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je n'ai pas pu entrer dans cette histoire : une mamie et sa petite fille dommage car c'est une auteure que j'admire |
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je n'ai pas pu entrer dans cette histoire : une mamie et sa petite fille dommage car c'est une auteure que j'admire |
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L'émerveillement de l'auteure lorsque mère d'un garçon, la voici devenir grand-mère pour la première fois. Elle nous décrit le rapport affectif qu'elle a avec sa petite fille, les ressemblances qu'elle y retrouvent avec son fils alors qu'il était petit garçon, et elle même avec sa mère . Du moins tout ce dont elle arrive à se souvenir. |
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Livre que j'ai savouré, étant moi-même concernée par ce nouveau statut de « grand-mère ». Ce dialogue entre l'auteure et sa petite fille est d'une authenticité profonde et relate avec émotions ce lien qui se tisse entre ce petit être et sa grand-mère au fil de leur rencontre. Une écriture poétique dont les descriptions peuvent faire penser au style de « Colette ». L'auteure prend souvent à témoin sa mère, décédée des années auparavant et qui avait fait le choix de mourir dans la dignité en décidant de l'instant de sa mort. A travers un retour en arrière où elle évoque son fils enfant, elle se devine à travers eux et redessine l'image de cette petite fille qu'elle a été. Une réflexion sur le statut de grand-mère qui comme le souligne Noëlle Châtelet … « alors qu'une maman doit rester bien droite, dans un souci éducatif, nous, les grand-mères, nous pouvons marcher à quatre pattes, sucer notre pouce pour les faire rire… »
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Ce livre me va droit au coeur. "Traversée du miroir...Invitation au voyage", il retisse les liens entre une toute nouvelle grand-mère et sa merveilleuse toute petite-fille. C'est parti pour deux années de couvade et d'Amour, de la marche en crabe au langage. "Tu descends. "Down, down, profond." Comme Alice, celle du pays des merveilles, ami lecteur. |
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Que signifie le lien singulier qui unit grands-parents et petits-enfants ? Comment occuper cette nouvelle place dans la lignée familiale, quand l'enfant de l'enfant vient au monde ? Devenir grand-mère, c'est traverser comme Alice le miroir du temps. Noëlle Châtelet retrouve les souvenirs de la mère et de la toute petite fille qu'elle fut. Les images reviennent, de son fils, bébé mouillé qu'on pose sur son ventre de jeune accouchée, d'elle enfant jouant avec son ombre sur la plage comme sa petite-fille aujourd'hui. S'adressant tantôt à sa mère, disparue il y a six ans, tantôt à sa petite-fille, elle raconte la transmission et les premières fois partagées : le premier tour de manège, le premier été à la campagne, la première séance de cinéma… le lien qui les unit se tisse au fil des mois, à travers les jeux et les rituels qu'elles inventent, jusqu'au deuxième anniversaire de la petite Salomé. Un livre qui touche au coeur.
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![]() | fefe2 12 septembre 2014
Comment vas-tu m'appeler ? Quel sera mon nom, mon nom de grand-mère ?.....cette création, cette mise au monde d'un mot tout neuf va s'incarner, prendre corps, puis grandir avec toi, accompagnant tes jours, s'attachant à tes pas, ta vie durant, ma vie durant, et au-delà même quand je ne serai plus...
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![]() | crapette 09 septembre 2012
Chaque fois tu reprends tes jeux là où tu les avais laissés...Et tu tricotes la suite, maille après maille, rang après rang. Ces jeux te font grandir. Tu grandis dedans. Un tricot sans fin . (p.130)
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![]() | claudeparis 08 septembre 2014
"Alors, le cinéma, c'était bien, le cinéma ? Et le chat, Tu l'as vu, le chat ?" demande ton père. Pas de réponse. Tu passes tête haute devant lui, étrangère à la question. Même chose avec ta mère. Ils n'en saurons rien. C'est encore notre histoire à nous, voyons ! Aperçu pour toi du jardin secret. Plaisir nouveau du ne-pas-dire... |
![]() | crapette 09 septembre 2012
...ma main qui te fait rire à cause des "miettes", du nom que tu donnes aux taches dont je ne t'ai pas dit encore qu'elles étaient de vieillesse. (p. 165) |
![]() | VirginieDoucet 31 mars 2022
Qui sait si je ne t'attends pas, d'ailleurs, depuis mon premier cri, comme si j'avais deviné qu'un jour tu puisses y répondre, en écho, comme si j'avais toujours espéré, un peu follement, retrouver par toi un peu de ce que j'oublierai forcément de moi-même.
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Complétez le titre du roman de Roy Lewis : Pourquoi j'ai mangé mon _ _ _