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Critique de Nelja
Apparemment, l'auteur a été dégouté par le principe de faire une "suite officielle" à Autant en emporte le vent, et a décidé de faire des suites déjantées, les plus mauvaises possibles, à des classiques de la littérature. Aussi, avant, il met un résumé léger et plutôt drôle pour nous les rappeler si on ne les connaît pas.
Je suis un peu déçue. Au début c'est vraiment très drôle, dans le genre iconoclaste. Mais ça se répète. Au fur et à mesure, on découvre que la plus grande partie des fausses fins consistent en soit des personnages qui montent une grande entreprise à succès (qui, dans certains cas, est encore énorme de nos jours), soit se découvrent des perversions sexuelles originales. Cela manque de variété dans les clichés dont il se moque.
Il y en a quelques-uns qui sortent du lot, où on a l'impression que l'humour est spécifique à une oeuvre donnée. Mais le plus souvent, on en finit par penser que l'auteur ne pastiche plus tellement les oeuvres en question, ne leur accorde pas tellement de réflexion ; tout le long, il pastiche seulement une mauvaise suite d'Autant en emporte le vent qui l'a énervé.
Je suis un peu déçue. Au début c'est vraiment très drôle, dans le genre iconoclaste. Mais ça se répète. Au fur et à mesure, on découvre que la plus grande partie des fausses fins consistent en soit des personnages qui montent une grande entreprise à succès (qui, dans certains cas, est encore énorme de nos jours), soit se découvrent des perversions sexuelles originales. Cela manque de variété dans les clichés dont il se moque.
Il y en a quelques-uns qui sortent du lot, où on a l'impression que l'humour est spécifique à une oeuvre donnée. Mais le plus souvent, on en finit par penser que l'auteur ne pastiche plus tellement les oeuvres en question, ne leur accorde pas tellement de réflexion ; tout le long, il pastiche seulement une mauvaise suite d'Autant en emporte le vent qui l'a énervé.
