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3,12

sur 80 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La justice a tranché : assignée à résidence, Ruth est potentiellement coupable mais de quoi ? D'avoir participé directement à ce meurtre mystérieux dont on prend réellement conscience à la moitié du livre ? D'y avoir concouru par la déliquescence de son mariage, pour avoir fermé les yeux sur le passé de son mari, pour s'être soumise à l'emprise progressive de Soeur Amélia et s'être abandonnée à un délire hallucinatoire ?
Les questions s'enchaînent, les hypothèses bondissent au fur et à mesure que Ruth la narratrice, dépassée par le constat factuel de ce qu'elle a vécu, tente de reconstituer son histoire alors que l'auteure apporte des réponses au compte-gouttes.


Il faut dire que l'histoire est complexe. On suit l'itinéraire d'un couple, d'une famille, d'êtres qui se révèlent plein de failles lorsque leur ferme La Source avec sa végétation luxuriante prend des airs d'oasis alors que le Royaume-Uni est frappé par une terrible sècheresse digne d'une des sept plaies d'Egypte. Il y a certes l'intérêt des media, du gouvernement, des scientifiques, des mystiques, la rancoeur et la haine des voisins.
Mais l'auteure anglaise aime jouer du mystère en explorant avec subtilité les zones d'ombre de personnages prisonniers de cloisons qui se superposent à celles que l'on subit sous la pression des évènements que sont parfois les relations difficiles entre les membres d'une même famille. Cela donne des personnages isolés, repliés sur eux-mêmes dans cette oasis à la beauté inquiétante. Car plus qu'un décor, Catherine Chanter a fait de la Source une présence magique voire vénéneuse au point de se demander si ce n'est pas l'isolement au sein de cette ferme miraculeuse qui conduit ses occupants, et en particulier Ruth, à se retrancher dans leur univers intérieur et les mène à la folie…


Mêlant les genres, du drame familial à la fable écolo saupoudrée de surnaturel, en passant par le thriller, Catherine Chanter se complait à égarer le lecteur. le suspense n'est pas celui traditionnel qu'engendre une mort violente ou un phénomène inexpliqué. Il nait de la lente reconstitution de tout un puzzle avec une narration en pointillés, un peu flottante, un peu nébuleuse, l'auteure façonnant lentement ses personnages, comme si elle refusait de les trahir. Il faut alors accepter de se laisser porter par un récit spéculatif avant de voir se dissiper progressivement mais pas totalement le brouillard suspendu au-dessus de la Source et obtenir la vérité. Presque anecdotique. Et là on se dit que la construction est terrifiante… ou magistrale.
Personnellement, j'ai été sous le charme de ce huis clos inquiet et moite, sublimé par une nature triomphale et qui cache le combat d'une femme pour retrouver son équilibre, donnant lieu à un récit tout ensemble poétique et réaliste, onirique et tragique. Catherine Chanter m'a conquise avec ce premier roman prometteur, même s'il est un peu dérangeant parce qu'il est susceptible de provoquer plus de questions que de réponses chez le lecteur scrupuleux.




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Quand Ruth et Mark ont pris possession de la Source, une ferme entourée de champs, ils étaient loin de s'imaginer ce que l'avenir leur réservait.
Décidés à devenir agriculteurs, ils quittent Londres.
Peu après l'installation sur leur nouveau domaine, l'Angleterre est victime d'une grande sécheresse. Il ne pleut plus, sauf à La Source.
Malgré eux, ils s'attirent à la fois la haine la plus féroce et la dévotion la plus pure, jusqu'à l'arrivée d'un groupe de religieuse.
La situation s'envenime peu à peu devant des dérives sectaires que Mark rejette totalement.

Construit en alternance sur deux périodes, nous découvrons Ruth en résidence surveillée sur le domaine. Tout juste sortie de prison, elle revit son passé jusqu'au drame qui se dévoile peu à peu.

Ce roman, très bien mené, joue avec les codes de la dystopie et de l'intrigue policière, tout en gardant un certain mysticisme qui en fait tout l'attrait.
J'ai aimé suivre Ruth entre amour et angoisse.
Je me suis laissée envoûter au fil des pages.

« Là où tombe la pluie » demande une certaine patience au lecteur. le rythme est assez lent, l'intrigue tarde à se mettre en place, mais en contrepartie, les personnages aussi complexes qu'attachants sont disséqués avec minutie et la nature qui fait partie intégrante de l'histoire est peinte avec poésie par Catherine Chanter.
Un premier roman très réussi.
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Là où tombe la pluie est le premier roman de l'auteur anglaise Catherine Chanter. Servi par une très belle écriture, il ne laisse pas le lecteur indifférent. C'est une belle surprise de cette rentrée littéraire 2015.

Roman/thriller psychologique, drame familial, roman d'anticipation, de repentance, ode à la nature, fable écologique, bonheur, joie, secte (La Rose de Jericho), religion, folie, influence, manipulation,... Là où tombe la pluie est un peu tout cela à la fois. Difficile de s'y retrouver parfois même si cela reste dans l'ensemble très bien construit et raconté. C'est un premier roman puissant et abouti.

On suit l'histoire d'une femme, Ruth, accusée de meurtre de son petit fils et assigné à résidence à la Source durant plus de 460 pages. le texte retrace sa vie avant et après le drame. On côtoie avec elle son mari Mark, sa fille Angie, son petit fils Lucien, mais également Soeur Amelia, Soeur Dorothy, Soeur Jack, le prêtre Hugh ou les 3 policiers chargés de sa surveillance. le roman est prenant, le suspens présent même si on trouve de très (trop) nombreuses longueurs. Beaucoup de descriptions, d'allers/retours entre le présent et le passé, de temps perdu lorsqu'est abordée la secte dans laquelle est prise Ruth par exemple. C'est le point négatif de ce premier roman.

Néanmoins, il est prenant et captivant. On est souvent hypnotisé par l'écriture de l'auteur. C'est le gros point fort de ce pavé. C'est d'ailleurs ce qui m'a très souvent motivé à poursuivre. C'est donc ce que je souligne en priorité et le point sur lequel j'établis la note de cette chronique.
L'écriture de Catherine Chanter est en effet douce, poétique, riche, hypnotique... Mais elle sait aussi saisir le lecteur, le faire douter voire le dérouter. de la douceur de la nature, l'atmosphère peut devenir mystérieuse et oppressante en quelques lignes.

Jusqu'aux dernières lignes, on est maintenu en haleine. C'est finalement une belle réussite de l'auteur et cela donne à l'arrivée un roman très agréable que je ne regrette pas d'avoir lu.

Là où tombe la pluie est une belle surprise que je vous recommande.

4/5

Lien : http://alombredunoyer.com/20..
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Là où tombe la pluie est un des romans de la rentrée littéraire 2015 qui me tentait le plus.
La première fois que nous faisons connaissance avec Ruth, c'est lors de son assignation à résidence pour l'accusation du meurtre de son petit-fils Lucien. Enfermée à La Source, le nom de sa propriété, Ruth a le temps de se remémorer ce qui l'a conduit à se retrouver dans cette situation.
Ruth et Mark sont un couple unis, mais dont les failles s'élargissent peu à peu. Pour fuir et se reconstruisent ils emménagent dans leur nouvelle propriété : La Source. Ils la voient comme la maison de leur rêve, le moyen d'avancer de nouveau. Mais lorsque le monde entier est en proie à une sécheresse sans précédent et que seule leur propriété est épargnée, ils s'attirent d'abord la jalousie des agriculteurs voisins, avant d'être en proie à la curiosité du gouvernement et du fanatisme d'une secte, la Rose de Jéricho.
La dirigeante de la Rose de Jéricho, Amelia, mais ainsi que les membres de la secte, prennent une place de plus en plus importante dans la vie de la Source, et surtout dans cette de Ruth. Elle se laisser convaincre par son rôle d'Elue, creusant davantage le fossé entre elle et sa famille. Son mari ne comprend pas l'influence de ces femmes, sa fille Angie a besoin d'elle, et son petit-fils réclame une attention qu'elle arrive de moins en moins à lui donner.
Mais lorsqu'on découvre Lucien mort, le monde de Ruth s'effondre encore plus. Elle se suspecte, elle suspecte son entourage et est convaincue que son assassin se cache parmi ses proches. En qui peut-elle avoir confiance ?
(Suite de mon avis sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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D'une qualité d'écriture fort agréable pour un premier roman, Là où tombe la pluie a été l'un de mes coups de coeur de la rentrée littéraire. Ce huis clos introspectif, véritable fable d'anticipation nous plonge dans l'histoire de Ruth, assignée à résidence suite à l'attente de son jugement pour le meurtre de son petit-fils Lucien.

En effet, Ruth et son mari ont acheté La Source pour s'éloigner de la ville et refaire leur vie dans une ferme, et après quelques temps de bonheur parfait, les choses se sont dégradées : une sécheresse terrible va toucher le monde entier et pousser tous les agriculteurs du coin à la faillite. Seulement, à La Source, il continue de pleuvoir, et les récoltes sont toujours aussi abondantes. La quête de Ruth pour découvrir la vérité va permettre à l'auteur d'aborder une multitude de sujets avec brio : l'emprise psychologique, le fanatisme, l'amour, les relations familiales, la folie…

Ce livre nous pousse à nous poser des questions sur tous les sujets qu'il aborde. de l'extérieur, on se rend bien compte, nous, de l'emprise qu'à Amélia sur Ruth et les autres femmes, et on comprend à demi-mot les relations qu'elles entretiennent « au nom de la Rose ». Mais on suit avec consternation la descente aux Enfers de Ruth, la dégradation de ses liens avec son mari et l'emprise de plus en plus forte d'Amélia sur elle. Un peu naïve, Ruth est terriblement attachante, et même si on doute quelques fois de sa santé mentale (en même temps qu'elle en doute elle même souvent), on ne peut s'empêcher de l'adorer.

La suite sur http://www.leplaisirdelire.fr/la-ou-tombe-la-pluie-catherine-chanter/
Lien : http://www.leplaisirdelire.f..
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Ruth et Mark ont quitté Londres pour reconstruire leur vie dans la maison de leurs rêves, La Source. Alors qu'une sécheresse de fin du monde accable soudainement le monde, leur propriété est mystérieusement épargnée, devenant une oasis attirant jalousie, suspicion, curiosité et fanatisme.

Quel fantastique point de départ ! D'un drame écologique, Catherine Chanter nous propose plein de lectures possibles : est-ce un roman post-apocalyptique (et si demain il ne pleuvait plus ?), un drame familial (Ruth, Mark, et leur fille Angie ne savent que se déchirer), de la science-fiction, ou encore un thriller puisque dès le début de l'ouvrage on sait que Ruth, la douce Ruth, est assignée à résidence pour meurtre.

L'histoire est fascinante car son personnage principal est une femme plus qu'ordinaire attisant soudainement les sentiments les plus extrêmes, puisque même une secte, la Rose de Jericho, la revendique comme son élue. Alors que dans la propriété de Ruth et Mark, qui rêvaient d'en faire leur petit paradis, s'installent d'un côté Angie, leur fille, avec son petit garçon Lucien, et de l'autre Amelia et son groupe de fanatiques illuminés, les tensions montent à toute vitesse, tandis qu'eux s'accrochent obstinément à leur terre, à leurs rêves, jusqu'à la tragédie.

L'écriture est d'une grande finesse psychologique, la frontière avec la folie est proche. Seul regret : trop de longueurs dans la partie consacrée à la secte, qui m'ont poussée à parcourir certaines pages en diagonale. Mais il ne faut pas passer à côté de cette histoire qui ne ressemble à aucune autre !
Lien : http://anyuka.canalblog.com/..
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Ruth et son mari Mark quittent Londres pour la campagne. Alors que le pays souffre de la sécheresse, curieusement leur terrain reste vert, une source y coule et il pleut régulièrement. Ce paradis attire la convoitise, la jalousie, les curieux se pressent.

Une confrérie de soeurs arrive et traite Ruth comme une élue. Elle ne sait plus quoi penser et se laisse traiter comme une déesse. le roman commence alors qu'elle sort de prison, accusée du meurtre de son petit fils. Elle est assignée à résidence, seule, dans ce paradis devenu un enfer.

A-t-elle vraiment dans un moment de folie noyé son petit fils ? Pourquoi Mark est-il parti ? Où sont les soeurs ? Lentement, la vérité s'écoule.

Un récit prenant, rempli de douleurs et de regrets. L'auteur distille, goutte après goutte, la vérité. Une lecture qui demande du temps.

Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
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Ruth et Mark s'installent dans une propriété à la campagne : La Source. Ils espèrent oublier leur passé . Mark a été soupçonné de pédophilie. La Source est leur jardin d'Eden.
Mais, la Grande Bretagne est ravagée par la sécheresse. La Source étrangement épargnée attire. le domaine se retrouve isolé dans un monde devenu hostile. Un petit groupe de femmes appartenant à une secte vient camper près de ses murs. le paradis se transforme en enfer. Les relations entre Ruth et Mark se détériorent, aggravées par l'attirance de Ruth pour soeur Amelis. le drame est inévitable.
Un huis clos étouffant, une atmosphère pesante et tragique, un suspense insoutenable , La Source est un roman inclassable. A la fois thriller, fable écologique, roman fantastique.
Un roman original à découvrir.

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Mon avis : Merci à la maison d'édition Les escales d'avoir rendu cette lecture possible. On peut être persuadé rien qu'à la lecture du résumé qu'il va s'agir d'une enquête mais rien ne peut nous prépare à tout ce que recèle ce roman. Je l'ai aimé, je l'ai beaucoup aimé. Il ne se lit pas rapidement car il regorge de détails, de descriptions que l'on veut absolument visualiser. C'est un livre pour lequel on prend son temps.

Bien avant d'acheter la Source, Ruth et Mark étaient londoniens. Ils avaient des jobs qu'ils aimaient et un unique problème, la fille de Ruth, Angie, qui n'arrivaient pas à se sevrer de la drogue. Elle leur avait pourtant offert le plus beau des présents, un petit-fils : Lucien. L'accusation calomnieuse de pédophilie à l'encontre de Mark mais révoquée par le tribunal a distendus les liens du couple, même imperceptiblement. L'envie de partir et de tout recommencer s'est matérialisée réellement lorsqu'ils ont découvert l'offre d'achat de la Source. Mark avait toujours rêvé de devenir agriculteur. Ruth pas réellement mais elle voulait soutenir ce nouveau projet et son mari.

Il n'est pas utile que je détaille plus les débuts de ce roman car la quatrième de couverture est déjà bien assez explicite. N'ayez crainte, ce résumé ne donne que des informations en filigrane. L'histoire commence bien avec la sortie de prison de Ruth et son retour à la Source (vous remarquez et ma tournure de phrase n'est pas innocente, que ce lieu est un théâtre originel). Ceci me permet de vous indiquer que l'auteure part d'un présent nébuleux dans la tête de Ruth qui a tout perdu pour nous plonger petit à petit dans les événements qui se sont passés plusieurs mois en arrière. Elle sait d'ailleurs nous faire hésiter entre présent et passé, telle Ruth enfermée, désoeuvrée, désespérée, vidée de sa substance et de son lien avec la réalité.

Il est absolument impossible de classer ce livre dans un genre et je trouve que ça fait du bien. Nous partons de deux drames qui détruisent une famille. L'un sur lequel il faut enquêter, l'autre qu'il faut oublier pour arriver à une forme d'anticipation de la sécheresse qui menace la planète (navrée je ne parlerai pas de dystopie, aucun gouvernement totalitaire ne tente d'imposer une idéologie fausse, la sécheresse est bien réelle, il faut rationner) et aborder des sujets délicats comme le rejet de la société, la solitude, la manipulation sectaire, l'écologie, les faiblesses psychologiques...

Ce roman est un reflet de tant de vies réunies en une seule, de tant de tempêtes. Peut-on totalement exclure de sa conscience une idée qui a poussé un tribunal à examiner des faits ? L'amour parvient-il à cela malgré la raison ? Comment perdre la raison ? L'exclusion, les accusations, l'isolement poussent-ils à n'importe quoi ? Je crois que ce livre parle des failles de l'âme humaine, du pardon qu'il est difficile à donner. Mark a eu ses propres accusateurs, Ruth en a compté un nombre encore plus important et Angie, jeune mère toxicomane, recherche l'absolution auprès de ses parents et d'elle-même. Et ce roman parle également d'amour. Celui très pur d'une mère à son enfant, du désir qui s'étiole, de celui qui renaît...

Je vous conseille cette lecture à bien des égards, n'en perdez pas une miette car qui plus est, l'auteure écrit très bien.
Lien : http://www.lecturesenb.fr/20..
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Ruth Ardingly et son mari ont quitté Londres et l'accusation sordide qui les poursuivaient pour s'installer dans une vieille ferme isolée de la campagne britannique. A une époque qui n'est pas spécifiée mais qu'on imagine actuelle, le pays souffre d'une implacable sécheresse, qui répand autour d'elle le malheur et la folie. A La Source tout est différent, et dans cette oasis de verdure la pluie continue de tomber ça et là, et l'eau coule en abondance.

Alors que leur fille Angie passe du temps en famille entre deux épisodes d'égarement, accompagnée de leur petit-fils Lucien, La Source attire autant la curiosité que la jalousie, et le gouvernement, les voisins, Internet, les médias et même quelques fanatiques religieux semblent avoir fait de cette inégalité leur centre d'intérêt principal.

Après que Les Soeurs de la Rose de Jéricho se soient installées sur leurs terres, avec à la tête de cette étrange secte féministe la troublante Amelia, Ruth sera proclamée comme l'élue, et adhèrera à cette étrange religion, négligeant alors l'entretien de la ferme, plongeant son couple dans le conflit, et délaissant son petit-fils dont elle avait la garde, jusqu'au matin où ce dernier est retrouvé noyé.

Accusée de meurtre par négligence, entre autres charges liées à l'utilisation d'eau en pleine période de sécheresse, Ruth est assignée à résidence sous garde armée par le gouvernement, et n'a alors de cesse que de reconstituer le fil ayant mené au drame, de son endoctrinement au délitement de son couple.

Dans ce roman un peu hybride entre la science-fiction et le polar, Catherine Chanter signe un premier roman séduisant, construit autour de souvenirs confus, dans une ambiance confinée. Si l'histoire connaît quelques longueurs, l'ensemble forme un récit puissant et captivant dans sa dernière ligne droite, une lecture originale.
Lien : https://www.hql.fr/la-ou-tom..
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