AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
La Reine oubliée tome 2 sur 4
EAN : 9782226240040
448 pages
Albin Michel (01/03/2012)
  Existe en édition audio
3.67/5   137 notes
Résumé :
Rome la rouge, Rome la sanglante a vaincu. Lorsque Séléné, la fille de Marc Antoine et de Cléopâtre, y pénètre, enchaînée à son jumeau lors du triomphe d’Octave, elle n’entend que les hurlements de la foule et les cris des prisonniers qu’on traîne.

La petite captive, bientôt seule survivante de sa fratrie, est confiée à Octavie, sœur du nouveau maître et première dame de Rome, mère nourricière de nombreux orphelins de haute lignée. Séléné grandit au... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
3,67

sur 137 notes
Dans ce second tome, nous passons de la Grande Histoire à la petite, du fracas des batailles aux intrigues d'alcôve, des géants foudroyés aux seconds couteaux qui s'ébattent dans un panier de crabes.
Nous suivons la petite Séléné, ramenée captive à Rome. Fille de Cléopâtre et de Marc Antoine, elle est la dernière représentante de la longue dynastie des Ptolémée. Elle est une vaincue, une déchue, et si elle est encore en vie, c'est parce qu'Auguste le veut bien.
On la verra subsister, tant bien que mal, dans Rome, la ville rouge et cruelle, trainant derrière elle ses vieux cauchemars de survivante.
Cléopâtre est traitée de putain et la mémoire de Marc Antoine frappée d'interdit. Pourtant, dans le regard que les autres lui portent, elle sent toujours leurs légendes lui coller aux pattes.
Séléné va tenir bon contre les méchancetés, les moqueries, le mépris, le rabaissement. Elle va tenir bon contre les petites perversités d'Auguste.
Elle veut sa vengeance contre ce tyran qui a massacré toute sa famille. Elle veut assurer une descendance à la dynastie des Ptolémée, ce qui lui est interdit.
Octavie, peut-être impressionné par la ténacité de cette jeune fille et troublée par sa souffrance contenue, lui laissera une unique chance de prendre sa revanche.
Autour d'Auguste, homme verrouillé, sombre tyran d'un immense empire, secret, méfiant, dissimulateur, impitoyable, toujours prêchant le faux pour savoir le vrai, il y a toutes ces femmes qui frétillent, tous ces courtisans empressés, ces poignards cachés dans l'ombre, ces poisons prêts à l'emploi, … Quelle extraordinaire comédie ! Avec quel talent la romancière vient combler les béances laissées par l'Histoire.
Passionnant. Instructif, et tellement vivant. Un deuxième tome supérieur au premier. J'ai hâte de suivre les suites des aventures de la petite Séléné, dernière descendante des Ptolémée.




Commenter  J’apprécie          843
Après Alexandrie et le couple mythique Cléopâtre et Marc Antoine, Françoise Chandernagor nous entraîne dans la Rome d'Octave Auguste. Et c'est vrai qu'on a l'impression qu'on nous parle davantage de la "grande Histoire" que de Séléné qui semble souvent rester au second plan et n'être qu'un prétexte pour parler de la Rome d'Auguste, d'Octavie et des grandes familles en concurrence pour la moindre miette de pouvoir. L'auteur le reconnaît d'ailleurs elle-même dans les notes en fin de livre : il lui a été difficile de ne pas laisser l'héroïne qui tient une si petite place dans les livres d'Histoire être éclipsée par tous les grands personnages au milieu desquels elle évolue.

Comme lors de ma première lecture, j'ai moins aimé le deuxième tome que le premier, mais cela reste un excellent roman historique, érudit et fourmillant de détails historiques, très agréable et facile à lire grâce la plume pleine d'énergie de Françoise Chandernagor.

