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Jack Reacher tome 12 sur 24
EAN : 9782757826515
544 pages
Points (05/01/2012)
3.48/5   73 notes
Résumé :

12e aventure de Jack Reacher.

Entre James Bond et Indiana Jones, le héros de Lee Child réussit la prouesse d’être à la fois admirable, crédible et sympathique.

Et ses aventures bondissantes ont l’énergie et l’éclat des histoires de super-héros que l’on dévore avec un plaisir instantané, toujours renouvelé.

Reacher a 46 ans, 13 années de service à la police militaire, il en est sorti 10 ans plus tôt avec le gr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Douzième volet des aventures de Jack Reacher. Lui, tout ce qu'il veut, c'est balader. Découvrir son propre pays alors qu'il a passé la majorité de sa vie dans des bases militaires à l'étranger. Mais le danger a une fâcheuse tendance à lui coller aux basques. Et il faut bien dire qu'il ne faut pas le titiller, le Reacher.
Alors quand il est ramené rudement aux frontières de la ville de Despair sans aucune raison valable, la boîte de Pandore ne restera pas longtemps close devant la curiosité de Jack Reacher...

Ooohhh je vous entends déjà: La voilà qui revient avec son chouchou, Lee Child. Elle va encore s'extasier sur cet ancien de la Police Militaire américaine, qui mesure plus d'un mètre quatre vingt dix, est blond aux yeux bleus, habité de toute la rigueur d'une vie passée dans l'armée et par une conception pure de la justice, telle que la loi ne peut pas forcément l'appliquer.
Elle n'oubliera pas de rappeler qu'il est tout en muscles mais qu'il en a pas mal aussi dans le crâne, que Reacher a quitté l'armée car elle ne pouvait plus rien lui apporter et que depuis, il vadrouille au gré de ses envies.
Oui, on sait, elle nous le rabâche à chaque tome qu'elle craque pour son esprit vif et ses muscles affûtés, que Jack Reacher est un loup solitaire peu prolixe, se contentant d'un confort spartiate, qui intériorise énormément mais qu'il ne faut pas le chercher!

Ok, vous savez déjà tout cela... Mais ce n'est pas une raison pour adorer aveuglément chacune de ses péripéties! La preuve! Avec L'espoir fait vivre, je me suis ennuyée. Et oui... pour une fois! 
Trop de planques, trop d'attentes entre deux actions, pas assez d'indices pour maintenir la pression. Reacher rampe beaucoup dans le désert pour découvrir ce que cache Despair. de nuit, de préférence. Il en avale beaucoup de la poussière de la route. Et à peine rentré à Hope, le pendant de Despair, ville un peu plus accueillante toutefois, c'est pour mieux planifier une nouvelle incursion sur le territoire interdit!

Portrait d'une Amérique profonde, quand une ville peut encore être aux mains d'un seul homme, celui qui offre le travail nécessaire pour la survie de touts ses habitants. La toute-puissance quasi médiévale qui instaure le droit de vie, de mort, de trafics et de profit. L'économie locale qui paralyse toute velléité de rébellion. L'emprise est totale et l'étranger, non désiré, banni à peine a-t-il commandé un café. 
Jack Reacher ne trouvera aucun soutien dans son entreprise. 
À l'exception de Vaughan, flic de Hope, accessoirement jolie blonde, et terriblement têtue, qui ne va pas se contenter de jouer les chauffeurs pour Reacher.
Mais diantre, quel mystère plane sur cette ville de Despair et de son usine de recyclage de métaux? Et pourquoi un poste de l'armée en surveille-t-il un des accès? 

Ce n'est pas le meilleur Jack Reacher, c'est clair. Il y a bien quelques bagarres, des incursions sportives, quelques bâtiments qui explosent, mais non, ce n'est pas son meilleur... 

