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Agatha Raisin enquête tome 8 sur 34
EAN : 9782226329998
288 pages
Albin Michel (02/11/2017)
3.67/5   657 notes
Résumé :
Suite à une coloration violette ratée, Agatha Raisin se rend chez Mr John, le nouveau coiffeur d'Evesham. Alors qu'il emploie ses talents de coiffeur et de séducteur sur Agatha, Mr John est mortellement empoisonné. Agatha doit mener l'enquête alors qu'elle est elle-même impliquée dans l'affaire.
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Critiques, Analyses et Avis (119) Voir plus Ajouter une critique
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Huitième aventure d'Agatha Raisin dans ses Costwolds.✂️

James Lacey parti on ne sait où, Agatha Raisin s'ennuie. Pour aggraver les choses, des cheveux blancs ont fait leur apparition dans sa chevelure...et une canicule sévit dans la région. Pour Agatha, c'est une raison idéale pour rendre visite au coiffeur. Et là, notre détective sent le chantage, sent le crime dans l'air. Persuadée que Mr John est un maître chanteur, Agatha décide de lui tendre un piège afin de le démasquer. La question est : fait-elle cela uniquement par désir de justice... ou parce que le coiffeur est un homme plutôt craquant physiquement ?
Aidée de sir Charles, Agatha se lance dans cette aventure et verra de nombreux cadavres jalonner sa quête....


Bon, ce huitième tome dans le monde de la coiffure est un peu tiré par les cheveux pour rester dans le thème. À Carsely, petit village tranquille où enfin il ne se passe rien... voilà qu'Agatha se lance dans une enquête avant le meurtre lui-même. Ajouté à cela un mobile des plus farfelu et vous pouvez dire que M.C. Beaton sait couper les cheveux en quatre pour rendre son histoire plus ou moins viable. le lecteur s'arrache les cheveux d'ennui et doit supporter les changements d'humeur de Miss Agatha en plus d'un récit sans saveur.


Globalement, ce dernier tome n'est vraiment pas le plus sympathique de la série. Personnellement, ayant été fan de cette série, je ne l'achète plus pour moi, mais pour faire plaisir à ma maman. La seule chose vraiment sympathique et agréable dans ce livre vient de la qualité des illustrations de la couverture. Dommage que le contenu ne soit pas aussi intéressant que le contenant.
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Si comme toujours les Agatha Raison sont plus des romans de détentes sans aucune prise de tête, il faut quand même admettre que ce tome 8 est assez surfait, voir même mauvais.

On devine tellement en avance tout ce qu'il va se passer que cela en est ennuyeux. de même pour les personnages, ils sont stéréotypés a souhait, même si Agatha reste fidèle a elle même.


Bref si je n'avais pas été a l'étranger et en vacances je pense que je n'aurais même pas fini ce tome
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Huitième tome
*
Crêpage de chignons pour l'amour d'un beau coiffeur
*
J'avais besoin d'un petit polar cosy. J'ai donc repris la suite des mésaventures de notre chère Agatha Raisin.
Un charmant "cosy mystery", bien british.
*
Cette fois-ci, Agatha, déprimée par la fuite de son cher voisin et prétendant James, va se faire couper les cheveux dans un nouveau salon de coiffure.
Un coiffeur bien séducteur qui affole les clientes. Agatha soupçonne une machination de maître-chanteur. (je n'ai toujours pas compris comment elle fait pour flairer les entourloupes).
Agatha va donc fouiner, enquêter, questionner les victimes et les potentiels criminels. Oui, je ne vous ai pas dit? Le coiffeur meurt empoisonné.
*
Je me rends bien compte qu'arrivé au huitième tome, l'affaire peut s'essouffler. Car avec autant de cadavres dans un périmètre si restreint des Costwolds, l'auteure doit se creuser la tête pour trouver une idée originale de meurtres.
Je n'ai jamais vu quelqu'un aller aussi souvent chez le coiffeur en l'espace de quelques jours qu'Agatha ! C'est pour la bonne cause mais bonjour la crédibilité :)
*
L'humour caustique est toujours au rendez-vous et l'intrigue est prenante. Je me laisserais tenter par la suite . Ca se lit vite, c'est léger mais j'en redemande.
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Oh, qu'elle est pathétique cette bonne femme de cinquante ans qui s'ennuie chez elle et ferait n'importe quoi pour se trouver une occupation ou un homme !
J'avais aimé les premiers tomes de cette série mais au fil des volumes, les intrigues sont devenues répétitives et l'humour s'est fait la malle.
On assiste désormais à une suite de tentatives désespérées d'Agatha Raisin pour, au choix : récupérer son James adoré qui la fuit, trouver un autre homme si possible riche et muni d'un titre de noblesse, trouver de quoi s'occuper en jouant la pseudo-détective même si cela a failli lui être fatal à plusieurs reprises auparavant et à tendance à faire mourir ceux à qui elle parle à tord et à travers.
Cette jeune retraitée qui a vendu sa société de communication londonienne pour venir vivre dans un petit village anglais ne sait plus quoi faire pour passer le temps, elle a bien tenté de participer aux activités de la paroisse, elle s'est essayé au jardinage ou à la cuisine, mais elle ne sait finalement rien faire d'autre que de créer des ennuis à tout le monde.
Dans un précédent volume elle passait son temps à se remaquiller par 35 degrés à l'ombre, dans ce volume-ci, elle va chez le coiffeur 3 à 4 fois par semaine, s'achète de nouvelles tenues dès qu'on l'invite à venir manger des frites au pub du coin et s'envoie en l'air sans y penser en faisant « Gloups » à la fin parce qu'elle sait pertinemment que l'homme en question se fout d'elle comme d'une vieille chaussette trouée.
La faculté d'Agatha à juger les gens semble proche de celle d'un hamster qui tenterait de résoudre des équations à deux inconnues.
L'intrigue est risible de ridicule et les situations sont tirées par les cheveux. Grosse déception donc pour ce volume.
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Je suis de plus en plus partagée sur cette série que j'aime bien mais sans plus.

La couverture reste quelque chose de très plaisant, très drôle avec de bons jeux de mots. Pour autant, le personnage d'Agatha, qu'il m'arrive de trouver attachant, est souvent lassant. Elle tourne en rond, à chaque tome c'est la même histoire. La campagne l'ennuie mais Londres est oppressant. Quant à son coeur, elle s'amourache du premier venu, pour en revenir toujours à Lacey, ou même à Charles, alors qu'il est évident qu'aucun des deux n'est fait pour elle. J'espère réellement que ce schéma va finir par évoluer, pour le bien de la série...
Côté enquêtes, la résolution tient plus de ses bourdes, comme d'habitude, que de sa véritable aptitude. Bourdes qui ne sont pas très drôles dans ce tome-ci.
L'enquête présente était intéressante avec un coiffeur maître-chanteur assassiné. Pour autant, je ne comprends pas que M.C. Beaton dépeignent autant de relations sociales toxiques... A croire qu'à la fin des années 90, toutes les femmes se mariaient avec un mari utile mais tyrannique et que son utilité prédominait sur la tyrannie...

A la lecture de mon avis, j'admets qu'il est difficile de comprendre pourquoi je mets 2,5 en note. S'il est vrai que je pointe beaucoup les points faibles du récit, force est de m'avouer qu'il m'a distrait et que c'est une lecture sans prise de tête, l'une des raisons qui fait que je continue cette série sans pour autant les lire d'affilée. Il faut du temps pour vouloir retrouver Agatha et son village tout en ayant oublié ses choix désastreux en matières d'hommes...
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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Bizarrement, les non-buveurs n'avaient pas le droit d'interdire aux autres de boire en leur présence, alors qu'on faisait tout pour culpabiliser les fumeurs. Selon un rapport présenté récemment par trois scientifiques, l consommation de produits laitiers était nettement plus cancérigène que le tabagisme passif : les produits laitiers présentaient un risque avéré, et c'était malgré tout la cigarette qui faisait resurgir le spectre du puritanisme.
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– Quoi qu’il en soit, j’ai envie de passer voir Bill.
– Tu ne l’appelles pas pour l’avertir ?
– Non, répondit Agatha après une hésitation, allons-y sans prévenir. À moins que tu n’aies d’autres projets ?
– Aucun, affirma Charles, maussade. Je laisse tomber les femmes.
Ce qui signifie que je n’en suis pas une, conclut Agatha en son for intérieur.
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Mrs Darry parut sur le seuil et leur réserva l'accueil escompté.
- Qu'est-ce que vous voulez ?
- Nous souhaiterions vous parler, répondit Agatha tout en repoussant discrètement du pied le chien qui lui flairait les mollets.
- Je n'ai pas très envie de vous faire entrer, ma réputation risquerait d'en souffrir, leur retourna l'intéressée, sa maigre figure rayonnant de malveillance.
- Qu'est-ce que ça signifie ? riposta Agatha, si agacée qu'elle décocha un nouveau coup à l'animal.
- Je crois que j'aurais tort de vous inviter chez moi avec un de vos amants.
Charles se mit à hurler de rire, tandis qu'Agatha fusillait Mrs Darry du regard.
- Comme vous voudrez, répliqua-t-elle, prête à en découdre. On va donc rester dehors pour discuter de votre amant à vous. John Shawpart, aujourd'hui décédé.
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Agatha patted her hand. "Don't worry. I'm amazed that a girl of your age these days should still be a virgin."
Jessie gave a wry smile. "You oldies all think we're at it like rabbits, but I was saving myself for Wayne, just like in those Barbara Cartland books."
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- Ça n'aurait jamais marché, tu sais. James entre dans la catégorie des Vingt Pour Cent.
- Qu'est-ce-que tu veux dire ?
- Que tu fais quatre-vingt pour cent des efforts et que lui ne donne que vingt pour cent. Ça ne dépend même pas de sa volonté, il est comme ça, voilà tout. Beaucoup d'hommes sont dans ce cas, mais les femmes refusent de se le mettre dans la tête. Elles persistent à donner d'elles-mêmes et s'imaginent que si elles apportent encore quinze pour cent en couchant avec le type, elles se réveilleront miraculeusement à côté d'un monsieur Vingt Pour Cent. Grossière erreur. Déjà bien beau s'il est encore là le lendemain matin. Plus probable qu'elles trouvent un petit mot sur l'oreiller: "Rentré à la maison pour nourrir le chien."
Agatha se remémora ses nuits auprès de James - toujours levé le premier le matin, aucune allusion à leur nuit ensemble et pas le moindre geste de tendresse.
- Sans doute que je ne lui convenais pas, concéda-t-elle.
- Rassure-toi, ma chère, aucune femme ne conviendra jamais à James.
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Quelle est la réaction de Liza Friendly quand elle voit John Shawpart en sortant du Crown Inn ?

Elle semble charmée. Elle se dirige vers lui pour lui parler.
Elle semble effrayée. Elle fait en sorte d’éviter de lui parler.

8 questions
2 lecteurs ont répondu
Thème : Agatha Raisin enquête, tome 8 : Coiffeur pour dames de M.C. BeatonCréer un quiz sur ce livre

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