J'ai maintenant hâte de découvrir le troisième et dernier tome de la Reine Oubliée.
Commenter  J’apprécie          210
Roman très soigné quant à la forme littéraire, au support historique et la vraisemblance de l'immersion dans le monde romain antique. Françoise Chandernagor manie son art avec grand talent, mais comme elle le reconnaît elle-même, mettre en avant un personnage secondaire de l'histoire (Cléopâtre Séléné) pour en faire un personnage principal alors qu'il évolue au milieu de ceux qui ont marqué la grande histoire par leurs personnalités et leurs destins imposants relève de la mission difficile voire impossible. Et c'est bien de cette gageur que souffre le roman. Cléopâtre Séléné est étouffée par l'ombre d'Auguste et par les agissements intrigants des dames de Rome de sorte que, même si sa destiné est bien mise en avant, elle apparaît presque incongru, un peu comme un cheveu dans la soupe.
Mais l'exercice est vraiment très périlleux et, à mon sens, l'auteur reste vraiment méritante dans son art de nous faire vivre tous ces personnages dans une réalité exceptionnelle et, cerise sur le gâteau, la suite du destin de notre Cléopâtre Séléné se dessine en point d'interrogation et donc sur un suspens qui va nous faire trépigner jusqu'à la parution du troisième volume du cycle.

petit résumé si vous le souhaitez:

Cléopâtre Séléné et ses frères sont emmenés à Rome pour « participer » au triomphe d'Octave, participer en tant que prises de guerre.
Ptolémée, sont petit frère ne supportera pas la fatigue, la maltraitance, il mourra durant le triomphe, sous les yeux de sa soeur. Son frère Alexandre hélios, ne lui survivra guère.
Cléopâtre Séléné ne souhaitera plus dès lors que venger ses frères en tuant Auguste et rêvera de faire survivre les Ptolémée dont elle est la dernière survivante.
Nous la suivrons après son adoption par Octavie, soeur d'Auguste et nous vivrons les nombreuses intrigues menées par ces dames de Rome qu'étaient Octavie et Fulvia sa femme pour placer leurs enfants comme héritier d'Auguste.
Lentement Séléné saura absorber cette culture romaine qui lui paraît bien barbare et saura devenir la protégée d'Octavie et ainsi se voir offrir la perspective de survivre en tant que descendante de la Grande Cléopâtre par l'inespéré mariage au roi de Maurétanie, Juba.

