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Critique de bdelhausse
Deuxième volet de ce dyptique sur les conséquences des choix.
On retrouve Pierre Hemmer, le fils du Boche, mais quand son père s'en va, il part aussi en Allemagne avec lui.
Il devient donc SS, et se montre intraitable, cruel, impitoyable... le scénario est assez linéaire et plutôt faiblard, à l'instar du premier (ce n'est qu'en liant les deux tomes que l'on arrive à quelque chose qui tienne la route, à mon avis, chaque tome séparément étant juste moyen).
J'ai préféré ce tome-ci, car je me suis davantage retrouvé dans les options graphiques. Visiblement, je suis un des seuls dans ce cas. Cela dit, je trouve que l'on reste en-dessous du minimum syndical.
La grande originalité (d'où l'importance de lire les deux tomes) réside dans le fait que L Histoire et le contexte restent les mêmes. le réseau de résistants est le même. La fin est approximativement identique. Et donc, que Pierre/Karl soit d'un côté ou de l'autre, cela a de l'importance, mais pas tant que cela. Il y a un parallélisme assez clair entre les deux récits.
Les premières pages sont de ce point de vue intéressantes: elles montrent exactement les mêmes scènes mais en adoptant un point de vue opposé. Dans le premier tome, on voit Pierre et son père recevoir des pierres. Et dans le tome 2, on est du côté des enfants qui les lancent. Etc.
Sur une idée intéressante, tout en reconnaissant l'effort louable du scénariste, on est dans une demi-réussite de mon point de vue. Rendre toutes ces complexités, le temps qui passe, les choix, les implications de l'Histoire... en 2 BD (assez courtes, au final), c'était un pari ambitieux et fort risqué.
On retrouve Pierre Hemmer, le fils du Boche, mais quand son père s'en va, il part aussi en Allemagne avec lui.
Il devient donc SS, et se montre intraitable, cruel, impitoyable... le scénario est assez linéaire et plutôt faiblard, à l'instar du premier (ce n'est qu'en liant les deux tomes que l'on arrive à quelque chose qui tienne la route, à mon avis, chaque tome séparément étant juste moyen).
J'ai préféré ce tome-ci, car je me suis davantage retrouvé dans les options graphiques. Visiblement, je suis un des seuls dans ce cas. Cela dit, je trouve que l'on reste en-dessous du minimum syndical.
La grande originalité (d'où l'importance de lire les deux tomes) réside dans le fait que L Histoire et le contexte restent les mêmes. le réseau de résistants est le même. La fin est approximativement identique. Et donc, que Pierre/Karl soit d'un côté ou de l'autre, cela a de l'importance, mais pas tant que cela. Il y a un parallélisme assez clair entre les deux récits.
Les premières pages sont de ce point de vue intéressantes: elles montrent exactement les mêmes scènes mais en adoptant un point de vue opposé. Dans le premier tome, on voit Pierre et son père recevoir des pierres. Et dans le tome 2, on est du côté des enfants qui les lancent. Etc.
Sur une idée intéressante, tout en reconnaissant l'effort louable du scénariste, on est dans une demi-réussite de mon point de vue. Rendre toutes ces complexités, le temps qui passe, les choix, les implications de l'Histoire... en 2 BD (assez courtes, au final), c'était un pari ambitieux et fort risqué.
