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EAN : 9782745958686
42 pages
Milan (09/05/2012)
3.77/5   210 notes
Résumé :
A la mort de son père, Cendrillon devient la servante de sa belle-mère et de ses deux demi-soeurs. Son rêve est de se rendre au bal que donne le prince. Avec l'aide de sa tante la fée, elle se retrouve merveilleusement habillée et peut assister au bal jusqu'à minuit. Lorsque le deuxième coup de carillon retentit, Cendrillon s'enfuit précipitamment, abandonnant dans sa course une pantoufle.
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" Cendrillon ou la Petite Pantoufle de Verre " est un conte traditionnel parmi les plus célèbres au monde. La multinationale Walt Disney production en a tiré un film, somme toute, assez fidèle au conte (sauf peut-être le rôle de la marâtre qui est notoirement plus développé dans le dessin animé) et qui a eu un succès suffisamment retentissant pour faire encore rêver des générations de petites filles, voire même, un peu plus grandes.
Alors, quoi lui reprocher à ce conte ? Est-il besoin de lui reprocher quelque chose ? Alors pourquoi ne m'emballe-t-il pas s'il n'y a rien à lui reprocher ?
Il s'avère que lorsque je l'ai lu à ma fille, je me suis sincèrement posée la question du sens, la signification intime de ce conte. Charles Perrault y a bien collé une moralité mais qui n'est pas des plus convaincantes à mes yeux.
Qu'est-ce qu'elle m'évoque cette histoire ? Qu'il vaut mieux être belle et gentille que moche et méchante ? Ok, merci Charles, mais je n'avais peut-être pas besoin d'un conte pour m'en faire prendre conscience.
Alors quoi ? Que quand on se donne du mal et qu'on accepte son sort sans sourciller il y a toujours la bonne fée du destin qui vous écoute à un moment ? Désolée M. Perrault, mais ça ne prend pas avec moi et je n'en crois rien. D'ailleurs les deux garces de frangines ont même été récompensées alors qu'elles ont commis les pires vacheries à l'endroit de Cendrillon.
Non, tout ça ne tient pas. Peut-être faut-il juste en retenir que tous, à un moment donné de notre existence, nous avons une opportunité prometteuse qui se fait jour et qu'il faut savoir saisir ? Ouaip... ouaip... toujours pas très convaincue la Nastasia et le coup de la " bonne grâce " qui est un trésor sans prix, comme il dit, m'évoque surtout le beaucoup plus réaliste " trop bon, trop con ".
L'hypothèse la plus probable alors, serait d'en comparer la signification profonde avec celle d'un autre conte de Perrault, le Chat Botté, où le message peut s'interpréter comme le passage d'une enfance pas forcément heureuse, où sa place dans la famille est irrémédiablement mineure, à une vie adulte plus épanouie, et cela, pas l'entremise d'un bienfaiteur qui vous ouvre les portes d'un monde " meilleur ". Mais là encore, ça reste à voir...
Bref, pas la peine d'en rajouter encore pendant des pages, ce conte ne m'emballe décidément pas, et l'écriture, grand point fort d'ordinaire chez Perrault, n'est pas non plus, à mon goût, des plus mémorables. Cependant, vous aurez compris, une fois encore, que tout ceci n'est que mon avis, c'est-à-dire, bien peu de chose.
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Ce livre publié pour la première fois en 1983 pour cette version est une adaptation du conte de Charles Perrault, publié en 1697, par l'illustrateur Roberto Innocenti. L'histoire de ce conte de fée est transposée dans les années 1920 en Angleterre. Elle raconte le mariage entre un gentilhomme et une femme hautaine qui avait deux filles du même caractère. Quant au gentilhomme, il avait une fille douce et bonne, Cendrillon. La belle-mère détestait Cendrillon et lui donnait toutes les corvées à faire. Elle vivait dans un grenier, loin du luxe de ses deux demi soeurs et quand bien même elle était seulement vêtue de haillons, elle était plus belle que celles-ci .
le Prince donna un bal auquel furent conviées les deux soeurs mais pas Cendrillon qui dû s'occuper de les habiller et les coiffer. Face aux pleurs de Cendrillon déçut de ne pas aller au bal, sa marraine, la fée changea avec sa baguette magique une citrouille en carrosse, six souris en six chevaux, un rat en cocher et 6 lézards en laquais. Elle transforma les habits de Cendrillon en vêtements d'or et d'argent, incrustés de pierreries avec des pantoufles de verre. La condition sine qua non pour que le bal ne vire pas au cauchemar est de revenir avant minuit. À peine arrivée, elle est tout de suite remarquée par par le prince pour sa beauté et l'invité à danser. Elle partit à onze heures trois quart pour retrouver sa marraine.

