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China Li tome 1 sur 4
EAN : 9782203149502
64 pages
Casterman (29/08/2018)
3.96/5   45 notes
Résumé :
1920, Li, sept ans, jouée et perdue par son oncle, est envoyée à Shanghai. Son nouveau maître, le cruel Zhang Xi Shun, est l'un des dirigeants de la triade « la Bande verte » qui domine la ville. Li, affectée aux cuisines, est un jour accusée d'avoir volé du papier de riz et portée devant son maître. Celui-ci découvre alors chez cette créature chétive, un don pour le dessin. Cela lui vaudra de prendre une place spéciale auprès de ce personnage terrifiant mais raffin... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Ce premier tome d'une trilogie se déroule dans la Chine des années 1920.
Li, une toute jeune fille, a été perdue au jeu (!) par son frère aîné ; son futur « propriétaire » est Zhang Xi Shun, un eunuque qui « dirige le trafic de l'opium, de la prostitution et des jeux » à Shangai.
Les talents de dessinatrice de Li suscitent l'intérêt de Zhang qui s'attache à elle et veille à son éducation, en lui procurant notamment un professeur de français.
Mais la position de Zhang est menacée, car l'argent généré par le trafic de l'opium suscite bien des convoitises…
Cet album bien documenté est l'occasion pour les deux auteurs, Maryse et J.-F. Charles, d'évoquer la situation dramatique de la Chine dans les années 1920 : l'existence des eunuques de l'ancien empire castrés dans des conditions épouvantables, le trafic de l'opium (imposé par les Anglais aux autorités chinoises qui voulaient l'interdire), la puissance des organisations criminelles (les triades), les grèves réprimées dans le sang, l'ascension de Tchang Kaï-chek qui veut libérer la Chine des Seigneurs de la guerre et de la tutelle occidentale par tous les moyens…
Ce contexte est particulièrement bien restitué, le récit est bien mené et bien illustré, avec parfois même des pages qui s'apparentent à de véritables peintures.
Ce premier tome est donc tout à fait réussi et c'est avec un grand intérêt qu'on lira la suite des aventures de la jeune Li.
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Il s'agit du premier tome d'une trilogie. Il est initialement paru en 2018, écrit par Maryse et Jean-François Charles, dessinés et peint par ce dernier. Ces époux sont également les auteurs des séries India Dreams, War and dreams, de récits en 1 tome comme L'herbe folle, et de récits avec d'autres dessinateurs comme Far Away avec Gabriele Gamberini.

Au temps présent, un individu pénètre tardivement dans un restaurant chinois appelé La rivière Li, alors que Biyu, une jeune femme, est en train d'y passer la serpillière. Il accroche son manteau et son chapeau au portemanteau et commence à commander. La patronne sort de la cuisine et lui indique que le restaurant est fermé. Il reste assis et lui indique qu'il a retrouvé Li et qu'il prendrait bien une bière chinoise. le cuistot accepte de le servir et demande à Biyu d'abaisser le rideau de fer. La femme appelle deux autres membres de la famille pour qu'ils viennent écouter ce que le représentant de l'étude Dupont-Bedon de Mourmelon a à leur raconter. Il commence son récit en Chine dans les années 1920. Une enfant prénommée Li est emmenée par son oncle sur une barque vers la gare la plus proche. Frère Aîné l'a jouée et l'a perdue au jeu, au profit d'un individu appelé Zhang Xi Shun qui réside à Shanghai.

L'oncle dépose la jeune Li au train qui en voit pour la première fois, avec un écriteau autour du cou indiquant quelle est sa destination et à qui elle doit être remise. Débarquée à la gare de Shanghai, elle est repérée par un blanc (surnommé Tête de Rat) qui soudoie un policier pour qu'il aille la chercher et lui livrer. Tête de Rat viole Li, alors qu'elle est encore prépubère. le policier qui avait détourné Li de son chemin vient la rechercher alors qu'elle gît sans connaissance. Il est accompagné de son supérieur hiérarchique qui sait lire et qui se rend compte qu'elle doit être livrée à Zhang Xi Shun, l'un des dirigeants de la triade appelée la Bande Verte. Il indique au policier qu'il doit héler un pousse-pousse et le payer de sa poche, avec l'argent qu'il a récupéré de Tête de Rat. le pousse-pousse passe à côté d'une émeute en pleine rue, vite réprimée par la police. Il dépose Li à l'adresse indiquée, à la vue de Zhang Xi Shun. Ce dernier se souvient de la dette contractée par le fils de l'ancien préfet et ordonne que Li soit confiée à mère Soong. Accompagné ses hommes, il se rend ensuite dans l'une des plus importantes fumeries d'opium de Shanghai dont le responsable ne s'est pas acquitté de sa dette dans les délais.

