Georges Brassens et la poésie quotidienne de la chanson

Il faut prendre les poètes comme ils sont et ne pas essayer de se les annexer. Libre à chacun d'aimer telle ou telle œuvre; de se sentir concerné aussi. Le fait est que le gorille concerne aussi les croyants, que l'auvergnat concerne aussi les athées, que la poésie concerne tout le monde. Que ce sois chez Villon que Brassens admire tant, chez Aragon qu'il a mis en musique, chez les poètes de la Pléiade qu'il connaît si bien, ne pourrait-on trouver les mêmes contradi... >Voir plus