Aller à New York pour présenter et vanter les mérites de l'école de Carlisle avec les meilleurs élèves... voilà qui met du baume au coeur de Jonas.
Mais bien vite il va se rendre compte que c'est encore une idée de son père, qui compte bien en tirer profit et se servir de cette publicité positive pour asseoir ses ambitions politiques.
Le Major Mercy est également du voyage, et lui aussi entend bien en profiter pour régler quelq6comptes avec certains élèves mais aussi avec Jonas.
Le voyage risque donc bien d'apporter son lit de surprise de révélations....
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Carlisle possède toutefois le mérite, comme ce fut le cas pour Les innocents coupables, de mettre en lumière des méthodes pédagogiques que l’on voudrait croire révolues.
Lire la critique sur le site : BDGest
Le dessin de Seigneuret a quelque chose d'étonnant. Dès que j'ai commencé cette lecture, dès les premières cases, j'ai eu l'impression de voir les défauts de certains dessins. Mais, rapidement, le dessin gagne en efficacité. Les décors, qu'ils soient urbains ou les paysages, sont très réussis. Le tout étant servi par les belles couleurs de Sandrine Cordurié.
Lire la critique sur le site : Sceneario
CARLISLE
Tome 1 : Tasunka witko
Scénariste : Edouard CHEVAIS-DEIGHTON
Dessinateur : SEIGNEURET
Tuer le sauvage pour sauver l?homme.
Pennsylvanie, 1903. Diplômé de Harvard et fils d?un influent pasteur, Jonas rejoint l?École Industrielle Indienne de Carlisle destinée à l?assimilation des Américains indigènes. Profondément humaniste, Jonas est intimement convaincu que leur intégration passe par leur éducation. Mais ses convictions sont rapidement ébranlées par le quotidien à l?école auprès de ses élèves, en particulier le jeune John Madock et la belle Élisabeth...
Cet album contient un cahier supplémentaire de 8 pages : Un dossier sur l'école industrielle de Carlisle.
Lire un extrait ici : http://www.angle.fr/bd-carlisle-tome-1-5982996.html
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