Commenter  J’apprécie          100
Le second livre d'une trilogie est souvent le maillon faible de l'histoire : il joue le rôle de pivot et nous laisse sur notre faim tout en nous paraissant traîner en longueur. "Les dames de Rome" ne fait pas exception à cette remarque mais il est tout de même passionnant quant à son analyse du pouvoir, son portrait d'Auguste tracé au scalpel et aux descriptions des personnages qui l'entourent dont les fameuses dames(respectivement épouse et soeur du prince), qui, pour être femmes et donc en théorie exclues de toute forme de gouvernance, n'en exercent pas moins un pouvoir occulte -et d'autant plus redoutable- à travers l'influence qu'elles exercent sur le prince et une pratique assez efficace de l'empoisonnement (du genre ni vu ni connu.)
Vu à travers le regard d'une jeune égyptienne exilée Rome nous apparaît sous un autre angle que celui sous lequel nous l'avions étudié à l'école : à la fois monstrueuse (on finit par se demander qui sont les "barbares" des étrangers ou des romains), puissante (elle invente la colonisation avant l'heure) et civilisatrice (plutôt de force que de gré, mais bon ) elle semble violemment brutale et vulgaire aux yeux du raffinement et de la douceur de l'Orient. Séléné, fille de Cléopâtre et de Marc-Antoine, parvient à se faire une place au milieu de la famille d'Auguste (non sans larmes) jusqu'au moment où elle va devoir s'en arracher, ce qui sera l'histoire du troisième tome. En dépit d'inévitables longueurs j'ai trouvé cet épisode captivant et j'attends avec impatience de pouvoir terminer l'histoire de cette jeune princesse oubliée de tous.
Commenter  J’apprécie          121
Françoise Chandernagor, née en 1945, est une écrivaine française Membre de l'Académie Goncourt, elle est la fille d'André Chandernagor, ancien député de la Creuse et ministre du gouvernement Pierre Mauroy. Son roman Les Dames de Rome, qui vient de paraître, est le second volet d'une trilogie nommée La Reine oubliée.
Le roman s'ouvre sur l'arrivée à Rome des trois enfants de Cléopâtre et de Marc Antoine exhibés lors du triomphe d'Octave, avant d'être confiés à Octavie, soeur aînée d'Octave et première dame de Rome, qui vit entourée d'enfants : ceux qu'elle a eu avec Antoine et ceux qu'il avait eus avec sa première épouse. Après la disparition brutale de ses frères qu'on suppose assassinés, Séléné va grandir au milieu de cette tribu impériale, faisant lentement sienne la culture romaine. Si on marie à peine pubères les autres filles selon des jeux d'alliances complexes, Séléné reste une paria. Octavie qui s'est attachée à la petite prisonnière va pourtant manigancer pour lui faire épouser Juba, roi de Maurétanie, de l'autre côté de la Méditerranée, bouleversant le destin de la dernière des Ptolémée.
Je dois avouer que le bouquin m'a été offert, ce qui signifie que je ne l'aurais pas lu de ma propre autorité. Vous devinez où je veux en venir. Je me suis ennuyé à mourir comme rarement, à la lecture de ce roman ! Ces histoires de familles avec des mômes venus de partout par filiation ou carrément adoptés, très peu pour moi. Ca a beau être de l'Histoire, c'est d'un ennui mortel. D'ailleurs l'écrivaine s'en doute, puisqu'elle écrit (page 63) « On s'y perd, hein ? On s'embrouille ? Pas étonnant ! ». Je sais que je ne serai pas compris et même décrié, mais passez-moi l'expression qui résume parfaitement ma pensée en peu de mots, c'est un roman pour bonnes femmes !
L'idée de romancer l'Histoire pour la rendre compréhensible au plus grand nombre est très bonne et louable, le problème c'est que l'écriture est quelconque et qu'on se noie dans cette foule de personnages présentés un peu mièvrement. du coup on obtient l'effet inverse à celui recherché, ces petites histoires nous fatiguent ou ennuient et on regrette la grande Histoire lue dans les bouquins scolaires, un comble !
Cette sensation est confortée par la longue Note de l'auteur, en fin d'ouvrage, où Françoise Chandernagor reprend son roman en trente pages, mais sous l'angle historique pur, références et état des connaissances actuelles sur le sujet, et là c'est réellement passionnant.
Un roman complètement raté, ou à peu près, pour un cours d'Histoire réussi in extremis.
Commenter  J’apprécie          51


