Quelle belle découverte que ce Congrès pour la liberté de la culture. Je n'en avais jamais entendu parlé avant de lire cette longue interview. Envois de livres dans les pays en dictature, bourses pour les intellectuels ... A la lecture, on ressent la passion, l'engagement que
Roselyne Chenu a mis dans son travail mais également la nostalgie d'évoquer ses souvenirs à la fois professionnels mais aussi personnels par les correspondances qu'elle a pu entretenir avec des auteurs à l'étranger. Cependant, je trouve que ce témoignage n'a pas de relief et les questions posées au fur et à mesure saccadent trop le récit. Les énumérations d'auteurs inconnus sont assez ennuyantes. Je regrette le manque d'illustrations.
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