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EAN : 9782856522783
301 pages
D. M. Morin (01/05/2004)
3.86/5   18 notes
Résumé :
Dans la première partie de L'homme éternel, Chesterton s'applique à étudier l'homme comme s'il n'était qu'un animal et montre qu'il serait moins invraisemblable de le tenir pour un pur esprit. Le type même de raisonnement l'amène ensuite à regarder le Christ comme s'il n'était qu'un homme, afin de mettre en évidence qu'il est plus rationnel de croire ce qu'enseigne l’Église.

On peut dire autrement que la première partie est un résumé de l'aventure de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Je ne comprends pas comment ce livre continue d'obtenir des appréciations aussi positives et d'être toujours loué. D'accord, il contient clairement des « coups de génie », des idées qui ont été intelligemment trouvées sur la base des informations disponibles à l'époque (1925). Je ne vais donc pas contester que Chesterton avait un esprit très vif. Mais ce livre a près d'un siècle, ce qui est un handicap insurmontable pour un ouvrage qui prétend offrir une histoire du monde. Par example, ses passages sur l'homme préhistorique et sur les premières civilisations sont complètement obsolètes selon les connaissances actuelles. Et le langage de Chesterton est – et je m'exprime poliment – très péjoratif : par exemple, il utilise constamment les mots « sauvages grossiers » lorsqu'il parle des aborigènes australiens, et le tristement célèbre mot n- revient aussi régulièrement. L'ensemble du livre respire un esprit exclusivement blanc et eurocentrique; on ne peut pas vraiment blâmer Chesterton pour être un enfant de son temps, mais il s'exprime très grossièrement. Et en plus, il y a son style pédant, avec un constant ridicule des opinions dissidentes, surtout celles basées sur des recherches scientifiques (ce qui d'ailleurs l'a poussé à faire un léger ajustement en annexe). Il s'agit donc d'un ouvrage extrêmement polémique, avec un seul objectif : à savoir qu'avec l'introduction du christianisme l'histoire du monde a pris un chemin fondamentalement différent. Je pourrais suivre cela d'un point de vu philosophique et théologique (mais pas dans les termes utilisés par Chesterton), mais historiquement, cela n'a tout simplement pas de sens. Encore une déception de plus.
Pour quelques remarques plus positives, voire mon profil historique sur Goodreads: https://www.goodreads.com/review/show/4399439729.
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Livre ardu, foisonnant, souvent complexe, mais avec de vrais moments de génie. Deux grande parties la première sur l'homme avant l'histoire et surtout avant le Christ. La seconde, sur le Christianisme et le tsunami qu'il représente dans le cour du temps. Des réflexions d'anthologie sur la foi, la figure du Christ, les autres religions, le manque de certitudes des soit-disant savants qui assènent des vérités en proportion de leur ignorance. A la fin du livre, Chesterton dit bien avoir pris conscience de la densité de son livre, qui aurait peut être mérité une réécriture plus fluide et mieux charpentée.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Relevons pour nos exemples deux ou trois explications des origines du christianisme, parmi les plus en vogue chez ses contempteurs modernes. En voici une qui est assez représentative du genre : « Le christianisme, dit-elle, était avant tout un mouvement d’ascètes, une ruée au désert, une course vers le cloître, un renoncement à toute vie et à tout bonheur. Tout cela venait d’un refus sinistre et inhumain de la nature, d’une haine de la chair, d’une horreur du monde sensible, d’une sorte d’anéantissement des sens, enfin, qui allait jusqu’au suicide. Cela procédait d’un fanatisme oriental comparable à celui des fakirs et reposait, en dernier ressort, sur une vision pessimiste de l’univers qui semblait tenir l’existence elle-même pour un mal. »