critiques presse (3)
Lexpress
11 avril 2012
Un beau morceau d'histoire romaine.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
14 mars 2012
On suit avec curiosité les tribulations de Séléné au milieu de toutes ces matrones.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LePoint
07 mars 2012
Vie quotidienne, cultes, divertissements, condition des femme et des enfants, complots et vilenies, Françoise Chandernagor raconte tout avec une verve sans pareille.
Lire la critique sur le site : LePoint
Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Elle rit, elle babille, elle embrasse, elle donne : c'est Julie. Elle batifole avec ses nains, joue avec ses singes, folâtre avec ses musiciens, gazouille avec ses enfants, effeuille un palmier, croque une pêche au vinaigre, plume un éventail : Julie. " Sais-tu que j'ai déjà vu ton mari ? Quand j'étais petite. Enfin, pas si petite. Juste avant la guerre des Basques. Je l'ai aperçu deux ou trois fois derrière mon père, dans des défilés. Quel cavalier ! Bel homme... Remarque, je ne l'ai jamais vu sans son cheval. Un vrai centaure. Homme pour le haut et cheval pour le bas ! Entre nous, un centaure, c'est le rêve de toutes les femmes : oui, oui, on aime toujours mieux embrasser les lèvres d'un homme que la bouche d'un cheval, mais, pour le reste, crois-moi, le cheval amoureux est beaucoup plus "avantageux" ! Allons, ne rougis pas, vierge pudique, tu n'es pas censée comprendre les folies que je dis ! "
Commenter  J’apprécie          331
Rome. Une ville rouge qui cuit à l'étouffée dans ses vieilles murailles, une ville étranglée entre ses collines couronnées de temples raides. Du creux des vallons jaillissent des tours crénelées ; çà et là, des immeubles étroits, dressés comme des pieux, crèvent le maillage serré des tuiles brunes. Tout est vertical ici, tout semble hérissé. Une ville bossue et pleine d'épines...
Commenter  J’apprécie          360
De toute façon, nous ne coucherons pas Auguste sur le divan... Cet homme qui sut mieux que personne préserver les apparences pour ménager les imbéciles, et instaurer la monarchie sous couvert de restaurer la république, cet homme qui inventa le chiffrage des correspondances et préparait par écrit ses conversations les plus intimes, est un inquiet. Constamment sous tension. Son mot préféré ? Auctoritas. Avec son double sens : celle qu'on exerce sur soi avant de l'exercer sur autrui. Dès que le jeune chef s'autorise à se relâcher, il compense en resserrant son emprise sur ceux qui l'approchent. Avant de céder au plaisir, il lui faut renforcer sa domination jusqu'à la cruauté ; seul l'abaissement du partenaire le rassure sur son propre abandon.
Commenter  J’apprécie          60
Peut-être s'est-elle un jour rappelé cette fable d'Esope apprise ailleurs, il y a longtemps... : l'histoire d'un homme assis sur le rivage d'une mer houleuse et qui essayait de compter les vagues ; en les comptant il s'embrouillait, s'énervait ; survint un renard qui lui dit : "Pourquoi t'attrister à cause des vagues qui sont passées ? Recommence à compter à partir de maintenant...."
Commenter  J’apprécie          120
Julie, tendre et libertine, généreuse et fantasque, sera la plus belle des « cent fleurs » poussées sur le terreau de la dictature paternelle, la plus belle et la plus aimée du peuple romain. Pour l’heure, n’écoutant que son bon cœur, elle se désole pour sa cousine Marcella. Elle n’a pas voulu, dit-elle, lui prendre son vieux mari. Et si on lui avait demandé son avis, elle aurait autant aimé, quant à elle, épouser Iullus, qui a vingt ans et qui n’est pas laid.
Commenter  J’apprécie          30

