de devenir un nouveau monde que chaque lecteur s'appropria. En préambule, je disais « mièvre », je trouvais mes personnages trop « gentils ». Mais en fait, c'est logique, c'est un équipage, qui travaille ensemble depuis un bout de temps, il y à quelques petits différents entre l'alguiste (il confectionne le carburant nécessaire au vaisseau.) et la pilote.

Mais le GROS message de ce bouquin, c'est AIMEZ VOUS LES UNS LES AUTRES, bordel de merde !! (petite réf. au passage ^^) Au-delà de toute vos différences, ouvrez-vous, acceptez l'autre, comprenez et acceptez que tout le monde ne puisse pas être comme vous, et dites vous que c'est pareil pour celui en face de vous. Une coupe de cheveux, une couleur de peau, un physique, des moeurs différents, des traditions culturelles, ne sont pas et ne doivent pas devenir une base de jugement d'autrui.

Résumé : lisez-le ! C'est excellent !!
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Voici un très sympathique space opera, classique dans la forme, original dans le fond. L'héroïne de ce Roman, Rosemary, se fait enrôler sur un tunnelier comme greffière, c'est à dire responsable de l'aspect administratif. Un tunnelier est un vaisseau chargé d'effectuer des tunnels, sortes de passages (trous de vers) dans l'espace pour se déplacer plus rapidement d'un point à un autre de la galaxie.
L'action n'est pas au centre de l'intrigue. Quelques moments de tensions se contentent de ponctuer le récit, ce roman est surtout centré sur les relations entre les personnages, les différentes espèces, dans l'espace confiné du vaisseau.
L'aspect fantastique de la science fiction est très réussi, mais c'est surtout la conception des différentes races de la galaxie, superbement soignée, qui nous fait voyager. En s'attardant beaucoup sur les relations, les sentiments, on s'attache à chacun des passagers du vaisseau, les détails, recherchés, dans toutes les direction, physique, culturels... nous immergent parfaitement dans ce périple. La qualité de la prose, efficace, fluide et sensible, faisant appel à tous les sens, est riche et agréable, voire, par moments, poétique. Tout en usant des bases de la SF militaire et space opera, il en ressort une oeuvre très sensuelle et féminine. Ce roman possède une certaine finesse et une certaine légèreté qui le rendent particulièrement original, rafraîchissant, plaisant.
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critiques presse (1)
Syfantasy
18 juillet 2023
L'espace d'Un An est un roman qui purge notre esprit de ce que l'Humain fait de pire parfois, tout en nous rappelant de, malgré tout, croire en lui. Car l'espoir en l'humain vit en chaque mots écrits par Becky Chambers, et donne à espérer à un futur radieux.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Citations et extraits (58) Voir plus Ajouter une citation
Se montrer à la fois moralisateur et ignorant, c'était une stratégie très mauvaise pour convaincre, mais excellente pour énerver.
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Nous connaissons très bien la Galaxie physique. Nous vivons sur des planètes terraformées, dans d’immenses habitats orbitaux. Nous creusons des tunnels dans l’infrastrate pour passer d’un système stellaire à l’autre. Nous nous arrachons à la gravité planétaire aussi facilement que nous sortons d’une pièce. Mais, en ce qui concerne l’évolution, nous sommes des petits tout juste éclos, occupés à faire joujou. C’est pourquoi, je pense, tant de mes pairs se raccrochent encore aux théories selon lesquelles le matériel génétique a été disséminé par des astéroïdes et des supernovæ. À bien des égards, l’idée d’un patrimoine génétique commun qui dériverait dans la Galaxie est bien plus facile à avaler que ce concept effrayant : aucun de nous ne dispose des capacités intellectuelles nécessaires à comprendre le fonctionnement de la vie.
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Tisane bof ?
Sans caféine. Une délicieuse tisane normale. Je ne comprendrai jamais le goût des humains pour ces substances qui collent la tremblote. En tant que médecin, je déteste vous voir commencer la journée par des stimulants. En tant que cuistot, je comprends l’importance des habitudes au petit-déjeuner.
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Le simple fait que nous traitions de reptile une personne malveillante et calculatrice devrait nous éclairer sur les préjugés innés que les primates nourrissent contre les reptiles. Ne jugez pas les autres espèces selon nos normes sociales propres.
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Se montrer à la fois moralisateur et ignorant, c’était une stratégie très mauvaise pour convaincre, mais excellente pour énerver.
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