L’extraordinaire de la chose tient à ce que cette description est véridique en tous points sauf un : il y a erreur d’attribution. Ce n’est pas vrai de l’Eglise, c’est vrai d’hérétiques condamnés par l’Eglise. Cela revient à dresser la liste complète et exacte des crimes soviétiques, la seule inexactitude consistant à les imputer au règne d’un tsar. L’Eglise primitive était très ascétique, mais elle n’était pas cette philosophie de la guerre à la nature et à la vie, comme le verraient aisément nos sourcilleux savants s’ils savaient regarder. Voici les faits. La foi chrétienne, à peine venue au monde, se trouva perdue dans une sorte d’essaim de sectes mystiques et philosophiques, pour la plupart orientales, comme une abeille d’or dans un essaim de guêpes. On pouvait dire, en première approximation, qu’il n’y avait rien de remarquable dans le bourdonnement général : qui piquait était piqué, voilà tout. Il y avait néanmoins quelque chose de remarquable : au sein de ce tourbillon doré, un seul minuscule point d’or était doué du pouvoir de construire des ruches pour tous les hommes et de donner au monde ce miel et cette cire qui sont, comme on l’a dit si bien, « ce qu’il y a de plus noble : la douceur et la lumière ». Cet hiver-là toutes les guêpes moururent. C’est à peine s’il demeura d’elles quelques traces – leur existence même est souvent ignorée –, si bien que l’histoire des commencements de notre religion est perdue. Varions la métaphore. Quand le barrage entre l’Orient et l’Occident fut rompu, le flot qui apportait en Europe des idées plus mystiques se renforça des eaux innombrables de mysticismes pour la plupart ascétiques et presque tous pessimistes, qui faillirent emporter l’élément purement chrétien. Ces mysticismes avaient leur source à la frontière imprécise des philosophies et des mythologies orientales, et partageaient avec d’autres, plus primitifs, l’étrange manie d’établir des représentations fantastiques de l’univers sous la forme de cartes ou d’arbres généalogiques. Ceux que l’on suppose disciples du mystérieux Manès sont dits manichéens tandis que leurs cousins sont rassemblés sous le nom de gnose. Ils étaient, pour la plupart, d’une complexité infinie et par-dessus tout, d’un profond pessimisme : chacun à sa façon, tous tenaient que la création était l’œuvre d’un esprit mauvais. Certains apportaient cet air asiatique où baigne le bouddhisme, qui fait de la vie une corruption de la pureté de l’être. D’autres proposaient un spiritualisme pur, malheureusement trahi par la farce maladroite et grossière de la création des jouets que sont le soleil, la lune et les étoiles. Le sombre océan métaphysique de l’Orient crevait tous les barrages en même temps que le credo chrétien. Mais le credo restait, c’est le point essentiel, un courant à part – comme l’huile dans l’eau. Par miracle, il coulait intact au sein de cette mer. La preuve de ce miracle est également d’ordre pratique : alors que les eaux de la mer, salées et amères, avaient la saveur de la mort, l’homme pouvait boire au fleuve qu’elles portaient en leur sein. Pourquoi ? Parce que des définitions dogmatiques exclusives préservaient la pureté de ses eaux. Rien d’autre n’aurait pu la préserver. Si l’Eglise n’avait pas rejeté les manichéens, sans doute serait-elle devenue manichéenne, si elle n’avait pas rejeté les gnostiques, sans doute serait-elle devenue gnostique. Par le fait même qu’elle les rejetait, elle prouvait qu’elle n’était ni manichéenne ni gnostique et, à tout le moins, qu’il existait quelque chose qui n’était ni l’un ni l’autre. Mais qui pouvait repousser l’un et l’autre, si ce n’était la Bonne Nouvelle annoncée par les messagers de Bethléem et les trompettes de la Résurrection ? L’Eglise primitive, qui était ascétique, prouvait qu’elle n’était pas pessimiste par le simple fait qu’elle condamnait les pessimistes. Elle affirmait que l’homme était pécheur, mais point que la vie était mauvaise, et le montrait en condamnant ceux qui le prétendaient. Les condamnations des premiers hérétiques sont considérées comme des preuves de l’étroitesse de l’esprit de l’Eglise et de sa dureté. Elles prouvent au contraire que l’Eglise voulait être bienveillante et accueillante. Elles prouvent que les catholiques des premiers âges étaient par-dessus tout désireux d’enseigner qu’ils ne pensaient pas que l’homme fût essentiellement mauvais, qu’ils ne pensaient pas que la vie fût incurablement lamentable, qu’ils ne pensaient pas que le mariage fût un péché, ni la procréation une tragédie. Ils pratiquaient l’ascèse parce que l’ascèse est le seul moyen de purifier le monde de ses péchés. Mais, dans le tonnerre même de leurs anathèmes, ils affirmaient sans cesse que l’ascétisme ne devait être ni inhumain ni contre nature, qu’il s’agissait de purifier le monde et non de le détruire. Ces anathèmes étaient la seule manière de rendre claire leur croyance alors que régnait une confusion qui, aujourd’hui encore, les amalgame à leurs ennemis mortels. Seul ce dogmatisme pouvait résister au déchaînement d’imagination inventive par lequel les pessimistes, avec leurs éons et leur démiurge, leur étrange logos et leur sinistre sophia, faisaient la guerre à la nature. Si l’Eglise n’avait pas tenu bon dans sa théologie, elle serait devenue une mythologie de mystiques insensés, toujours plus déraisonnable et plus folle – pire, toujours plus étrangère à la vie et à l’amour de la vie. Souvenons-nous qu’elle aurait été une mythologie inversée, prenant le contre-pied de ce que le pessimisme avait de sain. On y aurait vu Pluton trônant plus haut que Jupiter, l’Hadès au-dessus de l’Olympe, Brahma et tout ce qui respire soumis à Siva dardant l’œil de la mort. Que l’esprit de renoncement et de virginité ait transporté d’enthousiasme l’Eglise primitive rend cette différence plus frappante : loin de s’atténuer, les frontières dessinées par le dogme gagnent en importance. Un homme pouvait marcher à quatre pattes par ascétisme ou, vénéré en tant qu’ascète, vivre au sommet d’une colonne, mais il n’était plus qu’un hérétique s’il déclarait que la création était une faute ou le mariage un péché. Qu’était-ce donc qui se séparait de l’ascétisme oriental par une condamnation précise et un rejet sans appel, si ce n’était quelque chose qui avait une individualité propre et très marquée ? S’il y a confusion entre gnostiques et catholiques, elle n’est certainement pas due aux catholiques. Ils n’ont vraiment pas froid aux yeux ceux qui reprochent à la fois aux catholiques d’avoir persécuté les hérétiques et sympathisé avec l’hérésie ! L’Église n’a pas été un mouvement manichéen ou ascétique pour la bonne raison qu’elle n’a jamais été un mouvement. A la vérité, elle a moins dirigé et assagi l’ascèse orientale qu’elle ne l’a domptée. Elle avait sa doctrine et sa pratique de l’ascétisme, dont, alors, on remarquait surtout le caractère modéré. L’histoire de saint Augustin illustre admirablement ce point. Aussi longtemps qu’il fut un homme du monde suivant les modes du jour, il fut réellement manichéen – il était juste assez bien-pensant et bien informé pour l’être. Mais, après sa conversion, les premiers adversaires qu’il combattit farouchement furent les manichéens. Du point de vue catholique, il avait abandonné le pessimisme pour l’ascèse. Mais, étant donné la manière dont les pessimistes envisagent l’ascèse, on peut dire qu’il cessa d’être un ascète pour devenir un saint. Quand il entra dans l’Église, il renonça au mépris de la vie, à l’horreur de la nature, qu’il avait hérités du monde païen. Le fait même que saint Augustin demeure à nos yeux un saint plus austère et plus sévère que saint François ou sainte Thérèse aggrave le dilemme. Même en présence des catholiques les plus graves et les plus rigides, nous pouvons encore dire : « Pourquoi les catholiques auraient-ils fait la guerre aux manichéens, si le catholicisme était manichéen ?