Videos de Françoise Chandernagor (29) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Françoise Chandernagor
« Une anthologie de femmes-poètes ! - Eh oui, pourquoi pas ? […] On a dit du XIXe siècle que ce fut le siècle de la vapeur. le XXe siècle sera le siècle de la femme. - Dans les sciences, dans les arts, dans les affaires et jusque dans la politique, la femme jouera un rôle de plus en plus important. Mais c'est dans les lettres surtout, - et particulièrement dans la poésie, - qu'elle est appelée à tenir une place considérable. En nos temps d'émancipation féminine, alors que, pour conquérir sa liberté, la femme accepte résolument de travailler, - quel travail saurait mieux lui convenir que le travail littéraire ?! […] Poète par essence, elle s'exprimera aussi facilement en vers qu'en prose. Plus facilement même, car elle n'aura point à se préoccuper d'inventer des intrigues, de se créer un genre, de se faire le champion d'une idée quelconque ; - non, il lui suffira d'aimer, de souffrir, de vivre. Sa sensibilité, voilà le meilleur de son imagination. Elle chantera ses joies et ses peines, elle écoutera battre son coeur, et tout ce qu'elle sentira, elle saura le dire avec facilité qui est bien une des caractéristiques du talent féminin. […] Et puis, au moment où la femme va devenir, dans les lettres comme dans la vie sociale, la rivale de l'homme, ne convient-il pas de dresser le bilan, d'inventorier - si l'on peut dire, - son trésor poétique. Les temps sont arrivés où chacun va réclamer le bénéfice de son apport personnel. […] » (Alphonse Séché [1876-1964])
« Il n'y a pas de poésie féminine. Il y a la poésie. Certains et certaines y excellent, d'autres non. On ne peut donc parler d'un avenir spécial de telle poésie, masculine ou féminine. La poésie a toujours tout l'avenir. Il naîtra toujours de grands poètes, hommes ou femmes […]. Où ? Quand ? Cela gît sur les genoux des dieux, et nul ne peut prophétiser là-dessus. […]. » (Fernand Gregh [1873-1960])
0:00 - Silvia Baron Supervielle 0:38 - Annie Salager 1:28 - Vénus Khoury-Ghata 2:13 - Colette Nys-Mazure 2:44 - Françoise Thieck 3:10 - Josée Lapeyrère 4:42 - Jeanine Baude 5:36 - Générique
Contenu suggéré : QUI NYMPHE, QUI MADONE #12 : https://youtu.be/_wcvfKF95-A QUI NYMPHE, QUI MADONE #10 : https://youtu.be/gpR3cP7lxR4 QUI NYMPHE, QUI MADONE #9 : https://youtu.be/DtWZIHZU7Vo QUI NYMPHE, QUI MADONE #8 : https://youtu.be/¤££¤50Vénus Khoury-Ghata44¤££¤ QUI NYMPHE, QUI MADONE #7 : https://youtu.be/bPexQr8zYWY QUI NYMPHE, QUI MADONE #6 : https://youtu.be/IKim_loBAbs QUI NYMPHE, QUI MADONE #5 : https://youtu.be/p1ZeL66gnaY QUI NYMPHE, QUI MADONE #4 : https://youtu.be/yos¤££¤54Françoise Thieck63¤££¤ QUI NYMPHE, QUI MADONE #3 : https://youtu.be/D_5987PxJRU QUI NYMPHE, QUI MADONE #2 : https://youtu.be/wGvAEiMIJ2k QUI NYMPHE, QUI MADONE #1 : https://youtu.be/2eLyH8-CM68 Femmes écrivains : https://www.youtube.com/playlist?list=PLQQhGn9_3w8qhOvXJDXpE1fe92htazYwn
Références bibliographiques : Couleurs femmes, poèmes de 57 femmes, Paris, co-édition le Castor Astral/Le Nouvel Athanor, 2010. Françoise Chandernagor, Quand les femmes parlent d'amour, Paris, Cherche midi, 2016.
Images d'illustration : Silvia Baron Supervielle : https://thalim.cnrs.fr/manifestations-culturelles/article/gestes-et-poesie-rencontre-avec-silvia-baron-supervielle Annie Salager : https://poussiere-virtuelle.com/wp-content/uploads/2017/04/Annie-Salager.jpg Vénus Khoury-Ghata : https://i0.wp.com/arablit.org/wp-content/uploads/2020/08/khoury-ghata-cat2.jpg?ssl=1 Colette Nys-Mazure : https://www.tga.fr/colette-nys-mazure-poete-chretienne-et-libre.html Josée Lapeyrère : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/2c/Josée_Lapeyrère.jpg Jeanine Baude : http://editionsws.cluster011.ovh.net/wp-content/uploads/2015/05/DSCN5542.jpg
Bande sonore originale : Arthur Vyncke - Uncertainty Uncertainty by Arthur Vyncke is li
+ Lire la suite
autres livres classés : roman historiqueVoir plus
Notre sélection Littérature française Voir plus




Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
2792 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre