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Critique de cicou45
Ah, j'avoue que cela aurait été dommage que je reste sur ma fin sans découvrir la deuxième partie adaptée par le journal le Monde et les éditions Glénat en bande dessinée. Si cette édition est fait à la base pour toucher un plus large public, elle nous casse aussi complètement nos rêves d'enfants et le dossier qui se trouve en fin d'ouvrage ne fait qu'en rajouter une couche, démontrant que Lewis Carroll n'a jamais eu l'intention d'écrire un conte pour enfants mais bel et bien un roman d'un genre nouveau, complètement inclassable, s'adressant autant bien aux adultes qu'aux enfants.
Ici, nous retrouvons Alice là où nous l'avions laissé dans le précédent tome et c'est à ce moment-là qu'elle va non seulement se retrouver à prendre le thé avec un loir et un chapelier (pour lequel elle n'a d'ailleurs jamais reçu d'invitation) et où elle va faire la connaissance du roi et de la reine ainsi que de leurs valets, qui ne sont d'autres qu'un jeu de cartes. En s'attardant dans le dossier de presse, l'on comprend que les trois principaux personnages, grâce au numéro inscrit sur ce qui leur sert de corps ne sont autres qu'issus des nombres premiers. Lewis Carroll, en tant que grand mathématicien, n'a en effet rien laissé au hasard, tout comme les jeux de mots de plus en plus présents ici et que l'on ne peut comprendre, il est vrai, qu'avec un certain recul, non pas comme dans les adaptations pour enfants, que celles-ci soient en version animée ou dans un autre ouvrage de l'auteur lui-même "Alice racontée aux enfants" qu'il me tarde d'ailleurs de découvrir ! Un conte sombre il est vrai avec un graphisme et des couleurs qui le sont tout autant mais qui rendent pourtant hommage à l'oeuvre de Lewis Carroll et qui prend le contre-pied de celle revisitée par Walt Disney.
Un ouvrage à (re) découvrir car il est vrai que beaucoup de tournures de phrases sont plaisantes mais je conseillerais à notre jeune public, de ne pas commencer par celle-ci afin de ne pas briser tout de suite leur âme d'enfant !
Ici, nous retrouvons Alice là où nous l'avions laissé dans le précédent tome et c'est à ce moment-là qu'elle va non seulement se retrouver à prendre le thé avec un loir et un chapelier (pour lequel elle n'a d'ailleurs jamais reçu d'invitation) et où elle va faire la connaissance du roi et de la reine ainsi que de leurs valets, qui ne sont d'autres qu'un jeu de cartes. En s'attardant dans le dossier de presse, l'on comprend que les trois principaux personnages, grâce au numéro inscrit sur ce qui leur sert de corps ne sont autres qu'issus des nombres premiers. Lewis Carroll, en tant que grand mathématicien, n'a en effet rien laissé au hasard, tout comme les jeux de mots de plus en plus présents ici et que l'on ne peut comprendre, il est vrai, qu'avec un certain recul, non pas comme dans les adaptations pour enfants, que celles-ci soient en version animée ou dans un autre ouvrage de l'auteur lui-même "Alice racontée aux enfants" qu'il me tarde d'ailleurs de découvrir ! Un conte sombre il est vrai avec un graphisme et des couleurs qui le sont tout autant mais qui rendent pourtant hommage à l'oeuvre de Lewis Carroll et qui prend le contre-pied de celle revisitée par Walt Disney.
Un ouvrage à (re) découvrir car il est vrai que beaucoup de tournures de phrases sont plaisantes mais je conseillerais à notre jeune public, de ne pas commencer par celle-ci afin de ne pas briser tout de suite leur âme d'enfant !
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