[…]

Qu’ils sortent de leurs tombes les grands hérésiarques et confondent leurs modernes successeurs ! Il n’est pas une affirmation des intellectuels modernes que nous ne puissions réfuter en faisant appel à leur grande ombre. Celui-ci dira d’un air dégagé que le christianisme n’était qu’un mouvement ascétique, un spiritualisme contre nature, une danse de fakirs enragés, détestant l’amour et la vie. A quoi Manès, le grand mystique, répliquera par un cri d’outre-tombe : « CES CHRETIENS NE SONT PAS SPIRITUALISTES. CES CHRETIENS NE SONT PAS DES ASCETES. ILS ONT ACCEPTE LE FLEAU DE LA VIE ET L’OBSCENITE DE LA FAMILLE. A CAUSE D’EUX LA TERRE EST TOUJOURS SOUILLEE PAR LES VERGERS ET LES MOISSONS, ET TOUJOURS DEFIGUREE PAR LES HOMMES. LEUR ELAN N’ETAIT PAS UNE REVOLTE CONTRE LA NATURE, SINON MES FILS LES AURAIENT PORTES EN TRIOMPHE. CES FOUS ONT RENOUVELE LA FACE DE LA TERRE ALORS QUE JE VOULAIS BALAYER LE MONDE. »
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Quoi qu'il en soit de l'édifice humain, il est sous nos yeux, et la famille en constitue indiscutablement la cellule centrale, autour de laquelle, comme une garde d'honneur, veillent les saintes vertus domestiques qui nous distinguent de l'abeille et de la fourmi. La pudeur est le rideau de cette tente, et la liberté le rempart de cette cité ; la propriété n'est que l'enclos de la famille, l'honneur son blason. L'histoire s'ouvre avec un père, une mère et leur enfant, et, si nous ne sommes pas de ceux qui invoquent une divine Trinité, il nous faudra pourtant invoquer une trinité humaine, dont le triangle se répète à l'infini dans la trame de l'univers.
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Certes, les deux grands sages de l'antiquité nous paraissent les puissants champions de tout ce qu'il y a de sain et de saint, et leurs sentences sonnent souvent comme des réponses définitives à des questions que du même coup elles ont effacées à jamais. Aristote, en définissant l'homme : un animal politique, a confondu une fois pour toute la séquelle des naturistes et des anarchisants ; Platon a donné raison d'avance au réalisme catholique contre le nominalisme hérétique en attribuant aux concepts une existence non moins réelle que la nôtre. Plus réelle même, semble-t-il parfois ; il faut reconnaître qu'il tient volontiers l'homme pour négligeable à côté de l'idée, et que l'étatisme socialiste lui est grandement redevable de son idéal actuel du citoyen adapté aux besoins de la cité, du monsieur dont on passe la tête au conformateur pour la faire entrer dans son chapeau. il est par là le père de tous les idéologues, et Aristote a mieux vu dans l'équilibre sacramentel de l'esprit et de la matière, en insistant sur la nature de l'homme autant que sur celle de la pensée : les yeux, pour lui, comptent autant que la lumière.
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Ce centre est la Méditerranée. Monde, plutôt que mer, mais fait à l'image de la mer, où se jettent et s'unifient les courants les plus disparates ; comme le Nil et le Tibre mêlent leurs eaux dans celles de la Méditerranée, l'Égypte et l'Étrurie se fondent dans une commune culture. Le rayonnement de la mer auguste franchit les déserts, les montagnes et les forêts, s'étend aux Arabes et aux Gaulois ; mais c'est le long de ses rives que s'accomplit la tâche première de l'antiquité et que s'élabore la civilisation qu'elle devait donner au monde ; c'est dans le cercle de l'orbis terrarum que se poursuit le combat du meilleur et du pire ; la lutte sans fin de l'Europe et de l'Asie, depuis la fuite des Perses à Salamine jusqu'à la fuite des Turcs à Lépante ; le duel à mort où s'affrontèrent selon la chair et selon l'esprit les deux formes parfaites du paganisme, latine et punique. Royaume de la guerre et de la paix, du juste et de l'injuste, royaume de toutes nos haines et de tous nos amours… toutes révérence gardée, Aztèques et Mongols, mes frères, vous n'avez rien donné au monde de comparable à la tradition méditerranéenne.