Dans cet album, l'illustration joue un rôle primordial. En effet, l'illustration occupe soit une page entière et le texte est placé en regard de l'image, soit l'illustration est en double page et le texte s'insère discrètement dans l'image. le choix est fait de bien délimiter le texte et l'illustration par un cadre à fond blanc. le texte est davantage là pour comprendre le dessin que l'inverse tant les illustrations prédominent.
La primauté est donner à l'image sur le texte car l'illustrateur veut faire passer sa vision du conte. le choix fait par Roberto Innocenti de ne pas reproduire les images d'Epinal qu'on a tous en tête de la princesse Cendrillon véhiculées par Walt Disney. Ici, point de princesse du XVII ème siècle, ni d'animaux qui parlent. le choix est de placer l'intrigue au coeur de l'Angleterre des années 1920, l'ambiance au château se rapprochant plus de Gatsby le Magnifique que d'un bal à la cour de Louis XIV.
Il donne sa vision du conte, sa version de l'oeuvre comme un metteur en scène le ferait d'un classique de Molière. Il remet en scène le récit. le texte ne change pas mais le décor si. Il intègre ainsi des monuments londoniens et fait à plusieurs reprises des clins d'oeil à des personnalités comme la reine Victoria ou le prince Charles. Il utilise différents procédés cinématographiques comme la plongée et la contre plongée. Pour la scène du mariage, il se détache de l'illustration en couleurs pour une illustration en noir et blanc, donnant l'impression d'une photographie de la cérémonie qui serait collée dans un album photo.
Toutes les illustrations sont à mettre en relation avec le texte en face mais Innocenti rajoute tout au long du texte et surtout à la fin, sa vision de Cendrillon. Alors que traditionnellement les contes de fée se finissent bien, on s'attend alors à voir une Cendrillon heureuse. Ici, c'est tout le contraire, on voit Cendrillon assise sur un fauteuil durant un triste après-midi d'hiver même le décor est triste et les fleurs sont fanées. Elle tient dans sa main son album photo tandis qu'elle fume et qu'elle boit et que déjà plusieurs bouteilles sont vidés à ces pieds. On est loin ici de la romance de Cendrillon. Cette dernière image nous fait réfléchir et s'interroger pour savoir si la beauté et la richesse suffisent pour être heureux. le fait de transposer le récit à une autre période, ici les années 1920 (visible par l'électricité, les voitures), montre que ce conte et l'histoire racontée est intemporel.
L'auteur s'amuse à mettre en relation les vignettes entre elles. Ainsi, l'image de la page 11 renvoie à la vignette de la page 1, on voit ce que voit Cendrillon depuis sa fenêtre. Ce parallèle est visible par la vitre brisée et le corbeau. L'image page 19 renvoie à la couverture. L'illustrateur fait preuve de beaucoup d'humour tout au long du récit, pour le dessin du bal, on peut voir une bouée de sauvetage attachée à la rambarde. le laquais visible à la page 19 a une tête de lézard. Sur l'image de la page 22, il dessine un paon, allusion à la cour que mène le prince. Sur l'image en double page, on peut voir une statue avec un parapluie et un dalmatien dans sa niche renvoyant à Walt Disney. Sur la photo de mariage, on peut aussi remarquer la présence de Charlot en policier.
Cette version du conte est destinée à la fois à un jeune public et à un public plus âgé. Les illustrations donnant encore plus de force au récit en le modernisant. On peut remarquer dans ces illustrations la grande précision du trait, un sens de la composition et un grand luxe de détail et l'influence du cinéma et de la photographie. Roberto Innocenti parvient grâce à ces dessins à recréer une atmosphère. D'ailleurs, il utilise principalement des couleurs froides et des teintes comme le marron ou le gris alors que dans l'imaginaire collectif, on a plutôt tendance à imaginer Cendrillon, le conte avec des couleurs chamarrées. Il se place donc ici dans une perspective réaliste et ne cherche pas à enjoliver le récit. Par ces dessins, il veut sortir les enfants de leur posture de spectateurs passifs. Ce travail de ré interprétation des classiques de la littérature est important chez lui, outre Cendrillon, il revisite le Pinocchio de Carlo Collodi ou un Chant de Noël de Charles Dickens ou le Petit chaperon rouge. Ce texte fait d'ailleurs parti de la collection "il était une fois ..." qui revisitait les textes classiques par des grands illustrateurs.
L'intérêt de cet ouvrage est de proposer un nouvel éclairage sur ce conte grâce à la beauté des illustrations
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Dans mon enfance, « Cendrillon » c'était le dessin animé de Walt Disney voire diverses adaptations illustrées au format papier pour la lecture du soir. L'histoire est connue et lorsque je suis allée voir la pièce de Joël Pommerat, version moderne du conte de Charles Perrault datant de 1671, j'ai eu envie de reprendre le texte d'origine. Enfin le texte ecrit car l'histoire de Cendrillon a été inspirée de traditions orales très anciennes.

Je me suis régalée avec l'écoute d'une version lue par Romy Riaud, trouvée sur Litteratureaudio.com, site de livres audio gratuits à écouter et télécharger. le titre de cette version « Cendrillon ou la petite pantoufle de vair » peut faire débat car on trouve parfois une orthographe différente pour qualifier la pantoufle. Il semblerait que Perrault écrit "verre", quoi qu'en pense Balzac, qui préfère la version "vair" qui est la fourrure d'un écureuil gris.
Certes il est difficile de porter une vraie pantoufle de verre mais il s'agit d'un conte alors gardons le merveilleux de verre, d'autant plus qu'il correspond à la graphie de l'auteur.
Au delà de cette controverse, j'ai trouvé le texte assez différent de ce que j'avais en tête et beaucoup moins sombre : la belle-mère est peu évoquée, la soeur cadette est moins mauvaise que l'ainée et surtout la fée a une place centrale. Et l'éloge des marraines me plaît beaucoup.
Ajoutons qu'à la fin, le triomphe de Cendrillon est à la mesure de ses tribulations : la petite souillon devient princesse. Elle ne cherche pas à se venger. Cendrillon qui était aussi bonne que belle fit loger ses deux soeurs au palais, et organise leurs mariages dès le jour même avec deux grands seigneurs de la cour.
Et puis Perrault a écrit deux morales en vers où, sur un ton un peu différent, il met en valeur ce qui est le fond de l'histoire: la bonté ce Cendrillon, une bonté récompensée.

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Encore une nouvelle version du conte Cendrillon.

Il y a quelque chose cependant dans cette version qui est intéressant pour les jeunes lectrices et qui rejoindra la morale de fin.

Cette nouvelle version du personnage Cendrillon sera considérée, nous le pensons, comme une beauté relative car échappant à la tradition de la beauté princière, une chevelure qui ondule à l'infini et en cascade dans le dos (c'est souvent un critère de beauté pour les petites filles, les princesses sont belles car elles sont de longs cheveux).



Cette adaptation moderne d'Anna Griot fera le mélange de la tradition de Charles Perrault avec ses grandes robes bouffantes et un univers urbain inédit rempli de grands immeubles.

Le récit respectera plus ou moins le fil classique sans détours, la pauvre enfant maltraitée par sa belle-mère et ses demi-soeurs, destituée de sa bonne place familiale pour finir domestique à la mort du père.

Souillon dormant près de l'âtre dans la suie, "Cendre/ Souillon".

L'histoire, nous la connaissons déja avec son bal offrant une promotion sociale à toutes les jeunes filles du royaume, avec le coup de pouce magique d'une fée-marraine pour permettre à la jeune fille de participer dans une tenue descente et s'amuser comme les autres.



Les deux morales de fin d'album sont intéressantes:

" La beauté est un rare trésor,

De l'admirer jamais on ne se lasse.

Mais ce qu'on nomme bonne grâce

Est sans prix et vaut mieux encore..."

Il ne suffit pas d'être dotée d'une beauté sans pareille si des qualités morales ne l'accompagnent pas. En d'autres termes, toutes les petites filles peuvent se rêver princesse si elles sont délicates et douces, sans détenir la chevelure en cascade très tendance.

Notre héroïne a les cheveux très courts mais profitent de toilettes amples et richement décorées dans lesquelles toutes petites lectrices pourra s'imaginer se glisser.

Nous gardons donc la métamorphose pour le plaisir et nous y ajoutons une universalité des qualités qui ouvrira le concours à toutes les princesses et pas seulement les plus "belles".



Le conte est accompagné d'une deuxième morale qui nous rappelle que c'est un conte merveilleux, avec sa magie sans quoi rien de toute cette heureuse fin ne serait possible, la rencontre avec le prince.

"C'est sans doute un grand avantage,

D'avoir de l'esprit, du courage,

De la naissance, du bon sens,

Et d'autres semblables talents

Qu'on reçoit du ciel en partage.

Mais vous aurez beau les avoir,

pour votre avancement, ce seront choses vaines

Si vous n'avez pas pour les faire valoir,

Ou des parrains ou des marraines."



Une bonne marraine sera ici la bonne avocate de la situation et aussi le substitut du parent protecteur (rappelez-vous le rôle du parrain et de la marraine selon la tradition) pour rétablir la juste cause.