La quatrième de couverture annonce clairement qu'il s'agit d'une trilogie et que le récit débute en Chine dans les années 1920 et se poursuit dans d'autres contrées dans les tomes suivants. Les auteurs ont pris le parti d'utiliser une introduction se déroulant dans le présent pour renforcer la perspective historique de leur récit annonçant dès le départ que Li a vécu plus de 80 ans, inscrivant l'histoire de Li dans une forme romanesque montrant son destin. Avec une telle séquence d'ouverture, le lecteur comprend que Li est le personnage central, mais que son premier rôle ne lui assure pas le devant de la scène. Elle apparaît dans 23 pages sur 58. Effectivement sa vie s'inscrit dans un contexte géopolitique et est façonnée par les événements historiques. À l'évidence, les auteurs ne peuvent pas retranscrire toute la complexité et la richesse de la situation de la Chine à cette époque, et des forces historiques qui ont mené à cette configuration. Ils ont choisi d'évoquer les prémices des bouleversements à venir par leur manifestation directe (une émeute, les trafics de la Bande Verte et leurs enjeux économiques, l'installation des soldats de Tchang Kaï-chek), ainsi que par les nouvelles qu'annoncent certains personnages, comme Aza Flore à Zhang Xi Shun dans le cabaret l'Orchidée Rouge. Ce mode narratif permet de conserver la fluidité de la narration sans l'alourdir par de pesants exposés historiques. En fonction de sa culture, le lecteur peut alors se retrouver tout aussi surpris que les personnages par des événements soudains qui apparaissent arbitraires, ou alors rattacher lesdits événements à ce qu'il sait de cette période historique. Les auteurs ont intégré 3 pages de notes après la dernière page de bande dessinée contenant des synthèses rapides sur les Guerres de l'Opium, Sun Yat-Sen, Tchang Kaï-chek, les eunuques, les Seigneur de la Guerre, le Kominterm, le Kouo-Min-Tang et les nattes. Ainsi le lecteur ignorant de l'époque peut trouver des éléments supplémentaires rapides à assimiler, ce qui peut éventuellement susciter en lui l'envie de consulter des ouvrages historiques spécialisés.

En outre, la reconstitution historique est également assurée par les dessins. Jean-François Charles détoure les formes avec des traits au crayon plutôt qu'encrés, ce qui conserve une forme de souplesse aux dessins, et ce qui évite que les couleurs soient enfermées ou écrasées par lesdits traits. de plus cela lui permet de conserver le noir comme une couleur à part entière, par exemple pour les costumes formels ou les tenues de soirée. L'artiste a trouvé un point d'équilibre épatant pour le niveau de détails, entre une grande précision, et une forme d'épure de certains éléments pour ne pas surcharger les cases. S'il y est sensible, le lecteur peut s'attarder sur les perles d'un rideau de séparation entre la salle et la cuisine dans le restaurant, sur le modèle de locomotive à vapeur, sur les clients et les prostituées de la fumerie d'opium (avec une description évoquant  Les aventures de Tintin : le Lotus bleu 1934/1935, en plus adulte), sur les tableaux au mur dans la collection de Zhang Xi Shun, sur les caractéristiques des différentes rues de Shanghai, etc. Il peut aussi lire rapidement les cases et n'en retenir que l'impression globale des formes sans s'attacher à ces détails. Il absorbe les informations visuelles qui nourrissent la reconstitution historique : les tenues vestimentaires, les uniformes, les accessoires, les aménagements intérieurs, les véhicules, les différents lieux. La richesse des cases donne à voir cette époque de manière concrète, plus que les informations éparses sur les grands événements.