Mais je suis fan du personnage et personne ne peut être au top tout le temps, non? 
Qu'importe, je serai au rendez-vous de sa prochaine sortie, Bienvenue à Mother's Rest, la semaine prochaine! 
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Sans vraiment savoir pourquoi, je trouvais ces derniers temps que la vie était un peu triste, terne et, pour tout dire, sans grand intérêt. Et puis je me suis aperçu que cela faisait plus de deux ans que je n'avais pas lu une aventure de Jack Reacher. Tout s'expliquait.
L'espoir fait vivre commence d'une manière on ne peut plus simple – oui, bon, comme tous les romans de Lee Child. Jack Reacher fait du stop. Dans le Colorado, il s'aperçoit que deux villes voisines s'appellent respectivement Hope et Despair (Espoir et Désespoir pour ceux qui ne sont pas connaisseurs de la langue de Donald Trump) et se dit donc qu'il ne peut avancer sans visiter l'une et l'autre. Arrivé à Despair, tout part en sucette : on refuse de lui servir un café au restaurant, le shérif le coffre pour vagabondage et finit par aller le déposer aux limites de la ville en lui expliquant qu'il ferait mieux de tailler la route vers un endroit plus accueillant pour les vétérans de l'armée reconvertis en clodos. On s'en doute, avec le côté contrariant qui le caractérise, Jack Reacher décide de revenir sur ses pas pour visiter le patelin.
Et là, vous vous dites que Brian Dennehy joue le shérif et que Sylvester Stallone incarne Jack Reacher. Triple erreur :
-D'abord il ne s'agit pas d'un film, mais d'un livre.
-Ensuite, ce n'est pas Stallone qui incarne Jack Reacher, 1 mètre 96 et 120 kilos, au cinéma mais Tom Cruise.
-Enfin, Rambo, à côté de Jack Reacher, je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit, mais c'est un castor junior. Jack Reacher n'a pas besoin de se trimballer avec un couteau de survie issu des amours interdites entre un couteau suisse et une machette, et encore moins de voler une mitrailleuse M40. Non. Jack Reacher a une brosse à dents de voyage et c'est bien suffisant pour éradiquer de la surface de la terre une bonne partie des pisse-froid de Despair, Colorado.
Vous l'aurez compris, Lee Child n'a toujours pas décidé de faire dans la dentelle. Jack Reacher va donc, avec l'aide d'une belle policière de Hope essayer de comprendre quel secret tente de dissimuler la population de Despair, ville sous la coupe d'un entrepreneur tout-puissant et, au passage, livrer au lecteur attendri un véritable plaidoyer en faveur des vétérans mutilés des guerres américaines que l'armée, lâchement, abandonne dans des mouroirs. Entre deux explosions de bâtiments publics, trois passages à tabac et quelques incursions dans le désert et infiltrations dans des usines top secret qui permettent à Lee Child de formidables développements sur le meilleur angle pour poser une échelle en aluminium sur une barrière ou les différents revêtements routiers, Jack Reacher s'abandonne parfois à quelques jeux de séduction et change plusieurs de vêtements tout en se demandant quel plat choisir dans le dinner de Hope afin de conserver un taux suffisant de glucides pour tenir la nuit sans pour autant risquer de finir à cinquante ans avec un bourrelet abdominal disgracieux.
Bref, L'espoir fait vivre est un peu la quintessence de l'oeuvre de Lee Child. C'est souvent débile, toujours un peu trop tout (violent, réac, inutile...) mais, lu au second degré, c'est aussi franchement marrant et un vrai plaisir régressif.