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note du traducteur "Quiconque s'intéresse à la religion, à la philosophie, à la sociologie, à l'anthropologie, à l'histoire, à l'art, lira ce livre avec grand profit. Pour découvrir, avec stupeur peut-être, qu'une pensée profonde n'a pas pour nécessaire compagne le langage pédant-abscons, et que les gens « instruits » prennent trop souvent pour phares des vessies d'avant-garde gonflées en dogmes rationalistes par la mode, c'est-à-dire par la paresse intellectuelle. Chesterton est un esprit d'une lucidité exceptionnelle: celle d'un Thomas d'Aquin ou d'un Pascal."
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Vidéo de Gilbert Keith Chesterton
"[…] les auteurs d'aphorismes, surtout lorsqu'ils sont cyniques, irritent ; on leur reproche leur légèreté, leur désinvolture, leur laconisme ; on les accuse de sacrifier la vérité à l'élégance du style, de cultiver le paradoxe, de ne reculer devant aucune contradiction, de chercher à surprendre plutôt qu'à convaincre, à désillusionner plutôt qu'à édifier. Bref, on tient rigueur à ces moralistes d'être si peu moraux. […] le moraliste est le plus souvent un homme d'action ; il méprise le professeur, ce docte, ce roturier. Mondain, il analyse l'homme tel qu'il l'a connu. […] le concept « homme » l'intéresse moins que les hommes réels avec leurs qualités, leurs vices, leurs arrière-mondes. […] le moraliste joue avec son lecteur ; il le provoque ; il l'incite à rentrer en lui-même, à poursuivre sa réflexion. […]
On peut toutefois se demander […] s'il n'y a pas au fond du cynisme un relent de nostalgie humaniste. Si le cynique n'est pas un idéaliste déçu qui n'en finit pas de tordre le cou à ses illusions. […]" (Roland Jaccard.)
0:14 - Bernard Shaw 0:28 - Julien Green 0:45 - Heinrich von Kleist 1:04 - Georges Henein 1:13 - Ladislav Klima 1:31 - Michel Schneider 1:44 - Hector Berlioz 1:55 - Henry de Montherlant 2:12 - Friedrich Nietzsche 2:23 - Roland Jaccard 2:37 - Alphonse Allais 2:48 - Samuel Johnson 3:02 - Henrik Ibsen 3:17 - Gilbert Keith Chesterton 3:35 - Gustave Flaubert 3:45 - Maurice Maeterlinck 3:57 - Fiodor Dostoïevski 4:08 - Aristippe de Cyrène 4:21 - Générique
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Référence bibliographique : Roland Jaccard, Dictionnaire du parfait cynique, Paris, Hachette, 1982.
Images d'illustration : Marquise de Lambert : https://de.wikipedia.org/wiki/Anne-Thérèse_de_Marguenat_de_Courcelles#/media/Datei:Anne-Thérèse_de_Marguenat_de_Courcelles.jpg George Bernard Shaw : https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Bernard_Shaw#/media/Fichier:G.B._Shaw_LCCN2014683900.jpg Julien Green : https://www.radiofrance.fr/franceculture/le-siecle-d-enfer-de-l-ecrivain-catholique-et-homosexuel-julien-green-8675982 Heinrich von Kleist : https://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_von_Kleist#/media/Fichier:Kleist,_Heinrich_von.jpg Georges Henein : https://www.sharjahart.org/sharjah-art-foundation/events/the-egyptian-surrealists-in-global-perspective Ladislav Klima : https://www.smsticket.cz/vstupenky/13720-ladislav-klima-dios Michel Schneider : https://www.lejdd.fr/Culture/Michel-Schneider-raco
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