Grâce au naturel et à la rigueur des dessins, le lecteur éprouve la sensation de se retrouver aux côtés des personnages, qu'il s'agisse d'une course en pousse-pousse, d'une discussion intime dans la loge de la vedette d'un cabaret, ou d'un assassinat en pleine rue avec un pistolet mitrailleur et son chargeur caractéristique en forme de disque (marque Thompson, modèle 1921). En feuilletant après coup cette bande dessinée, le lecteur prend toute la mesure de sa richesse, du naturel de sa narration visuelle, et il se remémore les visuels marquants comme la barque glissant sur la rivière Li avec des masses rocheuses en arrière-plan, la dureté des conditions de voyage dans un wagon pour bétail, l'arraisonnement de la jonque sur le Yang-Tseu-Kiang, les scènes de foule dans la rue, ou encore les cadavres dans les décombres. Derrière une apparence un peu douce et lissée par une palette de couleurs pastel, les dessins représentent une grande diversité de personnages, de situations, d'actions, avec une facilité née d'un art consommé de la narration séquentielle. L'histoire elle-même réserve également de nombreuses surprises.

La jeune Li vit dans une période troublée où la valeur d'une vie humaine n'est pas très élevée, où des individus peuvent s'arroger un droit de vie et de mort sur des êtres humains réduits à l'état de choses dépourvues de droit. Cet état de fait apparaît dès la situation initiale de Li puisqu'elle a été perdue au jeu par un de ses oncles. Il s'aggrave encore avec son viol lors de son arrivée à Shanghai. Les auteurs ont choisi de ne pas montrer cet acte barbare sur une enfant, et de ne pas s'attarder sur les conséquences psychologiques. Pour autant le lecteur n'échappe pas à l'impact émotionnel de voir ce prédateur immonde s'en prendre à une enfant sans défense. Les auteurs privilégient donc le récit romanesque, presque d'aventures, sur le drame intimiste. Mais ces 2 traumatismes de Li établissent, sans doute possible, la cruauté des conditions de vie de l'époque. le lecteur estime qu'il a bien compris le message et que le récit peut alors progresser en intégrant d'autres éléments. Il ne s'attend certainement pas à la discussion sur le processus qui fait d'un homme un eunuque en Chine. La force de ce passage (à nouveau dépourvu de dessins gore ou de description graphique) peut lui rappeler l'anecdote sur le malaise de Neil Gaiman écoutant Alan Moore lire les mutilations opérées par Jack l'éventreur sur ses victimes, un tour de force pour lecteur bien accroché.

Le lecteur qui connaît déjà ce couple de créateurs sait qu'il va bénéficier d'un voyage extraordinaire. le lecteur qui le découvre peut ressentir une hésitation devant une apparence trop classique et un peu sage. Dans les 2 cas, il découvre un récit d'une richesse extraordinaire qui conserve une accessibilité et une fluidité exemplaire. Les dessins présentent une lisibilité parfaite, un pouvoir d'évocation épatant, un savoir-faire au service de la gestion de la densité de l'information. La narration visuelle recèle des trésors accessibles à tous les lecteurs grâce à sa simplicité. le récit se présente sous une forme tout aussi classique : la vie d'une femme depuis son enfance jusqu'à sa vieillesse en 3 tomes, traversant les bouleversements historiques. À nouveau le lecteur bénéficie de cette simplicité avec laquelle l'histoire est racontée. À nouveau il se rend compte qu'il peut lire cette bande dessinée au premier degré comme un roman sur le destin d'une femme, ou comme une évocation élégante d'une époque, lui rappelant des souvenirs, ou aiguisant sa curiosité sur le sujet. Il peut aussi prendre encore un peu plus de recul et considérer les conditions de vie décrites dans cette reconstitution historique, ce qu'elles disent de la nature humaine, établir une comparaison avec ses propres conditions de vie et réfléchir aux évolutions survenues, au fil de cette oeuvre littéraire accessible à tous.
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La petite Li va être vendue à Shangaï alors qu'elle n'a que 7 ans. Heureusement son nouveau maitre va se montrer bienfaisant avec elle. Il est pourtant à la tête d'un grand réseau de drogue et de prostitution. Les partis s'arrachent son appui dans cette Chine en pleine révolution.