Lien : http://www.encoredunoir.com/..
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Lire L'espoir fait vivre de Lee Child, c'est une drôle d'aventure. On commence la lecture en se disant que ça va être un peu long, parce que l'auteur ne peut s'empêcher de tout décrire et de tout expliquer. Si vous voulez savoir en combien de temps un homme de 120 kg peut parcourir 18km sous un soleil de plomb à une allure de 5,35 km/h, alors ce roman est fait pour vous, sinon passez votre chemin, parce que l'auteur ne s'arrête jamais. Personnellement, si cet aspect m'a quelque peu gêné, je dois dire que j'ai réussi à en faire abstraction assez rapidement, afin d'entrer pleinement dans cette histoire. Lee Child offre un roman assez particulier dans son déroulement et dans son rythme. L'auteur donne parfois l'impression de réanimer son histoire à coup d'électrochoc pour relancer un peu son récit et pour réveiller son lecteur. Est-ce que cela fonctionne ? Oui, bien que l'on replonge dans une sorte léthargie quelques pages plus loin… Mais, ce qui est bizarre, c'est que l'histoire fonctionne tout de même, parce que l'auteur y insuffle une dose de mystère qui éveille notre curiosité, comme celle de son personnage Jack Reacher. Tout est là pour nous donner envie de continuer notre lecture, malgré son rythme décousu. Dans cette histoire, on retrouve un village qui n'aime pas les étrangers, qui n'aime pas que l'on vienne fourrer notre nez dans ses affaires. C'est un village qui ne compte qu'une seule grosse entreprise et dont le directeur contrôle également le reste du village. Il a tout, il donne tout et les villageois se transforment en gardien de la forteresse. Avouez que c'est tentant d'essayer de savoir ce qu'il se cache derrière tout cela.

C'est ce que Jack Reacher va faire, parce que si on lui dit non avec la manière forte, il ne peut s'empêcher de revenir foutre la merde. Entre jeu du chat et de la souris avec les villageois, scène de castagne dans les rues et course poursuite en voiture, L'espoir fait vivre pourra ravir les amateurs de cinéma d'action. L'auteur fait preuve d'une facilité déconcertante à nous faire entrer dans son histoire et dans ses scènes d'actions. On a l'impression d'y être, de donner et de prendre des coups. Avec son écriture quasi-cinématographique, l'auteur donne un peu de vie à son récit, alors que celui-ci peine dans les autres moments. le reste n'est pas inintéressant, bien au contraire. On découvre un personnage très humain, avec de belles valeurs et toujours là pour aider ceux qui sont dans le besoin. On prend plaisir à suivre ses rencontres et son début d'amitié avec une policière de l'autre village.
Le truc, c'est qu'au bout d'un moment, on a l'impression d'être en mode pilotage automatique. On tourne les pages, on avance dans l'histoire, mais l'auteur donne la sensation de tourner un peu trop autour du pot, histoire de combler quelques pages supplémentaires, alors que la révélation finale aurait pu apporter une autre dimension à l'ensemble de l'histoire. En finissant ce roman, il y a comme un drôle d'arrière-goût qui vient en bouche et on ne peut qu'être déçu, car L'espoir fait vivre de Lee Child aurait pu être totalement différent, totalement fou et davantage intéressant… Au final, on se rapproche d'un bon divertissement, le genre d'histoire qui te fait oublier un peu ton existence, mais qui se fait oublier sitôt la dernière page tournée.