Les parents auront bien préparé les choses au final et bien choisi leur substitut.
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C'est une première pour moi, un livre audio… Pendant un voyage en voiture, c'est une idée plutôt que la radio.
Tout le monde connaît ce conte de Perrault. Je ne vous ferai pas l'affront de le raconter. Par contre, le dilemme de cette histoire orale est bien de savoir si la ravissante chaussure perdue par Cendrillon est de verre ou de vair… Bonne question, surtout qu'il s'agit pour moi de répondre au défi de lire un ouvrage dont le titre contient un homonyme de vert ! Je choisis de partager avec vous les dires que Wikipédia attribue à Pierre Larousse, version qui me plaît bien…Alors verre ou vair ?
Pierre Larousse, dans son Grand Dictionnaire universel, prend parti pour le vair : « Les éditeurs de contes de fées ont-ils mis verre à la place de vair par ignorance ou pour augmenter le merveilleux du récit ? Nous ne savons pas. Mais ce qu'il y a de certain, c'est qu'au temps de Perrault le vair était bien connu comme une des fourrures du blason et que, malgré son goût pour le merveilleux, il n'a point eu la pensée de chausser sa petite Cendrillon avec du verre. On peut supposer que, plus tard, la science du blason étant tombée dans l'oubli, un imprimeur aura cru corriger une véritable faute en remplaçant vair, mot qui lui était inconnu, par verre ; et c'est ainsi que le nom de Cendrillon se sera trouvé associé avec l'idée d'une chaussure fantastique que la vérité historique est forcée de reléguer parmi les simples coquilles typographiques. »
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'allait mettre au coin de la cheminée, et s'asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu'on l'appelait communément dans le logis Cucendron. La cadette, qui n'était pas si malhonnête que son aînée, l'appelait Cendrillon ; cependant Cendrillon, avec ses méchants habits, ne laissait pas d'être cent fois plus belle que ses sœurs, quoique vêtues très magnifiquement.
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Elle entendit sonner le premier coup de minuit, lorsqu'elle ne croyait pas qu'il fût encore onze heures : elle se leva et s'enfuit aussi légèrement qu'aurait fait une biche. Le Prince la suivit, mais il ne put l'attraper ; elle laissa tomber une de ses pantoufles de verre, que le Prince ramassa bien soigneusement.
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La pauvre fille souffrait tout avec patience et n’osait s’en plaindre à son père, qui l’aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu’elle avait fait son ouvrage, elle s’allait mettre au coin de la cheminée, et s’asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu’on l’appelait communément dans le logis Cucendron. La cadette, qui n’était pas si malhonnête que son aînée, l’appelait Cendrillon.
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cendrillon, oh que j'ai aimé ce Disney et j'avoue que je l'aime encore. elle nous montre que malgré tous les échecs, la méchanceté nulle ne peut changer son destin. maltraité par sa belle mère et ses sœurs par alliance, elle arrive a les surprendre avec l'aide de sa marraine. c'est grâce a une soirée inoubliable pour elle qu'elle a rencontré le prince charmant, elle était si belle, si resplendissante.....
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Le Prince aida à la Princesse à se lever ; elle était tout habillée et fort magnifiquement ; mais il se garda bien de lui dire qu’elle était habillée comme ma mère-grand […]
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Ouvrir un livre de contes commence toujours par un amusement. On se réfugie sous sa couette à la venue d'un ogre menaçant, on fait de longues promenades dans des bois inquiétants, on est subjugués par l'éclat d'une baguette magique, mais aussi invités à de somptueuses fêtes… tout semble alors pensé pour notre distraction. Il arrive pourtant que l'aventure aille un peu plus loin et que l'on en tire quelques morales qui nous seront bien utiles, tout au long de la vie…
Conte de Charles Perrault, lu par Julia Boutteville. Ce texte fait partie des Histoires ou Contes du temps passé également connus sous le nom des Contes de ma mère l'Oye, publiés en 1697.
"Les Contes scintillants, histoires de bijoux", une série originale de la Bibliothèque Nationale de France, en partenariat avec l'École des Arts Joailliers, soutenue par van Cleef & Arpels. Coordination scientifique : Charline Coupeau Coordination éditoriale : Constance Esposito Réalisation, et générique original : David Federmann Aide à la réalisation : Benjamin Orgeret Illustrations © Artwork Elisa Seitzinger
Pour aller plus loin, rendez-vous sur le site des Essentiels de la BnF : https://c.bnf.fr/TRC
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La curiosité malgré tous ses attraits, Coûte souvent bien des regrets ; On en voit tous les jours mille exemples paraître. C'est, n'en déplaise au sexe, un plaisir bien léger ; Dès qu'on le prend il cesse d'être, Et toujours il coûte trop cher.

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