Les époux Charles sont partis vers de nouveaux horizons après leur grande et belle série sur l'Inde. Nous voici donc dans la Chine des années 20 qui croule sous la drogue, la misère et la prostitution. La situation politique est instable, le pouvoir est au main de puissantes triades tandis que les occidentaux tentent d'arracher une part du gâteau. Il ne m'a d'ailleurs pas toujours été facile de m'y retrouver dans la politique locale. Je connais assez mal l'histoire de la Chine à cette période.
Notre jeune héroïne est tout mignonne et pleine de potentiel, bien qu'elle soit encore un peu fade dans ce premier tome qui semble plutôt introductif.
Les dessins sont comme à leur habitude très beaux, les teintes douces des aquarelles sont magnifiques. le petit bémol c'est le faciès trop européen des asiatiques en particuliers des femmes.
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Une BD qui semble très documentée (je ne connais pas les autres titres de ces auteurs), sur la Chine des années 1920, surtout ses côtés sombres, la condition féminine, les triades, les concessions occidentales, etc.

Certaines scènes sont presque insoutenables, notamment la description de l'émasculation des futurs eunuques. A ne pas mettre entre de jeunes mains.
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Un bon tome d'introduction. Qui nous présente les personnages avec leur passé et leur relation, le contexte historique et politique et les enjeux pour chacun.
Si on se demande où va nous emmener la BD et quelle histoire elle va nous raconter. Mais on ne s'ennuie pas. Il y a une mine d'informations assez poussées. Ca manque parfois un peu de piments.
On voyage dans la Chine des années 20, c'est très intéressant.
Les personnages sont encore mystérieux. Li est un peu trop lisse et docile pour l'instant. On attend qu'elle se révèle dans la suite.
Les dessins sont vraiment le point fort de cette BD. Les aquarelles sont très belles avec une certaine poésie.
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critiques presse (4)
BoDoi
06 janvier 2019
S’il n’y a rien de révolutionnaire dans ce premier tome, on ne boude pas son plaisir de se laisser happer par l’élégance de cette BD qui aiguise l’intérêt pour les deux opus suivants.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Auracan
06 septembre 2018
Nous découvrons une nouvelle héroïne pleine charme et, une fois la lecture terminée, il est hautement recommandé de reprendre l'album pour pouvoir s'attarder sur nombre de cases et apprécier leur construction et les nombreux détails qu'elles renferment. Nul doute que si les deux prochains tomes de China li conservent les qualités de celui-ci -remarquable- on tiendra là un formidable triptyque !
Lire la critique sur le site : Auracan
BDGest
28 août 2018
Premier tome prometteur, Shanghai tisse une intrigue classique sur un contexte riche et solide, le tout illustré avec talent et élégance.
Lire la critique sur le site : BDGest
BDZoom
28 août 2018
Tous les ingrédients de la saga familiale mêlant la grande Histoire, l’exotisme, l’amour, l’initiation et l’aventure sont au rendez-vous de ce récit qui invite le lecteur à traverser un siècle d’histoire.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Madame Ferté, enseignante au lycée français de la concession, avait accepté de donner des leçons particulières à Li. C'était la première fois qu'elle traversait seule, en pousse-pousse, la ville chinoise, et certainement la dernière. La foule grouillait autour du rickshaw. Des hommes et des femmes tiraillent ses vêtements, l'insultaient, lui faisaient des gestes obscènes. Madame Ferté était prête de défaillir.
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Au tour de mon, il m'avait accroché un énorme écriteau avec mon nom : Li, et un message à mon nouveau maître. J'avais l'impression d'être vendue comme du bétail, amis il est écrit que le Yang règne sur le monde et que le Yin subit sa loi.
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Vous voulez rassurer les nationalistes et leur prouver que vous pouvez mater les communistes ?
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Sous le contrôle d'une triade, société secrète criminelle appelée la Bande Verte, Shanghai était la capitale mondiale du trafic de l'opium, des jeux et de la prostitution, ce qui lui valait le nom de plus grand bordel du monde.
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Situé dans la concession internationale, surgie de la rive boueuse du fleuve, le Bund, le quartier du port, des affaires, des boutiques, des banques et des beaux hôtels de style colonial où se pavanaient les occidentaux.
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