Voilà, vous l'aurez compris, L'espoir fait vivre de Lee Child est un roman divertissant, mais qui pourra vous décevoir quant aux choix de l'auteur sur son scénario, son final et son rythme assez bizarre. Ce n'est pas vraiment le livre que je vous conseillerai le plus sur ce blog…
Lien : https://tomabooks.wordpress...
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C'était mon premier contact avec cet auteur britannique célèbre, traduit partout, habitant maintenant à New York et dont c'est le dernier livre traduit en français avec pour héros le même Jack Reader, un personnage solitaire, ancien officier hanté par son passé, détaché de tout et dont le seul but désormais est de traverser les Etats-Unis en diagonale, en marchant, sans attache, sans téléphone, sans carte de crédit, sans autre bagage que ses armes.
Arrivé devant les Rocheuses, il est arrêté par une ville bien étrange et désespérante, celle de Despair où d'emblée tous les habitants se montrent hostiles à sa présence. Il retourne donc à Hope, la ville voisine bien plus accueillante où il ne tarde pas à s'allier avec Vaughan, une jeune policière qu'il aime bien et qui va l'aider sauf qu'elle ne veut pas franchir la frontière qui sépare les deux villes : la route est belle du côté de Hope, horrible dès qu'on arrive à Despair. Naturellement Jack Reader n'a plus qu'une idée en tête : découvrir le secret de cette ville si fermée et dont l'unique usine est dirigée par une seule personne toute puissante.
Ce dont je me souviendrai surtout, c'est de ces nombreux et dangereux va et vient du héros entre ces deux villes ; d'un côté la paix, les conversations, la bonne compagnie, l'amour même, de l'autre, la fermeture, le silence, les menaces, l'hostilité avant les crimes. le secret!
Ai-je aimé ? Non ! Pas du tout, sauf les premières pages, prometteuses. Ensuite, je me suis ennuyée. Trop long, trop répétitif, trop terne, trop, trop, trop, et pas assez de peps, de surprise, de piquant… C'est lourd, lourd, lourd. J'ai sauté plein de pages à la fin. Je regrette.
Lien : http://liratouva2.blogspot.c..
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Je ne connaissais pas cet auteur et son héros récurrent Jack Reacher, ex-officier de la police militaire américaine que j'ai découvert en 2012.
Dans ce roman il est arrêté et expulsé d'une petite ville du Colorado, Despair, sans explications.
Hors, Jack est un homme qui a horreur que l'on décide pour lui, et il va tout faire pour comprendre pourquoi les habitants craignent autant les étrangers.
Quelques belles bagarres, une usine de récupération étonnamment protégé, une enquête mené tambour battant avec l'aide d'une jolie policière, des personnes disparus voila les ingrédients qui feront que vous ne lâcherez pas ce livre avant d'avoir le mot de la fin.
Vous pourrez retrouvez Jack dans d'autres aventures qui peuvent se lire indépendamment et qui ont pour titre :
Les caves de la maison blanche
Elle savait
Sans douceur excessive
La faute a pas de chance
En tout cas moi je le retrouverai avec plaisir
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Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Reacher n’aimait pas les foules.
Il appréciait la solitude et était légèrement agoraphobe, ce qui ne signifiait pas pour autant qu’il eût peur des grands espaces déserts. Une idée fausse, très répandue.
Il adorait les grands espaces.
Il avait plutôt un léger problème d’agora, ce vieux terme grec désignant un marché public bondé. Les foules livrées à elles-mêmes sont (...) dangereuses.
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(...) il avait vu ce dont sont capables des foules en colère. Il avait vu l’instinct grégaire à l’œuvre: l’anonymat, la dissipation des inhibitions, les permissions implicites de l’action collective. Il savait combien une foule en colère est l’animal le plus dangereux que la terre ait jamais porté.
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- Baissez un peu la garde, Zénon (...)
- Les stoïques se doivent d'être résignés. Le stoïcisme est fondé sur l'acceptation inconditionnelle des destinées. C'est Zénon qui l'a dit.
- Votre destin est de retourner à Hope. Zénon se fiche que ce soit à pied ou en voiture.
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Le cliché veut que les flics s’arrêtent toujours prendre des beignets dans une cafétéria avant et après le travail, mais si les clichés sont des clichés, c’est parce qu’ils correspondent souvent à la vérité.
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Nous sommes tous athées. Vous ne croyez ni en Zeus, ni en Thor, Neptune, César Auguste, Mars, Vénus ou Râ, le dieu solaire. Vous rejetez mille dieux. Pourquoi ça vous dérangerait que quelqu’un en rejette mille et uns?
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Vidéo de Lee Child
Ken Follett, Kate Mosse, Jojo Moyes et Lee Child à Sciences Po pour The Friendship Tour
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