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Critique de Crossroads
Wollodrïn, premier du nom.
Ouverture du créateur d'endorphine dans 5, 4, 3...
A tous ceux qui vouent une tendresse toute particulière à l'univers des Nains, Orcs et autres Gobelins alors la série Wollodrïn est faite pour vous.
Un équipage hétéroclite, mais parfaitement complémentaire, initialement voué à périr (bastonné et démembré, y en a qui savent s'amuser) et désormais uni à la life à la death, missionné pour aller secourir en territoire ennemi une opulente héritière désormais aux mains des Orcs, voilà le plat de résistance auquel nous convient Chauvel (scénar') et Lereculey (graphisme aux p'tits oignons).
Comme un air des Douze salopards revisité sauce 2.0, la magie opère, direct, portée par un récit haletant au crayonnage charismatique.
Wollodrïn, un jour prochain, j'y reviendrai !
Ouverture du créateur d'endorphine dans 5, 4, 3...
A tous ceux qui vouent une tendresse toute particulière à l'univers des Nains, Orcs et autres Gobelins alors la série Wollodrïn est faite pour vous.
Un équipage hétéroclite, mais parfaitement complémentaire, initialement voué à périr (bastonné et démembré, y en a qui savent s'amuser) et désormais uni à la life à la death, missionné pour aller secourir en territoire ennemi une opulente héritière désormais aux mains des Orcs, voilà le plat de résistance auquel nous convient Chauvel (scénar') et Lereculey (graphisme aux p'tits oignons).
Comme un air des Douze salopards revisité sauce 2.0, la magie opère, direct, portée par un récit haletant au crayonnage charismatique.
Wollodrïn, un jour prochain, j'y reviendrai !
